Film sur l’Emir Abdelkader : appel à l’expertise internationale pour la production et la réalisation

appel d'offres film
Portrait de l'Emir Abdelkader. D. R.

Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a ordonné lors de la réunion du Conseil des ministres qu’il a présidée dimanche le lancement d’un appel d’offres international pour la production et la réalisation d’une importante œuvre cinématographique sur l’Emir Abdelkader, a indiqué un communiqué du Conseil des ministres.

Cette démarche vise à «conférer à cette œuvre une dimension universelle, vu la haute symbolique que représente l’Emir Abdelkader, de par son parcours dans l’édification de l’Algérie contemporaine et son rayonnement international, outre tous ses efforts consentis pour la protection des minorités à travers le monde», soutient le président de la République.

Selon la même source, le président de la République a ordonné d’ouvrir «la voie aux compétences cinématographiques algériennes et mondiales, en tenant compte du contenu convenu dans le cahier de charges».

R. C.

Comment (31)

    Bonne Initiative
    24 octobre 2024 - 20 h 48 min

    En espérant que ce sera le Premier d’une longue Série et que ce sera une réussite
    BONNE CHANCE 👍

    Alif
    24 octobre 2024 - 7 h 38 min

    Aujourd’hui, alors que les bouleversements mondiaux appellent à une réflexion plus profonde, il est essentiel de revenir aux enseignements des grands esprits qui ont marqué l’histoire, non pour les réduire à des symboles simplistes, mais pour en saisir toute la complexité. L’Emir Abdelkader, souvent limité à sa dimension guerrière par les discours politiques, incarne bien plus que cela. À travers son essai « Notes brèves destinées à ceux qui comprennent, pour attirer l’attention sur des problèmes essentiels », il nous invite à une réflexion intellectuelle et spirituelle sur des enjeux universels. Plutôt que de se contenter de célébrer son rôle de combattant, il est crucial de reconnaître l’homme de pensée, le philosophe, et de redonner toute sa place à sa quête de justice, de sagesse et de compréhension des grands défis humains.

    Message aux politiques :

    À vous, acteurs politiques, qui portez la responsabilité de préserver et transmettre l’héritage de nos grandes figures, nous lançons un appel à la nuance et à la profondeur. Abdelkader n’est pas seulement un symbole guerrier à exploiter dans des discours de circonstance. Son héritage intellectuel, spirituel et humaniste dépasse de loin les enjeux de pouvoir. En le réduisant à une simple icône de résistance, vous passez à côté de sa véritable dimension : celle d’un homme de pensée, de dialogue et de justice. Nous vous invitons à faire preuve d’honnêteté historique et à puiser dans ses enseignements pour éclairer les défis actuels. Le monde d’aujourd’hui, marqué par les divisions et les tensions, a plus que jamais besoin de figures qui incarnent l’éthique et la réflexion, pas seulement la force des armes.

    Message aux citoyens :

    Citoyens, notre devoir est de ne pas nous contenter des images simplistes ou déformées que l’on nous présente de nos héros. L’émir Abdelkader ne peut être réduit à un rôle figé dans l’histoire ou à des jugements simplistes fondés sur des dogmes actuels. Il a agi dans des circonstances complexes, parfois incompréhensibles depuis notre position actuelle. Plutôt que de céder à des récits faciles, prenons le temps de découvrir la richesse de sa pensée, sa quête de justice et de paix, et ses réflexions profondes sur l’humanité. En célébrant Abdelkader dans toute sa diversité, nous honorons un esprit qui nous appelle à l’éveil des consciences et à la responsabilité de nos actions dans le monde contemporain.

    En honorant cet esprit aujourd’hui, nous refusons de le réduire à un mythe guerrier et choisissons de célébrer sa vision éclairée, indispensable à notre époque.

    Chahid
    23 octobre 2024 - 13 h 24 min

    Notre histoire est ailleurs, on ne s’écoute jamais entre nous. Pour faire un film, il faudra des commissions interminables pour réajuster les scenarii. Sinon Chaque période de notre histoire de l’antiquité jusqu’aux récents exploits sportifs de nos athlètes, on peut dépasser l’Inde en production cinématographique. Chaque Chahid de notre glorieuse révolution possède sa propre histoire. Ce qui manque, c’est la volonté des pouvoirs.

