Ces journalistes de pacotille au service des terroristes et des résidus du FIS
Depuis très longtemps, les fameuses organisations des droits de l’Homme qui sont gangrenées par les islamistes algériens essayent de faire dire à l’opinion algérienne et internationale que Khaled Nezzar serait un criminel.
Ce même qualificatif a été repris par les soi-disant activistes politiques, journalistes de pacotille, comme la personne de Ghani Mahdi, un nouveau débarqué sur la scène politique, qui ont pris la fuite en 1990 vers les pays européens afin d’y obtenir un statut de privilégiés en plus des passeports européens.
Les vrais journalistes patriotes – et ils sont nombreux, malgré le danger islamiste et terroriste – sont restés sur place pour faire face à ce phénomène de terrorisme étranger à l’Algérie et importé des Etats totalitaires du Golfe et d’Afghanistan.
En tant qu’ancien militaire je ne vais pas entrer dans les détails, mais je vais citer, ici, un exemple démonstrateur que Khaled Nezzar n’était ni un rancunier ni un criminel, comme essayent de le faire croire les résidus des terroristes algériens et les résidus du FIS «convertis» en démocrates.
Tout le monde en Algérie connaît la personne d’Abdelhak Layada, alias Abou Adlène, fondateur du GIA, le Groupe islamiques armé, et criminel notoire qui a fait des milliers de victimes – policiers, gendarmes, militaires et civils. Il était l’émir national du GIA.
En 1993, c’est ce même terroriste Abdelhak Layada, libre aujourd’hui, qui a actionné une bombe à distance sur le véhicule de Khaled Nezzar à Alger. Un fourgon bourré d’explosifs avait été mis à feu à distance au passage du cortège de l’ancien ministre de la Défense nationale.
Par miracle, Khaled Nezzar a échappé à cet attentat. Quelques années plus tard, Khaled Nezzar lui-même s’est déplacé au Maroc pour discuter avec les autorités marocaines du cas Layada qui s’était enfui vers ce pays.
Khaled Nezzar l’a-t-il fait assassiner ? A-t-il ordonné qu’il soit liquidé ? La réponse est non ! Ce terroriste a été jugé et emprisonné par la justice et il est libre aujourd’hui, suite à la politique de réconciliation nationale.
Pour rafraîchir la mémoire à ces pseudo-journalistes, c’est ce même Abdelhak Layada qui a organisé l’attentat contre le poète et écrivain Tahar Djaout.
Voilà un seul exemple qui démontre que Khaled Nezzar a laissé la justice algérienne faire son travail, alors qu’il s’agissait de la personne qui voulait attenter à sa vie.
Nul ne peut falsifier cette histoire de l’Algérie des années 1990. D’autres faits seront mis à la disposition de l’opinion algérienne en temps opportun.
T. F.
Comment (14)