Démasquer la farce française et les tromperies de l’Algérie vichyste d’Attali

Jacques Attali
Jacques Attali. D. R.

Une contribution de Khaled Boulaziz – «La vérité est rarement pure, et jamais simple.» (Oscar Wilde.) Une énième sortie de Jacques Attali (1), drapé d’un faux humanisme, pleurnichant sur le sort des juifs d’Algérie, lui qui, au cours de toute une année, est resté indifférent aux crimes commis par ses coreligionnaires en Palestine.

Cette énième tentative d’Attali de s’ériger en voix morale est non seulement incohérente, mais elle est également construite sur des fondations de duplicité et de révisionnisme historique. Dans L’Année des dupes : Alger 1943, Attali se dépeint comme le défenseur d’un passé qu’il interprète à travers le prisme déformé de ses propres hallucinations, prétendant que l’Algérie sous Vichy était un prolongement de la haine antisémite française, avec la complicité passive, voire active, de la population algérienne elle-même. Pourtant, son discours masque une réalité bien différente : ce qu’il présente comme une «Algérie de Vichy» n’est en fait qu’un drame franco-français, une sinistre pièce coloniale jouée sur le sol algérien.

Quelle hypocrisie que de se lamenter sur le sort des juifs en Algérie, tout en fermant les yeux sur les exactions contemporaines, sur les spoliations et violences perpétrées contre le peuple palestinien par des forces soutenues par ce même Occident. Attali, par son œuvre, se fait non pas historien mais faussaire, imposant à l’histoire algérienne une lecture qui n’a pour but que de sanctifier la culpabilité française, tout en excluant le peuple algérien de sa propre histoire. L’Algérie des Algériens, que l’occupant vichyste ne dirigeait pas mais opprimait, se voit réduite ici à une simple toile de fond pour des intrigues franco-françaises.

Il est impératif de révéler la fausseté de ce récit, de restaurer l’honneur et la mémoire d’une Algérie qui, loin d’être complice, n’a jamais été sous le joug de Vichy, mais bien sous celui d’un colonialisme français obsédé par son propre pouvoir.

Introduction

L’Algérie qu’évoque Jacques Attali dans L’Année des dupes : Alger 1943 est une fiction obscure, un palimpseste d’intérêts européens, écrit sur une terre et un peuple complexe qui, une fois de plus, a été réduit au silence par un récit trop simple. L’Algérie des Algériens – jamais occupée par les Allemands, jamais collaboratrice des actes impitoyables du régime de Vichy – se voit faussement confondue avec un récit centré sur la France, fait de complicité et de trahison. La prétention selon laquelle l’influence de Vichy aurait pénétré jusqu’au cœur et à l’esprit des Algériens est non seulement erronée mais constitue une insulte profonde à la vérité de l’histoire algérienne.

Cette «Algérie de Vichy», telle que la présente Attali, n’était qu’un drame franco-français joué sur le sol algérien, indifférent à l’esprit algérien qui, en vérité, n’a jamais consenti à ce spectacle. Cet essai soutient donc que l’Algérie sous Vichy était un problème «franco-français», une imposition coloniale dans laquelle les Algériens eux-mêmes sont restés, pour la plupart, non impliqués dans les actes odieux de répression envers leurs voisins juifs – ces mêmes voisins juifs qui, il faut le souligner, avaient déjà été arrachés au tissu social algérien par le décret Crémieux.

Motif

Ce sujet mérite notre attention non seulement en raison de l’affront d’Attali à la mémoire de l’Algérie, mais aussi à cause d’une tendance insidieuse, présente chez certains universitaires, à vouloir recadrer la lutte propre à l’Algérie à travers un prisme européen, dénaturant ainsi l’identité algérienne. L’idée selon laquelle l’Algérie vichyste aurait impliqué les Algériens eux-mêmes en tant que participants moraux ou oppresseurs actifs de leurs concitoyens juifs est une fausseté, une distorsion nourrie par l’hypothèse selon laquelle les régimes coloniaux agissent comme des représentants moraux des colonisés. C’est une distorsion qu’il faut démêler et confronter, car ce qui est en jeu ici, c’est l’intégrité même de l’identité historique algérienne.

