Que ressentez-vous ?

procès Ouyahia
Ahmed Ouyahia. D. R.

Par Karim B. – Que ressentez-vous, M. Ouyahia, maintenant que vous vous êtes assis là où vous aviez envoyé ceux que vous aviez accusés de s’être servis dans ce que vous aviez appelé «opération mains propres» ? Des cadres gestionnaires que vous aviez jetés en prison à la pelle pour vous donner l’image du purificateur qui allait nettoyer le pays de la vermine et des ripoux.

Combien sont-ils ces directeurs d’entreprises publiques à avoir subi votre injustice malgré les cris des avocats et des experts qui vous mettaient en garde contre l’abus dont vous vous rendiez coupable, vouant aux gémonies des boucs émissaires à qui vous faisiez porter la responsabilité de vos propres échecs ?

Le témoignage de l’ancien PDG de la CNAN est poignant. Ecroué, humilié, privé de ses droits, il n’a eu de cesse de crier son innocence et d’alerter sur la mauvaise gouvernance de ceux-là mêmes qui l’accusaient d’avoir gravement fauté. Mais, à l’époque, la loi était au-dessous des décideurs, des détenteurs du pouvoir, des pouvoirs. Vos instructions étaient des verdicts sans appel, M. Ouyahia.

A sa sortie de prison, ce PDG broyé continue pourtant de défendre son entreprise qu’il voit chavirer sans pouvoir la sauver car les vieux réflexes sont demeurés intacts. «Depuis que j’ai été mis en prison, aucun de mes successeurs n’a signé quoi que ce soit de peur de me rejoindre dans ma cellule», a-t-il ironisé, le cœur néanmoins serré, dans une série d’interviews à une chaîne de télévision privée. Il en est ainsi de cet autre directeur général d’une grande biscuiterie publique, aujourd’hui entre les mains des Turcs, lourdement sanctionné pour avoir osé s’attaquer à la mafia de la gaufrette. Condamné à cinq ans de prison pour avoir réclamé les lourdes créances de la société laissées par son prédécesseur impuissant, complaisant ou complice, il en passera quatre en prison avant d’être libéré, détruit, abattu, anéanti. Libéré, certes, mais pas des mains de la mafia qui le privera de travail, y compris dans le privé.

Vous voici donc assis à leur place aujourd’hui, face au juge qui vous accuse de faits autrement plus graves. Les visages de toutes vos victimes défileront sous vos yeux gonflés des larmes non pas des déchirants remords mais de votre terrible déchéance.

K. B.

Comment (21)

    fennecdz
    3 mai 2019 - 16 h 01 min

    Moi je pense que Boutef a laissé l Algérie tellement à l envers qu elle ne se redressera pas de sitôt.Le problème c’est gaid salah lui seul peut dénouer le noeud mais comme il est de mèche avec la bande, tout ce qui se passe c’est du vent. Vous créerez quelque chose de sain, il créerons le même en remplacement et le saliront. Avec violence ils seront légitimes avec pacifisme ils s en amuse le pays a été vendu au diable!! une vrai malediction cette famille bouteflika.

    Anonyme
    1 mai 2019 - 17 h 09 min

    Insulté, conspué, hué et même pourchassé , Ouyahia était tombé bien bas, au niveau du caniveau. Même pour un homme vil et encaisseur, il est très difficile de rester ce qu’il croyait être.

    DYHIA-DZ
    1 mai 2019 - 15 h 19 min

    Si ma mémoire est bonne, c’est tous les charlots politiques qui s’acharnaient à réaliser le programme de Bouteflika. C’est quoi au juste ce programme de Bouteflika.

    ANONYME 1
    1 mai 2019 - 15 h 07 min

    Ouyahia est l’assassin qui s’ignore de l’intelligence algérienne.
    Avec certains hommes du pouvoir du clan Bouteflika, ils sont à l’origine de la fuite des cerveaux algériens qui ont fait le bonheur des pays étrangers.
    ce même Ouyahia signe des documents de coopération pour ramener des italiens des français des américains, pour travailler avec des salaires faramineux.
    Alors que parmi ces algériens refusés il y avait des compétences reconnues mondialement à l’étranger.
    Ils ont saigner le pays de ses cadres et de son argent en pillant et donnant à profusion à leurs amis.
    Tout ceci demande des éclaircissements.Sur le pourquoi de ces comportements aberrants et anti nationaux.

