Pénuries créées sur le marché : les spéculateurs qui tentent de faire chanter l’Etat sont avertis

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Amin99
29 septembre 2024 - 12 h 41 min
Le projet de construction de 500 centres commerciaux dans le pays et le développement croissant du e-commerce vont inéluctablement généré une transformation importante du commerce en Algérie et des changements de comportements chez les clients.
Il s’agit d’un virage à 180°qui sera opéré dans le pays avec une concentration du commerce chez une poignée d’acteurs du marché (grands marchands) avec des conséquences positives et négatives sur le plan économique et sociale.
Parmi les points positifs, on note la modernisation du commerce, la lutte contre la fraude fiscale, une meilleure traçabilité des marchandises et des transactions, la maîtrise des prix à la consommation, les mesures d’hygiène et de contrôle, l’amélioration de la fiscalité, la lutte contre le commerce informel ..etc.
Parmi les points négatifs, il faut savoir que le commerce de proximité subira un coup dur suite à cette transformation avec une disparition partielle ou totale de certains commerces: boulangerie, boucherie, poissonnerie, alimentation générale, habillement..etc et des conséquences sociales que cela va engendrer en l’occurrence le chômage. C’est le triste constat fait dans beaucoup de pays avancés avec une disparition de la vie de quartier.
Ajouter à cela la forte concentration du commerce chez des acteurs étrangers qui ne manqueront pas à convertir une partie de leurs gains en devise avec un impact direct sur nos réserves de change.
Au final, il faudra réfléchir à un modèle plus équilibré, moins impactant sur nos réserves de change, sur la vie sociale de nos concitoyens et la vie de quartier.
A bon entendeur
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Brahms
28 septembre 2024 - 5 h 00 min
N’achetez plus les légumes de France à cause du pipi,
Notre pipi vaut peut-être de l’or. Récupéré par les agriculteurs, ce liquide plein de nutriments pourrait remplacer les engrais chimiques. L’épargner nous aiderait aussi à réduire notre consommation d’eau, comme le prouve une expérimentation en région parisienne.
Bruno a pris une nouvelle habitude depuis un an : il ne tire plus la chasse d’eau quand il va aux toilettes pour uriner. «Je fais pipi directement dans un bidon, environ cinq litres par semaine. Cela me permet d’économiser 10 à 20 litres d’eau par jour», s’enthousiasme-t-il. Cet habitant de Châtillon, en région parisienne, et membre de l’Amap (Association pour le maintien d’une agriculture paysanne) locale des Radis actifs a accepté, avec entrain, de participer à une expérimentation inédite en France : créer une filière citoyenne de valorisation agricole de l’urine humaine.
C’est la fête, ce 18 septembre, lorsque nous leur rendons visite. Les participants inaugurent le premier point d’apport volontaire d’urine en France, accessible en permanence. Ouf ! Ils n’auront plus à stocker leurs bidons chez eux en attendant la distribution hebdomadaire. Car tous les mercredis depuis un an, Simon Ronceray, l’agriculteur qui livre légumes et farine à l’association, repart avec la production de pipi d’une dizaine de familles à destination de sa ferme des Trois Parcelles, dans le Loiret (45).
Azote, phosphore, potassium, l’urine humaine est riche en nutriment.
Blé, salades ou pommes de terre, ses cultures bénéficieront peut-être bientôt de la précieuse urine des amapiens de Châtillon. Simon Ronceray l’espère en tous cas. Car la certification bio n’autorise pas encore son utilisation et la réglementation tarde sur le sujet. Il suit donc les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé datant de 2012. Après avoir respecté une durée d’hygiénisation de trois à neuf mois, il mélange l’urine avec un peu d’eau et ne la répand que sur des zones non cultivées comme les haies ou les potagers à usage personnel de l’exploitation, comme il nous l’explique:
L’urine humaine contient énormément de nutriments comme de l’azote, du phosphore et du potassium. Elle pourrait nous permettre de nous passer totalement des engrais et donc de faire des économies.
De grosses barrières psychologiques subsistent.
Un début modeste mais c’est déjà beaucoup. Dégoût, gêne ou hilarité, parler de pipi ne laisse personne indifférent. Mais surtout, le sujet n’est généralement pas pris au sérieux. Il fallait donc du courage et de l’abnégation pour oser le porter. C’est ce que fait l’Ecole nationale des ponts et chaussées depuis dix ans avec le programme de recherche Ocapi (Organisation des cycles de carbone, azote, phosphore dans les territoires). Une douzaine de projets comme celui de Châtillon, financé notamment par l’Ademe Ile-de-France (Agence de la transition écologique), sont en cours actuellement en France.
Il est grand temps de faire une interdiction d’importation.
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Assia
26 septembre 2024 - 15 h 00 min
Il faut des peines de prison exemplaires !
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Cheyenne
26 septembre 2024 - 14 h 53 min
Vous verrez que certains appâter par le gain facile feront l’objet d’arrestations.
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Cheyenne
26 septembre 2024 - 14 h 51 min
Ou sont les @abou (…) et qui clament sans cesse leurs politiques des capitalistes quand il s’agit d’un sujet aussi important.
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