Le traître Sansal n’a pas sa place en Algérie sauf en prison
Une contribution de Mohsen Abdelmoumen – J’ai écrit plusieurs fois sur les traîtres Sansal, Daoud, Aboud, les terroristes de Rachad, du MAK et les autres bouffons et, à chaque fois, j’éprouve le même dégoût et le même mépris. Le seul talent de ces personnages infâmes réside dans l’aptitude qu’ils ont tous en commun de courber l’échine pour lécher les bottes de ceux qui les utilisent et les nourrissent dans le but de nuire à l’Algérie. C’est là leur seule mission et leur unique source de revenus, plus quelques extras lorsqu’ils reçoivent des prix pour leur prétendue «littérature». Ce sont les «nègres de maison» dénoncés par Malcolm X, les ratons mitonnés à la sauce Fafa.
La venue de Sansal en Algérie n’est rien de moins qu’une provocation et son arrestation justifiée a déclenché le bruit et la fureur dans la France macronienne en faillite totale et dirigée par l’extrême droite. La horde sauvage composée de fascistes et de sionistes affichant sans complexe leur appartenance à l’extrême droite s’est levée comme un seul homme pour conspuer l’Etat algérien. Tous et toutes sont montés au créneau de leur forteresse d’arrogance pour tirer à boulets rouges sur l’Algérie, en revendiquant leur amitié pour leur soldat Sansal. Car ne nous y trompons pas, Sansal sert avec dévouement un agenda sioniste visant au démantèlement de l’Etat national algérien. Pour ceux qui ne connaissent pas l’histoire de ce Boualem Sansal ou «Sang sale», précisons que son grand-père rifain a fui le régime de Rabat pour venir se réfugier en Algérie. On ne renie pas ses origines. Sansal est un bousbirien bon teint et il n’y a donc rien d’étonnant à ce qu’il lèche assidûment les babouches du roitelet féodal du Maroc et qu’il remplisse sa mission de taper sur l’Algérie, ce qui lui vaut des émoluments substantiels du Makhzen.
Son arrestation à l’aéroport d’Alger a fait comprendre à cet ignoble individu qu’on ne pouvait pas impunément traîner notre Etat dans la boue pour le compte des nombreux ennemis de l’Algérie, qu’ils soient makhzeniens, sionistes, revanchards de l’OAS et/ou néocolonialistes français. Comme tout Etat souverain, l’Algérie a le droit de se défendre contre ceux qui cherchent à lui nuire et je soutiens totalement l’effort de notre Etat visant à combattre la subversion dont cet énergumène est un partisan avec d’autres qui sont bien connus et qui se reconnaîtront. Leur tour viendra, qu’ils en soient assurés.
Mais les vrais enjeux de cette histoire se trouvent ailleurs. Qu’est venue faire cette ordure en Algérie juste au moment où on lui a accordé la nationalité française ? Tout simplement tenter de cacher le scandale du prix Goncourt décerné à l’autre traître et renégat Kamel «David» Daoud qui s’avère être un voleur et un plagiaire puisqu’il a dérobé à son profit l’histoire d’une victime du terrorisme. Cette opération d’envoi du soldat Sansal en Algérie est signée par Driencourt – l’homme qui a mis deux millions d’euros dans sa poche grâce à la villa El-Zeboudj qu’il a bradée à Réda Kouninef – et les services de renseignement français sous les auspices des cercles sionistes qui dirigent la France. Ils nous ont concocté une affaire Sansal pour faire écran à l’affaire Kamel Daoud qui compromet le Goncourt, lequel n’avait déjà pas grande crédibilité avant ce scandale, puisque ces prix faussement «littéraires» sont avant tout politiques. Et donc, on veut faire de ce Sansal non seulement un grand «penseur» mais un «martyr» en utilisant le même disque rayé avec les termes répétés en boucle par les algérophobes enragés : «dictature», «junte militaire», «régime», et autres substantifs familiers à nos oreilles.
Or, cet individu n’est ni un grand penseur, ni un martyr, ni un être lumineux, c’est un agent étranger en mission contre l’Etat algérien. Et il l’est depuis longtemps. Ses seules pensées, si pensées il y a, se concentrent sur le fait de remplir sa panse. Point barre. Il est à mettre au même rang que cette autre ordure qu’est Kamel Daoud, l’ex-islamiste incapable d’aligner deux mots corrects en français et qui s’est découvert une âme de chevalier blanc toujours prêt à prendre la défense des femmes algériennes, d’après lui spoliées, alors qu’il a été condamné pour avoir tabassé la sienne et qu’il s’est accaparé l’histoire d’une autre Algérienne, Saâda Arbane, ayant survécu à un massacre terroriste, et dont il a divulgué cyniquement le dossier médical pour en faire son bouquin. C’est dire l’abjection de ces personnages.
