Le sioniste et terroriste de l’OAS Enrico Macias n’a pas sa place en Algérie !

Enrico Macias
Enrico Macias ne dit pas tout aux Français. D. R.

Une contribution de Mohsen Abdelmoumen – Dans un climat tendu caractérisé par une escalade dans les attaques contre l’Algérie de la part d’un régime français qui surfe sur la vague fasciste actuelle pour dénigrer notre pays, Gaston Ghrenassia, alias Enrico Macias, fait à nouveau parler de lui. Il reprend son leitmotiv sur les plateaux de télévision et dans la presse française, et gémit qu’il veut revoir son pays natal avant de mourir. A 86 ans, et depuis les années qu’il nous joue sa partition, il n’a pas encore compris que jamais, au grand jamais, il ne remettra un pied en Algérie. Mais cette énième réapparition de Macias dans un tel contexte délétère n’a rien d’anodin. A chaque fois, il nous refait le coup des yeux mouillés en évoquant le paradis perdu, mais cette nouvelle jérémiade nostalgique a un petit goût acide qui nous porte à croire que la France sionisée nous prépare un autre coup porté à l’Algérie, à l’image de l’affaire Sansal. En effet, imaginez les gros titres de la presse franco-sioniste si Macias casse sa pipe sans jamais avoir reçu une invitation à revoir le soleil de «son» pays perdu et de «sa» mer bleue ?

Ce n’est pas nous, Algériens, qui allons démentir la beauté de notre patrie, et à quel point la nostalgie peut être forte quand on a perdu une terre aussi prodigieuse. Mais voilà, l’Algérie se souvient, contrairement à Gaston Ghrenassia et à ceux qui le poussent dans le dos en passant sous silence la jeunesse «militante» du chanteur pied-noir à Constantine. La terre algérienne généreuse a accueilli en son sein la dépouille de Roger Hanin – paix à son âme –, un juif pied-noir lui aussi, qui, toute sa vie, a conservé un amour indéfectible pour son pays natal et en parlait avec le plus profond respect. D’autres juifs pieds-noirs ont pu venir se recueillir sur la tombe de leurs proches sans aucun problème. Ce ne sera jamais le cas de celui que certains oublieux présentent comme «le chantre de l’amour, de la fraternité et de la paix», alors qu’il a laissé des traces sanglantes derrière lui. Contrairement à ce que pense Macias quand il déclare que le peuple algérien ne verrait aucun problème à sa venue en Algérie, il se trompe lourdement. Le peuple algérien n’a pas oublié ses martyrs auxquels il a rendu hommage ce 18 février, Journée nationale du chahid, et il sait que leur sacrifice suprême provient de la lutte qu’ils ont menée pour libérer la terre d’Algérie de tous les parasites, tels que Ghrenassia, Leyris et leurs pairs. Une petite mise au point s’avère donc indispensable pour rafraîchir la mémoire d’Enrico Macias et de ses sponsors.

Pendant la guerre de Libération nationale, alors qu’il vivait à Constantine, Gaston-Enrico pourchassait les militants du FLN et participait à des ratonnades au sein des «Unités territoriales», sorte de milice paramilitaire créée en 1955, qui regroupait des Européens partisans de l’Algérie française et des harkis. Un ou deux jours par semaine, les civils étaient appelés à revêtir l’uniforme pour assurer des «missions de sécurité», terme pudique pour désigner les expéditions punitives, dans le lieu où ils résidaient. Ces milices traquaient sans relâche les moudjahidine du FLN. De son appartenance à ces escadrons de la mort, Macias ne parle jamais. Il n’évoque pas non plus sa proximité avec Maurice Papon, qui était préfet de Constantine pendant l’occupation coloniale. Pourtant, comme le dit si bien l’adage, «chassez le naturel, il revient au galop», les anciens réflexes resurgissent et l’on constate que Macias n’a rien perdu de son inclination pour la violence, puisqu’en octobre 2023, à l’âge de 85 ans, il déclarait au sinistre Pascal Praud sur la chaîne fasciste CNews, qu’il fallait «dégommer même physiquement» les députés LFI pour leur opposition aux crimes commis par l’entité sioniste d’Israël à l’encontre du peuple palestinien. C’est que Gaston Ghrenassia est un sioniste pur et dur et, en bon colonialiste, il éprouve la même haine envers la résistance palestinienne que celle qu’il ressentait jadis pour la résistance algérienne, tout en serinant la main sur le cœur que «son seul rêve, c’est la paix». Ben voyons…

