Face à la montée inquiétante de la menace terroriste au Mali, l’Algérie souligne que la situation actuelle confirme les avertissements qu’elle n’a cessé de formuler depuis près de deux ans. A l’époque, rappelle la diplomatie algérienne, les autorités maliennes avaient décidé unilatéralement de se désengager de l’Accord pour la paix et la réconciliation issu du processus d’Alger, ouvrant la voie à une détérioration progressive du climat sécuritaire.
Le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, est revenu sur ce dossier brûlant en citant un communiqué publié le 26 janvier 2024 par son ministère. Dans ce texte, Alger avertissait déjà que «le choix militaire constitue la première et la principale menace pour l’unité de l’Etat malien et l’intégrité de son territoire». Selon lui, cette option porte en germe le risque d’une guerre civile, compromet les efforts de réconciliation nationale et fait peser un danger réel sur la sécurité et la stabilité de toute la région.
A la lumière de l’évolution actuelle de la situation, Attaf insiste : «Nous ne pouvons qu’espérer que les dirigeants de ce pays prennent conscience de la nécessité inévitable de revenir au processus politique afin de rattraper les efforts perdus et d’éviter les catastrophes qui menacent non seulement le Mali, mais toute la région.»
Le chef de la diplomatie a également réaffirmé son souhait de voir la résolution de la crise malienne émerger non pas d’une stratégie militaire, mais «d’un dialogue responsable et d’une réconciliation inclusive entre toutes les composantes du pays, sans distinction ni discrimination, et à l’abri de toute ingérence étrangère, qu’elle soit politique ou militaire».
Ahmed Attaf a, par ailleurs, rappelé que seule une unité nationale «authentique et enracinée» permettra au Mali de se positionner avec force face au fléau du terrorisme. Concluant son intervention, il a souligné que l’Algérie «maintient sa main tendue à son voisin malien, forte d’un réservoir inépuisable de patience pour traiter avec sagesse, pondération et clairvoyance les défis majeurs qui secouent son voisinage».
K. M.




Les putschistes de bamako ont échoué lamentablement. Le peuple malien doit prendre ses responsabilités.
Il faut faire très attention car le cancer islamiste n’est pas mort en Algérie ,il est prêt à réapparaitre si on ni prête pasgarde
Qu’attend l’État Algérien pour expulser manu militari en 17 secondes tous les makhnazis et déchéance de nationalité et tous les subsahariens et sahéliens c’est un PRÉ-REQUIS outre la clochardisation de l’Algérie criminalité terrorisme accrus une colonisation qui ne dit pas son nom.
Blindage des frontières de toute part.
vos propositions me rappellent les mensonges du rassemblement national francais un peut d’humanite vous ferais du bien
Dr. Kelso bravo, vous avez raison. les situations d’immigration en France et en Algérie ne sont pas pareils lisez l’histoire de l’immigration algérienne en France avant d’attaquer des patriotes qui ne se laisseront pas faire face un déferlement en masse de mendiants et de toute la délinquance et gangs subsahariens. Les algériens les ont aidé maintenant on dit merde à ceux qui veulent à tout prix nous coller ces énergumènes qui ont des pays pleins de richesses, allez les aider chez eux afin qu’ils construisent des écoles pour leurs enfants mendiants en Algérie qui passent des journées et la moitié de la soirée pour harceler les algériens et mendier. Lisez, vous le pseudo-humaniste comment ces maliens et nigériens commentent sauvagement contre l’Algérie, taisez vous et occupez-vous de vos soucis avant de donner des leçon aux algériens qui défendent leur pays et leurs valeurs, l’Algérie que pour les algériens.
N’est-il pas plus judicieux de coopérer avec un adversaire puissant et civilisé plutôt que d’avoir en face les sanguinaires dont nous connaissons les capacités nocives mieux que tous?
Faudrait pensé à atterrir parce que qualifier les véritables terroristes de puissants et civilisés…
Ces petits gars vont au combat alors que le gardien de la MECQUE sable le champagne à la maison blanche ?
Un joli clin d’œil. Mardi 18 novembre, Donald Trump a organisé un dîner d’État aux chandelles à la Maison-Blanche à l’occasion de la venue du prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, aux États-Unis. Une soirée au cours de laquelle Melania Trump est apparue dans une magnifique robe bustier d’un vert très proche de celui du drapeau du royaume moyen-oriental. Une création scintillante très flatteuse signée Elie Saab et vendue 3 500 euros sur le site du créateur libanais.
Le visage de la Première Dame est néanmoins resté fermé tout au long de la soirée, qui réunissait sur trois tables des personnalités aussi diverses que Donald Trump Jr. et sa compagne Bettina Anderson, Tiffany Trump et son époux Michael Boulos, Elon Musk (qui effectuait là son véritable retour à la Maison-Blanche), Tim Cook, le patron d’Apple, ou encore la star du football portugais Cristiano Ronaldo, qui évolue actuellement dans le championnat saoudien, ainsi que Gianni Infantino, le président de la FIFA, devenu très copain avec Donald Trump.
« J’aurais souhaité que nous ayons environ 2 000 places de plus », a affirmé Trump en portant un toast, promettant d’accueillir les Saoudiens pour un deuxième dîner une fois que sa salle de bal serait terminée « dans environ deux ans ».
Des bonnes tables où on déguste le must ? Allez les musulmans d’Europe à vos portefeuilles pour payer 14900 €, le pélèrinage. Au moins, vous saurez où va votre argent après un petit tour de manège.
Quand les poules auront des dents, ils auront compris.