    Laptop
    22 octobre 2024 - 19 h 24 min

    Je suis déjà impatient de le voir au kino en espèrant
    que la statue géante de l’émir Abdelkader à Oran
    sera terminée inchAllah.

    Je suis aussi impatient de voir au kino un péplum sur la Numdie,
    notre Algérie jadis avec comme frontière naturelle, le fleuve Moulaya,
    d’où l’on pouvait voir arriver les khorrotos du Royaume du Khorti
    à l’Ouest du fleuve.

    Alif
    22 octobre 2024 - 19 h 11 min

    Le combat mené par l’émir Abdelkader peut être qualifié de résistance héroïque et de lutte pour la souveraineté nationale. Il symbolise l’opposition farouche à la colonisation française en Algérie et incarne l’idée de la défense de l’indépendance et de la dignité de son peuple. Abdelkader a utilisé ses talents de diplomate, de chef militaire et d’organisateur pour unifier des tribus souvent divisées et constituer une force capable de résister à l’une des puissances militaires les plus avancées de l’époque.

    Maintenant, si nous voulons lister les noms de ceux qui ont marqué l’histoire de l’Algérie, la liste sera longue. Tous méritent d’être encensés. Cependant, voici quelques figures marquantes, par ordre chronologique, qui ont chacune joué un rôle déterminant :

    1. Massinissa (238-148 av. J.-C.) : Roi numide, unificateur des tribus berbères.
    2. Jugurtha (circa 160-104 av. J.-C.) : Roi numide, résistant face à la République romaine.
    3. Saint Augustin (354-430) : Philosophe et théologien de l’Antiquité.
    4. Kahina (7e siècle) : Cheffe berbère, résistante contre l’invasion arabe.
    5. Kheireddine Barberousse (1478-1546) : Défenseur des côtes algériennes contre les puissances européennes.
    6. Abdelkader El Djezairi (1808-1883) : Leader de la résistance algérienne face aux forces françaises.
    7. Fatma N’Soumer (1830-1863) : Héroïne de la résistance berbère.
    8. El Mokrani (1820-1871) : Leader de la révolte contre la colonisation en 1871.
    9. Cheikh Bouamama (1833-1908) : Leader de révoltes contre la domination coloniale.
    10. Abdelhamid Ben Badis (1889-1940) : Réformateur et défenseur de la renaissance culturelle algérienne.
    11. Bachir El Ibrahimi (1889-1965) : Leader du mouvement nationaliste et réformateur.
    12. Messali Hadj (1898-1974) : Fondateur du mouvement nationaliste moderne.
    13. Ferhat Abbas (1899-1985) : Leader politique et défenseur de l’indépendance.
    14. Ben Boulaid (1917-1956) : Héros de la guerre d’indépendance.
    15. Larbi Ben M’hidi (1923-1957) : Stratège de la révolution algérienne.
    16. Henri Alleg (1921-2013) : Journaliste et militant anti-colonialiste.
    17. Khaled Boumendjel (1920-1957) : Militant nationaliste, assassiné par l’armée française.
    18. Frantz Fanon (1925-1961) : Philosophe, figure intellectuelle de la lutte anticolonialiste.

    Ces personnalités, tout comme Abdelkader, ont marqué de leur empreinte l’histoire de la résistance algérienne. Chacun a contribué à la défense de la souveraineté et de l’identité algérienne à travers les siècles.

    Mais bien sûr tous les “Moussabiline” (mot arabe qui signifie ceux qui se dévouent gratuitement pour une cause), souvent avec un fort sens du sacrifice. Dans le contexte de l’histoire algérienne, il peut être utilisé pour parler des héros issus du “petit peuple” – des hommes et des femmes anonymes qui ont joué un rôle clé dans la lutte pour l’indépendance, en dehors des grandes figures connues.

    Ces héros du “petit peuple” n’ont peut-être pas eu la notoriété d’Abdelkader, de Ben Boulaid ou de Messali Hadj, mais leur contribution a été cruciale. Les ouvriers, paysans, et autres combattants de l’ombre, qui ont pris part aux révoltes, aux grèves, ou qui ont soutenu le FLN de manière discrète mais déterminée, sont souvent les véritables piliers des mouvements de résistance. Ce sont eux qui, au péril de leur vie, ont assuré la logistique, transporté des messages, caché des combattants ou offert leur aide, sans jamais espérer de reconnaissance ou de gloire. Ils sont l’incarnation de l’engagement désintéressé, ces “moussabiline” dont l’héroïsme silencieux mérite d’être salué.

