La réhabilitation du directeur de la PAF prélude-t-elle le départ de Lahbiri ?

PAF directeur
Mustapha Lahbiri en compagnie du ministre de l'Intérieur, Nourredine Bedoui. New Press

Par Karim B. – Equation difficile à résoudre pour le directeur général de la Sûreté nationale fraîchement installé en remplacement d’Abdelghani Hamel. Le ministre de l’Intérieur, son supérieur hiérarchique, a réhabilité un officier deux jours à peine après que le couperet de la sanction est tombé alors que lui-même venait de prendre ses fonctions suite au limogeage de son prédécesseur.

Mustapha Lahbiri a été mis dans une position intenable après ce désaveu. Comment pourra-t-il continuer d’assumer sa fonction si un de ses subordonnés pourrait prétendre à une protection «politique» dans un corps de sécurité ? Mustapha Lahbiri s’est-il précipité en limogeant le responsable de la sécurité au niveau de l’aéroport international d’Alger pour n’avoir pas interdit au général-major Saïd Bey de quitter le territoire national ou en avait-il reçu l’instruction ?

Ce cafouillage paraît, en tout cas, jouer en défaveur de l’ancien patron de la Protection civile appelé à la rescousse par le président Bouteflika pour chapeauter la Police nationale en dépit de son âge avancé. Sa nomination est-elle provisoire ? Tout porte à le croire. Mais trop de changements dans cette phase délicate qui précède une échéance électorale fatidique et des protestations de plus en plus bruyantes pourraient s’avérer contreproductifs.

La purge opérée dans l’armée, la gendarmerie et la police  avait été perçue par l’opinion comme une volonté du chef de l’Etat d’injecter du sang neuf dans ces institutions, mais le doute commence à s’installer quant aux raisons réelles qui ont poussé le président Bouteflika à donner un coup dans la fourmilière, le premier de cette envergure depuis la déroutante mise à la retraite soudaine de «l’omnipotent» général de corps d’armée Mohamed Mediene, dit Toufik.

La décision du ministre de l’Intérieur de «disculper» le responsable de la PAF congédié par son chef est éminemment politique. Noureddine Bedoui n’a pas pu agir de la sorte si des ordres ne lui avaient pas été donnés en haut lieu pour «dédouaner» le commissaire sanctionné au lieu de laisser le directeur de la DGSN s’en charger lui-même au risque de se déjuger, d’autant qu’il est rare que nos responsables avouent leurs erreurs.

Le passage de Mustapha Lahbiri par la DGSN tire-t-il déjà à sa fin ? Nous le saurons dans les jours et les semaines à venir.

K. B.  

Comment (41)

    Anonyme
    22 septembre 2018 - 12 h 39 min

    Il me semble que Lahbiri (qui apparemment fait du bon travail malgré son âge)est devenu gênant pour le clan des malfaiteurs qui ferme l’oeil sur les quantités impressionnantes de drogue qui rentre du Maroc et qui entre autres empêche l’investissement producteur de richesses et d’emplois en Algérie.En tous les cas,il y a de l’eau dans le gaz et personne ne sait où tout ça va finir.

    Anonyme
    22 septembre 2018 - 8 h 56 min

    Toutes les forces de l Algérie sont mobilisés pour protéger une famille mille fois périmée ils oublient qu ils ont 40 millions en face

    Felfel Har
    21 septembre 2018 - 12 h 58 min

    Bedoui va vite en besogne et il n’hésite pas à montrer des signes d’allégeance aux tenants du pouvoir actuel. En réhabilitant le DG de la PAF, il ménage ainsi une porte de sortie à tous ceux que le clan compte comme courtisans et privilégiés pour faciliter leur fuite en cas de besoin. En désavouant son chef de la police, il se met directement dans la ligne de mire, car il pourrait faire les frais d’un retournement de situation. Depuis que les rumeurs le donnent comme potentiel remplaçant d’Ouyahia, il multiplie les bourdes, les déclarations à l’emporte pièce et les décisions intempestives. Gardez les pieds sur terre Mr. Bedoui, vous n’êtes pas encore officiellement le PM !