Vichy comme conflit français et non algérien

Pour commencer, l’argument d’Attali, imprégné de l’histoire égocentrique de la France coloniale, est dépourvu de la nuance nécessaire pour comprendre la réalité vécue des Algériens. Attali dépeint une Algérie prétendument imprégnée d’antisémitisme, comme si ce sentiment avait été partagé et soutenu par la population locale. Il omet commodément que ces politiques antisémites ont été décrétées et appliquées non par les Algériens, mais par les autorités coloniales nommées par Vichy, des hommes dont la loyauté était uniquement tournée vers la France. Ces fonctionnaires ont étendu leur propre législation raciste, faisant du sol algérien le théâtre d’un spectacle français de bigoterie. Comment Attali ose-t-il impliquer les Algériens dans ce spectacle odieux, une performance dans laquelle ils n’étaient pas des acteurs mais des témoins captifs ?

Dans ce «conflit franco-français», Vichy ne se souciait que de son propre pouvoir. Il ne s’agissait pas d’une répression endossée par les Algériens ; c’était une obsession coloniale provoquée par la paranoïa raciale du régime français, un régime qui continuait de considérer l’Algérie simplement comme un échiquier sur lequel imposer sa volonté impériale. Suggérer le contraire revient à accuser les opprimés des péchés des oppresseurs.

La citoyenneté française aux juifs d’Algérie

Dans cette manipulation coloniale flagrante, Attali voudrait nous convaincre que les Algériens furent complices des torts infligés à ces mêmes citoyens juifs sous le régime de Vichy. Aurait-il oublié que le décret Crémieux n’était rien d’autre qu’un outil de contrôle français et non algérien ? Ou choisit-il sciemment de passer sous silence cet élément fondamental pour renforcer son récit d’une Algérie prétendument empreinte d’antisémitisme – un récit qui, bien opportunément, minimise la responsabilité de la France dans cette division et cette persécution ? Le décret Crémieux fut, en vérité, promulgué pour remercier les juifs d’Algérie des «services rendus» à la colonisation et à la pacification forcée du pays.

L’implication minimale des Algériens dans les actes répressifs de Vichy

Abordons directement la réalité historique : le peuple algérien n’a jamais été activement impliqué dans l’application des lois raciales de Vichy. Sous le poids oppressif du colonialisme, les Algériens n’avaient ni le pouvoir de dicter les conditions de leur propre existence, encore moins de s’engager dans la répression administrative de leurs voisins. Tandis que les fonctionnaires français imposaient leurs lois infâmes, les Algériens restaient des témoins silencieux, préoccupés non pas par l’application de la haine de Vichy, mais par la survie dans un cauchemar colonial qui les avait privés de terres, d’autonomie et de dignité. L’idée que les Algériens auraient joué un rôle significatif dans les politiques antisémites de Vichy est une fiction, un mensonge propagé par ceux qui cherchent à imputer une complicité algérienne là où il n’y avait en réalité que subjugation coloniale.

L’insulte de la révision historique : la prétention d’une «libération» de l’Algérie en 1943

Comme si cela ne suffisait pas, nous assistons aujourd’hui à une insulte encore plus grave –une révision historique qui imprègne certains cercles académiques, où l’on prétend que l’Algérie a été «libérée» en 1943 par des participants juifs lors de l’opération Torch, le débarquement des Alliés en Afrique du Nord. Suggérer que cette opération militaire, menée par les forces alliées dans un but purement européen, ait constitué un acte de libération algérienne est non seulement une absurdité mais un affront profond à la véritable histoire de l’indépendance algérienne. Les débarquements alliés ont peut-être renversé le régime de Vichy, mais n’ont, en aucun cas, libéré l’Algérie. En effet, ces forces étrangères n’ont fait que changer les maîtres du joug colonial de l’Algérie, tandis que les Algériens eux-mêmes sont restés enchaînés et non libres.

