Présidentielle : le général Ali Ghediri et les garanties qui manquent

Ghediri Ali
Le général à la retraite Ali Ghediri. PPAgency

Par Omar Mazri – Comment caractériser les élections dans une ambiance rose en surface et apocalyptique en profondeur au regard du chaos institutionnel, de la diversion politicienne, de l’exclusion, du retrait des poids lourds politiques, du discrédit incontestable des autorités, des crispations sociales avec des révoltes larvées, climat de fin de règne, contexte international chargé de menaces et d’imprévus politiques et géostratégiques ? Nous revenons à la case de décembre 1991 : absence de garanties avec cette fois-ci absence du chef de l’Etat qui peut donner sa caution dans le sens d’une répression ou dans le sens de l’apaisement et du dialogue. En plus de la vacance au sommet de l’Etat, il y a un effritement des partis politiques qui ne peuvent se prévaloir du rôle d’interlocuteurs valides ou de relais au pouvoir.

Les grandes puissances étrangères par leur silence médiatique semblent montrer un désintérêt manifeste pour l’Algérie la considérant ingérable pour faire d’une manière crédible et durable valoir leurs positions stratégiques, sinon elles sont en attente de l’aboutissement du scénario de désintégration bien entamé qui arrange bien leurs affaires et, au moment opportun, ils viendront imposer une solution ou partitionner la géographie et le pouvoir politique pour continuer ce qu’ils n’ont pas réussi à faire en Syrie. Notre chaos n’est ni inédit, ni isolé, ni fortuit : il accompagne le désordre mondial qui annonce la fin de la modernité et l’émergence de la post modernité. Nos principaux partenaires, la France et les Etats-Unis sont en décomposition, ils ne peuvent apporter ni secours ni feuille de route sauf le désordre, la voracité et l’incompétence.

One two tree viva l’Algérie ou Chaâb et Djeïch tahya al-Djazaïr ne seront plus un rempart contre l’efficacité de la subversion extérieure et la prédation des rentiers intérieurs qui sont appelés objectivent à converger puis à se coordonner. «On peut tuer le général d’une armée mais non l’ambition dans le cœur des hommes», enseignait Confucius. Où est notre ambition, où sont nos hommes ? La loi de l’existence des peuples et des nations est implacable et immuable : effondrement et disparition ou salut et renaissance. Oui, le pire comme le meilleur sont des possibilités selon les conditions psycho-morales et les conditions matérielles du lieu et du moment. On ne peut pas dire que nos conditions sont bonnes ou en voie d’amélioration, à moins de se mentir ou de croire aux fables.

Ni le bouc-émissaire jeté en pâture aux crédules ne nous donnera l’illusion de catharsis ni d’ailleurs l’homme messianique ou al-mahdi al-mountadhar ne donnera l’illusion salutaire. Nous sommes une virtualité de désintégration, une entropie en puissance, une réalité morbide à qui manque le temps de réalisation pour qu’elle soit un réel actuel, une réalité tangible dans les faits sociaux, politiques, économiques et géostratégiques. Ce temps ou, plus exactement, le délai et le terme échappent à notre entendement humain, mais son processus est suffisamment avancé et ancré pour que les plus lucides le ressentent dans leur chair et le vivent déjà comme un cauchemar avec les yeux ouverts.

Le Coran nous enseigne que la défaite et les catastrophes ne sont pas un destin, mais l’œuvre des Hommes mal pensant ou mal agissant. La catastrophe peut être évitée si les Algériens, tous sans exception, refusent l’écœurement actuel et acceptent le changement même s’il est difficile et confus. Ce qui se trame dépasse Bouteflika, l’armée algérienne et les élites civiles. Nous sommes sur le plan socio-politique dans ce qu’Antonio Gramsci a décrit comme un interrègne, cette phase historique «où l’ancien meurt et où le nouveau ne peut pas naître. Une grande variété de symptômes morbides sont observés». Dans de telles périodes, pour les tenants de la rente, le nouveau est non seulement insensé et dangereux mais impensable. Pour les partisans du changement, il est difficile de montrer la voie et de faire des promesses à un peuple nourri à la gamelle de la rente et à la fascination du zaïm. Nous sommes dans la phase de l’effondrement de la morale la plus basique.

Jamais nous n’aurions imaginé, dans une situation «normale» que les seconds couteaux humilient, intimident et menacent publiquement et médiatiquement avec une ardeur de démons et avec l’assurance d’impunité des hommes de grand talent et de grande probité comme Mouloud Hamrouche et le général Ali Ghediri. Ceux qui croient encore que l’ANP est détentrice du pouvoir réel, qu’ils s’interrogent comment un homme instruit, de bonne éducation, discipliné, laborieux ayant servi quarante ans, puisse être traité de cette manière sans que ses pairs ne réagissent ! Combien d’officiers et de civils ont été contraints à l’exil ou à la réclusion à domicile ? J’ai toujours pensé qu’on a fait payer à l’ANP le prix de la bravoure impardonnable de l’ALN. Le FLN a payé le prix. Le peuple a payé aussi le prix et ils vont continuer à payer le prix jusqu’à être discrédités pour effacer la mémoire de la résistance populaire et du sacrifice des martyrs. Ceux qui affichent leurs insultes ne sont pas le pouvoir réel ; ils sont l’ombre de l’ombre de la revanche.

Que le président Bouteflika soit candidat, que l’armée ait son candidat, que tel parti ait son candidat, il n’y a pas de problème, nul ne doit être exclu tant qu’il est transparent et qu’il cherche la légitimité par les urnes, même si les urnes ne sont pas garants de la légitimité et ne peuvent donner la véritable légitimité lorsque les conditions et les garanties de l’expression sont noyés par la confusion, la suspicion, la haine et la panique pour certains.

Les conditions actuelles de programmation des élections hâtives et presque clandestines ne vont-elles pas cristalliser les frustrations, les méfiances et les défiances et les transformer en rancunes, en contestation et en confrontation avec tous les débordements possibles et toutes les déflagrations possibles ? La responsabilité morale, civile et politique est que sur le plan politique, social et sécuritaire, l’élection ne soit pas l’exacerbation des contradictions, affichées ou occultées, mais l’instauration de la confiance pour préparer la fondation d’un nouveau pacte républicain. Entretenir l’illusion d’un nouveau 1er Novembre est une faute politique car la génération montante ne connaît du 1er Novembre 54 que le récit scolaire tronqué et le triomphalisme chauvin. L’ancienne génération ne connaît le 1er Novembre qu’à travers son prisme idéologique. Pour les uns, c’est l’Etat-nation à la lumière du jacobinisme français, pour d’autres, c’est l’islamisme de Benbadis, pour d’autres encore, c’est le libéralisme américain. Chacun s’approprie une date comme un clocher de paroisse idéologique ou de secte partisane avec ses arrière-pensées.

Nous savons tous que l’impérialisme mène une guerre d’usure contre notre existence comme il mène une prédation sans limite contre nos ressources, nous savons aussi l’ampleur et l’intensité de nos clivages culturels et idéologiques, et ce n’est pas en jetant des anathèmes que nous allons les surmonter. Le seul dépassement est de participer tous pour l’émergence du citoyen et que celui-ci ait non seulement le droit, mais les moyens de participer à la conduite des affaires publiques.

N’est-ce pas que Hamrouche et Ghediri sont dénoncés comme usurpateurs par des «partisans» du 1er Novembre alors qu’ils s’en réclament ? Il y a volonté de brouiller toutes les cartes et toutes les représentations mentales sur l’avenir, le présent et le devenir de l’Algérien. Cette date historique et bénie fut paradoxalement à la fois l’élan libérateur contre le colonialisme et le socle fédérateur de tous les clivages idéologiques pour affronter le colonialisme, en laissant en suspens l’édification nationale, la citoyenneté. L’Algérie était fracturée avant la Révolution de libération nationale par des imaginaires incompatibles. L’incompatibilité est toujours ancrée dans notre imaginaire collectif.

Nous pouvons envisager une nouvelle appropriation sociale, idéologique, culturelle et politique du 1er Novembre si nous prenons le temps de lui donner un nouveau contenu, une nouvelle perspective et, surtout, un nouveau socle rassembleur et résistant. Les mots, plus que jamais, doivent coller à notre réalité actuelle et à nos défis présents : «Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté», disait Confucius. Ce chantier de réappropriation historique et de remise à niveau idéologique n’est pas ouvert, car il n’y a ni débat ni conditions pour débattre. Il n’y a que des passions sur la culture, l’idéologie, le pouvoir et la rente.

La politique consiste à pratiquer l’Etat et à gérer le bien-être de la cité investie par des citoyens, c’est-à-dire des Hommes libres, consentant à vivre ensemble malgré leurs diversités, à exercer leurs devoirs de solidarité et à trouver un dénominateur commun qui transcende les clivages idéologiques. A deux mois avant l’élection – de tous les dangers –, nous n’avons pas de débat autre que des déclarations d’intention qui sont trainées dans la boue lorsqu’elles suggèrent la rupture, une nouvelle République. Je ne pense pas que la rupture avec Bouteflika soit l’essentiel de nos préoccupations. L’homme a accompli son temps et celui-ci sera témoin en sa faveur ou contre lui le Jour de la Justice suprême.