    Leur courage et leur sacrifice illustrent que, souvent, les plus grandes révolutions sont soutenues par les anonymes, ces “petites gens” qui, par leur dévouement, contribuent à forger l’histoire.

      Numide
      22 octobre 2024 - 22 h 17 min

      Si on veut des films, il faudra pas se contenter de l’histoire officielle, faudra dire la vérité sans occulter les passages désastreux du personnage. Faut parler de sa trahison par les ancêtres du makhzen et sa trahison lui aussi envers son peuple. Un vrai chef meurt en martyr avec son peuple ou continue son existence avec son peuple même dans la défaite. Faudra rajouter aussi l’histoire de nos champions olympiques comme Mastanabal, fils cadet de Massinissa et père de Jugurtha, qui fut le Premier champion olympique africain en Grèce antique dans la discipline de la course de chars, et une stèle est érigée en son nom par le roi Micomede dans la ville de Délos. Faut rajouter nos religieux connus et célébrés mondialement comme la mère de Saint-Augustin, Monique d’Hippone, ou Saint-Donnat dont le monde entier célèbre leurs fêtes, et des villes entières sont baptisées en leurs noms. Faudra parler de notre histoire telle qu’elle était et telle qu’elle est. C’est comme ça qu’on va se réconcilier avec nous-mêmes. Le problème aujourd’hui est que notre peuple est apeuré par l’occident en lui infiltrant des agents qui leur fait croire que, ressusciter son histoire antique, c’est renier l’islam alors que c’est archi-faux. En réalité, c’est cet occident qui a peur de nous voir plus forts comme dans l’antique Numidie qui possédait deux universités alors que la plupart des pays occidentaux n’existaient même pas. Ils ont peur qu’on devient fort et réclamer tout notre héritage archéologique, culturel et historique. Mais, tant qu’il y a cette vermine abreuvée des fausses histoires des bin khaldoun et compagnie, on se relèvera pas et nous serons toujours soumis à cet occident qui nous détruira et n’épargnera même pas l’islam. Les vrais livres, les vrais recherches et notre histoire pluri-millénaire se trouve dans les pays qui nous ont pas colonisés. Alors partez tous la chercher dans les archives de ces pays comme les USA, l’Angleterre, L’Allemagne, la Grèce, la Russie, les pays scandinaves et ignorez la France, l’Italie, et les pays du moyen orient.

        Alif
        23 octobre 2024 - 13 h 02 min

        Je pense qu’il est important d’ajouter quelques noms significatifs à la liste précédemment mentionné, bien que celle-ci ne soit pas exhaustive.

        17.
        Khaled Boumendjel (1920-1957) : Militant nationaliste, assassiné par l’armée française.
        18.
        Frantz Fanon (1925-1961) : Philosophe, figure intellectuelle de la lutte anticolonialiste.

        19. Amirouche Ait Hamouda (1923-1959):
        En tant que colonel de l’ALN, il a joué un rôle clé dans plusieurs opérations militaires et a été reconnu
        pour sa bravoure. Sa contribution à la lutte pour l’indépendance a fait de lui une figure emblématique, symbolisant la détermination et le sacrifice des
        Algériens dans leur quête de liberté.

        20. Malek Bennabi (1905-1973): Penseur et essayiste, il a élaboré des théories sur la civilisation et l’identité algérienne. Il a abordé le concept de « colonisabilité » et l’importance de la réforme intellectuelle dans le monde musulman.

        21. Mohammed Arkoun (1928-2010): Philosophe et historien, connu pour sa critique des interprétations
        traditionnelles de l’islam. Il a mené une lutte constante contre l’ignorance institutionnelle.

          Chelieth
          23 octobre 2024 - 15 h 58 min

          Puisque Amirouche figure sur votre liste et avec raison il faut ajouter le colonel Si El Haoues, tous les deux morts côte à côte combattant les soldats français.

