Exclusif – L’anthropologue Farid Belkadi raconte son combat pour la mémoire

B. Farid Belkadi
Ali Farid Belkadi : «J’ai pris le crâne de Boubaghla dans mes mains et j’ai lu la Fatiha». D. R.

«Mon travail de recherche au MNHN n’a jamais été fortuit, comme l’ont affirmé certains. Il est exceptionnel, né d’une maturation obstinée, opiniâtre, lente et progressive», affirme l’anthropologue Ali Farid Belkadi qui a été le premier Algérien à tenir le crâne de Cheikh Boubaghla dans ses mains. «Le premier jour, j’ai pris le crâne de Boubaghla dans mes mains et j’ai lu la Fatiha (premier verset du Coran, ndlr) devant les responsables du MNHN, Phillipe Mennecier et Alain Froment», confie-t-il dans cette interview exclusive à Algeriepatriotique. Sa tâche n’a pas été facile et son travail consciencieux, qui a abouti au rapatriement d’une partie des crânes des résistants algériens détenus par la France pendant plus d’un siècle et demi, n’a pas été vain. Son but : encourager les Algériens à œuvrer pour la mémoire et contre l’oubli.

Algeriepatriotique : Vous vous êtes battu pour la restitution des crânes des résistants algériens. Que ressentez-vous maintenant que votre combat est couronné par leur rapatriement ?

Ali Farid Belkadi : Je suis heureux du dénouement de cette sinistre affaire du Musée national d’histoire naturelle (MNHN) de Paris et, plus particulièrement, d’avoir pu unir tous les Algériens autour de ce thème fédérateur. Au moment où l’Algérie fête le 58e anniversaire de la fin de l’oppression coloniale et les valeurs pérennes de Novembre. L’Algérie a oublié ses soucis le temps de mettre en terre les restes mortuaires de ces lointains et valeureux guerriers. Il faut voir ce retour des crânes de nos martyrs comme une bonne fortune qui permettra de rédiger autrement, pour les futures générations, notre histoire nationale mise sous le boisseau par les clans.

Il n’y a pas si longtemps, les responsables du MNHN étaient contre le retour des restes mortuaires en Algérie. Les Algériens, qui ont des liens compliqués avec l’ancienne colonie, ont appris à se méfier des repentirs tardifs et des remords déviés. Nous sommes les héritiers d’une longue tradition de luttes acharnées pour être de plus en plus haut, de plus en plus forts, c’est cela l’Algérie.

Le traitement abject de nos héros par la France n’a jamais soulevé de profondes questions morales ou philosophiques de la part des intellectuels français. La patrimoinisation des restes humains pose la question des limites des concepts de propriété inaliénable appliquée aux restes mortuaires des résistants algériens, auxquels la France a toujours refusé l’inhumation.

Ma pensée, en ces jours de recueillement national, va au khalifat de l’Emir Abdelkader, Al-Djoudi, mon ancêtre du côté maternel, qui s’était exilé en Orient dans les années 1850, en même temps que des centaines d’autres Algériens qui avaient refusé de vivre sous le joug des Français. Al-Djoudi a fini ses jours à Haïfa, en Palestine occupée. Le cimetière où il reposait a été démoli par les juifs en 1948.

Vous avez recensé 536 restes mortuaires. Appartiennent-ils tous à des Algériens ?

Les crânes appartiennent tous à des Algériens, qu’ils soient contemporains, comme Boubaghla, Al-Titraoui, etc., ou à ceux d’autres époques, quand notre pays ne portait pas encore le nom Algérie. Je les ai répartis par ères. Viennent d’abord nos martyrs de la longue lutte de libération, qui a débuté avec l’annonce de Charles X de la formation d’une expédition à Alger au début du mois de mars 1830, et qui s’est achevée le 19 mars 1962 par notre victoire. Il y a les crânes des martyrs de Zaatcha, au nombre de soixante-dix. A ceux-là s’ajoutent ceux de la résistance du grand chef Ahmed Bey de Constantine, tombée aux mains des Français le 13 octobre 1837 après une farouche résistance.

D’autres crânes appartiennent à l’Antiquité, ainsi qu’à l’époque néolithique, parmi lesquels un grand nombre sont originaires de la nécropole mégalithique de Roknia (Guelma), la plus importante du Maghreb, voire de France par le nombre de dolmens. Nous avons des spécimens de ces mégalithes à Aïn Benian (ex-Guyotville), à El-Djamila (ex-La Madrague) qui est de nos jours envahie par le béton. Toutes les régions d’Algérie ont payé l’éco-contribution aux collectionneurs du MNHN de Paris. Les Français ont vidé l’Algérie de tous ses biens, dont les stèles puniques du musée du Louvre dont j’ai effectué l’inventaire.

Tous les crânes qui ont été rapatriés à Alger ont été identifiés par moi-même, d’après mes travaux au MNHN, confirmés par des lettres de l’époque. Le tout a été remis par moi-même à l’ex-ambassadeur, Abdelkader Mesdoua, ainsi qu’à la commission lors de nos réunions.