Lors de ses apparitions télévisées, le chanteur revient sans cesse sur l’exécution de son beau-père Raymond Leyris, abattu par un militant du FLN sur le marché de Constantine, le 22 juin 1961, sans nous dire que celui qu’on appelait «Cheikh Raymond» n’était pas le musicien innocent que Macias encense, puisqu’il était très actif au sein de l’OAS et qu’il travaillait secrètement pour le Mossad qui était présent à Constantine. Ce dernier fait a été rapporté par le quotidien israélien Maariv en mai 2005, à l’occasion du rassemblement mondial des juifs sépharades originaires de Constantine, organisé à Jérusalem sous la houlette d’Enrico Macias. Selon le journal israélien, deux agents du Mossad, Avraham Barzilaï et Shlomo Havilio, appartenant à une unité chargée des opérations spéciales et se faisant passer pour des enseignants, ont œuvré dans la région de Constantine dès 1956. Leur objectif était d’entraîner et d’armer des cellules composées de jeunes juifs de Constantine pour traquer les militants du FLN et ces cellules supplantaient l’armée coloniale pour mener des actions dans les quartiers juifs et musulmans.

Avec raison, le FLN soupçonnait Raymond Leyris d’être actif dans bien autre chose que la musique, et des témoins ont vu sortir discrètement des armes de chez lui en pleine nuit. Néanmoins, voulant tout de même garder des relations avec la communauté juive, le FLN entretenait des contacts réguliers auprès de celle-ci via Raymond Leyris. Or, début 1961, un émissaire du FLN a été tué en se rendant à un rendez-vous avec des notables juifs. D’autres événements suspects permettent de penser que Raymond Leyris était un informateur des autorités coloniales et du Mossad. Six corps retrouvés dans le sous-sol de la villa de Leyris ont confirmé que les soupçons du FLN étaient justifiés.

Sachant tout cela, il est bien entendu que Gaston Ghrenassia, alias Enrico Macias, ancien membre des Unités territoriales, ces milices de l’Algérie française, n’a pas sa place en Algérie, qu’il soit vivant ou mort. Qu’il continue donc à pleurer le paradis perdu et à prêcher hypocritement la paix en ameutant le ban et l’arrière-ban sur son désir de revoir l’Algérie «avant de mourir». Nous lui conseillons d’aller prendre le soleil à Tel-Aviv, en Palestine occupée. Qu’il en profite, car bientôt les colons sionistes de Palestine connaîtront le même sort que les colons d’Algérie. Ils seront déracinés d’une terre qui ne leur a jamais appartenu. L’entité sioniste d’Israël n’a aucun avenir dans une Palestine occupée et souillée par la racaille sioniste. La résistance palestinienne ne mourra jamais et l’Algérie continuera à la soutenir comme elle l’a toujours fait.

Quoi qu’il en soit, cette nouvelle apparition de Macias intervient au moment où les chiens enragés de la fachosphère française éructent quotidiennement, les babines pleines de bave, contre l’Algérie et sa grande armée. Qu’il pardonne ou pas aux autorités algériennes de lui refuser un visa d’entrée ne nous intéresse pas et nous nous moquons éperdument de «la grande blessure de [sa] vie». Nous considérons que la seule blessure à considérer est celle qu’il a infligée à nos moudjahidine à Constantine. Point barre. Si les pieds-noirs revanchards excités par l’extrême-droite française veulent brandir leur barde Macias pour en faire un épouvantail du type Sansal contre l’Algérie, ou s’ils s’emparent de Kamel Daoud le plagiaire pour les mêmes raisons, ils en seront pour leurs frais. Boualem Sansal, citoyen algérien, sera jugé en bonne et due forme en Algérie, Kamel Daoud répondra devant la justice à Saâda Arbane dont il a volé l’histoire, la première audience étant fixée le 7 mai prochain au tribunal judiciaire de Paris, et nous saluons nos amis qui ont fait cette action, et le sioniste Gaston Ghrenassia, alias Enrico Macias, rejoindra l’au-delà sans avoir revu l’Algérie.

H. A.

Comment (18)

    Anonyme
    22 février 2025 - 12 h 11 min

    Article qui a le mérite de replacer la mosquée au milieu du village.
    Mais quid de Alexandre Arcady qui se pavane en bon sioniste sur I24 pour déverser sa haine de l’arabe et du palestinien et qui est en « open bar » en Algérie?
    Un peu de cohérence ne ferait de mal à personne.
    C’est ce genre d’exception qui font pousser des ailes à certains sionistes nostalgiques du colonialistes.

    Maknine
    22 février 2025 - 11 h 54 min

    Je ne comprenf pas , comment peut on donner une importance à un déchet de l’humanité, ne plus parlé de lui c’est le mettre dans sa tombe, il critique l’etat Algerien, le peuple, et vous lui donnez autant de temps d’audience, une charogne restera une charogne, il n’a jamais chante pour l’Algerie, toutes ses chansons sont destinnées à son vrai pays qui n’est pas ALGERIE

    Salim Samai
    22 février 2025 - 9 h 01 min

    Excellent! Des FAITS! Merci pour l`instruction & Roger Hanin, Allah Y., dont N.YTimes, Haaretz ont « OMIS » la Necrologie! Dieu, l´Islam, DZ, les Ottomans & la Perse/IRAN, qui SAUVA les Juifs de l`Esclavage de Babylone; « Ne Distinguent PAS entre La Multitude des Tribus » & Ahl El Kitab!