      Chelieth
      23 octobre 2024 - 15 h 54 min

      Je n’oublierai pas sur cette liste Ug Zelmadh l’insoumis tres actif dans les Aures de 1917 à à peu près 1922. Il prenait des riches (les colons) pour donner aux pauvres (nos ainés les indigènes) comme Robin des bois, sauf que Ug Zelmadh n’était pas une legende mais une réalité encore très présente dans les chants chaouis jusqu’à ce jour chanté par femmes et enfants. Il figure d’ailleurs dans une des chansons du chantre chaoui Aissa el Djermouni qui lors d’un passage à l’Olympia dans les années 30 n’a pas resisté à la tentation de la chanter sans que les français qui le qualifiaient de “bandit d’honneur” ne le sachent puisque les paroles de la chanson étaient un melange de chaoui et derja.

      Alif
      23 octobre 2024 - 22 h 55 min

      L’Émir Abdelkader, figure emblématique
      de la résistance des premiers temps contre l’invasion française, est aujourd’hui souvent convoqué par des acteurs politiques qui cherchent à s’approprier son image. Toutefois, derrière cette récupération
      se cache une méconnaissance de la profondeur de sa pensée philosophique, qui prône la tolérance, la justice et le dialogue interculturel. En négligeant ces valeurs essentielles, ces discours opportunists risquent de trahir l’esprit même de l’Émir et de réduire son héritage à de simples calculs politiciens sans aucune valeur.

      J’ai eu l’occasion de déchiffrer et de traduire la lettre qu’il a envoyée à Napoléon Ill en 1852. Cette
      correspondance m’a offert une fenêtre fascinate sur ses réflexions, me permettant d’entrer en dialogue avec lui
      pour mieux saisir ses frustrations. À travers ses mots, j’ai pu ressentir l’intensité de son désespoir face à sa faiblesse, à la perte de son combat ainsi que la puissance de ses adversaires, dont la force militaire n’est que la partie visible d’un système plus vaste imprégné de valeurs culturelles puissantes.

      Abdelkader prônait une vision de l’humanité fondée sur le respect mutuel et la dignité de chaque individu. Son discours révélait une profonde compréhension de l’unité humaine, affirmant que les différences religieuses
      et culturelles ne doivent jamais être des
      obstacles à la solidarité. Il défendait une approche éthique du pouvoir, insistant sur le fait que la véritable governance doit être au service de la communauté
      et de la justice. Sa réflexion philosophique était nourrie par une volonté d’élever les débats intellectuels et spirituels, cherchant à établir des ponts entre les civilisations.

      En lisant l’épître rédigée depuis la Turquie en 1855, intitulée « Rappel à l’intelligent et avis au négligent »
      destine au président de la Société Asiatique, on découvre un philosophe digne d’ Ibn Rushd (Averoes pour les latins).!

      Voici un extrait d’une revue de philosophie à ce sujet :
      “ La philosophie grecque revêt, pour l’Émir, fidèle en cela aux traditions scolastique et islamique, un caractère sacré du fait qu’elle exprime une sapience d’inspiration divine. Les philosophes grecs ne diffèrent donc pas essentiellement des figures prophétiques ce qui permet à l’Émir d’écrire que « le peuple a tué Socrate quand celui-ci s’était insurgé contre l’adoration des idoles », de faire d’Aristote un traducteur d’Hermès Trismégiste, qu’il identifie au prophète Idrîs, ou encore de faire remonter la science de Socrate à Luqmân (par Thalès et Pythagore), personnage coranique qu’il qualifie de « philosophe bien connu » (et qui doit donc manifestement être identifié à Ésope ici). Partant, il peut qualifier les philosophes grecs « d’esprit divins » et affirmer qu’ils ont « le rang le plus élevé parmi les hommes » car « c’est chez eux que toutes nos connaissances intellectuelles ont leur origine ». Un thomiste ne renierait pas les honneurs faits au « divin docteur » et là encore, on constate que le rappel, s’il vient d’un Oriental, est moins celui d’une autre terre que d’une autre époque. »

    Alif
    22 octobre 2024 - 18 h 59 min

    Dans une société moderne, les décisions concernant des questions cruciales et complexes ne peuvent être réduites à de simples ordres venant d’en haut. Elles exigent au contraire des débats approfondis, des échanges d’idées éclairés et une réflexion collective qui s’appuie sur la diversité des points de vue. En abordant ces sujets par le prisme du dialogue démocratique et philosophique, nous reconnaissons la nécessité de l’intelligence collective pour faire face aux enjeux contemporains. Il est donc impératif de dépasser la simplification des processus décisionnels et de redonner toute leur place aux discussions qui favorisent une prise de décision informée et partagée.