      TOLGA - ZAÂTCHA
      1 mai 2019 - 17 h 25 min

      CONFUCIUS disait que pour DÉTRUIRE tout pays il faut procéder aux DEUX choses suivantes :

      1 – La DESTRUCTION du SYSTÈME ÉDUCATIF.
      2 – INSTAURER une CORRUPTION TOTALE.

      Une fois ces DEUX étapes atteintes ce pays est DÉTRUIT TOTALEMENT sans besoin de l’envahir par une armée comme dans une guerre classique.

      Et comme par hasard, c’est exactement ce à quoi le système diabolique de Bouteflika s’est attelé à faire durant deux décennies pour détruire notre cher pays l’Algérie et le réduire à ce qu’il est actuellement.

      Juste pour rappel, ces DEUX méthodes diaboliques sont celles qui sont exactement enseignées par la secte satanique judéo-franc-maçonne pour détruire tout pays à travers le monde.

    Ali El Mili
    1 mai 2019 - 14 h 31 min

    Impossible qu’un ripoux dirigeant puisse travailler avec des personnes honnête, Bouteflika à bien choisi et sélectionner ses collaborateurs, à leurs têtes Si Ouyahia le copieur le tricheur le manipulateur et le corrompu, seule personne qui a refusé les offres et les cadeaux empoisonnés de Bouteflika, c’est Mr Benbitour

    Kahia-DZ
    1 mai 2019 - 13 h 24 min

    Ouyahia aurait dû servir son pays positivement. Ses compétences ont été utilisées dans la destruction et non pas dans la construction.
    Il faut reconnaitre que Bouteflika a réussi le détournement des compétences Algériennes…Mais comment ??
    Le reste a fui le pays…

    MELLO
    1 mai 2019 - 10 h 36 min

    Pas tout à fait d’accord avec vous Mr Bouali, car le système est amplement plus vicié et vicieux. Ouyahia , dont la  » convocation  » est assez médiatisée, est arrivé avec un visage serein , encadré par ses gardes du corps, pour rentrer dans le palais d’injustice . Ouyahia, le juge et le procureur se sont mis autour d’une table garnie de gâteaux , café, thé et autre. Un échange amical, façon de dire que ce peuple qui est dehors peut vociférer comme il veut, il ne connaît pas la profondeur des relations entre membres du système. En l’état actuel, la justice ne s’est pas encore libérée des injonctions de l’exécutif. A sa sortie , Ouyahia semble narguer tout ce beau monde qui l’attendait dehors, d’un sourire narquois, il s’engouffra dans SA VOITURE DE SERVICE, pas dans une Land roover comme ce Rebrab à 75 ans dirigé manu militari vers El Harrach.
    Ouyahia ne peut rien ressentir puisque la pièce de théâtre est bien jouée.

    karimdz
    1 mai 2019 - 7 h 21 min

    De deux, soit il réfléchit à comment se sortir de cette situation, monsieur a de l argent…, soit il est dépité, et médite sur tout le mal qu il a fait.

    A travers l inculpation de tous ces politiciens, ces industriels… qui se sont enrichis sur le dos du peuple, c est la corruption qu’il faudra éradiquer une bonne fois pour toute.

    Ces voyous se sont érigés des fortunes sacrifiant sur l autel de leurs seuls intérêts, des algériens compétents, compromettant le développement du pays.

    Voilà où votre mépris, votre appétit insatiable, votre malhonnêteté vous a mené.