    Ils ne sont PAS INGRATS tels Israel & Avocats, qui, jadis Moise SE PHARAONISÈRENT en TROMPANT, SOUMETTANT « La Judeo-Chretiente » et en ACCUSANT leurs Victimes du Meurtre jusqu´á « Cracher » sur le Coran sur les Places Publiques!

    Ce n`est PAS á Macias de PARDONNER! C´est l´INVERSE-Loi du Contraire!
    C´est á GAZA, Dieu, les Tombes de Sinwar et J.Möllemann, l`Ìslam, « Mort aux Arabes », « Sleepers/Risk Factor » et DZ Libre de LUI PARDONNER car il les INSULTA pour SERVIR Israel-Ennemi de Dieu CONTRE ses Péres á Bale, El Haq et le Grand Rabbin Halawi de Turquie qui dit:
    « A Jerusalem, il n`y a que politique ».

    Et la Sainte Tora, Babylone, l´Egypte, 1492, les Sedikin et l´Holocauste (pas celui des Pleurs á Yad Vashem, Spielberg, Berlin & Hollywood)? Israel a TOUT RENIÈ & la Diaspora Juive l´a SUVI en depit des Avertissements des Sages et du Seigneur! Et DZ Amazigh, Magnanime, Soldat d´Honneur & Bon Croyant? Elle DOIT accorder le PARDON si on le DEMANDE du Coeur/ »Par la Foi »! Dieu l´EXIGE sans doute pour la SURVIE! Dieu voit LONG! Il sait que la FOURBERIE & le Bully-Pharaon ne paient PAS á Long Terme!

    VADIM KIRPITCHENKO
    22 février 2025 - 8 h 13 min

    Ah, le grand Enrico Macias, l’homme qui se rêve en victime éternelle alors qu’il traîne derrière lui un passif lourd de compromissions et d’appuis à des criminels notoires ! Voilà qu’il nous refait son numéro de l’amoureux transi de l’Algérie, feignant d’ignorer que son pedigree est entaché par l’ombre sinistre de l’OAS, cette organisation terroriste dont il n’a jamais renié l’héritage.

    C’est un véritable exploit de parvenir à s’indigner avec autant de talent quand on a soutenu activement les bourreaux de tout un peuple ! Mais bon, on commence à le connaître, notre troubadour de pacotille : il pratique l’inversion accusatoire comme un art de vivre. Le bourreau devient la victime, l’exilé devient le martyr, et les véritables victimes ? Oubliées, niées, effacées.

    L’Algérie lui manquerait ? Voilà qui est touchant ! Il aurait pu, dans un élan de sincérité, commencer par reconnaître les crimes de l’OAS, condamner ses exactions, et peut-être exprimer une once de remords pour tous ces civils assassinés par ceux qu’il défendait encore récemment. Mais non, notre poète du dimanche préfère jouer les pleureuses et nous expliquer combien nous sommes ingrats de ne pas dérouler le tapis rouge à un homme dont les positions et les accointances sont un crachat à la mémoire des martyrs.

    Ce qui est fascinant, c’est son culot olympien. Il pense sans doute que les Algériens ont oublié, que les archives se sont volatilisées, que les témoignages des rescapés de l’horreur de l’OAS n’existent pas. Peut-être espère-t-il que le temps efface tout, ou mieux encore, qu’un petit air de guitare suffise à faire oublier l’histoire. Désolé, Enrico, ici on n’a pas la mémoire courte, et les crimes de tes amis ne seront jamais effacés par des mélodies faussement nostalgiques.

    D’ailleurs, il serait temps que nos autorités éclaircissent officiellement son cas et lui rappellent qu’il ne s’agit pas d’une simple dispute politique mais bien de faits criminels concrets. Il veut revenir en Algérie ? Peut-être, mais avec un billet aller simple pour la justice, et cette fois, ce ne sera pas une simple chanson qui pourra le sauver.

