Les voiles invisibles des Algériens entre les deux rives

Algéire Méditerranée
Les relations algéro-françaises ont toujours été en dents de scie. D. R.

Une contribution du Dr A. Boumezrag – La relation entre l’Algérie et la France est marquée par une histoire complexe, tissée de souvenirs de colonisation, d’inimitié et de fraternité. Au cœur de cette dynamique, les Algériens se trouvent dans une position unique, oscillant entre leurs racines et les promesses d’un avenir meilleur. Ce parcours migratoire, souvent difficile, se dessine comme une odyssée moderne, avec des «voiles invisibles» qui s’appuient sur les deux rives de la Méditerranée.

Les accords de 1968 entre la France et l’Algérie visaient à réguler la circulation des Algériens vers la France, facilitant les études et les emplois. Cependant, ils ont également été perçus comme un moyen pour la France de maintenir son influence sur son ancienne colonie. Le contrôle des flux migratoires, tout en offrant des opportunités, était souvent soumis à des conditions bureaucratiques strictes. Les rêves d’un meilleur avenir se heurtent parfois à des murs invisibles, tissés de méfiance et de préjugés.

La migration des Algériens vers la France ne se limite pas aux questions économiques. Elle est profondément ancrée dans une mémoire collective, où chaque voyage représente une quête d’identité. Les générations successives d’Algériens vivant en France naviguent entre leur héritage culturel et leur intégration dans une société parfois hostile. La souffrance des migrants, souvent un écho des blessures coloniales, est intimement liée à l’identité algérienne contemporaine.

Après l’indépendance, le système politique en Algérie a poussé de nombreux Algériens à s’exiler en France. Cette migration soulève des questions sur la gestion des flux migratoires et sur les droits des migrants. Alors que la France fait face à ses propres préoccupations en matière de sécurité, les Algériens se retrouvent souvent pris dans des politiques qui semblent les ignorer.

Alors qu’Abdelmadjid Tebboune entame son second mandat, l’Algérie se trouve à un tournant. C’est l’occasion d’engager un dialogue franc et constructif sur les questions migratoires et identitaires, ainsi que de redéfinir les relations entre les deux pays. L’établissement de politiques respectueuses des droits des migrants est indispensable. Mettre en avant les histoires individuelles et les contributions des Algériens à la société française pourrait également contribuer à apaiser les tensions historiques.

Les «voiles invisibles» qui dépendent de l’Algérie et de la France doivent être perçues comme un potentiel, une richesse. Les liens tissés entre les Algériens des deux rives peuvent devenir un levier pour construire des ponts plutôt que des murs. En reconnaissant les souffrances passées tout en regardant vers l’avenir, les deux pays peuvent travailler à une relation plus équilibrée, fondée sur la coopération, le respect mutuel et une vision commune.

Les relations entre l’Algérie et la France, marquées par des voiles invisibles, nécessitent une attention particulière et une volonté de bâtir un avenir commun. En s’attaquant aux défis d’aujourd’hui, il est possible d’ouvrir la voie à une nouvelle dynamique, où chaque Algérien, qu’il soit en Algérie ou en France, trouve sa place dans ce récit partagé.

Alors que les Algériens naviguent entre leurs héritages culturels et les réalités contemporaines, l’importance de l’éducation et de la culture ne saurait être sous-estimée. Les initiatives visant à promouvoir la culture algérienne en France permettent de célébrer cette richesse tout en favorisant l’intégration des jeunes Algériens. Une telle approche pourrait renforcer l’identité algérienne dans la diaspora tout en enrichissant le patrimoine culturel français, créant une dynamique d’échanges positifs.

Le chemin vers une réconciliation des mémoires est essentiel. Les deux pays doivent s’engager dans un dialogue ouvert sur leur passé colonial, reconnaissant les injustices et les souffrances provoquées. Cette démarche doit s’accompagner d’initiatives concrètes, comme des projets de recherche sur l’histoire commune, des témoignages d’anciens migrants, ou des commémorations partagées. En abordant ces questions sensibles de manière constructive, il est possible de bâtir un avenir fondé sur la compréhension et le respect mutuel.

Face aux défis migratoires actuels, il est crucial que les gouvernements algérien et français adoptent une politique migratoire à la fois humaine et réaliste. Cela pourrait inclure la facilitation des visas pour les étudiants et les travailleurs qualifiés, ainsi que des programmes d’échange culturel valorisant les talents algériens. Une attention particulière doit être portée à la protection des droits des migrants pour éviter qu’ils ne deviennent des victimes de discours populistes ou de stéréotypes négatifs.