    Abou Stroff
    22 octobre 2024 - 7 h 06 min

    « Film sur l’Emir Abdelkader : appel à l’expertise internationale pour la production et la réalisation » titre R. C..

    je pense que, lorsqu’une société manque de perspectives à cause essentiellement de sa stérilité remarquable, lorsque le présent est lugubre et lorsque le futur est sombre à cause du fait que la dite société subit l’histoire au lieu de la faire, alors la dite société regarde dans son « rétroviseur », se met à s’inventer un passé mythique et s’accroche à un totem (l’émir dans ce cas) pour éviter de sombrer dans une dépression sans fond.

    question à un doro: tout ce cinéma, pour ne pas dire ce cirque, nous permettra t il de retrouver ……… l’Histoire qui, pour le moment, se fait sans nous?

    réponse gratuite: je laisse le lecteur méditer sur la problématique pour éviter de l’influencer par mon saillant pessimisme.

    wa el fahem yefhem

      Anonyme
      22 octobre 2024 - 12 h 44 min

      Faites gaffe,vous devez sortir de votre deprime et de votre pessimisme…La vie est en rose et le soleil brille toujours sur l Algerie..
      Un appel d offre international veut dire jeter la premiere pierre pour une reussite a l international…Les professionels Algeriens sauront ajouter leur savoir faire avec des sommites de l industrie cinematographique planetaire…L argent fait le reste…il sera tres bien investi.

    Elephant Man
    22 octobre 2024 - 6 h 45 min

    L’Émir Abdelkader Allah Yarhmou a su s’illustrer par le courage l’élégance intellectuelle l’humanisme et surtout Il a incarné au peuple Algérien l’idée d’une Nation Libre.
    Voilà pourquoi l’Histoire est intéressante dans la mesure où elle remet les pendules à l’heure. Tout le monde sait que l’Islam est avant tout Justice.
    Aux USA, une ville porte son nom El Kader.

    Attention aux traitres
    21 octobre 2024 - 19 h 51 min

    Les traitres profiteront pour nous imposer Gad El Malah et bien d’autres, El Malh le Franco-Israélo-Marocain est le chouchou de certains cinéastes comme Merzak Allouache mais ce dernier n’est pas le seul qui pourrait faire appel à ses protégés car d’autres pourront faire appel à des escrocs Libanais et Syriens.

    Je me rappelle de l’actrice qui jouait le rôle de la femme de Lakhdar Hamina une certaine Leila Shenna dans le film chroniques des années de braises que je croyais Algérienne mais avec le temps j’ai appris qu’elle était Marocaine et tournait des films pornos, son rôle était facile à assumer par une actrice Algérienne à l’époque ca l’Algérie avait de bons comédiens et comédiennes.
    Reste à savoir qu’elle était sa relation avec Hamina et pourquoi lui à donné ce rôles.

      TOZ
      22 octobre 2024 - 6 h 58 min

      @Attention Aux Traîtres
      Complétement d’accord avec votre pseudo et vigilance accrue.
      Cependant vous êtes sérieux Gad Elmaleh …ce mrrarka judéosioniste parce qu’il est acteur lui et pourquoi pas son frère Deux Bouses..les marrakech du « rire » malik bentala zbl et cie…
      Ce ne sont pas les talents Algériens PATRIOTES et PURE SOUCHE qui manquent en Algérie et de par le monde.
      Effectivement, attention aux collabos et harkis qui ont fait notamment du couscous ALGÉRIEN un patrimoine « commun » à la tartufferie franchouillarde « maghreb » par contre quand il s’agit d’OQTF ne sont visés qu’exclusivement et frauduleusement les Algériens !!!! Pas quand il s’agit des (…censure..) de harkis médecins ou autres Algériens !

