Comment les Etats-Unis et les sionistes préparent l’après-Hamas-Hezbollah

Biden post-Hezbollah
Joe Biden et Benjamin Netanyahou. D. R.

Une contribution de Khider Mesloub – Selon le journal libanais Al-Akhbar, l’ambassadrice des Etats-Unis au Liban, Lisa Johnson, aurait demandé aux forces politiques du pays de «se préparer à la phase post-Hezbollah, où leur contrôle sur l’Etat, ses institutions et les postes frontières ne sera plus autorisé».

Cette déclaration lapidaire résume, à elle seule, les mobiles réels de l’opération militaire déclenchée à Gaza contre le Hamas. Depuis plusieurs années, les Etats-Unis et leur vassal, Israël, se préparaient à la phase post-Hamas, c’est-à-dire à la cessation définitive de son contrôle sur l’Etat, les institutions et les postes frontières israélo-palestiniens (gazouis). Une opération étendue dorénavant au territoire libanais, en particulier contre le mouvement Hezbollah. Prochain pays dans le viseur des Etats-Unis et d’Israël, la Syrie. Et, probablement, l’Iran.

Par ces opérations militaires génocidaires protéiformes, les Etats-Unis et leurs mercenaires sionazis israéliens veulent anéantir toutes les forces politiques et armées arabes (palestiniennes, libanaises, syriennes) qui contrecarrent leur projet d’exploitation des gisements gaziers et pétroliers de Gaza et de la Cisjordanie, sans oublier le projet de construction du canal Ben Gourion.

Aussi, afin d’accélérer l’avènement de cette phase post-Hamas et post-Hezbollah à Gaza et en Cisjordanie, dans le cas de la Palestine occupée, et du Sud libanais dans le cas du pays du Cèdre, les objectifs des opérations militaires génocidaires actuelles sont, en premier lieu, la déportation de la population palestinienne de Gaza afin de construire le canal Ben Gourion et de s’emparer des réserves de gaz naturel au large de Gaza. En second lieu, l’anéantissement de toutes les branches armées du Hamas et du Hezbollah pour se prémunir définitivement de toute attaque terrestre ou bombardement mené contre les plateformes de forage et le canal Ben Gourion. En troisième lieu, l’annexion de la Cisjordanie pour y établir des mercenaires sionazis en provenance de l’Europe et de l’Amérique. En quatrième lieu, l’occupation du Sud Liban pour s’accaparer notamment du fleuve Litani afin de détourner son cours en vue d’irriguer les terres israéliennes extorquées aux Palestiniens. Enfin, en cinquième lieu, consolider l’Etat sionazi israélien, ce gendarme des Etats-Unis au Proche-Orient, pour lui permettre d’assurer la pérennité de la domination des Etats-Unis-OTAN sur les hydrocarbures des pays arabes, car les deux gendarmes traditionnels, l’Arabie Saoudite et la Turquie, ne sont plus fiables depuis leur rapprochement (voire ralliement) avec le bloc des BRICS, incarnés par les deux pays ennemis des Etats-Unis, la Chine et la Russie.

La classe dirigeante américaine, menée par le démocrate Biden, est déterminée à poursuivre ses projets économiques et géopolitiques hégémoniques au Proche-Orient, même au prix du génocide de tous les Palestiniens et Libanais, comme le prouvent les livraisons d’armes sans limite et les financements incommensurables octroyés à ses mercenaires, les sionazis israéliens.

Pour rappel, en 2007, juste avant l’opération militaire «Plomb fondu» dirigée contre la bande de Gaza, le ministre de la Défense Moshe Ya’alon avouait son inquiétude de voir les gisements gaziers découverts en 2000 au large des côtes de Gaza être exploités, au double sens du terme, par le Hamas pour l’aider, sinon à construire un Etat palestinien indépendant, au moins à financer «ses attaques contre Israël».

Or, le régime sioniste veut s’attribuer l’exclusivité de l’exploitation de ces gisements gaziers, ou, à tout le moins, jusqu’à une date récente, en coopération avec le pouvoir fantoche de Mahmoud Abbas, l’Autorité palestinienne. Depuis des années, l’Etat sioniste s’active pour trouver un accord sur le gaz de Gaza avec l’Autorité palestinienne. Des négociations étaient menées sans le Hamas.

