Nos enfants sont ciblés : comment les studios Disney instillent l’homosexualité
Par Nabil D. – Il y a bien un plan américain de déstructuration des sociétés à travers les films pour la jeunesse et les dessins animés. La censure du film Barbie de Warner Bros dans plusieurs pays musulmans, l’été dernier, paraît d’autant plus justifiée qu’un autre géant d’Hollywood vient d’annoncer qu’il s’est servi d’images subliminales pour instiller l’inversion sexuelle parmi la jeunesse, en exerçant une influence mentale sur elle. Celui qui confirme l’existence de cette arrière-pensée perfide, c’est le vice-président de la division divertissement de Disney, Alan Bergman, qui en a fait la révélation devant une commission aux Etats-Unis.
«Comme vous le savez, Disney est un lieu magique, c’est là que les grenouilles se transforment en princesses, que les orphelins comme Cendrillon se transforment en belles princesses. Contrairement à nous, adultes blasés, les enfants croient en la magie», commence-t-il par expliquer, avant d’ajouter : «Nous avons passé 100 ans à cultiver une marque à laquelle les familles font confiance depuis des générations. Grâce à cette confiance, nous avons discrètement inséré des éléments homosexuels dans nos films et nos émissions de télévision. D’abord, sous la forme de personnages LGBTQ en arrière-plan, puis dans des rôles principaux et dans l’intrigue.»
«Peu de parents savent qu’il y a deux ans, à l’occasion du Mois des fiertés sur Disney et notre service des streaming, nous avons diffusé l’extravagance Disney Plus Drag Queen, afin de présenter les idéologies et la sexualité homosexuelles aux enfants et de les encourager à expérimenter par eux-mêmes», a admis ce responsable des studios américains créés en 1923. «Nous sommes fiers de notre score parfait en matière de diversité, d’équité et d’inclusion, mais nous nous efforçons toujours d’aller au-delà de ce qui est attendu», a-t-il surenchéri.
Non content de manipuler les enfants et les adolescents du monde entier, le vice-président de la division divertissement de Disney s’est dit fier d’annoncer l’ouverture de cliniques pédiatriques transgenres sur le thème de Disney. «Comme vous le savez, a-t-il argué, les parents qui décident de changer le sexe de leurs enfants sont encore très stigmatisés, en particulier ceux qui élèvent leurs enfants en tant que personnes non binaires et qui utilisent les pronoms ils. Nous sommes donc convaincus qu’avec notre marque Disney, nos cliniques sur le thème des personnages, nous pouvons contribuer à réduire cette stigmatisation, à normaliser ces idées et à les faire passer dans le courant dominant».
«D’autres marques comme Bud Light, Gilette et Pantène ont contribué à ouvrir cette voie, nous sommes fiers de prendre les devants et de nous faire entrer dans le nouvel ordre mondial», a encore affirmé ce dangereux personnage, dont l’action visant à répandre le chaos est encouragée par le président américain, Joe Biden, a-t-il dit.
Pour appâter les parents et les enfants qui se prêteraient à cette pression quintessenciée, Disney promet à chaque patient de recevoir un abonnement gratuit pour la saison et un parc à thème Disney. «Et pour le simple fait de venir en consultation, vous recevrez un abonnement gratuit de six mois à notre service de streaming Disney+», a-t-il racolé, incitant les parents à mettre leurs enfants entre les mains de ces charlatans, en leur assurant qu’ils «se feront un plaisir de s’occuper d’eux».
Ces graves révélations appellent une sérieuse surveillance des programmes diffusés par les médias occidentaux destinés à nos enfants. Beaucoup de familles algériennes installées dans des pays européens ou en Amérique du Nord ont décidé de rentrer au pays en raison de l’endoctrinement sexuel de leur progéniture à l’école, sans qu’ils puissent les extirper des programmes officiels qui incluent ce genre d’éducation aux élèves, sans le consentement des parents, que ce soit en Allemagne, au Canada ou dans les pays nordiques, où un compatriote raconte que son fils, élève dans une école primaire, est rentré à la maison maquillé et portant des habits féminins. Un autre, qui rétorquait à une directrice d’école, à Montréal, qu’il avait décidé de retourner en Algérie, s’est vu répondre qu’il pouvait le faire si ça lui chantait, mais qu’il n’avait pas le droit de prendre ses trois fils mineurs citoyens canadiens avec lui. «Ce sera à eux de décider une fois majeurs», a-t-elle asséné. Depuis, ce père, dont les enfants sont pris en otage, est sous antidépresseurs.
N. D.
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