    Vangelis
    21 septembre 2018 - 11 h 35 min

    Même un militaire, à fortiori général major, excusez du peu, utilisant un faux nom pour franchir la frontière algérienne est en soit passible de sanctions. Les militaires se sont-ils pas le premiers à la défendre cette frontière ?

    Qui plus est, ce général major, en utilisant un faux nom et en partant avec sa famille avait dans la tête, premièrement qu’il avait quelque chose à se reprocher pour agir ainsi, et deuxièmement qu’il avait commis un crime et/ou un délit l’ayant mis aux arrêts.

    Bedoui, le ministre de l’intérieur a contrevenu a ses prérogatives en annulant l’ordre de révocation de celui qui vérifiait les départs et les arrivées de et vers l’Algérie. La PAF vérifie en entrée en en sortie tous les passagers en utilisant même le fichier Interpol. La complicité et la complaisance du gardien du temple qu’est l’aéroport d’Alger devait être donc sanctionnées par sa révocation qui par ses manquements impardonnables ont permis à un  » inconnu  » détenteur de faux documents de voyage de quitter le territoire les doigts dans le nez.

    Inimaginable ! Mais où est-on ?

    Joker
    20 septembre 2018 - 21 h 33 min

    Ce n’est pas normale ce retour après limogage du chef de la PAF par le chef de sureté de l’état nouvellement installé ? Ce retour doit être justifié par un retour introduit par l’ancien chef de la PAF.Ce retour doit être rendu public en toute transparence dans une vraie republique.

    Anonyme
    20 septembre 2018 - 21 h 11 min

    Luttes de générations, luttes occultes de clans, interférences des prérogatives, et des responsabilités
    Le tout, dans un climat opaque, fermé, et secret

    HAGROUNA
    20 septembre 2018 - 18 h 15 min

    En Algérie on n’a pas besoin de justice. Quand on a le pouvoir on est nommé à vie « Reb el Mekla ». On réhabilite les « amis corrompus » et on jette au cachot des opposants intègres. Que l’Italie rende justice aux algériens pour démasquer les corrompus de tous poils.

    Meca meca
    20 septembre 2018 - 16 h 25 min

    Il faut limoger bedoui et mettre a sa place lehbiri.

    Anonyme
    20 septembre 2018 - 15 h 18 min

    Oui c’est Bedoui qui doit partir, pas le Colonel Lahbiri homme de poigne et ancien officier de la prestigieuse ALN.
    Sous Bedoui l’informel quasiment éradiqué par son prédécesseur est revenu en force, ainsi que les parkingueurs qui font la loi sur tout le territoire national.

    Pffff
    20 septembre 2018 - 14 h 41 min

    J’interprète toujours l’info à l’opposé de ce en quoi ont voudrait m’orienter d’autant plus venant d’analyses partiale de journalistes peux scrupuleux.
    C’est à dire dans la désinformations à but de manipulations des masses populaires.

    Bien sûr - bien sûr
    20 septembre 2018 - 14 h 38 min

    J’interprète toujours l’info à l’opposé de ce en quoi ont voudrait m’orienter par venant des analyses partiale de journalistes peux scrupuleux.
    C’est à dire dans la d’insonorisation à but de manipulations des masses populaires.

    Anonyme
    20 septembre 2018 - 14 h 11 min

    Bedoui doit partir. On ne peut plus voir cette incompétence ambulante.
    Bedoui est le prototype de la médiocrité

    Mohamed
    20 septembre 2018 - 14 h 01 min

    Salam aleikoum,

    Si c’était moi, j’aurai démissionné, on ne me donne pas une mission à faire ensuite, on remet en cause mes décisions, car surement M. Lahbiri a été briefé avant de prendre ce poste, et de quoi ils espèraient de lui, qu’elles sont ses prérogatives et les limites à ne pas franchir.
    En tout les cas, ce que j’avais fait dans mon parcours professionnel, ce n’était pas une fuite en avant ou par lâcheté, mais juste par principe, et question de confiance, soit on a confiance en mes compétences, et le résultat sera à la fin de l’année, le seul juge avec une sentence indélébile, concernant la voie que j’ai tracé et emprunté, soit récompensé, soit remercié, mais de là juste en essayant de prendre de la vitesse, pour prendre de l’altitude, et vlan, on coupe les ailes et tout le monde sait, qu’aérodynamiquement, c’est impossible de prendre de l’envol.

      mouatène
      20 septembre 2018 - 15 h 39 min

      cher monsieur bonjour.  » si j’étais moi je démissionnerais  » mais mon cher monsieur, vous n’etes pas lui ! et il vous a échappé qu’un « roitelet » ça ferme son clapier ou ça s’éjécte ? ça ne démissionne pas !!! à chacun sa culture.