La société civile, tant en Algérie qu’en France, joue un rôle fondamental dans cette dynamique. Les associations, ONG et groupes communautaires doivent être soutenus dans leurs efforts pour promouvoir les droits des Algériens, défendre leurs intérêts et favoriser les échanges culturels. Des initiatives locales peuvent également renforcer les liens entre les Algériens et la société française, en favorisant la compréhension mutuelle et le respect des différences.

Alors que les Algériens continuent de naviguer entre leurs racines et leurs aspirations, il est impératif de reconnaître la richesse de leurs expériences et de valoriser leur apport à la société. Les «voiles invisibles» qui les dépendent à la France doivent devenir des fils d’or tissés d’espoir, de solidarité et de compréhension mutuelle.

A l’aube de cette nouvelle ère, l’Algérie et la France ont l’opportunité de réécrire leur histoire commune. En intégrant les aspirations des générations futures, ces deux nations peuvent bâtir une relation plus équilibrée et harmonieuse. La construction d’un avenir commun, empreint de respect et d’entraide, est non seulement possible, mais également souhaitable pour le bien-être des Algériens, qu’ils soient sur leur terre natale ou en France.

Ainsi, ces «voiles invisibles» deviennent non seulement un symbole de migration, mais aussi un puissant vecteur d’unité et d’avenir partagé. Dans ce voyage, chaque Algérien a un rôle à jouer, et chaque voix mérite d’être entendue. En œuvrant ensemble, nous pouvons bâtir un pont solide, dépendant des rives de la Méditerranée, ancré dans l’histoire, mais tourné vers l’avenir.

Les chemins migratoires des Algériens vers la France sont marqués par un patrimoine complexe : à la croisée de l’histoire coloniale et des aspirations contemporaines, ils témoignent d’une quête de dignité et de reconnaissance au sein d’une relation entre deux pays que l’histoire a été étroitement liée.»

A. B.

 

Comment (21)

    TOZ
    3 octobre 2024 - 23 h 01 min

    Encore une énième fois @Anonyme 13/07/2019 :
    « Un raciste restera toujours un raciste.
    Il est temps pour nous Algériens de changer notre politique envers cette France pour le bien de l´Algérie.
    Une des priorités de la nouvelle république….est de régler le contentieux historique avec la France!
    La France devra ou pas demander pardon pour ces crimes, c est son affaire: on ne peut pas exiger de la grandeur de celui qui n´en a pas.
    Mais on doit obligatoirement exiger des réparations pour 132 années de crimes et d´exploitation de pillage.
    C est meme une question
    d´estime de soi!»
    Sans omettre la guerre terroriste sioniste par procuration décennie noire.
    «Il n’est question NI DE PARDON NI D’OUBLI. Juste la JUSTICE, rien que la JUSTICE.»
    En conclusion :
    @Fuck You qui a été censuré (…) :
    Du jamais-vu dans l’histoire et c’est la première fois de l’histoire du monde qu’un pays réécrit son histoire avec celui qui la martyriser violé humilié tabassez, etc. (…)

    Mon
    3 octobre 2024 - 18 h 59 min

    Honnêtement deux questions se posent,
    Q1. Est ce que l’Algérie et les algériens ont besoin de la France?
    Q 2. Est ce que la France et les français ont besoins de l’Algérie ?
    Si chacun de nos, repondra en toute honnêteté a ces deux questions, on arrivera sans aucun doute du moins pour moi a suspendre nos relations avec ce pays ; car il y va de souveraineté, et de notre indépendance sur tous les volets, économiques, sociaux, culturel, sécuritaire.

    Abou Stroff
    3 octobre 2024 - 14 h 42 min

    « A l’aube de cette nouvelle ère, l’Algérie et la France ont l’opportunité de réécrire leur histoire commune. En intégrant les aspirations des générations futures, ces deux nations peuvent bâtir une relation plus équilibrée et harmonieuse. La construction d’un avenir commun, empreint de respect et d’entraide, est non seulement possible, mais également souhaitable pour le bien-être des Algériens, qu’ils soient sur leur terre natale ou en France. » avance A. B..

    primo, l »‘Algérie » et la « France » ne sont pas des sujets historiques et ne peuvent, en aucune manière, écrire ou réécrire une quelconque histoire commune, à moins de considérer que l’Algérie et la France* sont habités par des clones interchangeables et /ou représentent des mondes de bisounours ou tout le monde recherche le bonheur de ………………………tout le monde.

    moralité de l’histoire: comme à son habitude, A. B. ne part pas d’un « concret réél » pour effectuer une « abstraction » et, enfin construire un « concret de pensée », mais prend pour référence son monde des Bisounours et essaie ………………….en pensée d’y insérer la réalité concrète qu’il ne comprend pas faute d’instruments d’analyse.