Le Hamas a toujours averti qu’il rejetterait toute légitimité d’un éventuel accord. Et le régime sioniste est conscient que le Hamas s’opposerait, y compris par les armes, à toute exploitation du gaz de Gaza. Sans oublier son allié et voisin libanais, le Hezbollah. Le ministre de la Défense Moshe Ya’alon avertissait déjà à l’époque : «Sans une opération militaire permettant de chasser le Hamas des postes de commande de Gaza, aucun forage ne peut débuter sans l’accord du mouvement islamistes radical.»

Depuis la découverte des gisements gaziers, l’entité sioniste craint que, même dans la perspective d’une éradication du Hamas de la bande de Gaza, le contrôle par l’Autorité palestinienne des ressources de gaz n’aboutisse à l’accroissement de la puissance et l’influence de l’Etat palestinien. Aussi pour Israël la solution finale, afin de contourner l’obstruction du Hamas à toute exploitation du gaz par les compagnies israéliennes et contrecarrer l’émergence d’un Etat palestinien «gazier» puissant rival, est d’annexer Gaza. Autrement dit, de préparer la phase post-Hamas. Au vrai, phase post-palestinienne, c’est-à-dire Gaza et Cisjordanie sans Palestiniens. Qui dit sans Palestiniens induit nettoyage ethnique, extermination.

Les eaux territoriales palestiniennes recèlent, certes, un immense gisement de gaz naturel, estimé à 30 milliards de mètres cubes, d’une valeur de plusieurs milliards de dollars. Mais d’autres gisements de gaz et de pétrole, selon une carte établie par la US Geological Survey (agence gouvernementale états-unienne), se trouveraient en terre ferme à Gaza et en Cisjordanie. De quoi nourrir les convoitises de la puissance sioniste impérialiste et de son parrain, les Etats-Unis, seul pays à disposer de la technologie et des entreprises pour exploiter ces réserves de gaz et de pétrole.

Aussi tout porte à croire que, si les précédentes opérations militaires sionistes, notamment l’opération Plomb fondu, avaient pour but l’éradication du Hamas, en revanche l’actuelle ultime opération déclenchée le 9 octobre semble avoir pour objectif l’élimination et l’expulsion définitive des Gazaouis. Il n’est plus question d’éradiquer le Hamas mais d’anéantir physiquement et géographiquement les populations palestiniennes de Gaza. Autrement dit, Israël procède, par sa guerre exterminatrice contre les Palestiniens de Gaza, à un nettoyage ethnique (déplacement des populations gazaouies) et à un génocide.

Nul n’ignore que la question énergétique est devenue, en particulier depuis la guerre russo-ukrainienne, partout dans le monde, l’enjeu capital des Etats. Aussi, on mesure mieux les véritables mobiles économiques et géopolitiques de cette opération de nettoyage ethnique menée par la bourgeoisie sioniste israélienne, parrainée par les Etats-Unis, sous prétexte d’éradiquer le Hamas.

On ne s’explique pas autrement cette détermination exterminatrice du pouvoir israélien (américain) de mener cette génocidaire guerre contre les Palestiniens gazaouis, sinon par sa vorace volonté mercantile d’annexer définitivement Gaza pour s’approprier les gisements de gaz et du pétrole.

Depuis toujours, la maîtrise de l’approvisionnement énergétique constitue un enjeu majeur pour l’entité sioniste. Elle lui permet d’assurer sa sécurité en matière énergétique et, surtout, de maintenir les territoires palestiniens dans une situation de dépendance afin de pérenniser son hégémonie, sa suprématie coloniale. Qui contrôle le gaz contrôle Gaza. Le pouvoir sioniste est déterminé à s’approprier les sources de gaz et de pétrole de Gaza. Et pour pouvoir concrétiser ce projet de spoliation, il doit s’approprier Gaza, quitte à passer sur le corps des Gazaouis, au prix d’amoncellement de millions de cadavres palestiniens. Et même, d’autres millions de cadavres libanais, syriens, susceptibles de contrecarrer ce projet d’annexion définitive des territoires palestiniens et, surtout, d’entraver l’exploitation et l’extraction des gisements gaziers et pétroliers.

Cette obsession d’assurer l’approvisionnement énergétique d’Israël est tellement ancrée dans les instances dirigeantes sionistes que Golda Meir aimait répéter à ces hôtes occidentaux qui l’a félicité d’avoir conquis la terre promise : «Terre promise ? Quelle terre promise ? Pourquoi a-t-il fallu que Moïse nous guide vers le seul endroit du Moyen-Orient qui soit justement dépourvu de pétrole ?»