«Quelle amère ironie de suggérer que l’Algérie ait été libérée non par son propre peuple mais par des mains étrangères qui n’avaient pas le moindre intérêt pour la liberté algérienne. Torch n’a pas libéré l’Algérie ; ce n’était que le réaménagement des pouvoirs coloniaux, un prélude à la poursuite de l’occupation et de l’exploitation des terres et du peuple algériens. Ce récit – comme celui d’Attali – sert uniquement à effacer la véritable lutte pour la libération, celle qui éclatera une décennie plus tard, lorsque les Algériens se lèveront, enfin, pour récupérer leur patrie.»

L’hypocrisie des réparations et de la reconnaissance

Enfin, considérons les réparations financières que l’Allemagne, dans un rare acte de responsabilité, a versées aux juifs d’Algérie en reconnaissance de leurs souffrances sous les politiques de Vichy. Comme l’histoire a généreusement compensé certains tout en laissant d’autres porter le fardeau de l’effacement. Pendant des décennies, des livres ont été écrits, des conférences tenues, des réparations accordées – tous des efforts pour redresser les injustices passées. Pourtant, ces actes, loin de reconnaître la souffrance algérienne, servent à obscurcir l’oppression endurée par le peuple algérien lui-même. Où sont donc les réparations pour les Algériens qui ont vécu sous un double joug – d’abord le joug colonial, puis celui de la guerre ? Cette mémoire sélective révèle une vérité troublante : aux yeux de l’héritage colonial, certaines vies sont jugées dignes de mémoire et de réparations, tandis que d’autres sont condamnées à l’invisibilité perpétuelle.

Conclusion

Nous sommes donc laissés avec un récit qui continue d’obscurcir la réalité algérienne, un récit qui met au centre la culpabilité française et la rédemption européenne, tandis que les Algériens restent à la périphérie – utilisés, mal représentés et oubliés. Le récit d’Attali, et les discours académiques qui lui font écho, font de l’Algérie un simple décor pour les drames de la France coloniale, comme si la terre elle-même n’avait ni volonté, ni histoire, ni lutte propre. Cette «Algérie de Vichy» est une illusion, une diversion – une histoire écrite par des étrangers qui ne comprennent, ni ne respectent la vérité de la résilience algérienne.

L’Algérie n’a jamais été sous Vichy ; elle était sous le joug colonial, et sa libération est venue non pas des mains des Alliés mais grâce au courage inflexible de son propre peuple, une décennie plus tard. Laissons donc ces distorsions commodes au passé et honorons, enfin, le véritable héritage d’une Algérie qui a toujours été plus qu’un pion dans des mains étrangères. L’Algérie des Algériens – indomptable, défiant et, surtout, digne de sa propre histoire sans détours.

K. B.

Comment (25)

    MADANI
    5 novembre 2024 - 23 h 13 min

    70 anniversaire du 1er Novembre 1954 : la bête colonialiste et sioniste sur le déclin croit impressionner l’Algérie en lâchant ses chiens révisionnistes Daoud, Attali…
    Preuve s’il en est que la démarche algérienne depuis 2019 a faussé les calculs et mis en échec les plans de ces attardés de l’Histoire.
    Proverbe Arabe : les chiens aboient et la caravane passe

    SI MOHAND
    5 novembre 2024 - 22 h 18 min

    Ce n’est pas la qualité littéraire (supposée) qu’on récompense mais bien la soumissions aux lobbies fascisants.

    Sprinkler
    5 novembre 2024 - 21 h 30 min

    Conseiller écouté, on dit qu’il « murmurait » à l’oreille de MITTERAND, chuchotait à celle de HOLLAND et de SARKOZY…Vu l’endettement et la récession dans lesquels se débat « son » pays, faut croire qu’il parle au Diable !

