Par Abdelkader S. – L’arrestation arbitraire du journaliste algérien Mehdi Ghezzar, survenue à Paris à quelques jours de la visite annoncée du ministre de l’Intérieur Laurent Nunez, dépasse largement le cadre d’un incident isolé. Ce qui se joue, en coulisses, relève d’une lutte d’influence brutale au cœur de l’appareil d’Etat français vacillant, où le dossier algérien est devenu le champ de bataille privilégié de factions administratives rivales.
Le timing parle de lui-même. Alors que Laurent Nunez tentait de renouer le dialogue avec Alger, cette interpellation hautement sensible est une manœuvre destinée à lui couper les jambes avant même sa prise d’initiative diplomatique. Dans les couloirs de Beauvau, la question circule sans détour : le ministre est-il réellement aux commandes ?
L’ombre de son prédécesseur Bruno Retailleau plane encore sur les services régaliens. Certains cadres influents, restés en poste malgré l’alternance ministérielle, continuent, en effet, de peser sur les orientations opérationnelles. Cette inertie bureaucratique est un court-circuitage assumé, révélateur d’une administration fragmentée où des réseaux concurrents tirent dans des directions opposées.
A cette lutte interne s’ajoute un autre élément, plus explosif encore : l’influence idéologique croissante du Rassemblement national dans les rouages de l’Etat. Sans qu’on puisse affirmer qu’il «commande», force est de constater que ses thématiques – hostilité affichée envers l’Algérie, vision sécuritaire maximaliste, suspicion systématique envers les ressortissants algériens – ont infusé certains services, au point de produire des décisions cohérentes avec sa ligne. L’arrestation de Mehdi Ghezzar, dans ce contexte, est un signal politique, volontairement envoyé au moment le plus inflammable.
Ce nouvel épisode n’est qu’une confirmation supplémentaire des mises en garde de l’ancien ambassadeur d’Algérie à Paris, Mohamed-Antar Daoud, qui évoquait l’existence de «cercles puissants» au sein de l’Etat français travaillant activement à saboter tout rapprochement entre les deux pays. Et depuis quelques mois, chaque tentative de normalisation se heurte effectivement à un contre-feu immédiat, renforçant la conviction que Paris n’a plus la maîtrise de sa propre ligne.
L’effet sur la relation bilatérale est dévastateur. L’Elysée et Matignon peuvent bien multiplier les assurances de bonne volonté, à Alger, l’idée s’impose que les dirigeants français ne contrôlent plus l’ensemble de leur appareil, incapable d’empêcher des initiatives hostiles. La France apparaît, dès lors, comme un Etat fracturé, où des factions administratives et idéologiques imposent leurs agendas au détriment de la politique officielle.
Dans cette configuration explosive, l’affaire Ghezzar ne se résume pas à l’arrestation controversée d’un journaliste, mais dévoile une crise de gouvernance interne, dont les répercussions dépassent largement la scène parisienne. Tant que ces tensions ne seront pas clarifiées, toute tentative de rapprochement algéro-français restera fragile, exposée aux coups de boutoir d’un appareil d’Etat qui, sur ce dossier, joue contre lui-même.
A. S.



‘Dans cette configuration explosive, l’affaire Ghezzar ne se résume pas à l’arrestation controversée d’un journaliste, mais dévoile une crise de gouvernance interne, dont les répercussions dépassent largement la scène parisienne. » conclut A. S..
En effet, entre autres répercussions, nous devons envisager l’arrivée d’une droite « dure » à l’Elysée et le pouvoir algérien a l’obligation de se préparer à interagir avec une droite extrême, pour ne pas dire une extrême droite, dans moins de deux ans.
Wa el fahem yefhem.
Joseph RETAILLEAU…Pardon, Bruno GOEBBELS…Enfin je veux dire le « Fou du Puy »? écuyer de Philippe MARTEL…Heu, je voulais dire que le palefrenier du Croisé » Charles DE VILLIERS. a encore donné du…sabot ! Pour « saboter » l’initiative de « réchauffement » portée par son successeur à la Place Bauvau…La meute algérophobe rabique est lâchée, de WC New’s à BFMerde TV, du Sénat à l’Assemblée, à cor et à cris, sus à l’Algérie…Taïaut ! Taïaut ! Crie RETAILLEAU à ses… fayots !
Qui est ce Journaliste ?
Est il a accrédité ?
Pour quel organe de presse?
Est il bi national ?
Quand comment s est effectué son arrestation ?
Ou est il détenu ?
Pour quel chefs d d’accusation ?
Merci de nous fournir ses renseignements
bruno retailleau s’y voyait à la présidence de la ripoublique française quand il était à l’intérieur. Maintenant qu’il est à l’extérieur, il ne lui reste plus que la présidence des ripoublicains.
Ce « bougre » catholique pratiquant, fils d’un négociant en grains, ne se fait plus d’illusion. Il ne nourrit pas le débat politique mais le pourrit. Il continue donc à nuire. Lui le faux dévot. Cet hypocrite. Un cafard.
« Jus est ars boni et aequi » De Domitius Ulpianus.
Entre ce qu ils declarent et ce qu ils font, il y a un monde.
Toutes les droites et meme plus s entendent bien concernant leur hostilite envers les Algeriens
On peut dire que toute l administration francaise est seit de drohte dure ou lepeniste.
Nos politiques doivent en tenir compte et ne plus croire aux belles paroles.
Il faut tourner la page de la France pour l avenir et s absurder des alliances avec d autres pays respectieux.
Le contentieux du passe colonial francais doit etre a l ordne du jour pour toute l Afrique, particulierement pour nous.
Il ne faut pas cesser de leur rappelte leurs crimes, en leur demandant des comptes.
Il faut virer Total de l’Algérie.
La France n’étant pas le centre de l’univers, ce ne sont pas les partenariats win win et dans le respect mutuel avec les pays qui manquent en Algérie.
Le carburant qu on met dans nos voitures en Algérie dépend des additifs qu on ramène de France et d ailleurs
Meme notre pétrole brut on n arrive pas le rentabilisé
Au moins les choses sont claire cela confirme ce que nous savions déjà.
L Algérie doit continuer sont bras de fer il y a que ça qui marche avec la france, je fait entièrement confiance a notre gouvernement pour gérer cette situation d une main de maître. Le faite de les ignorés de nouer de nouveaux partenarias europeen solide cela les enrages en même temps il se tire une balle dans le pied .
Pression maximum sur la narco monarchie LGBT sioniste.
C’est leur talon d’Achille.
Moindre kilo de drogue intercepté et renvoi d’un marocain auprès de son roi.
Moindre article insultant, moindre dénigrement et on renvoie un marocain, une famille marocaine,…
Un seul, un seul et unique mot d’ordre, manifestation d’une implacable solidarité algero-algerienne avec son gouvernement et son glaive, l’ANP. Faire attention aux takfiristes qui peuplent nos mosquées et surveillance des parts religieux, des immigrés arabes en Algérie, porteurs des tares du Moyen-Orient. Ne pas baisser la garde, interdire le frerisme mortifère. Bon courage, l’avenir ne sera que plus radieux pour la fierté d’être algérien.