    SI KOUIDER BOUNETEF
    1 mai 2019 - 4 h 36 min

    C’est une roue du rouage, aussi grosse soit-elle, elle n’est pas la principale, c’est une vérité de Lapalisse que de dire l’Algérie est gangrenée par la corruption , avec le temps elle est devenu une institution, tout se traite avec et ce n’est pas d’aujourd’hui, malheur à ceux qui par probité n’ont pas voulu manger de ce pain, ils sont vite mis au pilori, le mécanisme veut que le corrompu devient à son tour corrupteur plus ils sont nombreux mieux c’est, il faut mouiller l’autre pour le neutraliser, dans ce marigot les corrompus se cooptent et chacun à son domaine, il est très rare qu’ils se bouffent entre eux sauf quand un maillon est faible, c’est une élimination naturel, il y a une hiérarchie dans la corruption, ça va du corrompu à la petite semaine qui court pour dénicher les affaires au corrompu invétéré à qui on les apportent, tout dépend de la position qu’il occupe, le corrompu qui traite avec l’international ne se mélange pas avec celui qui fait dans le national même si il a une tendresse toute particulière pour lui et un jour ou l’autre il peut lui être utile , si le corrompu au national est vaillant il peut accéder à l’international pour traiter les grosses affaires avec son lot de récompenses, ouverture de comptes offshore, bien immobiliers etc. les exemples ne manquent pas mais toujours sous l’oeil avisé de son mentor, ceci dit il reste fragile de par sa position dans la société pas comme le corrompu à l’international qui souvent occupent de haute fonction, dans tout ça, il y a autant de corrompus que de branches pourries, il ne faut pas hésiter à élaguer et si besoin est traiter l’arbre par les racines.

    Confidentiel
    30 avril 2019 - 22 h 46 min

    Il fait partie des responsables qui ont aidé des pieds noirs par voie de justice celle de Louh et Belaiz a expulser des familles algériennes modestes de leurs logements pour les « rendre » aux colons d’hier avec la complicité de Louh, Belaiz, Said Bouteflika et d’autre.

    Son fils est associé avec des pieds noirs depuis des années.

    Zine Abidine
    30 avril 2019 - 22 h 20 min

    Je regarde ce qui se passe en Algérie et constate un fait clair: les gens réagissent à des situations par l’émotion et non par l’analyse. Mr Ouyahia , quoi qu’on puisse dire , n’a pas les casseroles de bon nombre de politiciens qui continuent à profiter allègrement et sans vergogne de tout ce qu’ils ont pu engranger. Ils ne sont pas inquiétés. La population a été focalisée sur le personnage qui, c’est un fait, manque cruellement du savoir communiquer.Mais quelqu’un peut il jurer qu’il a des preuves de ce dont il est accusé? La justice en Algérie se réveille après un sommeil de 20 ans avec les mêmes juges qui se refont une virginité! Et si on ressortait leurs verdicts avant cette magnifique révolution? Il s’agit clairement de règlements de comptes et de manipulations grossières. Ne nous laissons pas aveugler : il s’agit de continuer à soutenir les voeux de cette jeunesse : un changement radical avec une Algérie réellement démocratique .

    Antisioniste
    30 avril 2019 - 22 h 11 min

    J’ignore ce que ouyaya peux ressentir en ce moment, mais je sais ce que moi je ressens.
    Je suis inquiet et perplexe, mais je me dois d’abord de remercier nos jeunes artistes, raja mezian, soolking, algerino et beaucoup d’autres que j’ai découvert durant les deux mois passé, et qui ont réussie à faire non seulement le contraire de ce que le pouvoir nous a fait endurer, mais ils/elles ont grâce et juste avec leur voix respectif donner une image réel de notre peuple au monde entier. Qui de ceux qui nous ont « gouberner » pendant 57 ans a pu faire le 1 dixième de ce qu’ils/elles ont fait avec tout simplement leur voix qui est désormais sur tous les continents de la planète, et en quelques jours seulement pour certains?
    Je suis inquiet et je ne sais plus quoi faire, pourtant il faut bien que je fasse quelque chose parce que marcher et scander des slogans ne suffit plus d’une part, et d’autre part ça commence vraiment à virer vers l’improductivité, ce qui est en soit un BIG problème que nous devons résoudre dans les plus brefs délais. Mais que pourrais-je faire tout seul ? Que pourrait vous faire tout seul E ? Quand je regarde les moyens qu’il nous faut pour réussir, je les vois tout autour de moi et en chacun E de nous, pourtant ça semble se bloqué quelques part. Avant ils nous p….. dessus sans se donner la peine de nous dire qu’il pleut, maintenant c’est pareille encore plus ou moins, mais on vient nous faire un bulletin météo quotidien dans l’espoir illusoire de nous voir renoncer abandonner et les croire.
    Qu’est ce qui se passe non pas chez eux, mais en nous ? Avons-nous peur ? De qui et de quoi ? Nous sommes des millions combien sont-ils eux ? Nous somme pacifique ils sont violent, ils sont rusé mais on est plus futé. Ils l’ont compris et ils ne savent plus à quel saint ou satan ils doivent se vouer et se dévouer. Je vous le dis sincèrement nous avons très peu de temps pour designer des représentants apolitique et compétant. Là je ne parle pas uniquement de diplômes ou de personnalités connu, car ses représentants ne vont pas avoir à faire la transition, mais juste être nos interlocuteurs délégués, nos portes paroles en face de ceux qui tiennent les rênes encore aujourd’hui afin qu’ils soient sure de notre détermination et notre volonté à atteindre nos objectifs principaux avant tout.