      Narcisse
      5 novembre 2024 - 23 h 45 min

      @Sprinkler
      Excellent commentaire.
      Je rajoute conseillé de mythe-errant.
      Dans le contexte de GÉNOCIDE EN PALESTINE OCCUPÉE CRIMES DE GUERRE CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ ….Attali essaie de détourner L’ANTISÉMITISME AVÉRÉ RÉEL EN PALESTINE OCCUPÉE pour pondre un Gloubi-boulga.

    Seconde génération
    5 novembre 2024 - 20 h 41 min

    La il se serre ses dernières neurones pour voir apparaitre leurs machiah pour éliminer les méchants pour plus de meurtres et les délivrés de leurs religions.
    Le mashia leurs dira mais pourquoi pratiquer vous des rites ridicules et sans intérêt avec vos tissus de sous tasse de thé sur vos têtes de melons?

    TOZ
    5 novembre 2024 - 20 h 36 min

    Où « l’art » de l’inversion accusatoire.
    HAMDOULLAH le Décret Crémieux.
    Rien que sur l’introduction.
    @NARCISSE
    27 octobre 2024 – 5 h 30 min
    « D’autre part, avec ce mot «collaboration», l’allusion est parfaitement claire. Elle se rapporte à la période sombre de la France et de son régime de Vichy lors de la Seconde Guerre mondiale. » ➡️ Je rebondis sur la conclusion dans un 1er temps : la Résistance française est un mythe tous des collabos Jean Moulin d’ailleurs arrêté à Lyon Caluire tout un symbole est l’exception qui confirme la règle.
    @Tin-Hinane :
    La France sera le premier pays au monde à avoir glorifier les traîtres, oui le 1er pays au monde a avoir fait de la trahison une vertu, un jour elle en payera les conséquences.
    Je rappelle que c’est l’URSS qui a payé le plus lourd tribut pour lutter et combattre le nazisme…
    Un Détail De L’Histoire…
    Je reprends encore mon commentaire :
    La colonisation française et la guerre d’Algérie est la plus BARBARE qui ait jamais existé au monde au risque de me répéter à côté Hitler fait office de saint.
    Ces milices juives et de civils sont toujours téléguidées par le gouvernement français et sont armées par lui donc ces massacres crimes contre l’Humanité du 08 mai 1945 de Sétif Guelma Kherrata sont l’oeuvre de milices civiles juives certes mais également de la France l’un ne va pas sans l’autre.
    L’OAS et le mossad travaillaient main dans la main en Algérie.
    Je reprends mon commentaire du 08/05/19 :
    Sétif chez moi.
    Allah Yarhmoum chouhadas.
    Ces massacres de Sétif Guelma et Kherrata sont un CRIME CONTRE L’HUMANITÉ et doivent être reconnu comme tel au niveau international.
    Le 08 mai 2018 une rue a été baptisée du nom du Président Abdelaziz Bouteflika en Cisjordanie à Tubas en référence aux massacres de Sétif Guelma et Kherrata.
    Jacques Vergès a dit en interview juste avant sa venue à l’université Guelma pour commémorer ces massacres : « Une originalité que le Président Bouteflika a raison de souligner c’est l’agression culturelle, les colonialistes disent c’est Mr FinkelCrotte qui dit on a apporté la civilisation AUX SAUVAGES, QUELLE CIVILISATION?!,… vous avez Mr Klarsfeld qui dit on leur a apporté la culture, on n’a pas apporté la culture ON A NIÉ LA CULTURE LOCALE…l’agression culturelle est aussi grave que l’agression physique », un bref extrait de cet interview vous noterez que FinkelCrotte et Klarsfeld sont tous 2 des zélateurs d’IsRatHell des ultrasionistes islamophobes notoires.
    PS : toujours Jacques Vergès : « ORADOUR A FAIT 20 FOIS DE MORTS QUE GUELMA ET SÉTIF, mais en plus, ce qu’il y a de PLUS GRAVE à Guelma et à Sétif, si ORADOUR A ÉTÉ FAIT PAR DES SS, les MASSACRES DE GUELMA et SÉTIF ont été ACCOMPLIS en grande partie PAR DES CIVILS, PAR DES COLONS, c’est à dire la population y a participé. Qui a donné les armes à la population ? C’est l’État, c’est un CRIME D’ÉTAT ».
