Coopération algéro-chinoise : réalisation de lignes ferroviaires sur environ 6 000 km

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Anonyme
8 août 2023 - 11 h 06 min
Les 6000 km de lignes ferroviaires seront la colonne vertebrale du developpement economique et social de l Algerie….Les Chinois sont nos partenaires les plus surs sur ce domaine des infrastructures.Le president Taboun doit inviter les Chinois a construire en partenariat le plus grand et le plus vaste port en eau profonde de la mediterrannee et de l Afrique pour accueillir des méga porte-conteneurs et des navires venus du monde entier….Ce port servira de porte ouverte sur le monde pour les pays africains surtout ceux enclaves d entre eux…et en contre partie mandater les chinois la gestion de ce futur immence port pour au moins 20 ans…ainsi les Algeriens auront acquis toute les experiences et les formations requises sur place dans la gestion d aussi grand projet avec les Chinois…Ce port peut etre jumele avec celui de Shangai…
Le president Tabboun doit absolument se pencher sur ce point extremement important pour faire des infrastructures terrestres,ferroviaires et aeriennes le point fort de son mandat….imposer le transport des minerais Phosphate,fer et autres exclusivement par la voie ferree ,sans oublier de lancer la construction des wagons speciaux pour le transport des minerais en Algerie en partenariat avec les chinois…un investissement pour l avenir des prochaines generations…Un autre sujet aussi important ,etudier la possibilite de recuperation des eaux de pluie soit par infiltration pour alimenter la nappe phreatique soit par les maisons individuelles et les immeubles d’habitat collectif. ou pour plusieurs autres usages arroser votre jardin ou vos bacs à plantes,
rincer vos outils de jardinage après utilisation,nettoyer votre mobilier de jardin,laver vos véhicules (voiture,vélo, scooter…),nettoyer les terrasses, les façades,intervenir en cas d’incendie (Bac de recuperation des eaux de pluie)…etc.
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Raïna
7 août 2023 - 13 h 23 min
La chine est un pays pionnier en terme de projets d’infrastructures mais il est impératif que les Algériens s’impliquent et participent pleinement dans ce grand projet avec une expertise et une étude bien ficelées et un cahier des charges bien défini pour éviter les retards et les surcoûts.
Il faut tenir éloigné les rapaces,les charognards et les vautours qui durant 20 ans ont détourné l’argent public destiné aux grands projets ce qui a conduit non seulement à des retards et des surcoûts mais aussi à des malfaçons dont on voit le résultat aujourd’hui,il faut mettre en place une commission de suivi pour lutter contre la corruption et les détournements de fonds public.
Ces grands projets d’utilité public doivent être mené à bien car ils vont dans l’intérêt du peuple et du développement du pays.
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Algérien Pur Et Dur
6 août 2023 - 18 h 30 min
L’investissement dans l’infrastructure est tout aussi crucial que celui dans l’éducation, car tous deux jouent un rôle de catalyseurs pour un développement durable. Cette initiative d’investissement dans 6000 nouveaux kilomètres de voies ferrées, en particulier dans le sud qui est une zone nourricière majeure du pays, témoigne de la vision de l’administration actuelle et surtout de son président. Cependant, quelques observations me viennent à l’esprit.
Il est également important de considérer l’infrastructure héritée de l’ancien colonisateur, qui semble être négligée. Par exemple, lors de ma visite au pays en mai, j’ai décidé de prendre le train pour le trajet Batna-Skikda au lieu de conduire. À ma grande surprise, voire même mon choc, on m’a informé à la gare (le site web de la SNTF est peu informatif) que seuls les trains de marchandises circulent sur ces rails en dehors de la saison estivale qui débute en juillet. Pourtant, lorsque j’étais jeune et fils d’un cheminot, je prenais ce trajet toute l’année. Pour l’anecdote, j’avoue même l’inavouable: avoir conduit ce train à plusieurs reprises, avec mon père et son aide m’observant durant mes débuts d’un regard d’aigle, croyant que j’allais en faire mon métier également. Ils ne se doutaient guère que mon metier serait tout autre, et à des milliers de kilomètres de mon pays, dans un autre qui, à la différence de la France, recherche et respecte la valeur des hommes/femmes, sans distinction d’origine.