Concernant le crâne de Mohamed Ben Hadj, mort à l’âge de 17 à 18 ans, tout est dans la base de données du MNHN, il n’y a rien d’autre à rajouter – «MNHN-HA-299. Mohamed Ben Hadj. Kabyle de la grande tribu des Béni-Menacer, prisonnier de guerre, mort à Alger le 8 mai 1843, don Flourens, coll. Guyon, chirurgien de l’armée d’Afrique» – et ainsi de suite pour les 24 crânes rapatriés. Lors de la dernière séance au musée de l’Homme, j’ai identifié 4 crânes, dont celui d’un ancêtre de Dalil Boubekeur, l’ancien recteur de la Grande Mosquée de Paris. Je lui ai adressé un courrier, il m’a chaleureusement remercié.

Sur les vingt-quatre crânes rapatriés, seulement trois appartiennent aux résistants de Zaatcha. Y en a-t-il d’autres ?

Il y en a bien plus. Mon dernier inventaire indique la présence au MNHN de soixante-dix crânes originaires de Biskra, ils appartiennent tous aux résistants de Zaatcha qui ont été décapités à la fin du siège de l’oasis par les soldats du corps expéditionnaire français. C’est parmi ces crânes qu’il faudra rechercher la tête d’Al-Hassan Bouziane, décapité en même temps que son père, Cheikh Bouziane, et Moussa Al-Darkaoui. Les trois têtes ont été fichées sur des baïonnettes avant d’être exposées sur la place du marché de Biskra. La commission algérienne, à laquelle j’ai remis tous mes documents, n’en a pas tenu compte. Je n’ai pas été convié à certaines prospections de cette commission qui a procédé par tâtonnements et atermoiements. Je le dis et je le répète : les Algériens ne savent pas ou ne veulent pas travailler ensemble. C’est dans nos gênes, nous sommes tous des rab al-meqla (chefs autoproclamés et connaît-tout, ndlr).

Et la résistance constantinoise ?

Il faut, en effet, signaler aussi le cas des crânes du site de Koudiet-Aty, conservés au MNHN. Il s’agit de crânes collectés lors de la prise de Constantine en 1837. Koudiet-Aty fut le lieu choisi par les médecins militaires et les collectionneurs français pour y entreposer les crânes des résistants algériens avant leur transport vers la France.

Seules des recherches approfondies dans les archives du muséum permettront de savoir – si elles sont tentées et menées professionnellement à leur terme – s’il s’agit de crânes collectés par Edmond Vital, le médecin-chef de l’hôpital de Constantine, qui amassait les têtes des chefs de la résistance, dont celui de Cherif Boubaghla, ou bien s’il s’agit de guerriers d’Ahmed Ben Mohammed Cherif, plus connu sous le nom d’El-Hadj Ahmed Bey, le dernier bey de Constantine, mort le 30 août 1851 et enterré au Mausolée de Sidi Abderrahmane à Alger.

La commission mixte dont vous êtes membre continue-t-elle de travailler pour rapatrier d’autres restes mortuaires appartenant à des Algériens ?

Il reste beaucoup à faire. Là, nous changeons de catégorie, de genre, d’espèces. Il faudrait une autre approche de ces ossements. Les connaissances culturelles approximatives ne suffisent pas pour aborder d’autres séries d’ossements qui appartiennent à l’histoire lointaine du pays, à l’Antiquité et au Néolithique, qui viendront enrichir les sources et encourager les historiens et les archéologues en leur donnant des lignes directrices de recherche. Les doctorants algériens ont dès à présent du pain sur la planche. Je peux les y aider. La commission doit être capable d’interpréter le plus fidèlement possible le passé lors de ces nouvelles identifications liées à l’Antiquité. L’Algérie est le pays des évènements spectaculaires, insaisissables. Mais, hélas, j’ai de plus en plus la conviction ferme que les Algériens ne savent pas travailler ensemble, ou alors, ils ne le peuvent pas ou ne le veulent pas. Je crois que je devrais écrire un livre sur les innombrables embûches dont on a parsemé mon chemin dans cette affaire du MNHN. Les règles de déontologie sont vaines, à quoi bon le rappeler ?

Pouvez-vous nous raconter les dernières heures qui ont précédé le transfert des crânes des résistants algériens ce vendredi, la veille de la célébration de la Fête d’Indépendance ?

Je n’y ai pas assisté. L’ambassade et la Présidence m’ont appelé afin que je fasse partie de la délégation qui accompagnerait le retour des crânes au pays, j’étais à ce moment-là dans un train qui roulait vers l’Espagne où je me trouve encore. Je n’ai pas besoin de publicité.

Avez-vous rencontré des oppositions dans votre travail dans le cadre de cette commission ?