    @Tin-Hinane
    « Les juifs quand à eux, en majorité sionistes, n’ont aucune revendication à faire, ils nous ont trahi, se sont ligués contre nous avec les barbares français alors que le peuple algérien est celui qui les a le mieux traités et respectés à travers le monde et l’histoire. Les juifs ne sont pas algériens point barre.
    Ce qu’il reste à faire c’est: LIBÉRER LA PALESTINE DE CES MONSTRES SIONISTES.»
    Je reprends également mon commentaire sur une pleurnicheuse :
    Faut arrêter de délirer et de faire de la pub gratuite à ces psychopathes, tant que vous y êtes Netanyahou en visite en Algérie et même JMLP au monument aux martyrs à ce compte là !!!!!!
    Allah Yarham EL CHOUHADAS AL ABRAR
    TAHIA EL-DJAZAÏR
    A) Roger Hanin, qu’il repose en paix, était très connu pour son amour pour l’Algérie.
    Le commentaire d’un lecteur AP sur Roger Hanin : «paix à son âme. Il a dit un jour à un journaliste alors que les juifs de France célébraient la Shoa : JE NE SUIS PAS CONCERNÉ PAR ÇA. Nous juifs d’Algérie, ON N’A PAS VÉCU CELA ! Qui de nos jours peut se permettre de braver le Crif comme l’a fait ce brave Algérien».
    Je reprends @Fodil :
    Concernant son positionnement sur la guerre de libération du pays, Roger Hanin a toujours tenu un discours sans ambiguïté. Il était clairement pour l’indépendance de l’Algérie et ne l’a jamais caché.
    Son raisonnement n’était pas le même que celui d’un enrico macias, d’un patrick bruel ou de tout autre personnalité juive originaire d’Algérie qui font leur petit numéro face caméra les yeux larmoyants de fausseté et d’hypocrisie mais qui ont toujours roulé leur bosse et agit en faveur de l’entité sioniste (et vas-y que je te fais des petits concerts en faveur de tsa-hell…).
    En résumé, Roger Hanin n’était pas un sioniste et quand j’avais su qu’il allait être inhumé auprès de son père à Alger, j’ai trouvé ça normal puisque j’avais en mémoire toutes ses prises de position durant son vivant…
    Par contre, je me rappelle bien la réaction d’enrico quand il apprit que Roger Hanin avait demandé aux autorités algériennes ce souhait et que cette volonté avait été acceptée. On ressentait bien chez lui comme un étrange sentiment de jalousie, une sorte de ressentiment mélangé à de l’amertume. Et pour reprendre une chansion chiante de l’artiste de la guitare, enrico semblait avoir gardé à travers sa gorge youpine « le goût des oranges amères».
    B) Enrico Macias ne reviendra pas en Algérie et n’a aucune chance de revenir en Algérie parce qu’il y a commis des crimes pendant la guerre de libération. Enrico faisait partie d’une milice locale, les «unités territoriales», composées de partisans de l’Algérie française, qui formaient des milices de supplétifs de l’armée coloniale. L’unité à laquelle appartenait Enrico Macias a commis de nombreuses exactions, et a participé à des ratonnades.
    quand il sévissait au sein des «unités territoriales», IL COLLABORAIT avec un personnage célèbre, MAURICE
    PAPON ! Celui-ci a en effet exercé comme préfet à Constantine, où il a contribué à organiser de redoutables escadrons de la mort. Milices, unités paramilitaires, escadrons de la mort, tout ce monde collaborait joyeusement quand il s’agissait de réprimer. Des témoins sont encore vivants.
    En conclusion je reprends @Raïna :
    L’Algérie sera toujours là pour vous rappeler qui vous êtes exactement, ce que vous représentez et ainsi vous rappeler toutes vos oeuvres maléfiques, vos crimes, vos massacres sans parler de votre idéologie raciste, supremaciste, o’vous agresseur semeur de trouble et de désordre nous sommes et resterons pour toujours un couteau qui restera à jamais coincé au travers de vos gorges.