Pour l’instant, nous n’avons pas d’engagement solennel de respecter le résultat des élections. Nous n’avons pas une vision philosophique, mais réaliste et partagée, sur l’Etat. Avec qui faire la rupture et contre qui débattre. Il n’y a rien de consistant, de cohérent, de sensé à part le cynisme et la méchanceté de ceux qui se sont imposés tuteurs des Algériens.

Pour le débat, il est trop tard. Par contre, si on veut aller vers une élection sans grand enjeu civilisationnel ou stratégique, mais honnête et respectable en tant que processus «formel», il nous faut des garanties. Il nous faut admettre que le processus électoral n’est pas la démocratie et que la démocratie n’est pas la liberté. Un jour ou l’autre, nous devons les débattre sereinement non plus sous la perspective de l’Etat-nation hérité de la modernité française ou américaine qui arrive à son échéance historique et à sa décadence sur le plan civilisationnel. Ni dans celle de l’Etat islamique qui n’existe que dans les fantasmes de ceux qui pensent que la «solution islamique» peut faire l’économie d’une culture politique et d’une gouvernance scientifique.

Dans les conditions actuelles de rente, d’arbitraire et d’inculture politique, un tel débat finirait par le ridicule ou par la violence. Pour débattre, on ne vient pas avec l’idée d’éradiquer l’autre, d’imposer des solutions du passé des autres ou d’accaparer un butin de guerre, mais communiquer, partager, tenter de convaincre avec empathie et responsabilité sur la vision qu’on a de l’avenir. Il y a un minimum procédurier à respecter faute de plateforme démocratique : présenter donc plusieurs garanties pour garantir la sécurité, la stabilité et la viabilité du processus qui semble non seulement improvisé, mais confus, voire vicié et vicieux.

L’engagement formel par l’ensemble des corps constitués que l’expérience de 1991 ne sera pas reconduite et qu’il faut accepter et collaborer avec le président élu. Le candidat élu n’est pas autorité de droit divin, mais homme faible qui peut être révoqué par le peuple dans certaines conditions à définir juridiquement lorsqu’il met en péril l’existence de l’Algérie, sa souveraineté et sa cohésion sociale.

L’engagement formel par l’ensemble des candidats d’accepter le résultat des urnes. Si l’abstention dépasse un seuil intolérable, alors le résultat devra être invalidé et les élections refaites dans un délai acceptable.

L’engagement formel par l’ensemble des corps constitués de servir l’Etat dans la forme institutionnelle qu’il a actuellement ou dans celle qu’il aura plus tard et non de servir des hommes, des clans, des rentes.

L’engagement formel par l’ensemble des corps constitués de laisser voter leurs personnels en public.

La mise en place d’une commission électorale indépendante et souveraine.

La liberté de parole, d’écriture et de rassemblement des Algériens libres de débattre, de s’organiser et d’exprimer leur soutien sans crainte pour leur vie et leur sécurité.

L’interdiction de la violence sous toutes ses formes. Toute forme d’éradication politique ou idéologique doit être interdite et punissable par la loi.

Donner le temps aux candidats de former leurs états-majors, de débattre, de lever leur financement dans la transparence. L’Etat devra rembourser les dépenses de campagne au prorata des résultats. Aucune personnalité morale ne doit financer les candidats. Les dons relèvent des personnes physiques et doivent être plafonnés par la loi et sous le contrôle d’un organisme transparent.

Donner le temps aux candidats d’éditer leurs journaux ou de constituer une presse alternative.

Mettre fin aux rentes de publicité des médias actuels et mettre en place un comité indépendant d’éthique et de contrôle de l’information pour que chaque candidat ait le temps de parole équitable sans exclusivité ou exclusive.

Permettre aux Algériens poursuivis pour motifs politiques de rentrer en Algérie et de s’engager activement dans la vie politique.

Trouver un autre mécanisme de validation des candidatures, car l’administration et la rente omniprésentes vont invalider les candidats ou falsifier les parrainages. L’administration et les réseaux de rentes sont suffisamment établis et structurés pour rendre impossible la collecte des 60 000 voix.

Faire endosser aux corps sécuritaires et aux préfets de police la responsabilité du maintien de l’ordre pour éviter les dépassements et les intimidations. Les réseaux de l’argent noir peuvent entrer en contact avec la délinquance de toute nature et engager des épreuves de force contre ce qui reste de l’Etat ou contre les candidats. L’expérience égyptienne des baltaguiya et du non-droit ne doit pas être sous-estimée en termes de violences et de nuisance.

Toutes les garanties doivent être données sous formes de lois, de décrets et d’arrêtés et relever de la justice sous l’autorité d’un haut magistrat dont la nomination doit être transparente et à qui on donne les moyens d’exercice et les protections pour sa sécurité.

Dans un délai court convenu et sous les mêmes garanties, l’élection présidentielle devra être élargie à toutes les représentations populaires en commençant par les échelons locaux. Les nouvelles élections effectuées doivent permettre la révision constitutionnelle qui ne doit pas être une affaire d’experts de droit, dont la charge est de donner une forme juridique, mais une affaire de peuple qui donnera le contenu. Sur ce temps de deux ou trois ans, les assises républicaines et démocratiques pour relancer l’Algérie devraient être réunies, c’est-à-dire un cadre pour donner un contenu, une forme, des mécanismes et des garanties tant pour la définition de la République que de la démocratie.

C’est un travail de titans qui exige la responsabilité, la liberté, la solidarité. Dans ce cadre apaisé, alors, les grandes questions d’identité peuvent être élaborées ainsi que la forme de gouvernance la plus adaptée à notre culture, à notre histoire et à notre vision de l’avenir. C’est ce cadre qui servira l’apaisement, par sa portée pédagogique et par sa dimension démocratique. Nul ne devrait être exclu et c’est le consensus qui doit primer, sinon il faut faire des référendums ou recourir à la justice séparée de l’Exécutif. Le président nommé devrait alors relancer sa propre candidature en compétition avec d’autres pour couronner le recadrage institutionnel et engager les grandes réformes sociales, éducatives, juridiques, économiques, la séparation des pouvoirs, ainsi que la révision des traités internationaux etc.

Chacun devrait sentir que l’Algérie lui appartient et qu’il a la responsabilité de s’engager à la servir ainsi que la légitimité de s’approprier des biens, des statuts et des compétences. Il faut souligner que la véritable légitimité qui résiste au temps et aux crises est celle de la reconnaissance sociale de la compétence. La compétence ne peut s’exprimer et se faire valoir que dans la transparence et la compétition équitable. Le contraire de la rente, c’est le travail et la justice.

Les corps intermédiaires ne doivent pas interférer dans la campagne électorale, leur vocation est de défendre les intérêts sociaux et professionnels des corporations et non de désigner le personnel politique. Plus tard, les Algériens doivent rompre avec toute forme de monopole pour promouvoir le principe de libre adhésion ou de contrat dont les fondements sont la liberté et la justice. La vocation de L’Etat et d’apporter les garanties à la liberté et à la justice ainsi que de réprimer toute atteinte à celles-ci.

Il faut interdire et réprimer toute forme d’ingérence étrangère.

Sur le plan social et économique, la rente et le monopole sont les poumons du système algérien. La vraie politique, c’est de s’engager à mettre fin à la rente, de mettre fin à l’effondrement du dinar et à l’absence de productivité du travail et d’efficacité économique et financière. Pour commencer, il faut déjà arrêter la planche à billets qui sert à financer la rente et octroyer des marchés aux rentiers. Sur ce terrain est-ce que le futur président, en supposant qu’il soit honnête et militant de la cause nationale, est capable de décider de la fiscalité, de la planche à billets, de nommer les cadres supérieurs, de nommer le directeur général de la douane ?

Où sont les garanties de laisser l’élu ou le désigné de finir son mandat ?

Le général Ali Ghediri est un retraité de l’armée, il est libre de disposer de son temps et de disposer de sa vision pour continuer à servir l’Algérie. Il devrait exiger un minimum de garanties sinon un maximum de solidarité de ses pairs devenus civils ou toujours en activité. Le soutien des militaires actifs ou en retraite pose cependant le problème du risque de division de l’armée et des implications négatives de l’armée dans ce qui n’est ni sa vocation ni son rôle. L’idéal serait que l’armée exprime son refus de s’impliquer dans les processus électoraux. Le peuple doit exercer sa souveraineté sans tutelle et dans le cadre du multipartisme. Cela ne veut pas dire que l’ANP n’a aucune mission politique. Sa mission devrait être transparente et constitutionnelle sans être partisane. Construire une doctrine de défense nationale, une économie de résistance nationale civile et militaire, ainsi qu’une stratégie de sécurité nationale est une tâche éminemment politique et exigeant une grande expertise. Le soutien des pairs signifie une protection contre les menées subversives venant de l’intérieur du système. Il ne nous importe pas de savoir ou de distinguer les statuts des hommes, mais leur programme et leur désir.