Oui, dès le départ. M. Abdelkader Mesdoua, l’ex-ambassadeur d’Algérie en France, m’a affirmé qu’il avait insisté personnellement auprès de certaines autorités pour que je fasse partie de la commission scientifique. Ceux-ci étaient farouchement opposés à ma présence au sein de la commission. Je suis pour la deuxième République, voire même pour la troisième en sautant la deuxième. Je n’ai jamais su le nom de cette personne ou de ces personnes qui n’ont pas fait appel aux meilleurs spécialistes de la question.

Qui a décidé qu’il fallait réunir vingt-quatre crânes et qu’il fallait s’arrêter à ce chiffre ? Mystère.

J’ai fourni à cette commission la liste soignée d’une soixantaine de crânes, ainsi que la plupart des documents en ma possession, sinon tous, sans aucune contrepartie, dont trois inventaires successivement. Auparavant, j’ai répondu à la demande de M. Djamel-Eddine Miadi, responsable au ministère des Moudjahidine. Des documents sans cesse revus et augmentés, mis à jour, ainsi que des copies de lettres exceptionnelles et confidentielles, datant des années 1840-1850 et des années suivantes, que les collectionneurs et les donateurs de crânes s’adressaient entre eux. Comme on dit vulgairement, j’ai mâché le travail. J’ai même rectifié des niaiseries et des balourdises des collègues, dans un rapport interne de vingt pages adressé à chaque membre de la commission. M. Amine Mokhtar Khelif, l’actuel ambassadeur d’Algérie en Croatie, pourra en témoigner. De même que M. Abdelkader Mesdoua. Outre des personnes que je ne nommerai pas.

Voici un exemple de correction de ces erreurs rectifiées par moi : «Dans la liste qui doit être remise au MNHN, il serait plus logique d’indiquer le type d’ossements que l’on demande. Préciser, par exemple, s’il s’agit d’un crâne complet avec maxillaire inférieur (a.m.i.) ou sans maxillaire inférieur (s.m.i.) ou encore calva+base, etc. Ceci, conformément à la classification scientifique qui organise les hiérarchies et les extensions en genre/espèce/variétés/particularités, etc. Dans le cas du MNHN, il ne sert à rien de dire que tel ou tel individu est mort d’une pneumonie ou «mort âgé» ou d’un «mal de dents», etc. Dans un contexte scientifique, cela dénote un amateurisme certain au sein de notre délégation. A éviter donc.»

Les autorités françaises vous ont-elles facilité la tâche ?

Ma reconnaissance et ma haute estime vont à Philippe Mennecier et à Alain Froment, respectivement chargé de conservation de la collection d’anthropologie biologique et directeur scientifique des collections d’anthropologie du MNHN de Paris, pour m’avoir facilité l’accès à la collection où sont rassemblés les restes mortuaires des résistants algériens détenus par leur institution. Ceci, dès le mois de mars 2011. Sans oublier la sénatrice Catherine Morin-Desailly qui m’a reçu au Palais du Luxembourg pour m’expliquer, autour d’un café, la démarche suivie par elle pour le retour des crânes Maoris de la Nouvelle-Zélande.

Plusieurs années ont passé depuis que la commission mixte a été mise sur pied pour voir enfin les premiers crânes «libérés». Qu’est-ce qui explique cette lenteur ? Sont-ce des raisons scientifiques liées aux recherches ou des considérations politiques ?

Des pratiques politiques pour des raisons électorales ou autres. Il aura fallu attendre l’arrivée d’Emmanuel Macron, initiateur d’une autre mentalité politique française, pour voir les choses s’éclaircir. François Hollande repoussait les solutions toujours vers l’arrière, en cachant la poussière sous le tapis. L’agressivité nouvelle des Algériens dans la gestion des affaires étrangères a fait le reste. Mais on ne sait trop le comment ni le pourquoi. Les voies du seigneur sont impénétrables, dit-on.

Y a-t-il des restes mortuaires d’Algériens ailleurs qu’en Métropole ? Dans les départements français ultramarins, par exemple ?

En ce qui concerne la déportation des Algériens en Nouvelle Calédonie, il faut se reporter aux archives de Max Nettlau, collectionneur et historien allemand. Celui-ci a récupéré, en 1903, le registre des décès et des libérations de déportés, parmi lesquels des Algériens, entre 1872 et 1879. Il y a un cimetière musulman à Bourail Nouvelle Calédonie où sont enterrés les Algériens morts en déportation. Des Algériens morts de la peste dans cette île du Pacifique ont été décapités et leurs ossements ont été envoyés en France à des fins d’études médicales, en même temps que les ossements de certains déportés français de l’insurrection de la Commune de Paris en 1870. J’ai fourni cette piste à la commission scientifique algérienne, dont les noms de médecins qui se sont intéressés au sujet. Ces crânes sont dispersés en France, dans des hôpitaux et les facultés de médecine. Le Muséum de Paris n’en détient pas ; c’est le Dr Alain Froment, responsable au MNHN, qui me l’a certifié.