    * l’Algérie comme la France recouvrent des totalités contradictoires composées de classes et de couches sociales dont les intérêts sont aux antipodes les uns des autres.
    en termes crus, on ne peut même pas parler d’une histoire commune aux algériens puique ces derniers voient l’histoire sous différents angles en fonction de leur position sociale.
    quant à écrire une histoire commune entre le colonisateur et le colonisé, autant demander à une hyène de faire copain-copain avec un gnou.

    wa el fahem yefhem.

    Anonyme
    3 octobre 2024 - 13 h 48 min

    L auteur de cette contribution écrit pour environ 10% d Algériens qui souhaiteraient un avenir commun avec la France.
    90% des Algériens n ont rien à foutre avec la France et appellent de leurs vœux à se détourner complètement de la France, qui nous rappelle que de mauvais souvenir, qui n arrête pas de nous cracher dessus et qui, en même temps nous pompe nos devises tout en sabotant notre développement en plus de se mettre du côté de nos ennemis, et, tout ça parce que ces 10% d Algériens lui donne l occasion de nous nuire.
    Il faut absolument montrer à ces 10%, qu ils sont là minorité, et qu il doivent respecter la majorité ou aller rejoindre leur mère fafa !

      Anonyme
      3 octobre 2024 - 19 h 14 min

      Il écrit pour lui ou la chapelle dont il n’ose pas dire le nom : Stora, les juifs algériens, maintenant la Françalgérie.

      Son manipulation rhétorique est à mourir de rire.

      Anonyme
      3 octobre 2024 - 21 h 01 min

      Enfin un sondage sérieux et documenté prouvant que le débat qui implique les émigrés en France et nous ne sert à rien.
      Il est évident que nous n’avons que faire de ce pays.

      Même si 32 000 étudiants et étudiantes y sont actuellement et même si l’on affirme que 900 000 de nos compatriotes n’ayant que la nationalité algérienne y séjournent parfois depuis plusieurs générations. Et à première vue sans intention de le quitter.
      Bref, il est donc dit une bonne fois pour toute que nous sommes [(90×45 000 000) : 100] à penser qu’il faut se détourner de ce pays et que nous « n’en avons rien à faire ».

      C’est peut être sur ce sondage que s’appuie le gouvernement français pour restreindre l’entrée de nos compatriotes en restreignant le nombre de visa. De ce fait les 10 %, c’est à dire les 4 500 000 partisans d’un avenir commun et auxquels vous enjoignez d’aller rejoindre fafa, vont devoir rester parmi nous et particulièrement avec vous.

      Finalement, les racistes français vont être satisfaits de ce sondage. Il les conforte parfaitement dans leur démarche: se détourner de l’Algérie au bénéfice des Macocos.

      Pour ma part, je n’ai jamais cru aux sondages et de ce fait je ne me sens pas concerné. Là bas ou ici , on est toujours un algérien, n’est il pas?

    MADANI
    3 octobre 2024 - 13 h 39 min

    Voiles invisibles ? Puissant vecteur d’unité et d’avenir partagé ? L’optimisme n’est pas de mise en la matière.
    La France est atteinte du syndrome algérien pour avoir dissimulé son histoire coloniale criminelle et l’extême-droite bien visible surfe sur les frustrations des français sentant le déclassement de leur patrie.
    Les Algériens sont le bouc émissaire tout désigné à ces primaires et ces attardés de l’Histoire.

      👍
      3 octobre 2024 - 23 h 14 min

      @MADANI
      Excellent commentaire.

    Luca
    3 octobre 2024 - 13 h 33 min

    Le mieux pour l’Algérie c’est aucune relation avec ce pays de faible de roboped , et surtout de débile. Moi si j’étais président Algérien je couperai toutes relations avec cette france de mensonge, car cette france est nulle et petite, contrairement à la France que je ferai si j’étais président français d’origine Algérienne. Couper toutes relations pendant vingt ans au minimum, c’est le délai pour se purifier de toutes leur crasses libertine politique et sectaire, … Et pendant ces vingt ans qu’ils aillent se faire mousser dans du pastis hard market de chez Lili