Au mois de mai 2023, le Hamas avait publié un communiqué dans lequel il soulignait qu’«il ne permettrait pas à l’occupant israélien d’utiliser la question du champ gazier de Gaza comme instrument pour conclure des accords politiques et de sécurité avec d’autres parties». Ce communiqué s’inscrivait dans le prolongement des multiples manifestations organisées par le Hamas au cours des mois écoulés pour insister sur les droits des Palestiniens concernant les ressources gazières au large de l’enclave de Gaza sous blocus israélien. «Nous mettons en garde l’occupation (Israël) contre toute modification de notre droit à nos ressources maritimes, en particulier le gaz naturel au large de nos côtes», avait déclaré Suhail Al-Hindi, responsable au sein du Hamas, chargé du dossier des ressources naturelles. Juridiquement, d’un point de vue légal, le Hamas ne peut exercer aucune mainmise sur le gaz de Gaza, mais parce qu’il contrôle Gaza il peut faire obstruction à toute exploitation gazière par Israël.

Israël a toujours œuvré pour que le Hamas ne bénéficie pas du gaz de Gaza. Y compris par l’éradication du Hamas. Et désormais, depuis le 9 octobre 2023, y compris par l’extermination des habitants de Gaza. Des résidents du Sud du Liban. (Un récent rapport a alerté qu’Israël largue des «bombes à uranium appauvri» sur Beyrouth. L’armée de l’air israélienne a déjà utilisé ces bombes à Gaza. Les munitions à l’uranium appauvri présentent un risque pour les civils des années après le bombardement d’un site, car elles libèrent des particules radioactives à l’impact et contaminent le sol et l’environnement. Elles provoquent notamment des malformations congénitales, phénomène observé en Irak, pays victime de ces bombes à uranium).

Pour comprendre la raison de la foudroyante riposte (préparée de longue date) israélienne, il ne faut pas porter son regard vers le Hamas, mouvement islamiste créé et soutenu par Israël (que Tsahal pouvait anéantir en quelques heures), mais vers les ressources gazières et pétrolières maritimes et terrestres de Gaza, un territoire toujours habité par 2,3 millions de Palestiniens. De là s’explique l’envergure de l’offensive, jugée naïvement par certains disproportionnée et asymétrique. L’objectif de l’opération militaire n’est pas d’éradiquer le Hamas, mais d’anéantir (par expulsion massive ou explosion mortelle) tous les Palestiniens de Gaza.

Aussi, l’opération militaire sioniste n’est ni disproportionnée ni asymétrique, elle est conforme au plan de nettoyage ethnique et de génocide des Palestiniens de Gaza. On n’écrase pas les mouches (Hamas) avec un marteau, et encore moins avec des bulldozers. Si le pouvoir nazi mobilise ses colossales troupes militaires (400 000 soldats), ce n’est certainement pas pour éradiquer les 20 000 combattants du Hamas (dont il connaît leur identité, leur numéro de téléphone, leur résidence), mais pour exterminer et expulser les 2,3 millions de Palestiniens de Gaza. Sans oublier les Palestiniens de Cisjordanie, les «trouble-fêtes» du Sud Liban, le groupe paramilitaire islamiste chiite Hezbollah.

Personne n’est sans savoir que la classe dirigeante israélienne est la plus machiavélique du monde. Son pouvoir de nuisance n’est plus à démontrer. Mais sa puissance de manipulation est encore plus méphistophélique. En matière de collecte d’informations et de machinations, la réputation des services de sécurité israéliens n’est plus à faire. Comment peut-on croire que les services de sécurité israéliens qui surveillent, en permanence, quasiment tous les dirigeants, hommes politiques et chefs d’entreprises, journalistes et intellectuels de tous les pays, via leurs multiples logiciels espions et agents secrets introduits dans toutes les hautes sphères étatiques et économiques, n’ont pas détecté les préparatifs de l’attaque du Hamas, une organisation placée sous haute surveillance par tous les agents de renseignements du monde occidental ?

Depuis des mois, plusieurs sources ont démontré la complicité des services secrets israéliens dans l’opération du 7 octobre 2023. L’ancien Premier ministre israélien Yaïr Lapid a avoué avoir reçu des informations de la part des services de renseignement avant l’attaque du Hamas. D’après lui, son successeur Benjamin Netanyahou les avait également réceptionnés. Mettant à nu la théorie de la défaillance des services secrets israéliens. En tout cas, ce ne serait pas la première fois dans l’histoire où la bourgeoisie aura été autant machiavélique que méphistophélique.