Les médias égyptiens ont assuré une large couverture au rapatriement des crânes des résistants algériens. Parmi ces restes mortuaires, se trouverait un crâne appartenant à un Egyptien qui a combattu aux côtés des résistants algériens…

Effectivement. Il s’agit du saint patron Moussa Al-Darkaoui. Je suis à l’origine de cette information transmise aux Egyptiens. Le 26 décembre 2016, j’ai adressé un courriel à deux journalistes égyptiens du journal Al-Ahram, Ahmad Al-Sayed Al-Naggar et Fouad Mansour, dans lequel je leur ai révélé le parcours singulier de Moussa Al-Darkaoui. D’ailleurs, tout un chapitre est consacré à cette histoire dans mon livre Boubaghla, le sultan à la mule grise. La résistance des Chorfas, paru aux éditions Thala en novembre 2014. L’Egypte est un pays frère. Dans les moments durs de la Guerre de libération nationale, les Egyptiens étaient à nos côtés. Tout comme les Algériens furent à leurs côtés dans les guerres qu’ils menèrent contre Israël. J’ai entretenu un blog pendant des années consacré à cette affaire. Effacé depuis. J’ai écrit des dizaines de textes pour sensibiliser les Algériens. De même que j’ai tenu quotidiennement une page sur Facebook à ce sujet. Fermée depuis. Toutes les photographies des crânes sont ma propriété, y compris celles qui ont été diffusées par les chaînes de télévision et publiées dans les journaux, que ce soit en France ou en Algérie. Il aurait été indécent pour moi d’exiger une quelconque compensation. J’ai juste demandé que mon nom figure sur ces photos. Généralement, on «oubliait» de me citer.

Ce qui compte, c’est l’action et non pas le fruit de l’action.

Je tiens aussi à préciser que mon travail de recherche au MNHN n’a jamais été fortuit, comme l’ont affirmé certains. Il est exceptionnel, né d’une maturation obstinée, opiniâtre, lente et progressive. Une période de prospérité intellectuelle et la petite étincelle qui vous fait signe au loin. Autrement dit, c’est la baraka. Si j’avais été chef de guerre, j’aurais gagné une belle bataille, je crois. La miséricorde que le Seigneur des mondes octroie à ses créatures, personne au monde ne peut la raturer ou l’effacer. C’est écrit dans mon génome et mon patrimoine génétique. Le premier jour, j’ai pris le crâne de Boubaghla dans mes mains et j’ai lu la Fatiha (premier verset du Coran, ndlr) devant les responsables du MNHN, Phillipe Mennecier et Alain Froment.

Un mot pour finir ?

Au moment de l’arrivée des crânes à l’aéroport d’Alger, j’ai reçu un appel téléphonique de ma nièce, âgée de 7 ans, qui m’a dit, très excitée : «Tonton, félicitations, c’est le plus beau jour de ma vie !». Je dédie le fruit de tous ces efforts aux Algériens de toutes les conditions, de toutes les opinions et de tous les milieux, afin qu’ils se rappellent. Pour mémoire, contre l’oubli !

Interview réalisée par Karim B.

Comment (26)

    Casbi
    10 juillet 2020 - 12 h 45 min

    Un GRAND MERCI a Ali Farid Belkadi. Je le dis et ne cesse de le redire, vous avez retabli en moi la foi en l’humanite. Vous avez vraiment gagne UNE BELLE BATAILLE et m’avez redonne l’espoir que tout n’est pas perdu dans notre pays. Par votre geste vous avez comble de joie votre niece mais aussi tout le peuple algerien. Allah Yarham echouhada.

    Aouina
    10 juillet 2020 - 7 h 15 min

    Merci merci à Ali Farid Belkadi dont j’ai lu beaucoup d’articles et des extraits de son livre sur Boubaghla.
    Pour moi c’est l’acteur principal du retour des « restes » des résistants …
    Je suis entièrement d’accord avec ses commentaires sur le travail entre algériens, sur les nombreux vols commis par la France coloniale, sur les résistances et blocages en Algérie quant à la recherche de la vérité.
    On aurait pu s’attendre à mieux après l’indépendance … c’est ainsi et nous ne pouvons rien faire d’un coup de baguette magique.
    Les réactions des internautes sont une manifestation de ces préoccupations : tourner autour du pot et noyer le poisson parce que cela évite de se poser les vraies questions et d’avoir à y répondre.
    Concernant les sites mégalithiques (dont celui de Roknia), il y a un nombre impressionnant en Algérie, il suffit d’aller sur le web (et taper « sites mégalithiques en Algérie »). D’après certaines publications, l’Algérie (et plus spécialement l’est de l’Algérien) renfermerait plus de sites que toute l’Europe, mais n’a pas de sites comme Stonehenge ou Carnac.
    Sur Wikipedia :