Je n’aurai pas l’indélicatesse de donner un conseil, mais il devrait aller au-delà de l’intention et ne pas chercher les appuis des puissants ou des riches pour mener campagne, mais partir en campagne comme un militaire qui livre bataille en allant chercher renfort et soutien auprès des Algériens «sans dents» et sans grade. C’est le peuple qui doit décider en premier de son devenir.

«Malheur à ceux qui nous portent secours, nous serons leur tentation», aimait dire Malek Bennabi lorsqu’il méditait la tragédie de l’Algérie. En effet, il aurait fallu plus d’un an de préparation pour apporter le minimum de garanties, sinon nous sommes dans la stratégie du fait accompli, c’est-à-dire du choix entre nous et le chaos. Les diables sont experts en matière de chaos.

O. M.

Auteur, écrivain

Comment (60)

    Mme CH
    9 février 2019 - 0 h 08 min

    Dans un article intitulé: « Le présidentiable algérien Ali Ghediri évoque la réouverture de la frontière avec le Maroc » (7/2/2019) le journal Sputnik news a révélé que « le général-major à la retraite Ali Ghediri a indiqué dans un entretien … qu’elle serait sa politique extérieure envers le Maroc. Il s’est notamment exprimé sur la question des frontières fermées entre les deux pays depuis 1994.

    «L’ouverture des frontières avec le Maroc, ce n’est pas le point le plus important», a-t-il affirmé en soulignant que «l’important c’est d’édifier le grand Maghreb».
    Évoquant le rôle que peuvent jouer l’Algérie et le Maroc dans la dynamique de l’édification de l’Union du Maghreb arabe, le présidentiable a soutenu que «les grands ensembles géopolitiques ne peuvent pas se construire autour du vide. Il faut un noyau dur». «Notre position et nos atouts font de nous un pays qui jouera en cela un rôle essentiel, et on le jouera», a-t-il encore souligné…. »

    Est-ce que M.Ghediri pourrait nous dire comment il compte édifier le grand Maghreb sans ouvrir les frontières…!???? Les choses deviennent de plus en plus claires….même si l’anguille est toujours sous la roche…!!!!

      Karamazov
      9 février 2019 - 10 h 08 min

      Dites plutôt que vous préférez l’hystérie à l’ivresse, pour compenser.

      « Le juif » Karl Marx n’avait de juif que ce que vous lui donnez comme tel. Son père était protestant et lui Athée.

      Concernant l’ivresse et le vin , chez vous autres c’est une récompense qu’il faut mériter à coups de génuflexions et de psalmodies pendant toute une vie et c’est vrai qu’ils ne sont réservés qu’aux plus méritants d’entre-vous au paradis. Avec d’autres récompenses dont vous les femmes non seulement vous êtes privées mais au contraire vous en faites les frais.

      Comme nous autres nous n’y avons pas droit et que nous ne risquons pas d’aller au paradis nous profitons de notre passage sur terre kay n’âkoulou min rizqiha !

      Alors , boirez-vous au paradis, ou vous allez refusez ni3matouhou?

        Mme CH
        10 février 2019 - 1 h 10 min

        « Karl Heinrich Marx est né en 1818 à Trèves, dans la province du Bas-Rhin, au sein du royaume de Prusse . Il est le deuxième d’une famille de huit enfants. Son père, Heinrich Marx (1777-1838), né Herschel Marx Levi Mordechai, était un avocat issu d’une famille de rabbins juifs ashkénazes — le grand-père d’Heinrich, Meier Halevi Marx, était devenu rabbin à Trèves en 1723 et ses fils et petit-fils furent les premiers à recevoir une éducation séculière — et de marchands propriétaires de vignobles dans la vallée de la Moselle. Pour exercer sa profession d’avocat, il se convertit au protestantisme en 1816 ou 1817, et changea son prénom de Herschel en Heinrich. Sa mère, Henriette Pressburg (20 juillet 1788-30 novembre 1863), est issue d’une famille juive hollandaise. Restée attachée à la religion juive, elle ne se convertira au luthéranisme qu’en 1825, après la mort de son père, qui était rabbin. »

        Cher Karamazov, je crois plutôt que c’est vous qui souffrez d’hystérie que vous essayez de calmer avec de l’ivresse…!!!
        Si Dieu Le Miséricordieux nous réserve une place au Paradis, bien sûr que nous allons profiter de ses Ni3ams..(divines) et non pas celles de Minus..!

        Ce que vous qualifiez de « coups de génuflexions et de psalmodies pendant toute une vie » s’appelle la prière qui est une connexion directe avec Dieu 5 fois/j. »Ces rencontres quotidiennes avec Dieu devraient normalement suffire à éloigner une personne des mauvaises actions. Ces prières devraient également être un moment de repentir, où le croyant s’empresse de demander pardon à Dieu pour toute mauvaise action qu’il aurait commise depuis sa dernière prière. De plus, la prière est en elle-même une bonne action qui efface certaines mauvaises actions perpétrées par les croyants. Le Prophète (saws) a dit :

        « S’il y avait une rivière près de la maison de l’un d’entre vous et qu’il s’y baignait cinq fois par jour, y aurait-il encore des saletés sur cette personne? » Ils répondirent : « Non, certainement pas. » Il dit alors : « C’est comme les cinq prières quotidiennes, par lesquelles Dieu efface les péchés. » (Sahih Al-Boukhari, Sahih Mouslim)

        Au fait, cher ami, je préfère fléchir mes genoux en signe d’adoration à Dieu que de les fléchir devant les Minus Créatus, notamment, néocons sionistes francs-maçons illuminatis..comme certains traîtres et Harkis intellectuels..!

        Cher ami, il n’est pas trop tard, si vous voulez une place au Paradis, vous savez ce que vous avez à faire et Dieu vous pardonnera tous vos péchés…! S’il n’y avait pas la mort, j’aurais peut être compris votre attitude, mais il faut bien réfléchir…Pourquoi nous sommes sur Terre pour une courte période…?? Croyez-vous que nous avons été créés juste pour boire, manger, se coucher faire des enfants, des folies,…etc…puis mourir et c’est bon…? Awah…!

        Je ne sais pas si M.Ghediri, va supprimer l’article 2 de la constitution si jamais il sera élu président…en tout cas, c’est le rêve de tous les manchots nourris au fromage puant, les Aras bleus, les oursons en peluche…….et les petites marionnettes…!

        Merci pour cet échange….!

      Karamazov
      10 février 2019 - 11 h 33 min

      Etant d’une nature plutôt réservée que je compense à l’écrit, j’ai à l’inverse l’alcool mélancolique et calmant. Quand je boua j’ai un acquis de spiritualité matérialiste. Car je ne conçois d’esprit qu’en tant que matière, qui m’emmène à m’interroger et m’émerveiller sur les propriétés des bosons, la théorie des cordes et ce qu’il y a derrière le mur de Planck. Sur tous les autres aspects je suis d’une nature ascétique.

      L’hystérie c’est la spécialité des bigots comme vous : rappelez-vous votre hystérie collective devant le laser du stade 5 juillet.
      Maintenant, dites-moi : votre connexion directe avec Dieu, vous la faites comment ? L’ADSL, la fibre, par satellite, wifi, bluetooth ou par téléportation ?

      Quant à Ghediri, ce n’est pas ma tasse de thé , pardon, je voulais dire, mon verre de vin, il est tombé comme un cheveu dans la soupe. Je ne suis pas du genre à suivre les apôtres ou ceux qui promettent le paradis. Il n’est qu’un terme de la contradiction à se coltiner pour ne pas abdiquer ma conscience et me rendre sans doute, sans réaction , à l’évidence. En attendant je ne cherche pas à le décourager.

    LE FRUIT D'ADAM
    8 février 2019 - 13 h 22 min

    En se limitant uniquement au personnage cet article et ne détenant pas d’informations authentiques, des intentions réelles de l’acteur, les vérités incontestables etc. … Je ne peux, donc, que me référer en toute neutralité et subjectivement à l’adage qui dit : « On reconnait un arbre à ses fruits ».

    Faisons simple à l’inverse de Abou Langi 6 février 2019 – 12h29 mn (Que je salut énormément au passage).

    Dés le départ, Mr Ghediri nous informe que son arbre est planté par la semence authentique et certifié du « Groupe des six » dont les fruits produisent :

    Un Goût pour l’Algérien lambda :
    – Je suis père de famille.
    – j’ai toujours vécu de mon salaire et ma retraite.
    – Allah y’arhem a chouhada, deux (2) de ses frères ainés sont tombés au champ d’honneur (D’après ce que j’ai lu ailleurs, à vérifier).
    Goût de confiance, sérieux, assurance, tendresse … pour son paternalisme.
    Honnêteté, probité, droiture … pour ses ressources pécuniaires.
    Sacrifice, dévouement, loyauté dans sa filiation … pour son pays.

    Une saveur pour intellectuels :
    – Le plus diplômé, Docteur ayant exercé des hautes fonctions au cours de ma carrière.
    Saveur de capacité, compétence, aptitude, responsabilité …

    Un Appétit pour l’intelligentsia :
    – Une 2eme République.
    Expression gigantesque, profonde et très appétissante qui consiste à réinventé l’Algérie sous de nouvelles projections tout en consolidant nos propres valeurs et en réhabilitant l’Histoire …

    MAIS, il y’a toujours ce MAIS qui remet tout en question, Mr Ghediri a t-il prévu que son fruit peut générer un arrière- gout pour certains pays ? Taxé d’OGM fabriqué par les laboratoires du pouvoir ? Dangereux pour les uns car il peut rester au travers de la gorge ? La yadjouz pour les autres, ou carrément le fruit défendu d’Eve et d’Adam d’après … (excusez-moi j’ai un trou de mémoire) ?