Une organisation islamiste que l’Etat terroriste d’Israël a toujours soutenue et financée via le Qatar et d’autres pays. En tout cas, curieusement, le 7 octobre, 2 000 combattants du Hamas franchissent sans encombre la frontière israélienne la plus sécurisée et protégée du monde. Durant 6 heures, ils livrent leur «attaque surprise – surprenante ? – sans rencontrer la moindre résistance de la part de l’armée la plus efficace et équipée du monde (aucun hélicoptère ni avion de combat n’a décollé pour neutraliser les assaillants palestiniens). La suite tout le monde la connaît. La riposte est à la hauteur du scénario ourdi. Les troupes militaires israéliennes sont installées définitivement à Gaza. Gaza est en ruines. La population gazaouie décimée ou déportée. Les éphémères combattants du Hamas volatilisés, livrant la population civile gazaouie aux bombes génocidaires sionistes.

Il ne faut jamais perdre de vue que la majorité des guerres modernes sentent fortement une odeur de pétrole ou de gaz. L’actuelle guerre sioniste menée contre Gaza, ce camp de la mort, sent le gaz à plein nez, jusqu’à asphyxier mortellement les Gazaouis, victimes de la rapacité coloniale génocidaire des Israéliens et de leurs commanditaires, les classes dirigeantes états-uniennes. Ces sociopathes pour qui les Palestiniens, déshumanisés, sont des animaux.

Comme je l’ai indiqué dans un précédent article, depuis la formation du gouvernement fasciste israélien, l’objectif de l’Etat sioniste est également de régler définitivement la «question palestinienne» pour réaliser le grand rêve de la création d’un Etat purement juif du Jourdain à la mer. De la mer de Gaza, en particulier, qui recèle, comme indiqué plus haut, d’immenses gisements gaziers dont Israël veut s’en emparer.

De quelle manière compte-t-il réaliser le grand rêve du Grand Israël ? Politiquement, par l’abandon explicite de toute solution «à deux Etats». Militairement, par la déportation massive, y compris par la perpétration d’un massacre de masse, de la population palestinienne. Qui peut réaliser ce projet d’expansion territoriale et d’expulsion massive des Palestiniens, sinon des partis néo-fascistes et ultrareligieux pétris d’un racisme décomplexé et animés de violence meurtrière désinhibée, actuellement installés au pouvoir. C’est-à-dire des psychopathes.

Peut-être que Netanyahou, le nouveau messie des sionistes sanguinaires, adeptes de la solution finale, pourrait, avec l’aide des puissances impérialistes occidentales, réaliser la prophétie de Golda Meir : avoir une terre approvisionnée en gaz et en pétrole, le territoire de Gaza, en voie d’annexion définitive par Israël. Bientôt des plates-formes, made in Israël, pourraient s’ériger au large de la bande de Gaza. Ces plates-formes seront, symboliquement, remplies toujours du sang des Palestiniens, des Palestiniens gazaouis sacrifiés sur l’autel des gisements gaziers, des futures colonies israéliennes installées à Gaza. Prochaine opération de nettoyage ethnique en préparation : la Cisjordanie qui recèle aussi bien du gaz que du pétrole. Henry Kissinger aimait rappeler : «Contrôlez le pétrole et vous contrôlerez les nations.»

Israël semble vouloir contrôler le gaz et le pétrole de Gaza et de la Cisjordanie, non pour contrôler ces deux villes, mais pour détruire définitivement la nation palestinienne, en lui appliquant la solution finale.

K. M.

Comment (22)

    Rachid
    20 octobre 2024 - 17 h 26 min

    Merci pour cet article très enrichissant. Il y a cependant d’autres questions qui mériteraient d’être abordées. Les organisations non étatiques mènent une guerre mondiale non déclarée contre des puissances telles qu’Israël, les États-Unis, le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne, la Pologne, etc., tandis que par leur inaction (voire complicité pour certains), les États arabes et musulmans semblent cautionner ces conflits. Le panislamisme, autrefois inventé par les Turcs, s’est implanté chez certaines monarchies (comme l’Arabie Saoudite, les Émirats, le Qatar, le Maroc…) pour protéger les intérêts de l’Occident, et il continue de le faire. Le silence assourdissant des autorités religieuses, qui préfèrent prêcher des futilités, est frappant.
    Pendant ce temps, le panarabisme, qui avait pour vocation de défendre les intérêts des Arabes, reste absent. Prenons l’exemple de la Syrie, souvent attaquée par l’aviation israélienne, qui ne répond jamais à ces agressions. Ces États arabes ne semblent pas comprendre que leur tour viendra, car en favorisant un droit fondé sur une histoire largement fabriquée, certains Israéliens considèrent que toutes ces terres leur appartiennent.
    Par ailleurs, malgré l’horreur de la situation, la spoliation des terres et la souffrance du peuple palestinien et de ses voisins, la diplomatie palestinienne reste désespérément silencieuse. Le Liban, quant à lui, préfère la division à l’union pour défendre son territoire… On peut légitimement se demander si l’organisation actuelle de l’humanité en États-nations est vraiment la meilleure solution, à la lumière de ces dynamiques complexes et de ces injustices persistantes.