    Kahina-DZ
    20 septembre 2018 - 13 h 53 min

    S’il ya quelqu’un à limoger, c’est bien Bedoui le bras cassé.
    Il est temps de mettre fin à l’anarchie intérieure de Bedoui…À part si on veut le laisser pour prendre soin des URNES en 2019.
    En plus, de quoi il se mêle… est il le énième président parallèle de la république.

    Il faut laissez Lahbiri continuer son travail. À chaque fois que quelqu’un s’attaque aux …il se fait virer. Ça devient un mystère.
    Est-ce-qu’on veut que les choses s’améliorent en Algérie ou NON ??

    Felfel Har
    20 septembre 2018 - 13 h 46 min

    Et voilà qu’on remet au goût du jour la soupe insipide que le pauvre Tebboune a dégustée, à ses dépens. Il est évident qu’une faction du pouvoir s’amuse à déshabiller Saint Paul pour habiller Saint Pierre. Les choses vont-elles en rester là? J’en doute! J’imagine que le camp adverse prépare déjà une riposte aussi cinglante. Bedoui subira-t-il le même sort que Tebboune? Wait and see!

    DYHIA-DZ
    20 septembre 2018 - 13 h 44 min

    À mon avis, si il ya quelqu’un qui doit partir c’est bien Bedoui.
    Son bilan est déjà catastrophique et, là il a dépassé ses prérogatives.

    Anonimi
    20 septembre 2018 - 13 h 24 min

    Non L’hbiri ne risque rien. Il fait partie des plus forts du moment, c’est à dire le haut commandement militaire. C’est plutôt Bédoui qui va être désavoué par Fakhmatouhou et son cercle restreint pour ne pas contredire Gaid Salah. L’hbiri va poursuivre sa purge en toute confiance. Personne ne le dérangera. GT

    Karim
    20 septembre 2018 - 13 h 13 min

    Le DGSN doit absolument démissionner.
    Soit il a eu raison de limoger le patron de la PAF et donc la réhabilitation de ce dernier est une décision en coup bas contre Lahbiri,
    Soit il a eu tort de limoger le patron de la PAF et donc Lahbiri a commis une grave erreur.
    Une chose est sûr, c’est la déliquescence dans toute sa splendeur et jamais égalé à tous les niveaux de l’état.
    Mon Dieu, qu’ont-ils fait de ce pays?

      Zaatar
      20 septembre 2018 - 13 h 36 min

      C’est le pouvoir qui décide de qui doit démissionner, de qui doit être limogé, de qui doit rester, de qui doit être emprisonné et de qui doit être jugé. Tout le reste n’est là qu’en objet décoratif. Errachem H’mida et Ellaab h’mida prend tout son sens ici.

    Anonyme
    20 septembre 2018 - 11 h 53 min

    Ce ministre de l’intérieur ne semble pas avoir l’envergure pour le poste qu’il occupe, ça s’entend dans ses rares interventions aussi bien en arabe qu’en langue étrangère (français).

      Zaatar
      20 septembre 2018 - 13 h 49 min

      C’est le pouvoir qui l’a mis à ce poste car il l’a jugé bon pour ce poste. Lorsqu’il ne répondra plus aux exigences du pouvoir dans ce poste le pouvoir jugera alors qu’il n’est pas fait pour ce poste et le remplacera par un autre.

      Anonyme
      20 septembre 2018 - 18 h 50 min

      En effet il suffit de l’entendre quand il se met à parler pour s’en rendre compte.