    Game over ou to be continued ?

      LE FRUIT D'ADAM
      8 février 2019 - 14 h 11 min

      Prière lire « En se limitant uniquement au personnage DE cet article …  » ce qui prête à confusion avec l’auteur O.M. Mes excuses.

      Abou Langi
      8 février 2019 - 15 h 26 min

      Mawa sek je voulais dire tout simplement: c’est je ne suis séduit ni par son ramage ni par son plumage, ni par l’hagiographie que ses bigots lui ont fait. Pas plus que je ne suis rebuté par ses contempteurs qui ne le connaissent pas plus que mwa et qui lui tirent le portrait ou lui taille des vestes trop larges ou trop étroites sur lui.

      Ce que je me demande c’est juste s’il ne faut pas miser un bulletin de vote, et rien d’autre ,pour le coup d’après. histoire de changer ,pas forcément pour le mieux. Du moins pour ceux qui ne trouvent plus quelques grâces au Système.

      Il s’agit d’une option par défaut , peut être même provisoire, en attendant le 18.

        LE FRUIT D'ADAM
        8 février 2019 - 23 h 13 min

        @Abou Langi
        Azoul,
        Je vous remercie pour votre réponse et je respecte vos convictions quelques soient leurs habits.
        Votre réplique « Oui, mais pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer ? » Prise dans son contenant et non dans son contenu, je l’ai trouvé ingénieuse et croyez-moi, dans mon for intérieur, c’est pour vous rendre hommage que je vous ai mentionné.
        Thanemirth ——

      Zaatar
      8 février 2019 - 20 h 19 min

      Moi dans notre pays je ne fais plus confiance à aucun agriculteur, je sais qu’ils irriguent tous à l’eau usée. Vous imaginez les fruits récoltés… pour les apparences y a rien à dire, pour la consommation aussi, c’est dans la tête que ça ne va plus quand on sait comment on les a fait mûrir…

    Karamazov
    8 février 2019 - 10 h 34 min

    Et oui Mme C H, je carbure au vin et vous à l’opium du peuple, l’un excluant évidement l’autre. Mais qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse !

    Concernant Khediri, ou Ghediri ou d’ailleurs n’importe qui d’autre en vérité comme je ne le connais pas effectivement comme vous pour lui trouver les poux dans sa raie, je n’ai pas pris de décision définitive, je me tâte ( encore un de mes défauts ).

      Mme CH
      8 février 2019 - 22 h 57 min

      Walou, cher ami, je préfère de loin la sobriété à l’ivresse…!
      Quant à l’opium, le juif Karl Marx, a voulu remplacé les religions par sa religion de minus créatus (l’athéisme) et on voit où elle a mené le monde…à la dérive des continents,…… au libertarisme, à l’immoralité, au matérialisme…à l’état d’ébriété et à la clochardisation de la société…rien ne va plus! Normal puisque les valeurs humaines ont été métamorphosées par les pions de Satan…!

      Au fait, ne carburez pas trop..cela n’arrangera pas votre état émotionnel et augmentera votre anxiété; restez plutôt zen en ces moments difficiles..!
      Quant à l’Islam il triomphera puisque c’est une religion divine…!
      Portez-vous bien!

        Abou Stroff
        9 février 2019 - 10 h 47 min

        enfin! je suis soulagé en remarquant que mme che. est revenue à de de meilleurs sentiment en arborant le drapeau de sa chapelle.
        permettez moi chère madame de vous soutenir dans votre lutte contre le libertarisme, l’immoralité, le matérialisme….
        en effet reconnaissons que les ismes que vous mentionnez n’ont mené nulle part ceux et celles qui y adhèrent mais ont plongé ………………… tous les musulmans, sans exception, dans la m…. jusqu’au cou.
        moralité de l’histoire: n’avez vous pas compris que la religion est une invention des hommes pour, dans un premier temps, lutter contre leur angoisse existentiel, trait qui caractérise les seuls êtres vivants qui savent qu’ils vont mourir, c’est à dire les hommes et pour ensuite être utilisée par les classes dominantes pour asservir les classes dominées?
        PS: si j’étais une femme, je ne croirai jamais en l’islam, pour la simple raison que rien n’est prévu pour les femmes après leur mort alors que les hommes, avec toutes les vierges qui les occuperont auront une vie (après la mort) somptueuse.

          Mme CH
          10 février 2019 - 0 h 32 min

          Alors là, cher Abou Stroff,vous vous trompez sur toute la ligne…!
          Au fait, cette rubrique est réservée à Ghediri, alors parlons de ce candidat qui ne cesse de nous surprendre mais dans le mauvais sens..!

    Cheriet
    7 février 2019 - 21 h 15 min

    Bonsoir, il faut combattre ces gens qui ont kidnapé le FLN et servent exlusivement à pourvoir leur intèrét personel, il faut mettre fin a cela !

    lhadi
    7 février 2019 - 16 h 51 min

    Il est bizarre à plus d’un titre que ce général soit devenu le Cincinnatus Algérien des temps modernes ou du moins considéré comme tel.

    Lorsque il était active dans son long contrat avec l’institution militaire, il n’avait manifesté que peu d’intérêt pour ce qu’on appelle la conscience sociale et n’a présenté guère les traits marquants du rebelle.

    Sa suffisance inquiète et défensive, sa mince expérience du monde et son long enfermement dans un microcosme, l’insistance qu’il met à jouer le rôle de l’homme de lettres, le peu de souci que lui causaient la plupart des questions d’égalité et de justice, rien de tout cela ne le prédisposait pas à enfourcher les grands chevaux du rebelle ou du révolutionnaire.

    Après son divorce avec l’institution militaire, je trouve très surprenant, aussi, qu’il ne manifesta pas non plus beaucoup d’intérêt pour l’activité politique proprement dite.

    Malgré la valeur qu’on attribue à la communauté algérienne, il fit preuve de peu d’aptitudes à la politique et ne chercha pas à en acquérir. Il ne s’intéressa pas suffisamment aux autres, même pour les manipuler avec efficacité dans la durée.

    Je déplore que certains soient convaincus que l’ignorance doit être chérie comme une vertu et qu’ils soient peu désireux de tirer des enseignements de l’histoire.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

      Abou Langi
      7 février 2019 - 19 h 22 min

      Les critères qui vous servent à définir les pré-requis pour être un bon candidat ont vieilli ya Son Immensité. Depuis 62 des hommes qui en débordaient ont essayé et nous connaissons les résultats qu’ils ont obtenus.
      Je crois que de ces hommes-là nous avons épuisé la typologie.

      Sans parler du fait qu’on peut aisément en empruntant les mêmes raccourcis que vous déduire facilement que ce que vous appeler les qualités d’un candidat sont plutôt des obstacles.

      Alors, pourquoi pas un candidat incandidable qui occuperait la place, en attendant le Mahdi oula Godot oula Malikou el hazim ga3, comme les grenouilles de la fable?

      Anonyme
      8 février 2019 - 10 h 14 min

      Les Algériens sont tellement désabusés et veulent tellement un changement radical, qu´il s s´accrochent à n´importe quel espoir fusse-t-il représenté par ce visage nouveau de la politique, du moment qu´économiquement et moralement, on ne peut que faire mieux que ce système!

    Felfel Har
    7 février 2019 - 14 h 38 min

    Un autre missile tiré par le « clan » sur le candidat Ghediri: il serait (notez le conditionnel) favorable à la réouverture de la frontière de l’Ouest! Là, on a la preuve que le « clan » panique, qu’il doute, qu’il sent le vent du boulet. Ce qui explique pourquoi l’Administration aux ordre multiplie les entraves et les provocations contre lui.
    A-t-on compris que, de tous les candidats déclarés, il serait le plus crédible, le plus à même de bousculer les organisateurs, au point de leur faire faire des bêtises qui révèleraient leurs pratiques de bourrage des urnes et de manipulations des taux de participation.
    Si le 5ème mandat est confirmé, il sera celui de tous les dangers. Ne jouons pas l’avenir du pays à la roulette russe! Il y a bien danger en la demeure. Laissons le peuple choisir LIBREMENT son président!