    Nécropole mégalithique
    Sigus dispose également d’une vaste nécropole mégalithique qui remonte à l’ère protohistorique, phase intermédiaire entre la Préhistoire et l’Histoire, marquée par l’avènement des toutes premières manifestations architecturales, donc du passage de l’état nomade à la sédentarisation.
    Elle s’étend de la plaine de Fesguia au sud-ouest à Redjie, Safia au Sud-Est du village.
    Ce site, contient des sépultures très rares (dolmens, menhirs, cromlechs). Le dolmen aux trois menhirs est unique au monde. Ces vestiges de monuments antérieurs à l’occupation romaine et dénommés tantôt celtiques, tantôt mégalithiques par les explorateurs, sont au nombre de 1200.
    Il s’agit donc d’une population de près de 5000 individus. Aujourd’hui, il reste, selon des spécialistes qui évoquent un véritable massacre, à peu près, 50 ou 60 monuments éligibles à la réhabilitation.

    Il faut rapidement constituer des associations culturelles de fouilles et pousser les pouvoirs politiques à intervenir pour protéger ces sites en attendant d’organiser des fouilles.
    Au lieu de cela, les seules fouilles qui se font actuellement sont le fait de délinquants et de voleurs : dernièrement encore des milliers de pièces de monnaie ont été récupérées par les autorités volées sur des sites romains dans l’Est algérien et une grande partie de la population participe à ce pillage (les pièces sont revendues en Europe ainsi que les statues).
    Il y a des centaines ( voire des milliers), de sites romains, puniques , byzantins qui méritent qu’on y organise des visites (lycéens, écoliers, étudiants, touristes …).
    J’ai visité de très nombreux sites (romains, puniques, mégalithiques) parfois seul, des musées … … avis aux amateurs. C’est une façon saine et constructive de connaître son pays au lieu de passer du temps sur internet à vous insulter.

    La Censure Même Chez ... Algérie Patriotique , Le Comble !
    9 juillet 2020 - 14 h 23 min

    @La Tomate, @Nacer, @Nadir etc ..etc , je vous fais la même réponse que j’ai déjà faîte à @Elephant Man et qui est la suivante :

    « Sur cette fatiha, on peut certes la réciter en son fors intérieur, tout ce qu’on veut, mais ce sont des choses intimes qu’on ne dit pas, qu’on ne divulgue pas, qu’on ne révèle pas, qu’on ne raconte pas surtout dans le cas d’espèce, en pareille circonstance, sauf si il y a derrière un objectif inavoué ! Ce serait bien que les musulmans apprennent la discrétion, la circonspection et l’humilité dans certaines circonstances (je dis bien dans certaines circonstance), cela ne fait pas de mal car de toute façon Dieu entend le cœur des hommes même dans le silence. Et çà, un anthropologue le sait aussi. C’est tout ce que je voulais dire par ma façon de réagir …(qui ne doit pas être obligatoirement celle des autres, je ne suis pas un mouton de Panurge que je sache )

    PS : je vous laisse le temps de « méditer » ma réponse !

      La Tomate
      9 juillet 2020 - 18 h 58 min

      « … ont dû rire sous cape … » alors que vous n’étiez pas présent, est pour moi une insulte gratuite en remerciement de tout ce qu’il a fait.
      Inutile de tergiverser il est de votre devoir et honneur de présenter vos excuses. Il n’a aucun mal pour ça, bien au contraire.

      PS : je vous laisse aussi le temps de « méditer » ma réponse !

    Algeristan version futuriste
    9 juillet 2020 - 6 h 44 min

    Supercherie toute arabo-arabe. 1- ils invente boubaghla révolutionnaire arabe pour réajuster leur trone en disgrace, pour mieux atteler à la ligue arabe il réussit à trouver un crane d’Egyptien. Quoi de plus benbelliste et benbadis!?
    (…)

      Veristan
      9 juillet 2020 - 14 h 40 min

      Cet arabo-arabe était le chef de la guerilla de Lalla Fatma N’Soumeur! qui elle a été trahie par les siens… A méditer

    La censure même chez ... Algérie Patriotique , le comble !
    8 juillet 2020 - 18 h 12 min

    Merci de me censurer à tout prix,….. je me demande pourquoi

    J’ai une seule réaction comme réponse à la suite de la lecture de cette interview ! Phillipe Mennecier et Alain Froment responsable au Musée national d’histoire naturelle (MNHN) ont dû rire sous cape quand il ont vu notre anthropologue Ali Farid Belkadi lire la « Fatiha » devant un crâne. Je le comprendrais à la limite si c’est un crâne d’un membre de sa propre famille.
    Imaginez des anthropologues de confession chrétiennes ou Hindous ou autres, récitaient un passage de l’Evangile ou de la Bible ou de leur livre sacré respectif chaque fois qu’ils déterrent des sépultures ou des restes d’os des combattants de leur propre pays ! Mais c’est quoi ce ridicule ?

