Il a besoin de ces nouveaux ptis tirailleurs modernes pour reprendre l Afrique et remplace les presdts et pour influencer en ordres de batailles les populations africaines donc cette France fait ss les presdts qu elle avait à la botte , elle s adapte et change , l opportuniste . De tte façon le CFA ne doit plus circuler et avoir court en Afrique .l UA et ces présidents vont voter une loi à l unanimité . De plus il faut créé une monnaie africaine qui aura cours ds tt les pays de l UA signataires et faire une banque appropriée juste pour ca et rien que pour ca et develloper tt les secteurs en Afrique et rendre la vie plus agréable et simple à nos millions d ames africaines . En tt cas c’est sur la table et l Algérie convaincra tt ces pays du bien fondé d avoir une monnaie africaine pour l Afrique . La France n a pas son mot à dire elle fait partie du mauvais passé en Afrique donc elle ne peut être une part de l Afrique comme veut nous le faire croire Macron , c’est plutôt pour lui et pour vous bounty aussi mais pour le reste majoritaires et slmt africains un mauvais souvenir africain cette France OUI et partagé de la part de tte l Afrique et ces millions d habitants . Allez changer ça mtn vous ou votre maître Macron ? Faites en 1000 sommets africains France et ca va pas nous empêcher d avcer en Afrique sans cette France et son son CFA qu elle à bien étudier pour mieux nous entuber tous .Ben c est ca qui faut démolir en priorité.
Pour rappel à ce journaliste interviewé : le Guide le Colonel Gueddafi Allah Yarhmou allait créer une banque africaine avec ses fonds propres et souverains pour contrer le franc CFA et une alternative au dollar.
D’ailleurs où sont passés les milliards de dollars du gouvernement Libyen gelé par l’ONU.en septembre 2011 et qui ont mystérieusement disparus des banques occidentales et notamment de l’Euroclear Bank de Belgique entre 2013 et 2017…à moins que la réponse ne soit chez Sarkozy NETTOYÉS AU KÄRCHER !
« Ainsi était démoli cet État qui, sur la rive sud de la Méditerranée, enregistrait « de hauts niveaux de croissance économique et de hauts indicateurs de développement humain » (comme le documentait en 2010 la Banque Mondiale elle-même), où trouvaient du travail environ 2 millions d’immigrés pour la plupart africains.» Par Manlio Dinucci.
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