Le Marocain Fouzi Lekjaa ou le déshonneur du football africain
Une contribution de Mohsen Abdelmoumen – Décidément, l’entité voyou du Maroc collectionne les scandales ! La bagarre générale que nous avons vue à l’issue du match RD Congo-Maroc est à inscrire dans les annales les plus dégradantes du football et il faut être bousbirien pour se donner de cette manière en spectacle : brimades, vexations, poursuites, insultes, propos racistes… C’était ahurissant. Tout le monde s’y est mis, à commencer par l’entraîneur, suivi par les joueurs, puis les journalistes. Des sanctions contre l’entraîneur marocain, dont le nom Regragui évoque plus la danse reggada que le football, devraient être appliquées pour avoir initié cette foire d’empoigne scandaleuse. Cela démontre que ces gens n’ont absolument aucune retenue et se permettent tout et n’importe quoi, de la façon la plus arrogante et grossière. Ils se sentent partout en territoire conquis, comme de vrais pignoufs qui entendent faire la loi en maîtres absolus. Je propose d’ailleurs que l’on mette un terme à cette compétition qui va à l’encontre de l’éthique sportive et que l’on donne la coupe à Bousbirland. Quoi qu’il en soit, si le ridicule tuait, il y a belle lurette que le Maroc serait dépeuplé.
La CAN, telle qu’on la voit aujourd’hui, donne une piètre image de l’Afrique, une image de corruption, à l’instar du deuxième vice-président de la CAF, Fouzi Lekjaa, ce va-nu-pieds pouilleux venu de la zone rurale de Berkane et qui a grimpé les échelons de la société bousbirienne jusqu’à devenir ministre en nageant dans les eaux troubles de la drogue et de la prostitution où il s’est enrichi. On sait tout de ce type : un maquereau qui doit son ascension sociale en inondant l’Afrique avec l’argent de la corruption et en organisant des soirées «festives» au Maroc pour ses maîtres sionistes, ses maîtres des pays du Golfe, notamment les Emiratis, et pour des exécutants africains, à l’image de ce Motsepe, le président de la CAF, qui a oublié le martyre de son peuple et l’histoire de sa propre famille, dont le combat de son père syndicaliste contre l’apartheid. Il a renié les chaînes dans lesquelles sa famille et son peuple étaient enchaînés en Afrique du Sud. Il a oublié les sacrifices de Mandela qui a déclaré que l’Algérie avait fait de lui un homme. Les sacrifices de Joe Slovo sont loin de vous, sieur Motsepe, pantin de Lekjaa, lequel voue une haine viscérale à l’Algérie et qui est dans tous les coups fourrés contre elle, jusqu’à lui intenter des procès sans fin. Cette haine est tellement acharnée que nos sources nous confirment que Lekjaa distribue des enveloppes en coulisses pour faire sortir l’équipe algérienne de la compétition. C’est pourquoi je réitère ma proposition de donner la coupe à Bousbir et qu’on n’en parle plus, le football africain a été suffisamment ridiculisé.
Un exemple flagrant de la cabale contre l’Algérie est le cas d’Adel Amrouche, le sélectionneur algérien de l’équipe de Tanzanie qui a été limogé par sa fédération vendredi 19 janvier, à deux jours du match contre la Zambie, et qui a écopé d’une lourde sanction de 8 matchs de suspension et d’une amende de 10 000 dollars, pour avoir dénoncé la mainmise de la Fédération royale marocaine de football et de son président sur le football africain, à savoir Fouzi Lekjaa aux multiples casquettes, puisqu’il est à la fois le vice-président de la CAF, l’exécutant fidèle d’El-Himma, de Hammouchi et de Mansouri, et l’actuel ministre délégué au Budget du gouvernement corrompu d’Akhannouch, lequel est impliqué dans les scandales du Marocgate, du Pegasus et du trafic de cocaïne comme révélé par «l’Escobar du désert». Nous affirmons tout notre soutien à Adel Amrouche ainsi qu’à l’équipe algérienne qui se produit avec courage et brio en terrain miné. Pour la petite histoire, le remplaçant intérimaire du sélectionneur algérien est son adjoint, le Tanzanien Hemed Suleiman dit «Morocco» car il est le fils d’un ambassadeur tanzanien au Maroc. Ça ne s’invente pas !