    Berberoarabe
    7 février 2019 - 13 h 14 min

    Madame CH je rebondis sur votre commentaire du 7 février 2019 – 1 h 01 min
    (Une telle option serait avantageuse aussi bien pour l’Algérie que pour la Kabylie puisqu’elle amorcerait un début de dialogue salvateur qui conduirait, nous l’espérons fortement, à un meilleur compromis en termes de cohabitation et du vivre-ensemble)
    J’ai l’impression que vous parlez de 2 peuples et de 2 pays différents, je suis effaré par ce commentaire, sureft iyi mais vos propos sont raciste, je suis de père Arabe et de mère kabyle. Nous sommes tous Kabyloaraboalgeriens, l’identité nationale du peuple algérien composée d’islamité, d’arabité et d’amazighité, d’Est en Ouest et depuis le Nord du pays jusqu’à son extrême Sud est le fruit des valeurs du 1 novembre 1954, la Kabylie est une partie intégrante de notre chers pays, ne serait’il pas judicieux de parler de la mère patrie de l’unité nationale d’une Algerie riche de son histoire son patrimoine etc….
    Vous prenez l’exemple du Canada, de la Suisse et de la Bundesrepublik Deutschland eh bien chers Madame ces nations existent depuis plus qu’un siècle, La Suisse depuis 1803, le Canada depuis 1867 et l’Allemagne depuis 1871 or que notre pays existe depuis 57 ans, il ne faut encore un peu plus de temps, et surtout il ne faut pas boycotter ces élections votez pour x ou y mais faite en sorte que ce système s’en va
    Vos commentaires a la Ferhat Mheni me font de la peine, je pense que vous avez une crise d’identité Arezg Ameggaz madame
    Gloire et Honneur anos Martyrs et Tahya el Djzeir

      Mme CH
      8 février 2019 - 1 h 02 min

      Mr Berberoarabe, je crois que vous avez mal lu mon commentaire et c’est dommage…! Vous voyez comment on peut mal comprendre ou interpréter des propos sans même savoir de quoi il s’agit..!!
      La phrase: « (Une telle option serait avantageuse aussi bien pour l’Algérie que pour la Kabylie puisqu’elle amorcerait un début de dialogue salvateur qui conduirait, nous l’espérons fortement, à un meilleur compromis en termes de cohabitation et du vivre-ensemble)..n’est pas de moi mais d’un article: « L’option Ali Ghediri – Aït Larbi est-elle envisageable pour gouverner l’Algérie », que j’ai lu sur un journal électronique, et d’ailleurs c’est pour ça que j’ai décidé de ne pas voter pour Ghediri, car chaque jour les choses deviennent de plus en plus claires..! Lisez mes commentaires sur AP et vous saurez que j’ai toujours dénoncé le traître sioniste Ferhat menenni…et son Mak !

      Lisez bien la prochaine fois..!

    Anonyme
    7 février 2019 - 12 h 27 min

    Madame CH Sureft iyi mais votre commentaire ma effaré
    (Une telle option serait avantageuse aussi bien pour l’Algérie que pour la Kabylie puisqu’elle amorcerait un début de dialogue salvateur qui conduirait, nous l’espérons fortement, à un meilleur compromis en termes de cohabitation et du vivre-ensemble). 7 février 2019 – 1 h 01 min
    Mais je ne comprends pas ce que vous envisager avec cette phrase j’ai l’impression que vous parler de 2 pays ou 2 peuples différents, n’est ‘il pas judicieux de parler de l’Algérie de la mère patrie de l’union nationale
    La kabylie est une partie intégrante de l’Algérie nous sommes tous des Kabyloaraboalgériens, l’identité nationale du peuple algérien composée d’islamité, d’amazighité, d’arabité et , d’Est en Ouest et depuis le Nord du pays jusqu’à son extrême Sud est le fruit des valeurs du 1 novembre 1954 , vous prenez l’exemple du canada de la suisse et de la Bundeserepublik Deutschland eh ben chères madame je peux rassurer que les bavarois région de la Bavière dont la capitale est Munich en Allemagne parle un dialecte que le reste du pays ne le comprends pas mais ils se considèrent comme des allemands ni plus ni moins
    Vos commentaires a la Ferhat Meheni me font de la peine et ne vont pas vous sortir de votre problème d’identité, Arezg Ameggaz Madame
    Gloire et Honneur a nos Maryrs et Tahya el Djazeir

      Mme CH
      8 février 2019 - 1 h 09 min

      Le passage que vous avez cité m’a effaré au même degré que vous…! Et je suis d’accord avec vous sur toute la ligne lorsque vous dites: « l’identité nationale du peuple algérien composée d’islamité, d’amazighité, d’arabité et , d’Est en Ouest et depuis le Nord du pays jusqu’à son extrême Sud est le fruit des valeurs du 1 novembre 1954… ».

      On voudrait garder la 1ère république, mais il faut mettre les hommes qu’il faut à la place qu’il faut..! Il faut assainir le système de la corruption, des passe-droits, du clientélisme, du beni3amisme, du régionalisme, de la médiocrité…etc….!

    Anonyme
    7 février 2019 - 11 h 18 min

    @Mme CH 7 février 2019 – 1 h 08 min,à ce que je vois vous veillez tard,vous êtes contre la 2°république prônée par Ali Ghediri et pour la continuité du clan prédateur même si vous ne le dites pas formellement.Pour ma part,je vous situe parmi tous ces opportunistes qui mangent avec le loup et pleurent avec le berger.En réalité vous êtes plus soucieux de votre petit confort que de l’avenir de ce pays et c’est triste.

      Mme CH
      8 février 2019 - 1 h 19 min

      Oui, effectivement, je n’ai généralement que la nuit pour lire les J.E et faire des commentaires, car je suis une femme qui a beaucoup d’occupations à l’intérieur de la maison et à l’extérieur., voilà vous savez tout.!

      Il faut plutôt poser la question à M.Ghediri s’il est soucieux de son petit confort et celui de son nouveau clan (Rachama Fi 9ahwat T.R) intra et extra-muros, ou de l’avenir de son pays…! Personnellement, je voudrais que l’Algérie reste stable, une et indivisible..! Quoi qu’on puisse dire, pour le moment et malgré leurs déboires les actuels dirigeants ont su préserver la sécurité et l’unité du pays, pourtant la conjoncture est très difficile…! Espérons que ça va durer Inchaallah!

    abou Stroff
    7 février 2019 - 10 h 38 min

    inondée au sein de développements lyriques, j’ai remarqué une sentence de Gramsci à laquelle je me réfère souvent. en effet, l’interrègne de Gramsci est une phase historique où le monde ancien ne veut pas mourir et où le monde nouveau ne parvient pas à naitre.
    et, je pense que la formation sociale algérienne est en plein interrègne, dans la mesure où le système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation semble avoir atteint ses limites et où le monde nouveau qui reposerait sur la travail est empêché de naitre par les soubresauts et les spasmes (les cris hystériques en faveur d’un cinquième mandat?) produits par les représentants des couches sociale dominant le système matérialisant le monde ancien.
    dans une configuration « classique » (l’articulation du mode de production féodal et du mode de production capitaliste, par exemple), le monde ancien (le système féodal) aurait produit ses propres fossoyeurs et aurait succombé aux attaques répétées qui lui aurait infligé diverses couches sociales (appartenant au monde nouveau) en opposition avec la dynamique essentielle du dit monde.
    malheureusement pour nous, il me semble que le système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation ne produise point les conditions de son propre dépassement.
    par conséquent, je ne vois que deux « moyens » pour ébranler le système.
    1- une baisse prolongée des prix des hydrocarbures qui mettrait à nu le moyen de domination essentiel des couches rentières (la distribution de la rente qui avilit et réduit les algériens, dans leur grande majorité à des assistés éternels ou à des tubes digestifs ambulants, amorphes et et asthniques.
    2- l’émergence d’un HOMME D’ETAT (de la stature d’un Attaturk ou d’un Mandela ou d’un Bourguiba ou d’un…………..Boudiaf) qui imposerait, grâce à son charisme, une feuille de route en opposition totale avec la logique de reconduction du système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation.
    moralité de l’histoire: si la baisse prolongée ne semble pas à l’ordre du jour, Ghediri peut il « remplir » le costume de l’HOMME D’ETAT qui dirigera le dépassement du système dont bouteflika et son état matérialise la déchéance?

      Karamazov
      7 février 2019 - 11 h 27 min

      Mwa, Ya khouya Abou Stroff , j’éliminerai tidswit l’option messianique et celle de l’homme providentiel. Car comme dit un proverbe de chinou : «  ur dithek ara assaless ug magramène. La mauvaise herbe ne donne pas de piliers ».

      Et comme tu viens de le dire à propos de la crise selon Gramsci : la crise c ‘est le moment qui se situe entre deux états mais surtout avait rajouté Gramsci , c’est le moment de la tératogenèse.

      Or, comme tu n’es pas sans savoir et je dirais même , que ta modestie me pardonne, tu sais que les mêmes circonstances produisent les même choses. Les chats font des chats et les belarridj des belarridjeaux. Il y a trente ans nous avons vu ce que notre société a produit et les révolutions Zarabes aussi : pétrole ou pas.

      Amounavi , la baisse du prix du pétrole n’est que la condition indispensable à un changement mais elle n’est pas suffisante. Il faut que cette baise s’accompagne d’une mutation culturelle radicale. Car on voit des sociétés comme la nôtre qui n’ont pas de pétrole et qui ne décollent pas ? L’exemple de nos voisins de l’est de l’ouest et du sud est tangible.

