Inquiétude chez les Français réduits au silence face au joug du lobby sioniste
Par Khider Mesloub – La France s’est transformée en pays où la pensée sioniste est omniprésente et prégnante. En France, les sionistes, ces prédicateurs de la haine anti-Arabe et antimusulmane et prédateurs des deniers publics, ont pris le contrôle social et intellectuel des institutions éducatives, médiatiques et politiques. Toutes les élites françaises ont cédé devant le sionisme suprémaciste et génocidaire.
Ces trois dernières décennies, en effet, en France, on a assisté à l’expansion impressionnante du sionisme suprémaciste et, désormais, génocidaire. Le peuple français assiste, médusé et muselé, à la conquête de ses territoires institutionnels par le sionisme. A la propagation de l’idéologie sioniste. A la radicalisation et la fanatisation des sionistes. A l’embrigadement de toute sa classe dominante et dirigeante par le sionisme militariste et mortifère. A la conversion de ses élites intellectuelles et cultuelles au communautarisme biblique sioniste et au narratif génocidaire israélien.
Les sionistes de France, inscrits dans des logiques militantes et inquisitoriales, ne cessent de multiplier les points d’ancrage dans tous les lieux de conditionnement et de manipulation des esprits. Aucune institution ne leur échappe. Ecole, médias, mairies, Parlement, etc. Dans ces multiples lieux, les sionistes font circuler les préconisations politiques israéliennes aux Français. Le but des sionistes est d’homogénéiser et d’uniformiser les pensées et les comportements politiques par l’instrumentalisation de la shoah. Par le chantage à l’antisémitisme.
Les deux dernières décennies ont vu une mutation de la stratégie et du discours du sionisme, ainsi que de ses représentants attitrés et officieux. Dorénavant, le sionisme radical et fanatique exerce une emprise totalitaire sur l’ensemble des institutions, sur les populations françaises, auxquelles il impose sa vision suprémaciste, le narratif informationnel israélien.
En France, en voie de fascisation, une fascination pour le sionisme s’est emparée d’une grande partie des élites. Cette sympathie, jointe à la perception d’ennemis communs, incarnés, selon ces élites, par les Arabes et les musulmans, a conduit à la construction d’une alliance avec les membres du Rassemblement national. Cette alliance s’est traduite par la sionisation de l’ensemble de la société et l’instauration d’un gouvernement d’extrême-droite appliquant la «charia sioniste», c’est-à-dire la vision politico-religieuse du sionisme fondée sur la haine des Arabes et la discrimination à l’égard des musulmans.
Les sionistes de France ont compris depuis longtemps qu’aucun autre facteur n’a plus d’impact sur la formation d’une identité collective que l’existence ou la perception d’une force extérieure menaçant la nation et la République. En l’espèce, les Arabes et les musulmans.
Encourageant l’idée que la France est assiégée par les Arabes et les musulmans, les sionistes de France, pourtant premiers à cultiver le communautarisme spirituel et intellectuel et le séparatisme social et résidentiel, se présentent comme les seuls capables de défendre la nation et la République.
Par ailleurs, nourris par la culture lucrative de victimisation, les sionistes de France utilisent l’arme de l’antisémitisme pour stigmatiser toute critique d’Israël mais aussi toute critique qui les vise eux-mêmes. L’antisémitisme est brandi, en permanence, comme un véritable instrument d’intimidation juridique. La moindre parole antisioniste expose son auteur à des procédures judiciaires.
En tout cas, l’inquiétude grandit parmi de nombreux Français, réduits au silence, vis-à-vis de l’emprise prégnante du sionisme suprémaciste et impérialiste qui se développe dans le pays, favorisant l’émergence d’un modèle de société ségrégationniste répandu en Israël, visant à vivre selon des lois qui ne sont plus celles de la République française mais de l’Etat suprémaciste israélien.
Ces Français, résignés, sont pris en otage entre les sionistes qui leur imposent l’idéologie et les normes israéliennes et les dirigeants et les élites qui les méprisent. Ces deux composantes, radicalisées, s’accommodent avec le sionisme suprémaciste et génocidaire.
Au vrai, ce texte est inspiré de la lecture de plusieurs rapports parlementaires et articles de presse français consacrés à l’islamisme. On peut trouver sur internet des milliers d’articles et d’études sur l’islamisme. En dépit de leur prisme foncièrement extrême-droitier, voire leur caractère antimusulman, ces textes n’ont jamais fait l’objet d’accusation d’islamophobie, de poursuites judiciaires. Il s’agit donc d’une adaptation personnelle d’analyses relatives à l’islamisme au sionisme.
Dans la description du phénomène des «territoires perdus de la République», quand l’analyse s’applique à l’islamisme, personne n’accuse son auteur d’islamophobie. En revanche, selon la légendaire stratégie de victimisation et d’inversion accusatoire, mon «pastiche» sera immanquablement taxé d’antisémitisme par les sionistes.
Ou l’on découvre que la France est prise en tenailles par l’islamisme et le sionisme. Les quartiers populaires ont été conquis par les hordes d’islamistes voyous, panégyristes du terrorisme de Daech. Les institutions étatiques, politiques et médiatiques par les mafieux sionistes, apologistes du terrorisme génocidaire commis contre les Palestiniens par l’Etat nazi d’Israël.
K. M.
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