        Gad el messous
        23 octobre 2024 - 14 h 59 min

        Gad El maleh est devenu un messous( fade), des échos relatent qu’il a été prix en flagrant délit de PLAGIAT dans une province canadienne, même sur les réseaux sociaux, il est sujet aux railleries. Je ne comprends pas pourquoi au pays du makhzen, le mensonge et le plagiat sont érigés en doctrine nationale dans tous les domaines. Ils se croient tous philosophes et sociologues. Ah oui c’est vrai, leur nourriture quotidienne est mélangée à du hachich et ça fait tourner la tête. J’ai oublié ce détail.

    Hannibal
    21 octobre 2024 - 16 h 44 min

    Ecoutez SVP,il sagit d un grand projet sur notre grand hero national,dont nous sommes tres fiers.et tourner un grand film sur cette importante personalite historite merite toute l attention de la Nation Algerienne…L Appel d offre international aura une grande resonnance aupres des specialistes .L Etat Algerien doit creer une commission speciale de nos meilleurs historiens pour superviser le scenario du film afin qu il ne soit pas detourner de sa veritable signification…et choisir de grandes vedettes internationales de renoms et tres bien connues par les cinephiles…Ce film doit etre destiner pour un public international et diffuse sur tous les continents…Que Dieu nous preserve des lobbys sionistes…

      Il y a aussi un film sur Massinissa
      21 octobre 2024 - 17 h 58 min

      cher @Hannibal , oui vous avez raison, c’est un de nos héros historiques. Mais, j’ai appris aussi que les hautes autorités de l’Etat ont prévu de lancer un appel d’offres pour faire un film sur Massinissa qui est un roi numide berbère (né vers 238 av. J.-C. et mort en janvier 148 av. J.-C.) qui est l’unificateur du royaume de Numidie et son premier roi. La Numidie berbère se situe en Afrique du nord dont une grande partie est l’actuelle Algérie.

      La Numidie a eu plusieurs rois, des « agellid », les plus célèbres étant Syphax, Massinissa, Micipsa, Jugurtha, Juba Ier. Le royaume doit son succès à l’action de Massinissa qui a fait que la Numidie devienne une puissance régionale à l’époque.

        Massinissa
        23 octobre 2024 - 13 h 18 min

        Un film a été réalisé en Italie en 1931 qui s’appelle Massinissa, le guerrier Massil. Des bandes dessinées en 4 volumes ont été publiées par des belges sur Jugurtha dont l’auteur est Franz Vernal. Des villes en France, USA, Canada portent les noms de Saint-Augustin, de sa mère Sainte-Monique et de Saint-Donat. Et j’en passe. A-t-on peur des pays arabes dont la plupart sont des moutatabbiines avec les khanazirs? Est- ce que les politicards ont écrit un jour des livres sur les rois numides? Je me rappelle qu’il y a plus de 20 ans Rachid Boudjedra a abordé la nature des poèmes de l’Emir Abdelkader et le monde lui est tombé dessus. C’est comme si le personnage n’avait pas le droit d’exprimer ce que ressentait son cœur. Le problème est en nous.

      Tizi
      21 octobre 2024 - 20 h 05 min

      C’est très intéressant comme projet pour la connaissance de notre histoire , rien que l’histoire que j’espère mettra en avant ses points positifs et aussi ses point négatifs.
      Une film que j’espère objectif en dehors de toutes formes idéologiques en attendant de faire autant pour les autres héros, très nombreux de notre passé.
      Nous devrions nous réconcilier avec notre histoire millénaire avec ses qualités et aussi avec ses défauts pour construire notre avenir sur des bonnes bases.

        Il y a aussi un film sur Massinissa
        22 octobre 2024 - 13 h 44 min

        Pardonnez moi cher compatriote @Tizi , !à j’ai fais de l’humour noire car, pour l’instant, les hautes autorités du pays n’ont pas pris de décision pour un film sur Massinisa, ni Jugurtha etc…