    PS : je respecte toutes les sépultures, surtout ces crânes de nos résistants contre la conquête française, mais faire ce type de cinéma çà me dépasse personnellement.

      Elephant Man
      8 juillet 2020 - 18 h 35 min

      @ LE COMBLE !
      Et Valls Sarkozy Cazeneuve Hollande..avec la kippa tu « vache qui rit » sous cape ?!!

        Anonyme
        9 juillet 2020 - 2 h 35 min

        Je pense pour plusieurs raisons; Boubaghla fut un chef de Zaouia, mais surtout personnelle, Monsieur Belkadi est un descendant des chefs de royaume de Koukou ou Ath elkadi dont le chef fondateur Ahmed oulkadi. ne pas oublier que le Kadi est un juriste de droit musulman.

        La Censure Même Chez ... Algérie Patriotique , Le Comble !
        9 juillet 2020 - 10 h 19 min

        @Elephant Man, oui je suis un parent à Walls, où est ton problème. Sur cette fatiha, on peut certes la réciter en son fors intérieur, tout ce qu’on veut, mais ce sont des choses intimes qu’on ne dit pas, qu’on ne divulgue pas, qu’on ne révèle pas, qu’on ne raconte pas surtout dans le cas d’espèce sauf si il y a derrière un objectif inavoué ! Ce serait bien que les musulmans apprennent la discrétion, la circonspection et l’humilité dans certaines circonstances, cela ne fait pas de mal car de toute façon Dieu entend le cœur des hommes même dans le silence. Et çà, un anthropologue le sait. C’est tout ce que je voulais dire par cette façon de réagir ! PS : j’ai pris ce @pseudo après plusieurs envois à Algérie Patriotique, et au bout du compte je le remercie de m’avoir publier enfin ! Bon courage aux citoyens du monde

        Crâne
        9 juillet 2020 - 14 h 46 min

        On peut rajouter les Boualem Sansal et Ali Dilem qui s’ébahissent au pied du Mur des Lamentations…

      La Tomate
      8 juillet 2020 - 19 h 23 min

      Les responsables du MNHN ont dû rire sous cape est juste ton point de vue, sans plus.
      En tant que « pas très » religieux je respecte son geste avec humilité, J’ai vu des milliers de chrétiens faire des signes de croix juste à la vue d’un cimetière pour le respect de tous les morts.
      Quant à la limite, valable pour un crâne d’un membre de sa propre famille et non d’un inconnu ! D’où tiens-tu cette bêtise ?

      Nacer
      8 juillet 2020 - 19 h 39 min

      Si tu trouves ça ridicule, c’est que t’as rien compris de cette interview, peut être (ou plutôt sure!!) le niveau est très élevé pour toi

      Nadir
      8 juillet 2020 - 23 h 16 min

      Il ton censuré parce que tu n’a rien compris.
      Ton texte est complètement a coté de la plaque.
      Il a fait un travail immensément grand pour le quel tu dois être fière en tant que Algérien et tout ce que tu vois c’est la Fatiha.
      Regarde la lune ……. ARRÊTE DE REGARDER MON DOIGT Pfffff honnêtement

      paradis artifi...ciel
      9 juillet 2020 - 6 h 40 min

      Ils vous protègent de la dialéctique, qui est haram…

    ZORO
    8 juillet 2020 - 16 h 49 min

    REPONSE A GERONIMO
    Le premier reflexe qu a eu ce grand monsieur Belkadi quand il a eu le crane de Boubaghla entre les mains ,c etait de lire la FATIHA a la memoire d un combattant algerien auquel il n a guere exige un test Adn pour savoir s il etait nord africain ou asiatique. Monsieur Belkadi l humaniste n a pas hesite un instant pour annoncer aux egyptiens la presence d un des leurs parmi ses freres combattants algeriens ce qui semble offusqué bon nombre de commentateurs qui ne peuvent voir en l egyptien qu un coordonnier venu de l est pour leur enseigner une langue qui n est pas la leur. Monsieur Belkadi que je salue est l exemple meme de l Algerien unificateur qui devrait servir d exemple a des geronimo, des ghouls et des oukan pour reformater leur esprit en vue d etre des amazigh (hommes libres) parmi les amazigh que sont l ensemble des algeriens sans difference d ethnie ou de couleur.
    SigneZORO. ..Z…..

      L'olive
      8 juillet 2020 - 18 h 46 min

      ZORO 8 juillet 2020 – 16 h 49 min
      Ce Grand Monsieur Belkadi, quand il a eu le crane de Boubaghla (R.I.P) entre les mains, c était de lire la fatiha parce qu’il est musulman tout simplement s’ils étaient tous Chrétiens il aurait fait un signe de croix. Où est le scoop ?
      Les Amazighs (hommes libres) parmi les Amazighs non pas exigés un test Adn mais des explications concernant son combat contre Emir Abdelkader, ils ont même croisés le fer. Nous sommes perplexes.
      Donc s’agit-il d’une guerre de décolonisation ou d’une lutte entre eux pour un Califat qui est cher à tes principes ?