    Allah Yarham EL CHOUHADAS AL ABRAR
    TAHIA EL-DJAZAÏR

    Bou-vilène
    5 novembre 2024 - 20 h 11 min

    À un certain âge, le doute s’installe surtout quand les arrangements « entre amis » vous assurera le panthéon, ce doute fondé de finir dans la poubelle de l’histoire et ce n’est rien que de le rappeler à cette vieille croûte .

    Anonyme
    5 novembre 2024 - 20 h 04 min

    Vite vite à l’ephad !

    DZA
    5 novembre 2024 - 19 h 58 min

    Les bourreaux qui font les victimes. Une stratégie parmi d’autres, mentir, mentir, mentir, mystifier, conspirer, faire diversion et créer le désordre dans la pensée des gens, est le propre des juifs depuis la nuit des temps. Du n’importe quoi, il y aura bien quelqu’un qui va succomber et propager le message.
    Les Algériens de cette période étaient bien occupés par leur sort et situation que celle des Juifs qui avaient choisi leur camp en 1870.
    Connaissons les intrigues des juifs, il n’y a rien de gratuit ou de fortuit dans ces fabulations à dormir debout.
    Quelque chose se cache derrière tout ça, préparons-nous à la suite.

    Laptop
    5 novembre 2024 - 19 h 39 min

    Ce scribe est sionisé depuis un moment apparenty.
    Le sionisme veut réécrire l’histoire.
    L’algérien(ne) est antisioniste ou pas
    mais n’est pas antisémite.
    Les sionistes dominent les médias, etc.
    Il faut toujours les signaler ces scribes sionistes.

    Brahms
    5 novembre 2024 - 19 h 26 min

    L’autre juif BHL a bien vécu au MAROC (6400 mètres carrés d’espace) pour bien vivre ?

    Héritier de riches négociants en bois précieux, l’essayiste, écrivain, philosophe et cinéaste possède de nombreuses maisons et appartements des deux côtés de la Méditerranée. Âgé de 76 ans, il les a ce 5 novembre 2024, Bernard-Henri Lévy a réalisé de belles affaires dans l’immobilier.

    « Je vis une partie de mon temps à Paris, une partie à New York, une dernière partie à Marrakech. Mais j’ai trop de maisons à travers le monde. Et, hélas, l’année ne dure que 52 semaines. » En 2017, Bernard-Henri Lévy (dit « BHL ») confiait au site américain de l’agence Bloomberg sur son patrimoine immobilier. L’intellectuel à chemise blanche venait alors de mettre en vente l’une de ses somptueuses propriétés de la ville de Tanger, au Maroc.

    Située à cinq minutes du centre-ville, cette villa de six étages et 6400 mètres carrés de superficie se trouve à la pointe nord de Tanger. BHL l’a acquise en 2000. « C’est un endroit magique. Elle est au sommet d’une falaise, devant Gibraltar, à l’endroit précis où se rencontrent l’Atlantique et la Méditerranée », s’enthousiasmait son possesseur. Proche de la villa du défunt créateur de mode Yves Saint Laurent, ce havre de paix a été rénové par la célèbre architecte Andrée Putman. L’écrivain lui a demandé de faire de ce cocon « l’équivalent d’un Mondrian », peintre néerlandais qu’il adore. La rénovation a pris près de cinq ans avec de la pierre d’Italie et du bois du Canada.