    Compté sur les partis politique existant avec leur déclaration et leur rhétorique serait une grave erreur. Ils ont tous prouvé magistralement leurs limites et leur incapacité à s’entendre entre eux, alors que la révolution était déjà en marche toujours et encore, mais sans eux.
    Attendre que ceux qui tiennent le pouvoir nous impose leur feuille de route qui desservira notre cause juste et noble. Alors qu’ils n’arrêtent pas de nous embrouiller avec leurs grotesques manœuvres et leurs diverses diversions, telles les soit disant arrestations et enquêtes « à huit clos » en laissant libre court aux islamistes et aux makistes le champ libre de créer le buzz et l’inquiétude etc… Si on persiste à nous adapter à leur stratégie machiavélique la peur et la panique qui les anime depuis le 22 février c’est à nous qu’ils vont la transmettre, et elle commence déjà à s’installer tel un ver dans certains esprits qui redoute de se porter volontaire par peur de se retrouver seuls face à ses prédateurs mégalomanes et en plein panique. Je suis inquiet de voir que depuis le 22 février aucunes wilayas (excepter Tizi si on m’a dit vrais) n’a pu faire émerger de son sein deux citoyen avec le profil dont j’ai parlé. Comment peut ont sortir par millions chaque vendredi et être incapable de choisir deux citoyen ou citoyennes dans chaque wilayas ? La récupération ou le détournement de cette belle révolution inédite sont déjà en marche. Je m’adresse à vous tous et toutes mes chers compatriotes, il nous reste assez de temps pour que nous lecteur/lectrices d’AP ainsi que l’équipe entière de ce journal nous puissions organiser cette désignation de représentants légitimes du peuple par le biais de ce journal sans nous présenter comme postulants, mais comme conseillers et accompagnateurs de ses délégués du peuple, ça nous pouvons le faire si necessaire. Nous avons deux choix possible pour le moment, le premier c’est d’appliquer la méthode d’Alexandre avec le nœud gordien on commençant des maintenant, quant au second choix (qui est le pire) c’est de continuer à faire des joutes verbales en attendant l’arrivée de godo qui n’arrivera jamais.
    A vous de voir ce que nous pouvons et devons faire, parce que si nous ne faisons rien nous leur donnons (à EUX) la chance dont ils osent à peine rêver, celle de les laisser faire, et retour à la case départ….
    Est-ce que c’est ça que nous voulons ?

      Zaatar
      1 mai 2019 - 6 h 04 min

      Content de te lire l’ami antisioniste.
      Une représentation du peuple de toutes les wilayas par quelques est l’unique solution qui mettrait fin aux agissements diaboliques de ce système et mettrait au pas Gaid Salah avant de l’éjecter. C’est exactement ce que nous avons préconisé il y a peu de temps. Une dizaine ou une quinzaine de personnes de chaque wilaya qui seront les représentants et le tampon de tout le peuple Algerien. Ainsi tous les autres représentants de toutes les institutions officielles seront hors-jeu.

      karimdz
      1 mai 2019 - 8 h 01 min

      Bonjour cher compatriote,

      Tout d abord je tenais à te dire que j aime bien ton pseudo anti sioniste, étant un anti sioniste convaincu.