Ma deuxième remarque concerne le choix des sociétés étrangères à qui on confiera ces milliers de nouveaux kilomètres de rail. Je ne peux m’empêcher de penser aux sections décevantes de l’autoroute Est-Ouest confiées aux entreprises chinoises. Seront-elles plus performantes dans la construction des voies ferrées qui leur sont attribuées ? À mon avis, elles doivent en apporter la preuve. Le transfert de technologie doit être aussi envisagé. Comment peut-on exiger un tel transfert d’un pays qui n’a confiance qu’en la main-d’œuvre chinoise ? À ma connaissance, tous les chantiers qui leur ont été attribués jusqu’à présent n’emploient que des travailleurs chinois, même pour les gardiens de nuit.
Si nous sommes donc déterminés à octroyer ces nouvelles voies ferrées à la Chine, nous devons exiger et vérifier que des ouvriers algériens font partie de la main-d’œuvre, à tous les niveaux, des simples ouvriers aux ingénieurs et cadres. Sinon, à quoi bon ? Si nous cherchons à éviter la France – et je fais partie de ceux qui partagent cette opposition compte tenu de l’attitude déshonorante de ce pays envers nous depuis notre indépendance –, nous pourrions également faire appel aux Allemands et même aux Italiens. Ils possèdent une expertise encore plus grande dans le domaine ferroviaire que les Chinois. L’infrastructure revêt une grande importance à plusieurs égards pour notre pays Quel qu’en soit le coût.
En conclusion, et sans vouloir être excessivement direct, évitons de payer un prix élevé pour obtenir notre statut d’observateur auprès des BRICS. Cette possibilité n’est d’ailleurs pas garantie en raison de l’opposition de l’Inde, ainsi que du Brésil et dans une moindre mesure de l’Afrique du Sud qui, en toute équité, exigent des conditions précises que l’Algérie n’est pas encore en mesure de satisfaire au vu du retard considérable accumulé durant les 20 longues années du régime Bouteflika. Octroyer donc 6000 kilomètres de voies ferrées sans le bénéfice de la concurrence à un pays qui n’a pas fait ses preuves dans les chantiers qui lui ont été attribués par le passé constitue une dépense considérable. Cette dépense pourrait même s’avérer encore plus élevée à long terme si nous tenons compte de la qualité. Faisons donc preuve de réalisme et évitons de politiser un projet très important pour l’Algérie.
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Quid des Trains A Grandes Vitesses?
6 août 2023 - 15 h 44 min
Est ce que les TGV sont partis intégrantes de la stratégie de mobilité grand public en Algérie pour relier les grandes villes stratégiques et le Nord et le Sud ? Un éclairage serait bien sur ce sujet!
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Anonyme
8 août 2023 - 11 h 38 min
Les lignes TGV exigent une maintenance qui coûte très cher, donc un billet beaucoup plus cher. Encore Faut-il que la demande suive.
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Les jaloux de maroukis TFOU
8 août 2023 - 23 h 31 min
@ Anonyme
8 août 2023 – 11 h 38 min
Garde ton pessimisme pour ton gourbi de Maroc.
Le soleil au dessus de l’Algérie fournira l’énergie électrique et l’entretient se fait dans tous ce qui entoure les humains depuis toujours.
Même l’humain aussi doit sans cesse s’entretenir s’il ne veutpas dépérir et s’effondrer comme un jeu de carte.
Ton maroc c’est la planète mars.
L’Algérie c’est rrelevés tous les défis pour chasser les traîtres maroukis en Algérie qui empêchent avec acharnement à ce que l’Algérie soit un pays émergent en sabotant toutes les bonnes décisions pour suggérées les mauvaises décisions.
Mais nous allons les débusquer tous autant qu’ils sont.
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Anonyme
6 août 2023 - 15 h 01 min
Avec la Chine, l´Algérie peut désormais voir grand.
L´Algérie et la Chine ont beaucoup à gagner l´un de l´autre.
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