        Abou Stroff
        7 février 2019 - 14 h 25 min

        Komrad, je te salue!
        quand l’analyse concrète d’une situation concrète ne pousse guère à l’optimisme, ne faut il pas penser la situation et participer à son dépassement, même si ce dépassement n’est effectivement que penser?
        après tout, Attaturk, Mandela et encore moins bourguiba ont été, en partie produit par des sociétés archaïques, n’est ce pas?
        je pense que, pour sortir de l’impasse, il nous faut envisager une « surdétermination » du politique par rapport à l’économique ou l’éventualité d’une domination volontariste du politique sur l’économique.
        s »’il est évident que l’arme de la critique ne saurait remplacer la critique des armes ; la force matérielle ne peut être abattue que par la force matérielle ; mais la théorie se change, elle aussi, en force matérielle, dès qu’elle pénètre les masses. » (K. M).
        moralité de l’histoire: malgré les contraintes objectives qui ne poussent guère à l’optimisme, reconnaissons néanmoins que l’ennemi (c’est à dire les couches rentières) est bien cerné et le fait que l’ennemi soit convenablement identifié, et un premier pas (nécessaire) pour lever une armée contre lui

          Karamazov
          7 février 2019 - 17 h 25 min

          Et Jésus et Moïse et Mahomet, 3oumar Ibn Elkhetab, Sidna. Hitler, Staline?
          3li ?

    Mme CH
    7 février 2019 - 1 h 01 min

    En lisant cela sur un journal électronique: « L’option Ali Ghediri – Aït Larbi est-elle envisageable pour gouverner l’Algérie » (5/2/2019), j’ai décidé de ne pas voter Ghediri…! Et je dis merci aux auteurs de l’article.

    « ……………..En face des courtisans de Bouteflika, nous avons des Kabyles qui jouissent de l’estime de leurs citoyens comme Maître Mokrane Ait Larbi, l’homme d’affaire Issad Rebrab, le spécialiste en économie Ferhat Ait Ali et l’universitaire Hacene Hireche qui apportent leur soutien au candidat de la Rupture le général à la retraite Ali Ghediri. »

    « …………….le général Ali Ghediri serait élu président de la République, serait-il capable d’amorcer les changements draconiens qu’il a promis. Plus précisément les huit ruptures qui constituent l’essentiel de son programme, que sont :

    Rupture avec le système rentier et clientéliste en bâtissant un État de droit reposant sur les libertés individuelles et les valeurs communes nationales.
    Rupture avec la dictature en édifiant des institutions nationales démocratiques, élues au suffrage universel où la séparation des pouvoirs entre exécutif, législatif et judiciaire serait une réalité tangible.
    Rupture avec les inégalités sociales.
    Rupture avec le discours démagogique et les pratiques populistes.
    Rupture avec l’économie de rente et la dépendance des hydrocarbures.
    Rupture avec l’instrumentalisation des déterminants fondamentaux de l’identité nationale (Islam, histoire, la langue arabe et la langue amazighe).
    Rupture avec le régionalisme en consolidant l’unité et la cohésion nationale dans le respect de la diversité et des libertés individuelles.
    Rupture avec le centralisme stérile.

    « …..Assurera une élection ouverte sans fraude donnant une chance au couple Ali Ghediri – Mokrane Ait Larbi pour devenir hypothétiquement président-premier ministre, et ainsi tracer les contours de cette nouvelle république (I) tant attendue.
    Une telle option serait avantageuse aussi bien pour l’Algérie que pour la Kabylie puisqu’elle amorcerait un début de dialogue salvateur qui conduirait, nous l’espérons fortement, à un meilleur compromis en termes de cohabitation et du vivre-ensemble, une fois :
    Tous les courants politiques kabyles autonomistes, indépendantistes, et ceux œuvrant sur la scène politique algérienne seraient invités pour trouver une meilleure forme de cohabitation algéro-kabyle.
    La Kabylie (de même pour les autres territoires spécifiques comme ceux des Mzab, des chawis, …) jouirait d’une pleine autonomie ayant son propre gouvernement, système judiciaire et parlement locales. Ceux-ci seraient gérés par les élites locales élues démocratiquement et non pas imposés d’Alger comme de nos jours et ce depuis 1962.
    L’État algérien reformé au sens fédéral comme durant la guerre de libération avec les 6 wilayas qui seraient devenues comme les provinces canadiennes, les cantons suisses ou les Länder d’Allemagne, avec plein de prérogatives.
    La laïcité, garante de la liberté de culte et de la séparation de la religion de l’état, appliquée.
    Le volet identitaire de la constitution serait corrigé en se conformant aux nouvelles donnes de l’État fédéral algérien, puisque les kabyles, mozabites, chawis, imucaghs, … ne voudront pas voir leur pays se définir comme terre arabe.
    La géopolitique serait à revoir dans le sens où l’Algérie serait appelée à se retirer de la ligue arabe. Une exigence historique qui fait suite à l’éveil amazigh partout dans le pays comme le montre, entre autres les fêtes de Yennayer de ces dernières années.
    L’éveil identitaire, de plus en plus fort en Afrique du nord, comme l’a prouvé académiquement le sociologue Dr. Salah Djabi dans son dernier livre, serait considéré pour faire de l’Algérie un acteur majeur dans la création avec ses voisins (Maroc, Tunisie, Libye) de l’Amazighphonie. Exactement comme les grands regroupements politiques mondiaux tels que la Francophonie, le Commonwealth (Anglophonie) ou la Ligue Arabe qui serait entre temps réduite uniquement aux pays arabes de l’Asie.
    Telles nous semblent être les grandes lignes à même de renforcer la cohésion nationale, à éradiquer l’arbitraire, à atténuer les peurs et les appréhensions quant à l’avenir de ce pays…… »

    A bien méditer !

    C’est pour ça que tous les………sont en train de faire une campagne de « marketing » pour vendre ce candidat au peuple…! Non merci..!

      Karamazov
      7 février 2019 - 9 h 51 min

      J’ai lu tous vos points de suspension avec un grand intérêt. Si je voulais balayer d’un revers de la main toutes les propositions des uns et des autres en me vautrant dans ma blasitude et dans un confort intellectuel, je dirais comme vous : tous les mêmes, à quoi bon.

      D’emblée je vous le dis je ne suis pas dans cette posture , je suis complètement écartelé entre votre position et celle qui me pousse à opter pour Khediri sans illusions et pour ses chances de parvenir au pouvoir et sur celles qu’il tienne ses promesses.

      Je suis convaincu que nous avons d’abord un problème de culture et de société qui empêche la production d’homme radicalement nouveaux et indemnes des pesanteurs culturelles de leur société.

      Je suis convaincu que le changement ne pourrait survenir qu’à la condition d’un bouleversement profond de notre société. Mais malheureusement ce bouleversement ne saurait venir que de l’extérieur : la fin de la rente avec un pétrole à 30 dollars le barmil qui mettra la société dans les conditions de songer à une alternative.

      A vrai dire , je ne suis même pas sûr que Khediri aille au bout de sa candidature et encore moins à la présidence. Je l’entends déjà se plaindre des entraves qu’on lui fait pour obtenir ses signatures ou même pour se rendre à un enterrement alors que le chemin de la présidence et encore plus miné.

      Nous posions ici la question essentielle et rédhibitoire avec Abou Stroff : Khediri combien de divisions ?

      Chère Mme H, la question primordiale n’est donc pas tant son programme ou ses promesses électorales : C’est Hmida !

        Mme CH
        8 février 2019 - 1 h 31 min

        Karamazov Et Abou Langi sont les pseudos d’une seule personne..!
        Les deux en un ont fait la même erreur en écrivant: « Khediri »…! Alors ils soutiennent un candidat et ne savent même pas comment il s’appelle….c’est grave…! ça nous donne une idée sur ces soutiens…! Il faut mettre un peu plus d’eau dans votre vin pour le diluer un peu, au moins vous écrirez correctement le nom de votre poulain..!
        Quant au reste, tout ce que vous avez dit s’applique pour les autres candidats: « ils ne peuvent pas satisfaire tout le monde et ne pourront pas appliquer tous les programmes que leur présentent tous les gens ».

        « en me disant apritou kiskonperd »…dans un état d’ébriété..?? On risque de perdre gros mon cher, réveillez-vous mon cher…!

        Mme CH
        8 février 2019 - 1 h 38 min

        Cher Karamazov, je crois que vous vous trompez de société…!! Inchallah, il n’y aura pas de bouleversement surtout venant de l’extérieur..!! Je doute que vous êtes un vrai Algrérien..en disant cela!

        Vous dites: « la question primordiale n’est donc pas tant son programme ou ses promesses électorales : C’est Hmida ! »…. Oui, malheureusement, ils sont tous des Hmida, surtout lorsqu’ils s’installent sur le koursi…! Je préfère un Hmida qui a de l’expérience qu’un Hmida tout court..!

      Abou Langi
      7 février 2019 - 13 h 43 min

      Cependant ya Mme CH, il ne s’agit pas du programme de Khediri qui est certainement perfectible et qui n’est certes pas au goût de chacun d’entre nous. C’est difficile de contenter tout le monde. Votre contribution ne vaut que si vous-même vous êtes candidate , et comme vous le voyez vous aussi vous avez des contradicteurs. Khediri ne pourra pas appliquer tous les programmes que lui présentent tous les gens.