    Chelieth
    21 octobre 2024 - 15 h 54 min

    L’émir Abdelkader est une très grande personnalité dans notre histoire qui mérite d’être commémoré dans un grand film. On est tous d’accord la dessus. Si ce n’était pour la énième traitrise du “royaume” de l’ouest, il aurait chassé la France de son temps. Une fois le film fini ou pourquoi pas simultanément, pourquoi pas un autre grand film sur notre personnage historique Massinissa, roi de la Numidie, l’un des premiers royaumes de l’Afrique du nord, l’Egypte mise à part. Et un autre sur Jugurtha. Sauf si ça dérange certains de voir des algériens parler tamazight, langue de nos vrais ancêtres, dans ces films. Après tout on ne va pas leur faire parler edarja ou l’arabe.

    ben turki, messali, benbadis, boumedien: la France impose sa pax
    21 octobre 2024 - 14 h 16 min

    Massinissa est désormais un étranger chez lui!!
    On nous inculque l’État moderne de ben turki. Dont la oumma est l’unique perspective. Vérité par décret, il serait ainsi l’ inventeur de la modernité. Ahlil……….

      Massinissa et les autres...
      21 octobre 2024 - 17 h 31 min

      C’est aux vrais enfants du pays d’écrire leur histoire, d’en faire des films.

      Si les Imazighen comptent sur les « autres », ils peuvent rêver et attendre l’éternité.

      Un appel d’offre pour un film sur Massinissa?
      Même pas en rêve!

        Massinissa et…
        24 octobre 2024 - 13 h 30 min

        Je suis d’accord avec toi, mais dis-nous qui sont ces archéologues, historiens, sociologues, spécialistes des guerres puniques, de l’antiquité algériens qui ont écrit de solides ouvrages sur toutes ces personnalités nationales qu’il faudra faire connaître à travers le cinéma? Tu es obligé de fouiller les archives, mais pas celles des colons français uniquement ou celles des partisans panarabistes. Au sujet de notre révolution, sauf certaines personnalités actrices des événements qui ont écrit leurs mémoires. Est-on prêts à lire et relire Mellouk, Mohamed Harbi, Redha Malek, Ait-Ahmed,..etc, sans animosités?? À la sortie du film l’opium et le bâton, on avait questionné Mouloud Mammeri sur ce film dont l’histoire est tiré du roman du même titre, ce dernier répondait: « C’est l’opium et le bâton de Ahmed Rachedi » pour te dire que même dans l’œuvre de quelqu’un on intervient. Fallait laisser les critiques faire leur travail ou bien faire une autre œuvre qui contredit ce que racontait Mouloud Mammeri.

    Hannibal
    21 octobre 2024 - 12 h 50 min

    Mostapha El Akkad ,allah yarhamou aurait pu etre le meilleur realisateur de ce film..Malheureusement il a ete elimine pour s etre prepare a realiser une grande oeuvre sur Salaheddine el ayoubi ,le vainqueur des croises et le liberateur de Jerusalem…Grace a Gaddafi il a pu realise et terminer le grand film sur la vie du prophete Mohammad en langue anglaise et en Arabe,puis sur demande de Gaddafi la realisation du fuilm sur le grand Hero Lybien Omar El Mokhtar..avec les plus grandes vedettes mondiales et les meilleurs techniciens…
    Un film sur l Emir Abdelkader a ete depuis de longue date un voeux national…enfin il sera realise mais surtout il faut absolument se mefier des lobbys sionistes qui combattront l idee…

    attention, les algériens ont tendance à épargner les traitres marocains, il faut être sans pitié, car eux à notre place ils n'ont aucune pitié
    21 octobre 2024 - 12 h 49 min