      S’agissant de notre pays, je peux comprendre l impatience du peuple, mais démonter tout un système, ce n est pas évident, cela ne se fait pas d un coup de baguette magique. La révolution française ne s est pas faite un un seul jour, loin de moi l idée que la notre mette 10 ans. Force est de constater que la révolution est en marche, il n y a pas de 5e mandat, le peuple souverain exprime son désir de changement dans la rue, la justice fait son travail… Personnellement je n en veux pas à Gaid Salah, qui se démène comme il peut, mais surement et sans l’ANP rien ne sera possible, autant être main dans la main, comme le crie le peuple : « djeich chaab, khawa khawa ».

      La solution non sans risque et périlleuse que nos ennemis espèrent, c’eut été de choisir la violence. Fort heureusement, hamdoulilAh, les algériens sont lucides et ont conscience que cette voie sera pire qu autre chose, et sonnera le glas de cette révolution au demeurant pacifique.

      Il faut comme je l ai dit, et tu mets l accent dessus, que le peuple algérien choisissent ses représentants. La encore, ce n est pas chose simple, les sauveurs de la première heure sont nombreux. Il va falloir distinguer les honnêtes gens, intègres, désintéressés si ce n est de servir le pays et le peuple, des autres opportunistes.

      Si on veut mettre donc en place un conseil de transition avec la participation du général Gaid, c est qu il faut donc d abord choisir les représentants du peuple sur la base de critères crédibles. Il faudra s ‘arrêter sur un nombre de candidats forcément.

      Les algériens peuvent réfléchir sur la manière de les élire, cela peut se faire sur un site neutre, un site sondage en ligne, où les candidats se feraient connaitre, et seraient soumis au verdict du peuple.

      Je pense que l une des pressions supplémentaires dans le palier des actions du pacifisme, c est de menacer de faire une grève générale et cela pourrait faire mal. Imaginons, tous les activités du pays sont bloqués, plus d avion plus de communication, plus rien…

      Bon espérons que d’ici quelques jours, nous aurons d autres bonnes nouvelles.

      Antisioniste
      1 mai 2019 - 18 h 48 min

      Salut les amis pareillement pour moi mon ami Zaatar après qu’AP nous a foutu un peu la trouille, en effet je ne vois pas d’autres solutions que l’émergence de représentants légitime du peuple de toutes les wilayas. Quant à la question de l’impatience je ne crois pas que s’en est une, c’est plutôt du réalisme mon ami karimdz, car comme l’a dit notre ami Zaatar les dés sont pipé si hmida est toujours de la partie, c.a.d qu’il faut qu’il soit neutralisé.

    Algerien Pur Et Dur
    30 avril 2019 - 21 h 41 min

    Il faut aussi se demander ou sont passes les bateaux de la CNAN. Des sommes colossalles ont ete deboursees pour les acquerir. AP devrait faire une enquete la dessus. Le mal fait par Bouteflika et son clan est partout. Il s’est dissemine partout a atravers l’economie et la societe. Pire que les radiations de chernobyl.

    Zaatar
    30 avril 2019 - 21 h 30 min

    Que ressent il? Réponse: comme le Ratel, rien. Aucun ressenti même a une morsure de serpent.

    Kenza
    30 avril 2019 - 21 h 06 min

    Inchaallah ses deux enfants , aussi pourris que lui, ne vont pas tarder à être présentés devant un juge.

    Djoundi
    30 avril 2019 - 20 h 36 min

    Pourquoi perdre notre temps à parler de cette vermine humanoïde qui n’a ni âme ni science ni conscience ? Deux lignes suffisent pour décrire ce résidu sans foi ni loi.

    DZA
    30 avril 2019 - 20 h 18 min

    Pour ressentir, il faut avoir des états d’âme, des sentiments. Or cet individu, imbu de sa personne, prétentieux comme personne, menteur, sans vergogne. L’homme des sales besognes, de la planche à billets, ne reconnaîtra jamais ses torts. L’avidité et l’ambition démesurée jouent de sales tours.
     »Ma yeb9a fel oued ghir 7djarou »

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