    TRINITA
    3 octobre 2024 - 12 h 39 min

    Bonjour
    C’est un beau texte mais qui ne traite de la migration des algériens vers la France. C’est la migration principale c’est certain mais elle a comme effet négatif de d’aspirer beaucoup des talents algériens vers la France. Les médecins algériens en sont le meilleurs exemple. Nous savons que aujourd’hui, un algériens qui s’installe en France ne reviendra pas en Algérie avant la retraite. Avant cela, il pourra peut-être investir en Algérie qui sait de tout le monde ne peut pas le faire. Donc on reste encore sur le schéma ou in fine, c’est la Ftance qui gagne sur l’Algérie. L’article le dit clairement, il parle des Algériens avec les meilleurs profils citant le étudiants et les entrepreneurs.
    Donc je ne suis pas totalement convaincu que c’est vers cette direction qu’il faut aller.
    Le meilleur serait de faciliter ́les investissements algeriens et aussi etrangers en Algérie pour développer l’économie et créer les opportunités de travail localement. Je crois.

    "invisibles"?
    3 octobre 2024 - 12 h 18 min

    Voulez-vous dire inexistants?
    Tous ces millions d’êtres matériels n’existent donc pas? Même les extrêmes droites des deux rives n’osent pas penser de cette manière, et les guillemets ne changent rien.

    Non, ce sont des populations différenciées, composées d’individus différents les uns des autres, vivant des situations différenciées, éprouvant des sentiments différents, les uns positifs quand d’autres sont négatifs, selon les lieux d’où ils parlent.

    Les LES englobant n’existent pas, il n’existe que des DES : individus, populations, catégories sociales, classes sociales, couches sociales….. LES Algériens n’existent pas, LES Français n’existent pas, il n’existe que DES Algériens et DES Français.

    Je suis Algérien, mais je n’ai rien à voir avec les mafiosi qui organisent la curée de mon pays, ce sont juste DES Algériens, mais pas LES Algériens. Je ne vis, ni ne pense, ni ne respire, ni n’aime, ni ne déteste comme eux. Je n’ai pour eux que des sentiments négatifs, les mêmes que j’éprouve pour LEURS semblables Français.

    Nous mettre tous dans le même sac ruine définitivement votre vision, car elle repose sur une erreur et n’a aucun fondement réel.

    Et nous sommes tous DES individus absolument VISIBLES, avec toutes NOS différences.

    Un salut cordial rendu VISIBLE grâce à l’existence de AP.

      Abdel
      3 octobre 2024 - 13 h 44 min

      J’aime, j’adore. Je suis absolument d’accord avec vous.
      L’auteur nous envoie au néant.
      Je fais mien votre paragraphe :  » Je suis Algérien, mais je n’ai rien à voir avec les mafiosi qui organisent la curée de mon pays, ce sont juste DES Algériens, mais pas LES Algériens. Je ne vis, ni ne pense, ni ne respire, ni n’aime, ni ne déteste comme eux. Je n’ai pour eux que des sentiments négatifs, les mêmes que j’éprouve pour LEURS semblables Français. »

    DZ
    3 octobre 2024 - 11 h 51 min

    IL aurait fallut couper le cordon avec la france a l independance la france ne pardonnera jamais l independance de l algerie les plaies sont encore loin de cicatrisees c est vrai qu une partie des algeriens sont francophiles faut pas le nier et a cela on ne peut rien faire tourner la page c est trop facile

    200 ans = 10% d’un livre ALGÉRIEN de 200 PAGES
    3 octobre 2024 - 11 h 45 min

    200 ans de relations ??
    – 130 ans de Colonisation , de Massacre Genocidaires et de crimes
    – 62 ans de Sabotage Direct et Indirect par Proxys.
    L’ALGÉRIE 🇩🇿 est 2 fois Millénaire depuis la NUMIDIE
    130 ans = 6% d’un livre de 200 PAGES
    Oui , Il y a 6 Pages SOMBRES ÉCRITES à l’Encre Rouge du Sang des Martyrs ALGÉRIENS
    => Personne ne peut les RÉÉCRIRE ou les EFFACER ces 6 pages “Communes”
    .
    C’est L’ALGÉRIE 🇩🇿 qui a ECRIT et qui continue à ÉCRIRE sa propre HISTOIRE dans ses propres livres

    Anonyme
    3 octobre 2024 - 11 h 39 min

    « A l’aube de cette nouvelle ère, l’Algérie et la France ont l’opportunité de réécrire leur histoire commune », écrit, A.Boumezrag, qui semble-t-il, vit à Paris et donc devrait avoir ses raisons pour plaider pour telle approche.
    Je se sais pas s’il a des martyrs dans sa famille. Moi, j’ai en plus de 10. Nos Chouhada qui se sont sacrifiés pour l’indépendance de l’Algérie, ne l’auraient jamais fait, s’ils savaient qu’un jour un gouvernement algérien accepterait d’associer un Benjamin Stora à l’écriture de leurs souffrances et faits d’armes héroïques .
    En tant qu’héritiers de nos valeureux Chouhouda, nous refusons que notre pays associe nos anciens bourreaux à l’écriture de notre histoire. Il n’y a que les esprits encore colonisés qui accepteraient une telle démarche.