L’un, Boualem Sansal, que les réactionnaires franco-sionistes et autres nostalgiques de l’Algérie française et de l’OAS appellent «le Voltaire algérien» (!), est désormais dans une cellule en attendant sa comparution devant un tribunal. (Petit encart : je me fiche de Voltaire ou d’Hugo et de tous les écrivains français de la France des prétendues «Lumières» qui étaient des colonialistes). En tout cas, remettre en cause les frontières du territoire algérien – dans le journal français d’extrême droite Frontières, qui plus est – et arguer que l’ouest de l’Algérie a toujours appartenu au Maroc était une très mauvaise idée, et cela en dit long sur la mentalité de cette crapule et sur l’identité de ses commanditaires. Oser dire que l’Algérie n’a jamais été un Etat et que le Maroc est un grand royaume, il fallait quand même le faire ! Le mensonge est matriciel chez les Marocains, on en a encore la preuve avec ce Sansal.
Quand on connaît l’histoire de ce «grand royaume» de Bousbirland qui se composait de deux entités, Fès et Marrakech, peuplées de va-nu-pieds et dirigés par deux sultans de pacotille et quand on sait que l’un de leurs sultans a vendu Ceuta et Melilla à l’Espagne contre une bicyclette sans freins, c’est assez surréaliste. Le «grand royaume» de Bousbir regorge d’anecdotes de ce type. J’ai parlé à maintes reprises du travail du professeur Shaw qui a publié des écrits et des cartes sur ce qu’était le Maroc. Rien. Une chiure de mouche sur la carte. Un autre Britannique, Walter Harris, a aussi laissé un écrit qui décrit les turpitudes de la monarchie marocaine débauchée dans Morocco that was que l’on peut trouver en PDF. J’invite notre lectorat à le télécharger, il se régalera de cette lecture édifiante. Et c’est gratuit ! Nous parlons avec les faits, contrairement à Sansal qui ment en bon bousbirien.
Que Sansal aille faire le singe avec une kippa devant le Mur des lamentations à Jérusalem ne nous importe pas, et d’ailleurs, il n’a jamais été inquiété pour ce fait, mais qu’il s’en prenne à l’intégrité territoriale de l’Algérie constitue un délit punissable par la loi. Sansal devra donc s’expliquer devant la justice pour atteinte à l’unité nationale et à l’intégrité territoriale. Quant à l’autre, Kamel «David» Daoud, il doit désormais faire face à deux plaintes déposées à Oran contre lui, l’une émanant de la survivante de l’attaque terroriste dont il a volé l’histoire et l’autre au nom de toutes les victimes du terrorisme. S’il remet un pied en Algérie, il ira rejoindre son compère derrière les barreaux.
Quand on est soutenu par toute la fachosphère franco-maroco-sioniste comprenant, en vrac, Marion Maréchal, Marine Le Pen, Eric Zemmour et sa dulcinée Sarah Knafo, Elisabeth Lévy, Bernard-Henri Lévy, Jack Lang, Philippe de Villiers, Caroline Fourest, Valérie Pécresse, l’autre renégat Mohamed Sifaoui qui, lui aussi, bouffe à tous les râteliers, Xavier Driencourt, et je n’oublie pas le Crif himself, bref, j’en passe tant ils sont nombreux, on comprend tout de suite le rôle dévolu à ce mercenaire de la plume. Le dicton «qui se ressemblent s’assemblent» n’a jamais été aussi représentatif de cet aréopage de fascistes convaincus. Vous vous voyez défendu par l’un de ces zigotos ? Un Zemmour, une Fourest, une Knafo… Un BHL ? Au secours ! Un être normal en serait mortifié et passerait le restant de ses jours à raser les murs, s’il ne se pend pas, mais pas Sansal qui considère tous ces larbins de l’empire et du sionisme comme ses potes, ce en quoi il se trompe car un bougnoule restera toujours un bougnoule, même naturalisé.