      Le Berbère
      8 juillet 2020 - 20 h 52 min

      Je ne vois aucun inconvénient que ce chercheur fait une prière ou une invocation en tenant le crâne d’un de nos valeureux résistants contre l’occupant barbare français mais il y’a une chose qui me taraude dans la tête depuis le début de cette histoire de crânes de résistants.
      Pour ceux qui ne connaissent pas assez l’histoire de nôtre pays il faut qu’ils sachent que au début de l’invasion de l’armée barbare coloniale de la France, le gouverneur général de cette compagne d’invasion à reçu les ordres de neutralisé tous les familles de noblesse algériennes en premier lieu avant de passer l’étape suivante ( gagner le terrain sur le sol algérien) ..Durant une visite dans le sud de la France à la fin des années 80 dans le cadre rapatriement vers le pays de de mon défunt cousin, j’ai remarqué que au large de Toulon sur quelques îlots dispersés pas loin de la rive ,il y’a plusieurs tombes ( femmes et hommes) issus de la noblesse algérienne que le l’administration coloniale à enterré là bas et les tombes sont dans des mauvaises états. Je redemande pourquoi le gouvernement algérien n’a jamais réclamer des explications de comment et pourquoi ces algériens sont enterré sur ces îlots loin de regard de la population des deux côtés ? ..Ps: j’ai demandé l’avis d’un enseignent universitaire français e5 il m’a dit que les tombes au large de Toulon reviennent aux familles algéroises de la noblesse kabyles installer dans la Métidja depuis le 12 ou 13 ème siècle .
      Nous voulons des éclaircissements concernant ces gens là, des algériens que personne ne le réclame.

    RAYES AL VHOUUR
    8 juillet 2020 - 14 h 37 min

    Ne pas censurer svp , sinon le texte
    N’aura pas de sens…
    Pourquoi le squelette de la reine des touaregs du Hoggar, ds le temps etait exposee ds un caveau en verre au musee Bardo d’Alger a ete jetee ou volee pour cacher et renier notre histoire Amazigh , dont les getules du Hoggar et du Tassili N’Ajjer, et n »ont plus remis surface depuis les travaux de restauration dont a ete le musee Bardo d’Alger, en 2015 ou mm bien avant.
    Je me demande ou se trouve son ossuaire.
    Rappelons que la reine T.Hinan, etait enterree ds un mausolee a Abalessa ds le Hoggar…je crois…plutot une sepulture ds l’oasis Abalessa.
    La mission des fouilles de la sepulture en 1925 avaient decouverent cette reine berbere, dont y avaient des bijoux en or et en argent, des pieces de monnaies de Constantin, emperreur romain, et aussi des meubles funeraires.
    Une tombe doit lui etre dediee ou elle sera inhumee pour que son ame repose en paix ds une Algerie , la sienne…..
    Merci pour tous vos efforts.
    Allah yarham Echouhada…

      ZORO
      9 juillet 2020 - 8 h 05 min

      Ton histoire amazigh qui date de 1970 tu n as qu a la raconter a tes enfants et petits enfants , c est sur qu il y aura parmi eux des debiles qui porteront tes genes pour croire qu une reine du desert a des milliers de kilometres de la cote tenait des relations avec massinissa qui livra son frere Syphax d à côté pieds et poings liees aux romains pour une histoire de leadership . ZORO vous trouve vraiment décevant ,toujours en quete d identité vous cherchez loin tres loin vos leaders si ce n est Chachnok l egyptien ,c est tinhinane du hoggart .
      SigneZORO. ..Z….

    Elephant Man
    8 juillet 2020 - 12 h 57 min

    Bravo et Merci pour votre travail acharné et à tous ceux qui ont participé.
    Que le succès vous guide encore pour la suite de vos travaux de rapatriement des crânes de nos valeureux chouhadas, de mise à contribution de vos compétences et votre professionnalisme et de surcroît de votre patriotisme au service de la Nation Algérienne.
    Allah Yarhmoum à nos CHOUHADAS AL ABRAR. Tahia El-Djazaïr

    Nadir
    8 juillet 2020 - 12 h 49 min

    Honnêtement M.Farid Belkadi mérite la légion d’honneur et c’est a lui que revient la présidence de la commission scientifique pour continuer le travail.
    Merci infiniment M.Belkadi vous nous redonner la fierté d’être Algérien.