    déjà comme ça, les marocains et le maroc détournent notre histoire et nos héros sans honte ni vergogne, avec l’aide, il faut le reconnaitre, des français corrompus et malhonnêtes, notamment le pédophile marocain bernard lugan. comme ils l’ont fait au musée du louvre, avec leur exposition scandaleuse et mensongère, « le maroc médiéval : un « empire » de l’Afrique du nord à l’espagne ». où tous nos héros, des almohades aux mérinides en passant par les puissants zirides, sont devenus marocains !!!! juste par des mensonges. émir abdelkader a maudit le roi du maroc et les marocains dans ses mémoires. il s’est rendu à cause de leur trahison. le roi du maroc a empêché toutes les armes, munitions, nourritures, enfin toute la logistique permettant à l’émir abdelkader de continuer à combattre la france, qui a pris soin de tout détruire en algérie : villages et tout âme qui y vivait, récoltes agricoles, ateliers de fabrication d’armes, les puits d’eau, etc.
    émir ne pouvait même plus nourrir ses chevaux, il était contraint de se rendre, mais en négociant avec les français. il avait demandé aux français de ne plus massacrer les femmes et les enfants. les français ont accepté, mais le temps de la cérémonie de signature de la paix avec lui. après cela la france continua les massacres de plus belle. même les bébés avaient leur cranes troués par les bâillonnâtes des militaires mercenaires criminels français. car l’armée française était composée de beaucoup d’étrangers, mercenaires européens de l’est de l’europe.
    si on avait les tunisiens à nos frontières de l’ouest, la france serait battue et renvoyée chez elle.
    le maroc ne cherchait qu’à conquérir les terres algériennes, mais émir abdelkader et ses cavaliers veillaient toujours à ce que les cavaliers marocains qui tentaient quelques incursions au delà du fleuve moulouya d’être pourchassés et éliminés. le roi du maroc ne comptait finalement que sur la france d’avoir le sterres algériennes contre trahison.
    « Cependant Muley-Hachem, neveu de l’empereur
    régnant, et son kaïd El-Hamar, se rendirent parmi
    les tribus encore indécises pour les engager dans
    un mouvement qu’ils préparaient contre l’émir. Mais
    celui-ci, instruit de ces tentatives, se résolut à porter
    un coup qui frappât de terreur ses nombreux enne-
    mis. Deux cents cavaliers marocains étaient assem-
    blés à quelque distance de son camp ; il courut à leur
    rencontre et les culbuta. En même temps un de ses
    aghas, Ben-Jahia, attaquait un camp marocain, et
    l’enlevait avec une grande vigueur : le khaïd marocain
    El-Hamar fut pris et eut la tète tranchée.  »
    Histoire de l’Algérie, depuis les temps les plus reculés jusqu’à nos jours, par J.-J.-E. Roy
    Roy, Just-Jean-Étienne (1794-1871). Auteur du texte page 287
    IL FAUT FAIRE PARTICIPER DES HISTORIENS ALGERIENS DONT MOHAMMED DOUMIR, ET AUTRES VIVANTS EN ANGLETERRE QUI DISPOSENT DE SOURCES PLUS FIABLES CAR NEUTRES ET NON FRANCAISE PRO FRANÇAISE ET PRO MAROCAINE.
    MOHAMMED DOUMIR DOIT ETRE PROTEGER PAR LES AUTORITES ALGÉRIENNE CAR IL DEVIENT LE PLUS GRAND DANGER POUR LE MAROC

    l'histoire, marchandise comme les autres?
    21 octobre 2024 - 11 h 42 min

    Un appel d’offre le ferait penser.

      On est encore loin....
      21 octobre 2024 - 12 h 36 min

      cher compatriote « @l’histoire, marchandise ….. » .vous oubliez que l’Algérie n’a pas encore son industrie cinématographique au sens plein et noble du terme pour les grands films, les grandes mises en scène, etc.. etc..

      On a encore d’énormes insuffisances dans beaucoup de domaines même si on se prend pour une « grande puissance » !!

        @On Est Encore Loin....
        21 octobre 2024 - 16 h 21 min

        Cher compatriote @On Est Encore Loin….

        Je crains que vous n’ayez pas compris mon commentaire.

        Il me semble que l’histoire doit faire partie des choses que l’on ne peut pas traiter comme une vulgaire marchandise.

        Or un appel d’offre est, par définition, spécifique au monde des marchandises.

        Quant à « industrie cinématographique au sens plein et noble du terme pour les grands films, les grandes mises en scène, etc.. etc.. » que l’Algérie n’a pas, certes.
        Mais il semble que c’est un appel d’offre ouvert à l’échelle nationale et à l’internationale.

        Imaginez l’histoire d’Abdelkader filmée par Steven Spielberg ou par tout autre sioniste. Scénario BHL ou Stora. Dans le contexte actuel, ça aura certainement de la « gueule »! Il pourra rassembler à la statue de la place E. Abdelkader à Alger.
        La marchandisation peut tout avarier, y compris l’histoire.

        J’avoue ne pas comprendre le sens de cet appel d’offre.

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