Et puisque nous sommes dans les soutiens à ce Sansal, je mettrai une mention spéciale à un autre mercenaire, mais du crayon celui-là, à savoir l’ineffable Plantu, pour sa constance dans la bassesse et qui s’attaque aujourd’hui au drapeau algérien. Je lui dirai que ce noble drapeau est né dans la douleur et le sang, et qu’il est le symbole d’une nation qui a botté le cul à vos paras et à vos colons génocidaires. Et s’il faut recommencer, nous recommencerons, car nous avons reçu 5/5 la déclaration de Guillaume Bigot, député du parti de la famille Le Pen, le RN ex-Front national, parti qui, soit dit en passant, patauge dans ses excréments devant la justice pour emplois fictifs et détournement de fonds publics : «Si un cheveu de la tête de cet homme lumineux est touché par le régime à Alger, la France devra répondre de manière foudroyante.» Et quoi, Bigot, vous allez encore nous envahir ? Vous comptez nous rejouer le coup de Sidi-Fredj ? Une première raclée ne vous a pas suffi ? Sachez que notre grande armée et nos services de renseignement veillent sur la sécurité de notre Etat national, notre Etat-civilisation. Et tout le peuple algérien ainsi que la communauté algérienne à l’étranger défendront la mère patrie avec détermination, ardeur et opiniâtreté. Nous sommes les héritiers farouches des Enfants de Novembre. Pas touche à l’Algérie, le pays des millions de martyrs !
La France donneuse de leçon soutient l’entité génocidaire d’Israël massacreuse d’enfants, oubliant que son arrogance n’a pas lieu d’être puisqu’elle n’est plus rien d’autre aujourd’hui qu’une colonie sioniste surendettée, dirigée par une clique de gangsters en col blanc cooptés, empêtrés dans des affaires de mœurs et de corruption, et complètement soumis à l’empire américano-sioniste, avec une presse contrôlée par des milliardaires qui imposent leurs diktats à leur valetaille médiatique à la manière de chefs mafieux, assistés par des capos pour menacer les larbins en distribuant des gifles au besoin. La légion de présentateurs sur les plateaux de télé comme les Praud, les Rochebin, les Ferrari, les Pujadas, les Elkrief, les Malherbes, etc. et leurs blablateurs patentés dont certains sont cités plus haut obéissent aux injonctions édictées par les patrons des chaînes et transmises par les petits chefs à coups de fouet s’il le faut. Mais la plupart des aboyeurs médiatiques sont d’une obéissance à toute épreuve et mettent du cœur à l’ouvrage, justifiant leurs salaires plus qu’attrayants. Cela n’empêche que, parfois, il arrive que quelqu’un se rebiffe – anonymement bien sûr – comme cette histoire du graffiti «CNEWS» tagué en 2023 dans les toilettes femmes de la chaîne à l’aide d’excréments, exprimant son opinion par rapport à ce que cette chaîne représente, avis que nous partageons pleinement. Inutile de dire que cette inscription a rendu fous furieux le patron Bolloré, ses sous boss et ses capos. En résumé, tous ces lèche-bottes du pouvoir et leurs petits roquets qui pullulent sur les plateaux de télé et de la radio sont grassement payés pour cracher leur haine à l’égard des musulmans en général, et des Algériens en particulier. Ce sont les dignes héritiers de leurs prédécesseurs qui sévissaient dans Radio Paris à l’époque de Vichy, au service de la Propaganda-Abteilung Frankreich.
La moralité et la probité – si elles ont jamais existé… mais il y avait tout de même jadis des poches de résistance – ont complètement disparu du paysage politique, culturel, institutionnel, économique et médiatique français pour faire place au règne de la perversion, de la corruption, et du népotisme. Cette tendance s’annonçait déjà sous les présidences précédentes mais elle a atteint son apogée depuis l’arrivée au pouvoir du petit banquier des Rothschild, Emmanuel Macron. «Something is rotten in the state of Denmark» (quelque chose est pourri au royaume du Danemark), disait Shakespeare dans Hamlet. On peut en dire autant de la France. Seuls les gens sans moralité et sans honneur y sont récompensés, à l’instar d’un Daoud ou d’un Sansal, parce qu’ils ont une utilité. Quand ils auront cessé d’être utiles, ils seront jetés comme des kleenex. C’est le sort de tous les harkis.
