Développement local durable : prochaine rencontre gouvernement-walis au Palais des Nations

Comment (3)

Koll Ekt
24 décembre 2024 - 12 h 08 min
La DATAR doit avoir des antennes régionales, quand un wali qui a fait l’ENA, il se souviens de ce qui lui a été enseigné, il connait les rouages et les actions concrêtes pour le développpement local, les moyens sont necessaires certes mais surtout la volonté de faire, pantoufler et faire carrière en se remplissant les poches est une perspective mais sans avenir. L’emploi local est une richesse pour le maintien des populations dans leur cadre de vie, la culture locale est un trésor à préserver, retrouver le gout de travailler ensemble les coopératives, mettre en valeur la ruralité, un logement adapté, a hauteur humaine fi ! des tours et autres blocks de bétons à la campagne
Répondre
Captain
24 décembre 2024 - 11 h 11 min
Que l’on s’occupe de développer une infrastructure ferroviaire digne de ce nom, et de prendre
ce qui marche en France car pendant ce temps ce pays de souche celte vampirisé jusqu’à la
moëlle par les juifs génocidaires a un réseau ferroviaire qui fonctionne.
A ce propos, comment se fait-il que la ligne ferroviaire Ain Beida-Khenchela récemment
inaugurée ne soit relié à aucun aéroport ! est-ce l’on optimise l’efficacité des infrastructures en
les mettant en réseaux ?… La rapidité et la sécurité des déplacements nationaux et
internationaux sont pourtant des indicateurs certains du niveau de développement d’un pays.
Il faut un développement rationnel de l’Algérie, autrement ce pays court à la catastrophe, les
projets à courte vue qui sont le reflet d’une vision politique étriquée et carriériste doivent être
bannis.
Les députés doivent penser au développement de l’Algérie et non de leur propre compte en
banque et celui de leurs enfants. Cette politique clanique est dispendieuse, énergivore,
décourageante et dangereuse.
Il faudrait plus de contribution d’urbanistes et d’ingénieurs civils à ce site, qui pourraient nous
éclairer d’abor sur les causes d’un développement citadin aussi chaotique, étouffant,
archaïque, congestionné et moyen-âgeux alors que nous sommes un peuple d’élite, que nous
produisons des cerveaux puissants et que nous sommes un peuple homogène.
Regardez Singapour et Doha par ex. Certes Alger la capitale commence à peine à se
développer il est déjà trop tard !
Pour combler le retard il faut pouvoir détecter les cerveaux algériens dès le plus jeune âge,
retirer leurs familles des villes polluées où il vivent dans un voisinage direct qui va leur pourrir
la vie par le bruit et les odeurs. L’Algérie ne peut plus s’offrir le luxe de laisser s’étioler et
étouffer ses talents prometteurs.
Il faut remplacer toute l’administration algérienne en commençant par sélectionner dans un
premier temps durement, offrir maison et poste aux meilleurs.
L’Algérie gagnerait à développer des villes calmes, non congestionnés, verticalisés, étalés, de
villégiature, de jardin ou des mathématiciens puissent faire des maths sans être déranger par
des voisins psychopathes et ignares.
Enfin, il ne doit plus y avoir aucune agression en Algérie, comme c’est le cas au Japon ou à
Singapour, où la peine de mort est en vigueur. Il faut renforcer le code pénal dans ce sens.
Choyons nos mathématiciens et physiciens au lieu de les mépriser et de les laisser vivre au
milieu de la populace la plus débile qui ne comprendra jamais rien à rien.
(A suivre)
Répondre
Anonyme
24 décembre 2024 - 11 h 56 min
Tout porte a croire que vous êtes mathématicien. On en bien besoin d’eux notamment dans le développement de l’algorithmique et le big data.
Sinon sur le fond je suis d’accord, les projets méritent réflexion et compétences pour leurs réalisations.
Répondre