Les éléments de la brigade territoriale de la Gendarmerie nationale d’Ouled Mendil, section de Douera (Alger), ont mis fin aux agissements d’une bande criminelle impliquée dans la fraude alimentaire avec falsification de la date de péremption des produits alimentaires, a indiqué, dimanche, un communiqué des mêmes services.
«Dans le cadre de la lutte contre la criminalité, sous toutes ses formes et de la préservation de la santé publique, la brigade territoriale de la GN d’Ouled Mendil, section de Douera, a mis fin à l’activité d’une bande criminelle impliquée dans la fraude alimentaire et qui modifiait la date de péremption des produits alimentaire destinées à la consommation humaine», précise le communiqué.
Agissant sur la base d’informations parvenues à la section de Douera, concernant «un entrepôt de stockage de lait en poudre subventionné, périmé et utilisé dans la confection des fromages», les services de la direction du commerce et le bureau d’hygiène de la commune, «en coordination avec le procureur de la République, ont constaté après déplacement sur les lieux que l’atelier ne disposait d’aucun document administratif l’autorisant à exercer cette activité commerciale», selon le communiqué.
L’opération s’est soldée par «la saisie de 400 sachets de lait en poudre impropre à la consommation et de fromages périmés, 660 kg de matière première périmée, 3.792 kg de fromage prêt à la consommation, 25 cartons contenant des couvercles en plastique pour emballage, 175 sachets de poudre de sodium, d’étiquettes falsifiées d’un produit d’une société privée».
«Un dossier judiciaire a été établi à l’encontre des mis en cause qui seront présentés devant les juridictions compétentes, pour délit de spéculation illicite sur un produit de base, délit de stockage de matières premières sans autorisation, exploitation d’une chambre froide non déclarée, délit de falsification d’un produit, délit d’utilisation de produits alimentaires périmés, et délit d’exercice d’une activité commerciale sans registre de commerce», conclut le communiqué.
R. N.




Toujours cette maladie incurable à vouloir devenir plus riche que crésus par n’importe quelle moyen.
Si la justice avait décrétée une peine de mort pour tous les trafiquants qui veulent empoisonner et même tuer des gens on arriverais pas a ça. La justice en Algérie et très laxiste c’est pour cela que ces voyous font ce qu’ils veulent, ces saboteurs qui font tout afin que le pays reste bloqué sur lui n’ont rien a perdre, c’est des assassins qui ne mérite pas la vie ils veulent supprimer des vies avec la drogue avec leurs trafics de tout genre alors pourquoi les garder en vie eux même, la mort pour celui qui veut donner la mort aux autres.
Voila une bonne occasion pour foutre sa vie en l’air.
Ces crétins ne reculent devant rien.
Direction la prison pour un bon nombre d’années.
Leurs filer la perpétuité sans jamais de remise de peine . Ce genre de cas est malheureusement incurable .
Quelle honte ! à dépouiller un mort de ses bijoux fussent ils en toc.
Je parie un verre de sélecto qu’ils ont été prévenus par des connaissances de ne pas se lancer dans ce genre d’activité illégale mais quand on est cons et cupides à la fois , les arrestations ne tardent jamais.
pourtant l état offre tout les moyens pour gagner honnêtement de l argent et même de devenir riche avec le temps et les bonnes idées,,, mais non , c est tout de suite et maintenant
la voie de la facilité comme dans une époque révolue
sans compter sur un service de sécurité compétant qui mérite respect et encouragement
des criminels vouloir devenir riche au detriment de la sante du consomateur pas de cadeau
Malheureusement, l’avidité règne. Cette engeance de corrupteurs prolifère dans le pays, et certains voudraient leur abandonner la destinée nationale, comme si la médiocrité mêlée au vice pouvait fonder une République digne. À quoi bon feindre l’indignation, lorsque l’argent sale devient passeport, ascension sociale et immunité morale ?
Depuis Gaza, la fable occidentale des « droits de l’homme » et de la « démocratie universelle » s’est définitivement fissurée. Cette doctrine n’a jamais été un idéal offert au monde, mais une matraque diplomatique destinée à soumettre les États récalcitrants. Derrière le vernis moral, un instrument de pression, un levier colonial modernisé.
La scène est révélatrice : un ancien chef de la sécurité de l’entité sioniste, interrogé sur la manière dont son service éliminait ses cibles, répondit avec un cynisme glacé : « Ces gens-là sont facilement corruptibles. Un simple bakchich, et le réceptionniste d’un hôtel vous donnera tout. » Voilà la clé : l’assassin n’a même plus besoin de forcer les portes, il achète ceux qui les gardent. Autrement dit, l’ennemi n’a de prise que là où la dignité a un prix.
Quand la corruption ouvre les serrures, un État cesse d’être souverain. Il devient un marché. Et un peuple privé de loyauté collective ne défend plus sa terre : il la vend, par petits morceaux, au plus offrant.