    RAYES AL VHOUUR
    8 juillet 2020 - 12 h 03 min

    (…) le squelette de la reine des touaregs du Hoggar, ds le temps etait exposee ds un caveau en verre au musee Bardo d’Alger a ete jetee ou volee pour cacher et renier notre histoire Amazigh , dont les getules du Hoggar et du Tassili N’Ajjer, et n »ont plus remis surface depuis les travaux de restauration dont a ete le musee Bardo d’Alger, en 2015 ou mm bien avant.
    Je me demande ou se trouve son ossuaire.
    Rappelons que la reine T.Hinan, etait enterree ds un mausolee a Abalessa ds le Hoggar…je crois…plutot une sepulture ds l’oasis Abalessa.
    La mission des fouilles de la sepulture en 1925 avaient decouverent cette reine berbere, dont y avaient des bijoux en or et en argent, des pieces de monnaies de Constantin, emperreur romain, et aussi des meubles funeraires.
    Une tombe doit lui etre dediee ou elle sera inhumee pour que son ame repose en paix ds une Algerie , la sienne…..
    Merci pour tous vos efforts.
    Allah yarham Echouhada…

    GERONIMO LE CHAOUI DU MAC
    8 juillet 2020 - 11 h 00 min

    Emouvant, quelle modestie le travail accompli par ce Monsieur est tout simplement fabuleux. On nomme des marionnettes et des baathistes aux postes de la culture et on oublie des messieurs pareils.CE DIGNE FILS AMAZIGH DU DJURDJURA demontre les veritables algeriens de ce pays. AUX @ ZORO ALGERINO ET AUTRES NAIMA SALHI QUI NOUS TRAITeNT DE ZOUAVES (chaouis et kabyles mozabites) , voila une preuve de plus qu UN CHAOUI OU KABYLE EST AVANT UN AUTHENTIQUE ENFANT DE CE GRAND PAYS DEPUIS LA NUIT DES TEMPS. BELKHADI ME RAPPELLE ETRANGEMENT HAOUES ET AMIROUCHE ET JE VOUE UN MEPRIS A TOUTES LES CANAILLES QUI INSULTENT MES FRERES KABYLES. JE SUIS CHAOUI ET TOUTE PERSONNE QUI INSULTERAIT MON FRERE DU DJURDJURE SERAIT MON ENNEMI ETERNEL…BRAVO BELKADI ON EST FIER DE TOI .JE VAIS CHERCHER DE SUITE TON LIVRE POUR TE DECOUVRIR ENCORE PLUS…HONTE A TOI ZORO LE FAUSSAIRE L HYPOCRITE .

      L'olive
      8 juillet 2020 - 16 h 00 min

      @GERONIMO LE CHAOUI DU MAC, Azoul
      Les temps ont changés aujourd’hui, rassures-toi mon frère, un simple battement d’aile d’un papillon aux Aurès va déclencher une tempête en Kabylie.

      Ensuite la théorie des « Minorités » par intimidation vient d’exploser, déjà avant que certains « arabes » ne découvrent la vérité de leur origine, si on faisait la somme des zones amazighes on trouvait qu’eux étaient insignifiants (le monde à l’envers).

      Kabylie, M’zab, puis Touaregs … Quel est le dénominateur commun ? Ça suffit, il n’y aura plus jamais de Chaouis ou autres à massacrer, l’Algérie est unie, une et indivisible, ni orient ni occident. Après tout on est chez nous et on veut être uniquement nous.

      Thanemirth.

    QUE LES FRANCAIS SE METTENT A NOTRE PLACE
    8 juillet 2020 - 9 h 48 min

    pour que la france accélère le rapatriement de nos héros et chouhadas, nos livres (volés dans les bibliothèques des deys, des beys, d’émir abdelkader,..), archives, pièces et oeuvres culturelles, artistiques, et historiques d’avant 1830, vestiges, pièces numismatiques de toutes les périodes historiques de l’algérie, les armes de nos héros, .. les français doivent se mettre à notre place et d’imaginer un scénario où dans 50 ans ou 100 ans la francfe serait envahit par des soldats algériens qui vont massacrer 1/3 de sa population, d’enlever toutes les terres des français pour les donner aux maghrébins, et dans lesquelles les français seraient des serfs sur leurs propre terres, que vos richesses seraient détournées vers alger, que vos bibliothèques, musées, seront pillés et envoyés à alger, que votre histoire on va l’effacer pour la remplacer par la notre, que votre mode de vie sera banni et vous adopterez notre mode de vie tout en étant des esclaves, … les français accepteront ils cela? que marine lepen me réponde! je lui con,seille vivement de ne pas écouter les criminels qui l’entourent, mais de faire comme macron, prendre du recul, s’informer, se documenter pour mesurer le mal qui a été commis en algérie. les français ne savent pas encore qu’ils ont commis en algérie le poire crime contre l’humanité au monde, et je leur conseille de demander des excuses et de rendre les biens volés, des algériens en france tous sans exception, autrement la même chose vous arrivera car l’histoire est écrite et ne peut pas s’effacer par les mensonges. la france a colonisé un pays, avec la plus grande sauvagerie et tyrannie, qu’il ne fallait pas toucher, et si la france reste avec cette attitude méprisante et insultante, wallah el adim qu’elle va connaitre dans un future pas si lointain le même sort

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