    Wahid Mokhtar
    3 octobre 2024 - 11 h 37 min

    La réécriture de l’histoire doit se faire d’une seule main et non pas à deux mains, l’une à gauche et l’autre à droite.
    Or, de nos jours la France est soumis au diktat de son extrême droite et ne peut aller dans le sens des inteérêts mutuellement avantageux de l’Algérie et de la France. Se souvenire qu’à chaque fois que cette réécriture était envisagée, la France a tricher en nommant des nostalgériques ou des individus paternalistes et xénophobes face à des experts Algériens de bonne foi.
    Alors, soyons réaliste, tant que la France républicaine ne change pas de fusil d’épaule et apprend à reconnaitre que le potentiel humain des Algériens est source de bienfaits la situation empirera. Là, le Président Tebboune aura t’il le mérite de mettre un terme à cette attitude négative et néfaste pour tous ? Il en a l’étoffe mais….

    Eva
    3 octobre 2024 - 11 h 27 min

    Oui ou alors on peut également rompre les relations diplomatiques avec l ennemi de toujours, dénoncer tout accord pris après l indépendance algérienne, engager un processus de rapatriement massif de la communauté algérienne et envoyer se faire foutre ce maudit ennemi pour toujours 🤷‍♀️

      zembla
      3 octobre 2024 - 12 h 39 min

      C’est exactement ce que désire l’extrême droite RN en France

        Anonyme
        3 octobre 2024 - 14 h 33 min

        Oui juste il faut rembourser ce que vous avez pris piller et tortures et morts algériens pdt 132 ans en Algérie, tt ça se chiffre tu diras ça à ton RN sinon je crains que la France devienne algérienne pour autant de temps de présence française sur le territoire national algérien qui fut votre propriété et appeler Algérie française après tu seras toi et ton RN bcp plus crédible, est ce le cas du RN et ta France ?

    HANNIBAL
    3 octobre 2024 - 10 h 51 min

    Si a l’indépendance de l’Algérie si on avait respecté les citoyens ,on en serait pas là !
    Et en proportion y avait moins d’Algériens en france qu’aujourd’hui , 62 ans après on se gratte
    encore la tete , sans trouver la solution a la fuite de nos étudiants sans perspective dans notre pays ,
    je plains les bras cassé qui se jette dans la mer ,croyant trouver l’eldorado mais la france ne peut
    supporter toute la misère du monde ( dixit Rocard ) Ya 200 pays dans le monde pourquoi cette fixation
    sur la france et du je t’aime moi non plus règne , c’est hypocrite de poursuivre une relation pareille
    ils nous aime mais chez nous ,c’est la règle de l’occidental colono-$ioniste !

    Le Bisounours et le Camelot de service
    3 octobre 2024 - 9 h 19 min

    Je voudrai dire poliment que ça devient presque INDÉCENT de voir comment certains Algériens NAÏFS ? RELAYE de Drôle de Messages sur :
    – La Francophonie
    – Les juifs d’Algerie (Français et Israélien)
    .
    .-Et pour Finir les RÉVISIONNISTES de l’HISTOIRE de la COLONiSATION et de la Lutte de RESTAURATION de la SOUVERAINETÉ de l’ALGERIE.
    .
    on doit lire des choses comme
    “l’Algérie et la France ont l’opportunité de réécrire leur histoire “commune”…”
    .
    Ah bon !!
    Quelle Opportunité ?
    Les BISOUNOURS “Algériens”
    Il RÊVENT en COULEUR !!!
    pour
    – Une ALGÉRIE Francophone
    – Contre l’introduction de l’ANGLAIS , langue Internationale
    – Une ALGÉRIE qui ouvre ses portes au SIONISME et qui pardonne à la Communauté Juive d’ALGERIE de ne pas avoir soutenu le Combat de libération
    – Une ALGÉRIE qui RÉÉCRIT son HISTOIRE
    – Une ALGÉRIE qui FALSIFIE ce qui dérange
    – Une ALGÉRIE qui Efface et oublie les CRIMES
    de la 🇫🇷 FRANCE COLONIALE

    Je confirme que L’ALGÉRIE 🇩🇿 ne sera JAMAIS un Larbin Vassal de Service comme le “Maroc” ou d’autres pays.
    .
    Les CAMELOTS , passez votre chemin !!

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