    Aile brisée
    20 septembre 2018 - 11 h 18 min

    je n’aime pas ce Bedoui qui se prend pour ce qu’il n’est pas
    A limoger au plus vite puisque ça limoge de partout
    A quand le limogeage de tout ce beau monde qui a pris tout le pays en otage

    Aile brisée
    20 septembre 2018 - 11 h 10 min

    Ce Bedoui se prend pour le premier ministre
    Qu’attends ce Ouyahia pour recadrer ce type et le remettre à sa place luii qui se croit déjà premier ministre

    La Viriti
    20 septembre 2018 - 11 h 04 min

    Celui qui donnera l’origine des personnes récemment promues et celles ejectées aura résolu les 3/4 de hypothèses actuelles. Allez chiche une liste…Cela changera des discours creux ou à coté de la plaque qu’on lit trop souvent…

      Gatt M'digouti
      20 septembre 2018 - 12 h 02 min

      Au risque de vous déplaire, ces personnes étaient,sont et seront Algériennes avec leurs qualités et leurs défauts !
      Ou voulez vous en venir ?

      Karim
      20 septembre 2018 - 13 h 33 min

      Tu as raison,
      le Président est de l’Ouest
      le chef de gouvernement est de l’Ouest depuis plus de 10 ans
      le chef de l’armée est de l’Ouest depuis toujours,
      le patron des services est de l’Ouest depuis, je ne sais même plus quand,
      l’économie est tenue par les gens de l’Ouest,
      le patron de FAF est de l’extrême Ouest,
      C’est même pas du pois chiche, c’est du petit pois!

        La Viriti
        20 septembre 2018 - 14 h 38 min

        Cher Karim,

        Malgré ta tentative de noyer le poisson tu n’est pas loin de la vérité..Les algériens le savent. Je parle de ceux qui n’ont aucune attache ou origine marocaine…Ce qui, tu en conviendras, est devenu presque la norme dans bien des rouages de l’état et de bien des dairates de l’ouest…Est ce que les choses changent dans le bon sens ? Est ce que les fils authentiques de l Algerie ont décidé de reprendre les destinées du pays ?
        Pour ma part le départ de Hamel est une bénédiction pour l Algerie, mais ce n’est pas le seul…Je te laisse noyer encore plus le poisson…

          Karim
          20 septembre 2018 - 15 h 02 min

          Il y a 30 ans les gens de la viriti se plaignaient des chaouis, aujourd’hui ils se plaignent de l’Ouest, demain de la Kabylie puis des Bonois.
          La viriti se révélera un jour quand on cessera de se voiler la face.
          C’est sale chez toi aussi, parcours ton pays.

          La Viriti
          20 septembre 2018 - 21 h 38 min

          Sauf que les kabyles et les chaouis n’ont ni origine ni famille au Maroc…Ils n’ont qu’un pays l’Algérie.
          En outre on peut pas dure que les Aures ont reçu des milliards d’investissement pour leur développement. ..Le contraire pour les marocains aux papiers algeriens qui ont exporter des milliards de nos richesses au Maroc depuis qu’ils sont sortis de leur trou en bombant le torse en 1999…Hamel à fait plus de dégâts que 30 ans de présence de nos frères de l est…Lui sa famille et sa fratrie…Le Maroc a ses hommes de main dans beaucoup d’institutions algériennes…Vivement la demarocanisation

    BabElOuedAchouhadas
    20 septembre 2018 - 10 h 54 min

    Ce Lahbiri doit rentrer chez lui se reposer et s’occuper de ses arrières petits enfants tout en se rappelant que 70% de la population algérienne à moins de 30 ans, Wal Fahem Yef’ham.