    Anonyme
    20 octobre 2024 - 17 h 19 min
    Salim Samai
    20 octobre 2024 - 8 h 31 min

    SVP reproduizez « Biden’s Moral Failure in Israel »; Peter Beinart, NYTimes 13-10-24 (1 page( qui conclut:

    « According to The Guardian the 1st 100 PAGES are composed ENTIRELY of the NAMES of CHILDREN WHO DIED UNDER THE AGE 10. THEIR LIVES WILL NEED TO BE ACCOUNTED FOR when Historians gauge HOW Mr. Biden SHAPED the « soul of this nation ».
    ——————–
    Entretemps á Berlin G.-Joe a « la gratitude » de Margot Friedlander tenue/poussée par Genocide-Blinken qui a SOUILLÈ l´Holocauste, Ses Peres, « son pays » pour en FAIRE avec Germany la Papouasie-Tonga-Micronesie et des Etat-Mafia-Voyou & Bodyguards de Wanted Outlaws du JURY du Divin & l´Humain!

    Narcisse
    20 octobre 2024 - 1 h 24 min

    Je rappelle que le Hezbollah qui est un parti politique Libanais a oeuvré pour la protection des champs au large du Liban en conflit direct avec l’entité sioniste usurpatrice de la Palestine.
    Que s’attaquer au Liban au Hezbollah c’est également une guerre pour le contrôle de énergétique et territoriale : de mémoire il s’agit du bloc 9.
    Ce qui se passe en Palestine OCCUPÉE est d’une GRAVITÉ EXTRÊME UNE ÉPURATION ETHNIQUE PALESTINE GÉNOCIDE CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ CRIMES DE GUERRE ETC sans que ces pays occidentaux soi-disant civilisés ne s’en émeuvent le moins du monde au contraire ils y participent activement puisqu’ils arment l’entité sioniste. À contrario en pleurniches récurrentes pour l’Ukraine et ses néonazis.
    Pourquoi les pays arabes n’aiment pas la Palestine et n’interviennent pas militairement aux côtés des Palestiniens …
    L’Égypte a l’obligation au minimum d’ouvrir Rafah sa traîtrise et soumisSION est innommable.

      Narcisse
      20 octobre 2024 - 7 h 29 min

      Correctif : pourquoi les pays arabes n’arment pas la Palestine et n’interviennent pas militairement aux côtés des Palestiniens

    Raïss
    19 octobre 2024 - 18 h 21 min

    Le de Tatanhahou est en train de tue des Arabes et il dit au monde entier qu’il est train de faire la guerre à l’Iran. Là est la preuve qu’il est vraiment malade jusqu’à son …de la torah. Le crapule et avide comme un juif.

    Brahms
    19 octobre 2024 - 17 h 04 min

    DEUX DIABLES qui valident 60 000 morts

    Ils veulent faire couler l’IRAN (prochaine cible). Ils font le tour des pays récalcitrants, ce sont des chasseurs.

    Lahouaria
    19 octobre 2024 - 15 h 14 min

    Netanyahou, le poltron, le lâche, le tueur des bébés c’est bien lui le président américain des Etats-Unis. d’Amérique !
    Les autres sont justes sont justes des marionnettistes.
    La Maison Blanche n’a jamais été américaine, elle est israélienne puisque tout le personnel est sioniste, même les femmes de ménages etc.
    Le Leader combattant de guerre Yahia Sinwar est mort, ils vont le remplacer par un autre jeune intellectuel.
    Comme disent les intellectuels palestiniens: on peut tuer un révolutionnaire, mais on ne peut pas tuer une révolution🇵🇸

      Hors-jeu
      20 octobre 2024 - 9 h 13 min

      Du bla bla des années 70..
      Meme les palestiniens eux même n y croient plus

    Mohand
    19 octobre 2024 - 15 h 12 min

    Mais la VRAIE qui reste à poser dans toute cette analyst TROP LONGUE….. QUEL EST LE RÔLE DE LA RUSSIE DANS TOUT CELA ? POURQUOI LA RUSSIE « amie » DES PAYS ARABO-MUSULMANS LES LAISSE-ELLE TOMBER… ABANDONNER… SANS RÉAGIR… bizarre tout de même, non ?

