L’exemple vient d’en haut. Les citoyens oublient que ceux qui trafiquent portent préjudices à l’économie nationale, à l’intérêt général et quand ils ne paient rien, la facture sera reportée sur les futures générations gonflant l’ardoise un peu plus chaque jour.
A ce que je sache tous les euros, dollars et autres livres qui s’échangent au su et au vu de tout le monde, y compris les autorités sécuritaires et financières, sont destinés à être « exportés » un jour ou l’autre par centaines, par milliers ou par millions. Donc mettre fin à ce trafic de grande envergure doit commencer par l’éradication des marchés, officines et lieux de change sauvage connus et identifiés par tous. Se limiter juste aux postes frontières est presque un encouragement indirect à ces trabendistes de la devise.
J’ai appris aujourd’hui que la Suisse livre à la France 40 000 fraudeurs, pourquoi pas pour l’Algérie ? Récupérer toutes ces fortunes détournées par des responsables algériens dans des banques Suisse.
Trois millions d’Euros saisis en sept mois, c’est une goute dans un océan;certes dans certains Aéroports la surveillance est de rigueur;mais par les ports et les frontières terrestre c’est la passoire nos fonctionnaires chargés des nos frontières,pratiquent toujours l’ancien sport favoris la corruption les affaires, l’enrichissement rapide,le chantage et el hogra;j’ai passer plus de douze heure d’attente sans me laisser passer en mois de Ramadan, parce que j’ai refusé d’etre racketter par un inspecteur de douane dans une frontière terreste
c est une pratique ,voire un fléau ,a laquelle les gens sans foi ni loi s adonnent impunément a moins que toutes les places du change parallèle soient investies par des informateurs , PRG FISC, Offices spécialisés etc,pour identifier les contrevenants et sur l origine de leurs ressources en dinars.
Comment (9)