      Donc la question est moins dans le programme de Khediri que dans l’alternative qu’il représente. Il ne s’agit pas de savoir si son programme est crédible mais est-ce que sa candidature l’est.

      En clair : est-ce qu’il peut dégager le Système ou non ?

      Mwa qui boua mon pastaga sec, j’ai mis de l’eau dans mon vin en me disant apritou kiskonperd !

      Abou Stroff
      7 février 2019 - 14 h 34 min

      mme che, qu’attendez vous pour hisser votre drapeau et nous balancer à la figure que vous êtes une islamiste convaincue et que le seul candidat qui « remplirait vos yeux » est un candidat islamiste qui aurait pour objectif ultime de nous dissoudre dans la mythique oumma islamia?
      PS: je ne comprends pas pourquoi, à l’inverse de vos interventions passées, vos récentes interventions ne contiennent aucun verset coranique et point de souhane allah et macha allah

    Yes
    6 février 2019 - 21 h 09 min

    De toutes façons les garanties sont absentes depuis belle lurette. La plus importante des garanties d’un scrutin honnête et transparent c la liberté de presse,la liberté d’expression la liberté de critiquer sans risquer la taule,l’accès équitable aux télés pour les partis..etc..etc.. Tout ça n’existe pas,les partis du pouvoir ont le monopole des plateaux télés et sont en campagne électorale permanente à nous saouler de fakhamatouhou..distribution de logements de fakhamatouhou …les miracles de fakhamatouhou ..sans permettre à l’opposition de dire son mot,d’apporter la contradiction..
    Mais que faire?? C le dilemme du participer ou non,choix qui divise les partis.
    Nekkaz prône la participation et prend exemple le fis en 91 ,mais nekkaz oublie que le fis a un moyen de communication très puissant : c les mosquées!! Et en plus le fis a utilisé la religion pour mobiliser les algériens qui sont tous musulmans..

    Anonyme
    6 février 2019 - 20 h 31 min

    ne répondez aux provocateurs que s il peuvent prouver ce qu il avance les ragots et les fausses rumeurs ne sont que de la diversion et provocation

    Cassius
    6 février 2019 - 17 h 38 min

    Concernant la candidature à la candidature du général Guediri, il me semble que son staff de campagne est loin d’être honnête.
    Il y’a quelques jours ils ont annoncé triomphalement que le général Guediri a déjà récolté les 60 000 signatures et puis quelques jours après on nous raconte qu’il subi des entraves et des intimidations pour la collecte des signatures. Alors je dis arrêter vos mensonges Makan Wallou.

      Yes
      6 février 2019 - 20 h 50 min

      Et alors cassius ?? Où est la contradiction,? Il a déjà récolté 60000 signatures en un temps record ,c ça justement qui panique le pouvoir et lui met les bâtons dans les roues. Au contraire c une preuve,ils veulent le freiner car ghediri vise 500milles signatures et il les aura malgré les entraves.

    Boualem Boualem
    6 février 2019 - 17 h 16 min

    La crainte et la peur de tout ceux qui ne tranchent pas clairement leur position et qui luttent contre le doute depuis le premier instant de tomber encore une fois de Charybde et Scylla et verront partir comme de coutume leurs rêves en fumées Ceux là voudraient plus de garanties tant la tâche est insurmontablement verrouillée . En 1 : Comment ferait il pour franchir le cap de la fraude électorale déjà prête et impitoyable.

    Le Défi
    6 février 2019 - 17 h 09 min

    Ce constat catastrophique sur les réalités amères qui rongent le pays, renforce justement l’idée de donner toutes les chances à Ghediri.
    Ce dernier n’a pas en sa possession une baguette magique pour pouvoir éradiquer tous ces maux du jour au lendemain, mais sa candidature représente une opportunité exceptionnelle pour assurer une transition aux couleurs républicaines. La bataille s’annonce ardue et féroce, mais qui a édifié une quelconque forteresse, sans y laisser plumes et sueurs ?
    La pierre républicaine que tente Ghediri de poser,est primordiale pour procéder au changement, à condition que le peuple dans sa grosse majorité soit de son côté. Si le socle, en l’occurrence le peuple est prêt, l’architecte, et l’artisan pourront procéder au changement, long, difficile, mais progressif. Certes les mentalités corrompues s’y heurteront, mais de nouveaux concepts basés sur un état de droits, l’équité, l’égalité des chances, le mérite, les compétences, la discipline, le travail bien, et le travail à la sueur de son front, sauront sans doute séduire le peuple, pour mettre fin à cette hogra,qui n’a que top duré. Tel est le vrai défi à relever,non pas de la part de Ghediri uniquement, mais aussi de la part du peuple, c’est à dire le socle du programme sur lequel repose le programme de Ali Ghediri.

    Anonyme
    6 février 2019 - 16 h 05 min

    Sans parler d’homme providentiel LAMAMRA lui qui court pour sauver des pays étrangers, il doit et il s’agit de son devoir et sa responsabilité d’agir pour son pays.

    Omar B
    6 février 2019 - 14 h 56 min

    Ce regime est ‘a bout de souffle et va tomber comme un fruit mur. Les Amar Ghoul, Benyounes and Ouyahia font du bruit mais ils savent que leur jours sont comptes et qu’ils finiront dans la grande (…) de l’Histoire laches par leur mentors.

    Berberoarabe
    6 février 2019 - 13 h 25 min

    ALGERIA FIRST,
    Le clan fakhamatouhou et leur allies n’ont aucune alternative, nous en avons mare de voir les mêmes tètes et leur mises en scène trompeuse. nous nous sommes soumis à un système criminogène qui enrichit les plus riches, matraque les classes moyennes, appauvrit les pauvres et bafoue les valeurs de la république.
    Il ne faut des gens lucides et de principe, et sincèrement je vois que Monsieur Ali Ghediri qui peut reprendre le gouvernai et redresser la barre. La proclamation d’une deuxième république démocrate, juste et équitable et notre chance pour un changement radicale au vrai sens du mot. Nos chers compatriotes ne boycotter pas les élections car elles seront déterminantes pour ce changement tant attendu.
    Monsieur Ghediri je voterais pour vous
    Gloire et Honneur a nos Martyrs et Tahya Al Djazeir

    Karamazov
    6 février 2019 - 12 h 26 min

    J’avoue franchement qu’il m’a fallu reprendre mon souffle à la fin de cet article époustouflant que j’ai lu en apnée presque entièrement. J’en suis resté ébaudi devant tant de lyrisme et d’érudition. Mais ce qui m’a laminé c’est la maestria avec laquelle OM a su concilier Gramsci, le Coran et Bennabi. Confucius et Benbadis. Mais la quintessence de l’apothéose a était frôlée avec cette phrase : «Nous sommes une virtualité de désintégration, une entropie en puissance, une réalité morbide à qui manque le temps de réalisation pour qu’elle soit un réel actuel…» 

    Ce qu’un de nos présidents a résumé en langage vernaculaire par ces mots d’une grande spiritualité : «Lhmdoullah hna matchi bled !» Mais tout le reste de l’article est accessible à ceux qui ne lisent pas que les tweets.

      afrito
      6 février 2019 - 17 h 08 min

      C’est ce qu’on appelle la « tchatche » ou parler (ou écrire d’ailleurs) pour ne rien dire !

    Tangoweb 54
    6 février 2019 - 11 h 57 min

    Nous somme un peuple de 44 millions qui ne sais plus où on va, nous avons le plus beau pays au monde avec un climat formidable, un pays très riche, avec beaucoup de ressources… mais tout ceci n empêche pas que nous somme un peuple très malheureux, qui a perdu le sourire et la joie de vivre, un peuple toujours sous pression, harcelé et malmené!! tout est contre nous: le système, l environnement, la bureaucratie, les chaînes de télévision publics et privés qui s’arrangent pour nous rendre la vie encore plus morose avec des programmes débiles. L’avenir sombre et des plus incertains.

