La vérité sur la photo de Mehenni avec deux citoyens saoudiens à New York
Par Mohamed K. – Dans sa quête désespérée d’une reconnaissance internationale, Ferhat Mehenni n’hésite pas à tromper l’opinion publique. Il aura tout essayé ; toutes les recettes et toutes les cuisines, mais le rendu reste aussi médiocre que sa vie parsemée de trahisons, de petitesses et d’abaissement aux pires ennemis de son pays qu’il n’arrête pas de déshonorer. Dans sa dernière parution, il a sorti une vieille recette : le mensonge et la tromperie. Et, comme le ridicule ne tue pas, il a prétendu avoir eu des contacts à haut niveau avec des diplomates saoudiens et émiratis. Rien que ça. De plus, photo à l’appui.
Mettons un peu de lumière sur cette question. Profitant d’un voyage à New York, Ferhat Mehenni a approché un groupe de jeunes Saoudiens à l’entrée des jardins de l’ONU. Se présentant comme algérien pour gagner leur sympathie, il leur a proposé de se prendre en photo avec eux, ce qu’ils ont accepté, par simple courtoisie. Toute honte bue, il a ensuite fait circuler cette image pour prétendre avoir des contacts de haut niveau avec des diplomates saoudiens et émiratis. Or, ces prétendus diplomates auxquels il se réfère se trouvent, tout simplement, être deux membres de la société civile qui se sont déplacés de Riyad pour participer à un Forum de l’ECOSOC aux côtés de jeunes étudiants venus du monde entier.
D’ailleurs, il ne fallait pas chercher plus loin ; il suffisait de vérifier sur le compte X (ex-Twitter) de la mission saoudienne aux Nations unies pour trouver une photo du représentant permanent saoudien qui tourne en dérision le farfelu Mehenni. Et dire que le désespoir fait faire bien des choses, même les plus absurdes.
Ceux qui connaissent le racisme pestilentiel anti-Arabe du MAK et de son guignolesque président ont vite flairé la supercherie. Les commentaires sont allés bon train sur les réseaux sociaux pour railler le suppôt d’Israël, indic de la DGSE française et bouffon de la DGED marocaine, qui emprunte à ses maîtres de Rabat les mêmes méthodes grotesques et les mêmes comportements puérils.
Les adeptes crédules de cet imposteur auront, en tout cas, constaté que son activisme lui permet de sauter d’avion en avion, tel un globe-trotter, parcourant les continents aux frais de la princesse, entre deux soûleries dans les bars parisiens qu’il fréquente assidûment.
M. K.
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