    Anonyme
    20 septembre 2018 - 10 h 45 min

    peut être qu il y a eu des décisions prisent hâtivement par manque d informations ou/et de coordinations entre différent services peut être qu il y a qui font du zèle de craintes de se faire limogé parce qu’il se sentent visés pour des motifs dont ils sont en cause ,,,c est peut être aussi la tolérance zéro qui est en pleine application qui sème la panique parmi les truands ,,,,,,va va² savoir

    Anonyme
    20 septembre 2018 - 10 h 02 min

    Collisions, interférences, influences, luttes de clans pour le pouvoir, au sommet de l’état
    Donnant l’image d’un navire ivre, sans commandant de bord, à navigation à vue
    Contre mesures, et contradictions

    Lghoul
    20 septembre 2018 - 9 h 59 min

    Que changent toutes ces permutations et ces limogeages en série pour le petit peuple ? Rien.
    L’inflation ne cesse de galoper, le dinar ne cesse de dégringoler et l’ouvrier payera encore plus sa facture.
    Avec une éducation sabotée, qui trouvera du travail pour améliorer sa condition avec des diplômes bidon quand tout est arabisé ? Le manque d’hygiene partout et le non respect des normes internationales des produits chimiques/pésticides utilisés dans l’agriculture et les produits de consommation (limonades, sucreries), les maladies et les malaises de santé augmenteront. Ce qui mettra plus de pression sur le citoyen pour acheter des médicaments, donc dépenser plus. Pour les usines et les institutions il y aura beaucoup plus d’absenteisme dans plus de pertes.
    En conclusion, le bien être et le standing de vie du citoyen va suivra une équation linéaire a la pente négative qui évoluera en fonction de la durée de ces charlatans. Plus ils durent, plus la mal-vie s’accentuera car il est clair que ce n’est pas le bien être du peuple qui les interesse. Ils sont plus interessés par la construction de mosquées (comme si on était un nouveau pays musulman sans aucune mosquée) , le blocage de ceux qui veulent travailler et créer des emplois et le limogeage de X ou de Y. Mais expliquer comment 200 millards de dollars sont devenus 80 en 3 ans ou pourquoi khelil et compagnie ne sont même inquiétés par la justice après avoir volé l’argent du peuple est top secret. Donc avec les mêmes personnes, rien ne changera et on aura toujours les MEMES problèmes car depuis 1962 on a le méme systéme qui ne delivrera que les mémes problèmes tous basés sur la corruption et l’arrogance des mêmes personnes. Sinon pourquoi voit on au quotidien des ould abbas et co ? La colonisation militaire de l’Algérie est remplacée par la colonisation socio-économique planifiée par de nouveaux colons,

    Abou Stroff
    20 septembre 2018 - 9 h 37 min

    il est tout à fait « clair » que la décision de limoger le directeur de la paf ne pouvait, en aucun cas, être prise sans une directive de notre bienaimé fakhamatouhou national. il est tout aussi « clair » que la réhabilitation du même directeur, deux jours plus tard, ne pouvait être prise sans une directive de notre bienaimé fakhamatouhou national.
    conclusion imparable: notre bienaimé fakhamatouhou national n’a plus tous ses esprits.

    selim
    20 septembre 2018 - 9 h 35 min

    vous avez vu en allemagne, le scandale du projet couteux des drones
    l opposition demande la demission du ministre de l a defenser merkel refuse
    ca veut dire que lorsqu un politicien est au pouvoir il fait ce qu il veut comme chez nous
    et quand il y aura un nouveau president y aura aussi des departs des nouveaux

    ZORO
    20 septembre 2018 - 9 h 03 min

    A quatre vingt l Alzheimer nous guette , Bedoui rappelle au DG, qui il est!!!!

    hibeche
    20 septembre 2018 - 8 h 57 min

    Ceci prouve encore une fois la clochardisation du sommet de l’état algérien. Rien ne fonctionne comme dans un état bien constitué. Les nominations ne se font pas dans l’intérêt national, mais dans celui du clan dominant du moment.

    salah
    20 septembre 2018 - 8 h 14 min

    Il devrais etre lui aussi mis a la retraitre …
    Maintenant arreton de parler d’un président qui ne décide de rien ne dirige rien c’est l’anarchi un point c’est tout……

    Zaatar
    20 septembre 2018 - 7 h 48 min

    Avec tous ces ballets de va et vient, et ces événements à n’y rien comprendre notamment dans ces changements au postes militaires et de sécurité, cela veut tout simplement dire qu’au sommet on fait dans l’improvisation, ou qu’on est dans une situation de panique ou tout simplement encore dans un état larvesque…

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