      Anonyme
      19 octobre 2024 - 18 h 01 min

      Parce qu il est embourbé dans sa propre guerre contre l Ukraine l OTAN les USA et l UE . La Corée du nord vient de lui envoyer 1500 soldats pour le soulager. Enfin l union soviétique et le polit bureau n existe plus en Russie depuis Poutine,seul à gouverner et à décider. Maintenant la Russie surement aidera l Iran dû à son alliance stratégique et amicale, elle ‘e fait pas pour tt le monde, elle ne l a pas fait pour Saddam ni Khadafi pour des raisons lui appartenant. Gaza le Liban elle dénonce et accuse Israël et les USA de complicité sur ces guerres, ça elle doit sûrement fournir le Hezbollah via des passerelles pour ennuyer l oncle Samet son protégé, la Chine et pleins f autres aussi probablement, ça a tjrs exister ça depuis le Vietnam, les russes et chinois faisait saigner les américains ensuite les américains faisaient saigner les russes en Afghanistan, crois moi ces méthodes et pratiques ont tjrs existées entre les grandes puissances et leurs pays satellites. Une sorte guerre froide qui reprend entre eux sauf qu aujourd’hui ils passent par des proxis ou arme des mercenaires de ttes sortes bourdes groupes de résistants et même des groupes terroristes, ce qu a fait Hollande et Fabius et d autres occidentaux dont USA en Syrie par exemple et qui les a fait rentrer chez eux la queue entre les jambes eux et leurs groupes islamistes armés Daech Al nosra état islamique, ben c’est la Russie de Poutine pour le gros avec l aide du Hezbollah et de l Iran. J espère t’avoir éclairé un peu plus, il y a rien de bizarre sur la position russe actuellement.

        Mohand
        19 octobre 2024 - 20 h 12 min

        Merci pour vos explications qui semblent être une des multiples explications maiscela n’explique pas tout.

    Raïss
    19 octobre 2024 - 14 h 44 min

    C’est vrai, l’avidité des Juifs occidentaux est certes très audacieuse, mais cela sera compliqué pour eux, du moins si nous parvenons à convaincre les lâches du reste de l’Arabie, ces voyous juifs occidentaux très avides de produits arabes. s’opposer aux Arabes, et non aux Indiens, aux Aborigènes ou aux Tasmaniens, les crapules juifs « sioniste « occidentaux pouvaient le ressentir en Algérie.

    Matelot
    19 octobre 2024 - 13 h 48 min

    Il faut réaliste qu a rapporté Hamas en cisjordanie et Gaza a la cause palestinienne ???
    Rien ..aucune avancé ils ont été infiltrés et manipulés par le Mossad..jusqu’à leur attribue les pires horreurs
    Israël s est bien accomode du Hamas et du Hezbollah..maintenant elle s en débarrasse

      Anonyme
      19 octobre 2024 - 18 h 35 min

      Tout et rien mais la question qu il faut poser qu a-t-elle apporté l entité sioniste colonisatrice violente au peuple palestinien depuis son annexion, tu le dis toi même que c est une création du Mossad au détriment de l olp et le fata.Ben oui depuis presque 15 années dahro rlihom avec le 7 octobre et depuis la Palestine dépasse ce conflit entre deux parties , elle montre Israël à visage découvert et permet aussi aux autres que la liberté d expression c’est du vent dans leurs pays et particulièrement en France qd on critique Israël. Il y a un occupant depuis 1947 et pas depuis le 7 octobre 2023 donc tt actes même abjecte que je cautionne pas en tant qu homme mais ne je ne les qualifierais PAS de terroristes car eux sont des résistances à un occupant malade froid et fou Israël . Qui est vraiment le terroriste celui qui en a tué 1500 civils ou celui qui en tue 50 milles civils et bcp bcp plus si on fait un récapitulatif depuis 47 ? Faut arrêter de raconter de la merde aux autres, leurs médias sionistes le font très bien même trop bien pour comprendre qui est le véritable fdp qu on veut faire passer pour un ange ! Non cette guerre de la communication Israël et ces soutiens l ont perdue et la guerre sur le terrain bien malin celui qui s avance car on sait qd ça commence mais jamais qd ça termine une guerre .Vive le Hamas Vive le Hezbollah Vive les Houtis qui résistent à tt ces fdp de sionistes et pourtant ce n est pas des états mais juste des groupes armés et politiques, j oubliais un seul état qui soutien et qui est dans la partie Vive l Iran. Pas un pays arabes dans cette histoire. La loi musulmane sunite la charia qu on apprécie ou pas mais c’est pas moi qui l a écris rappel à tt musulmans de venir en aide et de se battre aux côtés de musulmans opprimés, bizarrement c’est ce qu a fait L Arabie saoudite et le Pakistan avec les USA contre les russes en Afghanistan et là n agissent pas du tout de la même manière parce que c était la CIA qui ordonnait et organisait ces choses là, vous voyez qu ils appartiennent plus à la CIA et USA qu à l’islam et le très haut Allah ces pays musulmans qui appelaient hier au jihad. Des usurpateurs uitlise la religion d Allah eux-mêmes titre que certains terroristes affiliés à crs pays où autres pays arabes et d autres aux occidentaux c est qd ça les arrange et pire pour rendre service aux USA pays coufars et dieu ça le sait…tkt.