    Le joyau tangérois comprend également un sauna, une salle de sport, une piscine et un salon extérieur. « Je l’utilisais pour travailler, écrire, recevoir des amis et organiser des fêtes », expliquait M. Lévy lors de sa mise en vente. Étonnamment, la villa n’a jamais trouvé d’acheteur et – au moment où nous écrivons ces lignes – est toujours à vendre. L’épouse de BHL, la comédienne Arielle Dombasle, qui était d’ailleurs du voyage des Macron au royaume chérifien la semaine dernière, s’y rendrait souvent.

    Bernard-Henri Lévy a acheté un palais à Alain Delon

    Quand il vient au Maroc, le natif de Béni Saf, en Algérie, préfère se rendre à Marrakech, dans le palais de la Zahia, qu’il a acheté en 1998 à Alain Delon. Ce riad, ayant appartenu autrefois au milliardaire John Paul Getty Junior, est doté d’une piscine et d’un jardin exotique, et est l’un des plus beaux endroits de la ville. Il est situé à deux pas du palais du roi du Maroc, Mohammed VI.

    À Paris, le réalisateur du film Le Jour et la Nuit(1997) loge près d’un autre haut lieu : l’Élysée. En 2012, il a acheté un pied-à-terre dans le 8e arrondissement. Dans la capitale, le philosophe a longtemps habité le quartier de Saint Germain des Prés, dans un appartement de 350 mètres carrés dont il était locataire à partir de 1994. Il a racheté ce bien en 2004.

    Cette région importante pour BHL, il y a épousé Arielle Dombasle

    BHL doit ce sens des affaires et une partie de sa fortune à la bonne opération réalisée il y a vingt-sept ans par sa mère, Dina. En 1997, elle a vendu ses parts dans la Becob, une société d’importation de bois précieux fondée par son défunt mari, à la société Pinault Bois et Matériaux.

    BHL est un amoureux de Saint Germain des Prés, quartier des lettres par excellence. « Mon périmètre va du jardin du Luxembourg, où j’habite, à la rue des Saints-Pères, où nous sommes, ou au Récamier, où je déjeune souvent. L’après-midi, le Twickenham, sinon le Flore, la rue Madame… », confiait-il au Monde Diplomatique en 1984. BHL a acquis dans ce « périmètre » trois autres appartements. Un premier en 2001, un deuxième en 2004 et un troisième, où il a installé ses bureaux, en 2009.

    Dernière région chère à Bernard-Henri Lévy: la Provence. Le 19 juin 1993, il épousait Arielle Dombasle dans la prestigieuse auberge de la Colombe d’Or à Saint-Paul-de-Vence, dans les Alpes-Maritimes. Amoureux de cette commune chère à des peintres comme Pablo Picasso ou Marc Chagall, le millionnaire y achète en 2002 une vaste demeure, la villa Santa Alida, à une famille de la région.

    Tout ceci (net d’impôts) zéro euro donc on comprends mieux pourquoi le Sahara Occidental a été donné gratis au MAROC

    Raïss
    5 novembre 2024 - 19 h 19 min

    La mythomanie en général et en particulier des juifs n’a jamais fait ni le contraire de sa même mythomanie ni ne peut dire une vérité tout simplement, tout ce qu’elle sait faire est la déformation de l’information et son histoire, la Confrontation de contre vérité, …, mais pas son contraire. Attali est un juif comme cela, qui a aussi bien conditionner la crapule de Mitterrand et les autres.

    Khada dahi
    5 novembre 2024 - 19 h 14 min

    Il a vraiment une tête de sheitane, tout comme bhl et netahnyaou et tout c’était sions.

    Anonyme
    5 novembre 2024 - 19 h 06 min

    Il doit préparer sa rhétorique, cela ne lui servira à rien quand il rencontre le Maitre absolu de toute la création.
    Il devra rendre des comptes pour le mal qu’il a semé.
    Parfois, on peut penser que certains intellectuels sont de vrais timbrés. Attali en fait partie.

    Zizou
    5 novembre 2024 - 19 h 00 min

    Les nazis en Algérie c’était pas les allemands, c’était les français. Dites à mr Attali de ne pas l’oublier.