Cela n’empêche pas les milliardaires français d’essayer d’infiltrer le marché algérien en espérant nous fourguer leur camelote dans un partenariat gagnant-perdant, comme Vincent Bolloré, patron de la chaîne CNEWS citée plus haut qui passe son temps à déverser sa haine sur l’Algérie. Son beau-frère et homme de paille Gérard Longuet, ancien ministre de la Défense et militant d’extrême droite du GUD ayant participé dans sa jeunesse à des opérations commando, fait partie du conseil d’administration du groupe John Cockerill qui multiplie les tentatives d’obtenir un contrat avec l’Algérie concernant les énergies renouvelables telles que l’hydrogène vert. Figure également dans ce CA Jérôme Pécresse, vice-président d’Alstom, époux de Valérie Pécresse, la même qui chante dans la chorale «Libérez Sansal !» Récemment, le PDG de Sonatrach Rachid Hachichi a rencontré une délégation du groupe John Cockerill que l’on s’entête à vouloir nous présenter comme belge. Oui, il a été belge au départ mais il a été racheté par les Français et son actionnaire majoritaire est le Français Bernard Serin dont la société Ebenis SA détient 80,65% des parts.
Et donc, le PDG de Sonatrach a rencontré Serin et ses sbires au stand de l’Algérie pendant la Semaine européenne de l’hydrogène qui s’est tenue récemment à Bruxelles, du 18 au 22 novembre. J’ai déjà évoqué le groupe John Cockerill dans un article où je dénonçais son désir d’infiltrer l’Algérie via Sonelgaz : https://www.algeriepatriotique.com/2024/02/26/partenariat-sonelgaz-john-cockerill-un-marche-de-dupes/ Et aujourd’hui, ils remettent le couvert en squattant le stand Algérie dans l’espoir d’obtenir un contrat. Il faut savoir qu’outre l’énergie verte, le groupe John Cockerill est très pointu dans la production d’armement à destination de l’Ukraine et de l’entité sioniste d’Israël. Il est utile de savoir que le groupe John Cockerill et plusieurs de ses filiales sont membres du Gicat (Groupement des industries françaises de défense et de sécurité terrestres et aéroterrestres) dont la plus intéressante est la John Cockerill Fortress créée le 3 novembre 2021 et dont on peut consulter le pédigrée sur le site de Gicat : https://www.gicat.com/membre/john-cockerill-fortress/ Notons au passage que les systèmes technologiques de pointe présentés par cette société ont tous été élaborés en Israël. Ce qui est aussi très intéressant, c’est que dans le conseil d’administration de cette société, on trouve notamment un certain Jacques Nériah, colonel dans l’armée israélienne et ancien officier du renseignement militaire notamment attaché au Luxembourg, autrefois conseiller politique et chargé des missions spéciales du Premier ministre Yitzhak Rabin au début des années 1990. En tant que patriotes, nous nous devions d’attirer l’attention sur les dangers que représente cette entreprise qui n’a rien à faire en Algérie.
Mais tout cela nous entraîne bien loin de celui qui est le sujet de cet article, quoique pas tant que ça… Tout est lié. Sansal payera le prix de sa trahison. Il sera traduit en justice et les juges statueront sur son sort en fonction de la loi. L’Algérie n’est ni un souk ni un hammam où l’on peut faire ce que l’on veut. C’est un Etat fort qui ne tolère pas les dérives subversives d’agents infiltrés. Elle a des positions nobles et défend les causes justes des peuples palestinien et sahraoui, pendant que la France arme et soutient Israël qui massacre des enfants et leur fait subir les pires horreurs. Ne parlons même pas du Maroc qui n’est qu’un larbin aux mains des sionistes et des Français.
Alors, nommez votre Sansal – Sang sale – à l’Académie française, donnez-lui le prix Nobel et mettez-le au Panthéon quand il avalera son bulletin de naissance, canonisez-le au Vatican, érigez-lui des statues, momifiez-le si vous voulez, mais vous pouvez tous danser sur votre tête, il sera jugé et il purgera sa peine dans une prison algérienne. Quand il sera libéré, vous en ferez ce que bon vous semblera. Pour nous, il ne représente rien d’autre que le prototype du renégat. Cet individu a craché sur le pays qui l’a formé, qui l’a nourri, qui lui a donné du travail au ministère de l’Energie, et il n’a même pas la reconnaissance du ventre. Il a insulté notre peuple, notre armée et nos martyrs qui se sont sacrifiés pour notre indépendance. Qu’il paye le prix de sa trahison. Et je demande une nouvelle fois à nos autorités de déchoir ce traître et ses semblables de la nationalité algérienne. Notre grand pays n’a pas besoin de ces félons.
Nous avons payé le prix fort pour notre indépendance. Que tout le monde comprenne bien que l’Algérie est fermement décidée à protéger sa souveraineté et se réserve le droit de déférer en justice tout qui va contre la Loi et la Constitution. Personne ne lui dictera quoi que ce soit.
M. A.
Comment (11)