        Matelot
        20 octobre 2024 - 9 h 15 min

        Je t invite à aller chercher comment Israël
        A créé financée Armé le Hamas depuis la sortie du cheikh yassine à nos jours et les dirigeants planqué au Qatar

          Anonyme
          20 octobre 2024 - 17 h 44 min

          Tu m as pas lu entièrement.

      yisseri
      20 octobre 2024 - 12 h 05 min

      Il fallait que les habitants de gaza vivent jusqu’à la fin des temps dans une prison à ciel ouvert sans réagir, sans parler des colonies juives en cisjordanie et al quds ? La même logique des algériens de l’époque qui critiquaient les actions de l’aln qui provoquaient une répression aveugle et sauvage des français contre les femmes et les enfants algériens, mais à la fin on a recouvert notre indépendance, israel finira comme l’algérie française

    Mohamed El Maadi
    19 octobre 2024 - 12 h 05 min

    Dans le théâtre complexe et souvent brutal du Moyen-Orient, les arrangements entre Israël et les États-Unis apparaissent comme le reflet d’une politique étrangère cynique, où les intérêts stratégiques et économiques l’emportent sur les principes de justice et de paix. Ces alliances, qui devraient théoriquement apporter stabilisation et coopération, n’ont fait qu’intensifier les tensions et prolonger un cycle de violence qui semble sans fin.

    La résistance palestinienne, loin d’être étouffée, se renforce chaque jour, nourrie par une détermination inébranlable face aux injustices flagrantes et aux souffrances quotidiennes. Cette résistance n’est pas simplement une réaction, mais un cri de dignité, un refus de se soumettre à une occupation qui prive un peuple de sa terre et de ses droits fondamentaux. L’Iran, bien que discret, est perçu officieusement comme ayant atteint un statut de puissance nucléaire, ce qui modifie profondément la balance du pouvoir dans la région. Cette capacité pourrait servir de dissuasion contre toute intervention militaire directe de la part d’Israël et de ses alliés, ajoutant une couche de complexité à un échiquier géopolitique déjà chargé.

    Les accords de normalisation entre Israël et certains pays arabes sont une trahison des aspirations palestiniennes et une illusion de paix. Ces accords, vantés comme des avancées diplomatiques majeures, risquent de ne rien apporter de concret aux signataires arabes. Benjamin Netanyahou, connu pour ses promesses non tenues et ses manipulations habiles, n’a jamais respecté les engagements pris. Même si son règne venait à s’achever, son successeur ne pourrait se permettre de faire moins, surtout après les lourdes pertes humaines et militaires subies par Israël. Ces sacrifices, ressentis profondément par la société israélienne, ne pourront être justifiés que par une victoire totale, rendant tout compromis difficilement envisageable.

    Du côté palestinien, même si le Hamas perdait son emprise électorale, les attentes élevées et la pression des récents événements ont mis la barre si haute que l’Autorité palestinienne ne pourrait envisager de compromis sans risquer de perdre sa légitimité. Les 100 000 victimes palestiniennes ne seront pas simplement oubliées par une reconstruction financée sous l’œil vigilant d’Israël, avec des fonds arabes et musulmans. Les souffrances endurées sont gravées dans la mémoire collective, et aucune promesse de développement ne pourra effacer cette réalité douloureuse.