Jusqu’à présent, deux fédérations de football se sont plaintes, la fédération algérienne suite à des fautes flagrantes d’arbitrage et la fédération congolaise pour la bagarre provoquée par les bousbiriens. La CAF, véritable mafia dirigée par Lekjaa le Parrain, qui est impliqué dans le trafic de cocaïne avec la sœur du roi fantôme et d’El-Himma, selon les déclarations de «l’Escobar du désert», a déclaré ouvrir une enquête contre les fédérations marocaine «et» congolaise, alors que ce sont les Marocains qui se sont précipités sur les Congolais pour les insulter et les molester. On se doute bien que cette prétendue enquête fera chou blanc et que le Maroc ne sera pas sanctionné. Peut-être même verra-t-on l’équipe congolaise condamnée pour «incitation à la violence», sait-on jamais avec les pauvres bousbiriens, éternelles victimes de l’injustice. Mais nous aimerions savoir ce qui faisait courir comme un poulet le sieur Lekjaa derrière le joueur bousbirien qui poursuivait le capitaine de l’équipe congolaise dans l’allée menant aux vestiaires. Toujours est-il que la planète entière a vu la véritable image du Makhzen lors du match RD Congo-Maroc, où la racaille bousbirienne s’est permis l’inacceptable en toute impunité. Aucun pays n’a fait ce qu’a osé le Maroc, et ce n’est pas par hasard si le Maroc s’entend si bien avec l’entité sioniste d’Israël : ils fonctionnent de la même manière. Tout leur est dû, ils sont toujours victimes et pratiquent le déni avec une aisance stupéfiante. Et en parlant du lobby sioniste qui dirige le Maroc, ce sont les mêmes qui massacrent à Gaza aujourd’hui et dont Lekjaa est le fidèle serviteur.
L’Algérie subit quotidiennement un complot pour sa position en faveur des causes justes du peuple palestinien et du peuple sahraoui. A partir du moment où le football en Afrique est devenu un instrument politique activé contre l’Algérie, nous demandons à nos autorités des sanctions à l’égard du Maroc. Nous ne pouvons pas toujours rester stoïques face à toutes les vexations et attaques de cette entité voyou à notre égard. La meilleure défense étant l’attaque, nous saluons l’initiative de l’ABEF qui refuse toute opération de domiciliation pour les contrats de transport qui prévoient le transbordement et le transit par les ports marocains, ainsi que la décision gouvernementale d’interdire en Algérie les marchandises ayant transité par le Maroc. De la même manière que le contrat de fourniture de gaz n’a pas été reconduit, nous demandons à ce que celui concernant l’électricité ne soit pas renouvelé. Nous demandons également l’expulsion immédiate de notre sol de tous les Marocains illégaux qui se livrent au trafic de psychotropes et autres drogues dures. Les Marocains combattent l’Algérie sans répit et il faudrait les laisser prospérer dans notre pays ? Non ! Mille fois non ! Qu’ils retournent dans leur Bousbirland ! Ce monde est devenu une véritable jungle où les faibles n’ont pas de place. Nous sommes la grande Algérie avec une longue Histoire et nous ne permettons à personne, ni à Lekjaa ni à nul autre corrompu dégénéré de s’en prendre à notre pays.
Ce n’est pas sur un terrain de foot que l’on écrit l’Histoire, sieur Lekjaa ! Votre histoire à vous est tout sauf reluisante, elle parle d’une ascension sociale favorisée par votre commerce avec la pègre. Grâce à l’argent de la drogue et de la prostitution, vous corrompez tout ce qui est corruptible en Afrique, à l’image des arbitres que vous achetez en gros et au détail. C’est pourquoi, très sérieusement, je requiers que l’on rebaptise la CAN en «Bousbir Cup» et qu’on attribue cette coupe aux bousbiriens. Qu’on en finisse une bonne fois pour toutes avec le Lekjaa Circus !
M. A.
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