    Cheyenne
    5 novembre 2024 - 18 h 50 min

    Dès qu’il faut boucler des fins de mois difficiles , la carte de l’antisémitisme surgit comme par enchantement . Complètement larvé cette cervelle de youpin.

    Elkendy
    5 novembre 2024 - 18 h 32 min

    Si vous voulez être invité sur un plateau de télévision française publique ou privée alors allez vomir vos mensonges et contre-vérités sur l’Algérie devant le portail de n’importe quelle chaîne. Monsieur Attali doit avant de faire de faux commentaires revisiter l’histoire de l’Algérie la vraie. c’est Messali El Hadj.Ali Boumendjel et Ferhat Abbas qui ont refusé de colaborer avec les petainistes et les nazis et ont dénoncé la persécution des juifs à l’époque.

    Assia
    5 novembre 2024 - 18 h 23 min

    S’il n’avait pas oublier de se replacer son appareil dentaire , son discours aurait été différent (plus compréhensible).

    Akli N'na
    5 novembre 2024 - 17 h 52 min

    Ce que ce zig d’Attali NE VEUT PAS DIRE : c’est que Durant la seconded guerre Mondial EN ALGÉRIE, les ALGÉRIENS ONT TOUS CACHÉ et PROTÉGÉ LEURS correligionaires et concitoyens JUIFS contre les soldats et sympathisants vichystes.
    Que CEUX qui soutiennent le contraire : LE PROUVENT…..

    Brahms
    5 novembre 2024 - 17 h 39 min

    Jacques Attali c’est un piètre économiste,

    Il apprend dans des livres et vient nous réciter ses salades à la télévision. Ce feignant n’a rien faut de sa vie, il est toujours dans la victimisation, il pense que l’ont va travailler que pour les juifs durant 1000 ans.

    Va donc prendre tes médicaments pour soigner ton cerveau, espce de feignant.

    Ben
    5 novembre 2024 - 17 h 38 min

    Attali. Est un. Amr de Momo le marocain

      BENYOUNES
      5 novembre 2024 - 21 h 45 min

      Cacher le soleil avec un tamis ….
      Vichy est français, Attali est français,
      Benjamin Stora est français. Que viennent
      faire les algériens-nes dans ce fiasco franco-français.
      Il nous parle de l’année 1943, à cette époque, la préoccupation des algeriens-nes est de libérer leur pays.
      Ces juifs  » françaises  », je dirai  » franchisés  » avec le Décret Crémieux feraient mieux de régler leurs comptes avec ces européens qui n’ont pas réussi à les
      exterminer, ils les ont expulsés sur une terre  »biblique ».
      Je pense que l’Occident est aux dernières heures de sa désintégration totale, ces européens qui sont des valets des USA, payeront leurs errements bientôt, les USA deviennent de plus en plus protectionnistes et se renferment comme des moules sur leurs perles. Laissons les aboyer, occupons-nous de notre avenir. l’Algérie est algérienne, cela les empêchera toujours de dormir.

    Question
    5 novembre 2024 - 17 h 38 min

    C’est lui qui à ordonné la suppression de la TVA et les autres taxes sur les tableux de peiture car c’est le plus grand propritaire des oeuvres d’arts en France, c’est malin non ?

    doryphore
    5 novembre 2024 - 17 h 31 min

    Tata Lili se laisse aller comme à son habitude , vite son flacon de sel ! Elle lève le nez au ciel, se mouche dans les étoiles et se prends pour une tragédienne de Racine. Que nenni ! vieille toqué, le pouvoir de persuasion dont tu usais pour ensorceler ton entourage fini! le charme est rompu, il te reste le mur des lamentations.

    Anonyme
    5 novembre 2024 - 17 h 24 min

    Le sans pays et sans nation voudrais que la planète soit orpheline et errante comme lui et se semblables. Unez tare un fardeau qui vous es propre mr attali, vous qui essayez de calquer votre souffrance afin de la faire pays à l’ humanité. N’ était ce pas lui qui avait que les pays devrais être des hôtels

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