    Le ressentiment croissant parmi les peuples musulmans, alimenté par des images de violence inouïe et d’injustice, constitue une bombe à retardement. Les régimes arabes et musulmans, perçus comme complices ou passifs, pourraient être balayés par une vague de colère populaire, un tsunami de changement qui pourrait redessiner le paysage politique de la région. Cette colère n’est pas seulement dirigée contre Israël, mais aussi contre ceux qui ont trahi la cause palestinienne pour des gains politiques éphémères.

    Quant au Hezbollah, il ne s’agit plus d’un simple groupe armé, mais d’un acteur politique et social profondément enraciné, presque un « État » dans l’État libanais. Bien qu’affaibli, il dispose encore d’une base solide et d’une capacité de résilience qui lui permet de se redéployer face à l’adversité. Ses membres, animés par des convictions profondes, continuent de représenter un défi majeur pour ceux qui espèrent le voir disparaître.

    L’Algérie, de son côté, se prépare à défendre ses intérêts face à ces turbulences régionales. Avec un budget de 25 milliards de dollars pour la défense, elle renforce ses capacités militaires pour envoyer un message clair : toute tentative de déstabiliser l’Algérie, de la transformer en un autre Liban, sera vouée à l’échec. L’Algérie se tient prête à répondre non seulement par des mesures militaires, mais aussi par des actions décisives contre ceux qui oseraient s’attaquer à sa souveraineté.

    Dans cette lutte pour la dignité et la justice, les peuples de la région montrent qu’ils ne sont pas des pions sur un échiquier international. Leur amertume, née de décennies de promesses non tenues et de trahisons politiques, nourrit une détermination à lutter pour un avenir où leurs droits et aspirations seront enfin reconnus et respectés.

    Anonyme
    19 octobre 2024 - 11 h 41 min

    Un plan bien pré planifier, vont ils s’arrêter à ça vu la passivité des pays arabes et d autres ?
    L’entité sioniste voudras détruire tt pays qui lui conteste le droit d exister et surtout de dominer sa région où elle est entourée de pays hostiles à part ceux avec elle s entend plus ou moins bien.
    Je vous l avais dit des le départ qu ils n allaient pas s arrêter à Gaza. Là où cette entité sioniste de trouve est un danger pour autrui. Mangez maintenant ceux qui pensaient qu elle s arrêtera à Gaza. Oui ceci devrait vous préoccuper à l avenir ?

      mansour
      19 octobre 2024 - 16 h 47 min

      Bien beau tout ça, mais ou avez-vous que les implications diplomatiques pourrait retenir ce pays, quand on voit en direct la sauvagerie extrême dans les actions à gaza et au liban. Quand aux relations futures avec les pays arabes qui pourrait être compromis, on croit rêver ou cauchemarder sachant que nombre de pays arabes ne serait pas mécontents d’un conflit qui pense-ils rabaisserait le « caquet de DZ. (sans préjuger aucunement des résultats qui pourrait être en faveur de DZ, n’eut le soutien inconditionnel permanent des us et de l’otan à son bébé chéri et adoré.

    Abou Stroff
    19 octobre 2024 - 8 h 48 min

    « Israël semble vouloir contrôler le gaz et le pétrole de Gaza et de la Cisjordanie, non pour contrôler ces deux villes, mais pour détruire définitivement la nation palestinienne, en lui appliquant la solution finale. » conclut K. M..

    je pense que « contrôler le gaz et le pétrole de Gaza et de la Cisjordanie » et « détruire définitivement la nation palestinienne » ne sont pas deux actions antinomiques mais facilitent, dans leur complémentarité, la solution définitive du problème palestinien qui « gêne », non seulement l’entité sioniste mais également …………tous les régimes compradores arabo-islamiques qui entourent cette dernière.

    en termes crus, le peuple palestinien est, dans les faits, seul face aux colonisateurs sionistes et c’est, me semble t il, pourquoi, sans une remise en cause des régimes sionistes et des régimes compradores arabo-musulmans du Moyen-orient par les peuples (y compris le peuple de l’entité sioniste) de la région, le sort de la Palestine et des palestiniens est définitivement scellé.

    moralité de l’histoire: il n’y en a a aucune, à part qu’au regard des rapports de force à l’échelle mondiale, la décolonisation de la Palestine ne verra le jour que lorsque les peuples de la région remettront en cause la main mise du Grand Capital sur la région, via le régime sioniste comme prolongement de ce dernier, d’une part et les régimes compradores arabo-musulmans comme vassaux du …………..grand Capital, prolongement et vassaux qui n’ont aucun interêt à ce qu’une Palestine palestinienne libre voie le le jour.

    wa el fahem yefhem.

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