    A vous cher Mr Omar Mazri
    6 février 2019 - 11 h 53 min

    Cher Monsieur Omar Mazri, vous avez fait ici un article intéressant, une analyse intéressante à forte teneur intellectuelle et politique, sauf que :

    1/- Ali Ghediri a bien fait d’évoquer le 1er Novembre 54. Ce n’est pas du tout une erreur politique mais c’est plutôt une façon de dire au pouvoir en place qu’il n’est pas le seul dépositaire légitime de la guerre de libération ! De plus le peuple, la jeunesse si elle ne sait peut-être pas grand chose de l’histoire et de la politique ou n’a pas beaucoup de culture politique, elle sait néanmoins très bien ce que signifie le 1er novembre 54 !
    2/- Ali Ghediri n’a jamais demandé explicitement le soutien des militaires actifs ou en retraite, et n’a jamais pour intention de diviser l’armée ! D’ailleurs il n’a nullement évoqué tout cela dans son programme préliminaire et se sont les journalistes qui veulent l’amener sur ce terrain. Ali Ghediri cherche la refondation d’une armée républicaine et non une armée divisée et fragilisée ! Il n’est pas aussi taré que cela, aussi suicidaire.
    3/- Ya si Monsieur Omar Mazri vous conseillez indirectement à Ali Ghediri de ne pas chercher l’appui des puissants et des riches pour mener sa campagne, non mais vous voulez donc qu’il échoue ! C’est quoi çà? L’intellectuel parfait que vous êtes sait qu’on ne peut pas gagner une présidentielle avec des billes et des gaufrettes ! D’ailleurs, vous auriez dû évoquer dans votre article les puissants et les riches qui soutiennent le pouvoir et nous parlez un peu de sa machine de guerre (armée de fonctionnaire, armée tout court, corps constitués, policiers, gendarmes, pompiers, besace de la rente en devise et en dinar dans laquelle il puise sans aucun contrôle du peuple etc… etc. )

    PS : moi en ce qui me concerne, j’estime que Ali Ghediri est une opportunité parce : 1/- Une bonne majorité des citoyens sont contre Bouteflika, contre l’arrogance et la hogra du régime en place. 2/- Son projet de nouvelle république et de nouvelle gouvernance cadre avec l’ensemble des revendications de ce qu’on appelle les partis d’oppositions et les forces du changement. Puisque ces forces n’ont pas réussi à trouver entre eux l’homme du consensus pour ce projet, Ali Ghediri est une opportunité, une personnalité neutre capable d’agréger et de rassembler 3/- Dans le cas où il échoue à obtenir la majorité absolue, ce qu’on ne lui souhaite pas, on aura créé durant sa campagne un substrat, un mouvement politique citoyen qui peut partir sur une bonne base afin de poursuivre son combat pour une nouvelle république ! Cette perspective n’est pas à négliger car le pouvoir algérien n’est pas facile à vaincre ! Il nous faudra beaucoup de détermination et d’engagement. On en a marre de boycotter avec toujours le même résultat et de rester dans ce fatalisme auquel nous a habitué le pouvoir. Je termine en disant contrairement à ce que vous sous entendez qu’il n’y a aucune garantie qui manque à la candidature de Ali Ghediri.

    Bon courage et que Dieu nous garde et nous protège !

    Anonyme
    6 février 2019 - 11 h 36 min

    Mes compliments Mr Mazri ….tout est clair….pour dire que l exercice de la souverainete du peuple est fondamentale et irremplacable….il est bien le temps d un changement radical des generations….celle des travailleurs ,des createurs,et des innovateurs contre celle des rentiers…..celle des defenseurs des interets de notre Patrie,contre celle des clans et ceux qui resistent a tout changemenr mais fervents toujours des status quo contre lesquels il y a un travail de longue haleine, avant de pouvoir avancer….Tahya Al JAZAIER

      soleil
      6 février 2019 - 17 h 04 min

      je voudrais dire ici que j ai une grande estime pour le président,il restera dans l histoire de ce pay comme celui qui redorer la fierter,et la digniter a ce pay,mais aujourd’hui il faut le dire avec tous le respect,notre président doit se reposer,les enjeux qui nous attende, son trop important et demande un chef h24,regarder le Venezuela,parce que tjr les yankee il ont décider avec les européen,que le président élu ne l était plus a place il vont mettre une marionnette,pour piller les ressource de ce pay le pétrole,comme dit si bien dieudonnè le pétrole sait a eux,se général qui se présente,j aurais une seule question a lui poser,est il un partisan de l endettement de notre pay ou un farouche opposant a celle ci et a notre indépendance et si la réponse est en aucune manière l endettement il a ma voix et je pense de milliers d algériens

    Thebest
    6 février 2019 - 11 h 14 min

    Un putch militaire aussi rose soit il, est la pire chose qui peut arriver à l’Algérie. Ces militaires en tenues de civile, roulent forcément pour une puissance étrangère qui leur garantira une légitimité et ne pas tomber dans le scénario vénézuélien qui fait face au boycott économique et financier qui fragilisera le pouvoir en place. Ce qui est certain, la France est très hostile a Bouteflika et chakib khelil, il faut vraiment être dupe pour ne pas le constater. Elle fera tout pour soutenir la candidature de ghediri, et quand on entend rebrab louer les qualités de ghediri, je crois que la aussi tout est clair.

    IDIR
    6 février 2019 - 11 h 10 min

    Excellente contribution, à méditer par toute les parties.
    S’agissant de la candidature de Ali Ghediri, je pense qu’il doit insister beaucoup, voire s’engager solennellement, sur le fait qu’il ne demandera pas de compte aux tenants du pouvoir actuel. Déjà qu’ils paniquent et qu’en leur sein il y a plein de voyous et baltadjis, les menacer c’est les pousser au pire.
    On a pardonner aux égorgeurs on doit le faire avec eux. 3AFA ALLAH 3AMA SALAF et reconstruisons sur des bases saines.

    ☺????????
    6 février 2019 - 11 h 02 min

    J’e n’ai rien à rajouter.
    Sauf de voté pour Monsieur ALI GHEDIRI
    voilà j’ai tout dit.

      Thebest
      6 février 2019 - 11 h 51 min

      Moi, non plus je n’ai rien à rajouter, mais juste qu’il faut voter pour un président civil et non pour un système de généraux dénoncé par l’institution militaire elle même ! l’Algérie c’est le peuple et l’armée pas un groupe de généraux.

      TARZAN
      6 février 2019 - 19 h 44 min

      personne ne connait ghediri pourquoi tu dis qu’il est le meilleur, sur quelle base? un groupe de généraux à la retraite constituent un clan pour diriger l’algérie, qu’elle ce démocrate qui va accepter de donner les clés de notre pays à ce groupe et si toutefois sera élu, on va assister à une désintégration de notre armée et d’une manière irréversible. c’est pas sur la base d’un discours édulcoré en promettant monts et merveilles que tel ou tel candidat est le meilleur, mais sur son passé, ses liens, et ses oeuvres. surtout que ce groupe quand il était à la tête de l’algérie, l’algérie était inexistante sur la scène internationale et le maroc est resté impuni au sahara occidental (42 ans le temps de le laisser s’implanter et de s’enraciner profondément rendant son expulsion difficile pour la communauté internationale contrôlée médiatiquement par la france) car ils fermaient les yeux sur cette colonisation scandaleuse et inhumaine. bouteflika a fait un travail absolument phénoménal, car il a donné à l’algérie une base solide de développement et un prestige certain dans le monde qu’on avait perdu depuis 1988. dans ce cas là pourquoi ghediri et non pas rebaine, rebaine au moins je sais qui il est et ce qu’il a fait!

    Zaatar
    6 février 2019 - 10 h 20 min

    Monsieur Mazri, on ne va pas inventer le fil à couper le beurre dans la lecture de la situation catastrophique que vit le pays, que ce soit dans ses institutions, sa politique, sa société ou autre. Cela se résume à H’mida Errachem et Ellaab et toute sa stratégie.

      Abou Langi
      6 février 2019 - 12 h 29 min

      Oui , mais pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer ?

        Zaatar
        6 février 2019 - 12 h 38 min

        Toute la question est là… on espère avoir une réponse.

      Mme CH
      7 février 2019 - 1 h 08 min

      On veut juste changer un Racham par d’autres Rachama dans le café carte noire…!

      « le général-Major à la retraite Ali Ghediri, ayant annoncé sa candidature aux présidentielles algériennes, aurait reçu le soutien de l’homme d’affaires Issad Rebrab. Ce dernier aurait mis à la disposition de Ali Ghediri une villa pour y installer son quartier général de campagne électorale. »

      Issad Rebrab, patron du plus grand groupe industriel privé en Algérie, serait gagné à la cause de Ali Ghediri qui prône « la rupture avec le pouvoir en place » et promet l’instauration d’une deuxième république s’il est élu à la tête de l’État algérien.

      Une rencontre secrète aurait eu lieu entre les deux hommes, dans laquelle ils auraient trouvé des points de convergence et un terrain d’entente pour un soutien financier actif de l’homme d’affaires à l’ancien officier de l’armée algérienne, converti en politique après trois ans de retraite.

      Ainsi, Ali Ghediri se lance dans la course pour El Mouradia avec des soutiens de taille, dont des médias influents, une fraction de l’armée et des personnalités influentes à l’image de Maître Mokrane Ait Larbi, avocat, défenseur des droits de l’homme et cofondateur du parti du Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD), qu’il a fini par quitter. »

      En revanche, plutôt discret dans ses positions politiques, Issad Rebrab ne s’est pas encore exprimé en public pour affirmer ou infirmer ces révélations. Il préférerait, selon nos sources, rester dans l’ombre et soutenir son candidat sans l’annoncer publiquement.

      « La position sûre d’Issad Rebrab serait celle qui s’oppose à un cinquième mandat de Abdelaziz Bouteflika, notamment si l’on sait que l’homme d’affaires a refusé de soutenir le quatrième mandat. »

      Alors dites-nous pourquoi ces Rachama seraient meilleurs que les actuels…!

    Djeha Dz.
    6 février 2019 - 10 h 19 min

    Critiques et propositions, une contirbution très pertinente. Merci Mr Mazri.

    La tulipe
    6 février 2019 - 10 h 14 min

    Je pense que si l’Algérie n’arrive pas à faire une transition générationnelle, elle ne survivra pas. ???? on voit bien que l’ancien système n’arrive plus à se régénérer.

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