    Dr Kelso
    22 février 2025 - 8 h 06 min

    Excellente contribution.
    Encore une énième fois en réponse à @Dzz :
    Merci pour ce lien dont j’extrais :
    1. « Et ce n’est pas seulement à cause de son soutien public à Israël», ajoute-t-il, estimant que le thème Algérie ne constitue pour Enrico qu’un «fond de commerce».
    Pour cet homme, qui avoue avoir apprécié la musique de Enrico dans sa jeunesse, Enrico Macias ne reviendra pas en Algérie parce qu’il y a commis des crimes pendant la guerre de libération. Selon lui, Enrico faisait partie d’une milice locale, les «unités territoriales», composées de partisans de l’Algérie française, qui formaient des milices de supplétifs de l’armée coloniale. L’unité à laquelle appartenait Enrico Macias a commis de nombreuses exactions, et a participé à des ratonnades, affirme cet ancien haut fonctionnaire».
    2. La conclusion :
    «Un ancien haut fonctionnaire affirme toutefois que Enrico n’avait aucune chance de revenir en Algérie. Les anciens pieds noirs étaient classés en plusieurs catégories, explique ce fonctionnaire. Enrico Macias fait partie d’une sorte de liste rouge officieuse, qui comporte les noms de militaires, colons et ultras ayant commis des exactions. Ceux-là ne peuvent pas entrer en Algérie, dit-il.
    Autre détail troublant dans l’histoire d’Enrico : quand il sévissait au sein des «unités territoriales», IL COLLABORAIT avec un personnage célèbre, MAURICE PAPON ! Celui-ci a en effet exercé comme préfet à Constantine, où il a contribué à organiser de redoutables escadrons de la mort. Milices, unités paramilitaires, escadrons de la mort, tout ce monde collaborait joyeusement quand il s’agissait de réprimer. Des témoins sont encore vivants.».
    Et enfin en conclusion :
    Roger Hanin, qu’il repose en paix, était très connu pour son amour pour l’Algérie.
    Le commentaire d’un lecteur AP sur Roger Hanin : «paix à son âme. Il a dit un jour à un journaliste alors que les juifs de France célébraient la Shoa : je ne suis pas concerné par ça. Nous juifs d’Algérie, on n’a pas vécu cela ! Qui de nos jours peut se permettre de braver le Crif comme l’a fait ce brave Algérien».
    Je reprends @Fodil :
    Concernant son positionnement sur la guerre de libération du pays, Roger Hanin a toujours tenu un discours sans ambiguïté. Il était clairement pour l’indépendance de l’Algérie et ne l’a jamais caché.
    Son raisonnement n’était pas le même que celui d’un enrico macias, d’un patrick bruel ou de tout autre personnalité juive originaire d’Algérie qui font leur petit numéro face caméra les yeux larmoyants de fausseté et d’hypocrisie mais qui ont toujours roulé leur bosse et agit en faveur de l’entité sioniste (et vas-y que je te fais des petits concerts en faveur de tsa-hell…).
    En résumé, Roger Hanin n’était pas un sioniste et quand j’avais su qu’il allait être inhumé auprès de son père à Alger, j’ai trouvé ça normal puisque j’avais en mémoire toutes ses prises de position durant son vivant…
    Par contre, je me rappelle bien la réaction d’enrico quand il apprit que Roger Hanin avait demandé aux autorités algériennes ce souhait et que cette volonté avait été acceptée. On ressentait bien chez lui comme un étrange sentiment de jalousie, une sorte de ressentiment mélangé à de l’amertume. Et pour reprendre une chansion chiante de l’artiste de la guitare, enrico semblait avoir gardé à travers sa gorge youpine « le goût des oranges amères, le goût des oranges amères »
    C’était le dernier pied de nez de Roger Hanin en somme !

    Anonyme
    22 février 2025 - 6 h 59 min

    Merci pour cet article informatif.

    Abou Stroff
    22 février 2025 - 6 h 45 min

    « C’est que Gaston Ghrenassia est un sioniste pur et dur et, en bon colonialiste, il éprouve la même haine envers la résistance palestinienne que celle qu’il ressentait jadis pour la résistance algérienne, tout en serinant la main sur le cœur que «son seul rêve, c’est la paix» » souligne M. A..

    rien de plus à ajouter à part:

    le macias est un sioniste convaincu, il l’a affirmé, publiquement, à plusieurs reprises et nous, les algériens, lui reconnaissons le droit d’avoir choisi son camp et lui recommandons, avec ……………… douceur, d’aller se f….. ailleurs, point barre.

    PS: quant à revoir l’Algérie, je ne pense que nous, les algériens, puissions excaucer le voeu du macias, étant donné que nous sommes, sans exception, anti-colonialistes et ……………anti-sionistes.

    wa el fahem yefhem.

    Brahms
    22 février 2025 - 6 h 18 min

    Cet ENRICO MACIAS n’a jamais payé (1 €) d’impôt en Algérie en 40 ans.

    L’Algérie ce n’est pas son pays puisqu’il paie ses impôts en France. Il a passé sa vie à cacher ses crimes d’Algérie sous couvert de chansons car il savait que les citoyens étaient illettrés à 80 % lors de l’époque coloniale donc facile à voler ou à tuer.

    Ensuite, il a profité du Décret Crémieux pour se sauver en France. Tous ces sionistes D’Algérie faisaient la même chose qu’en Palestine d’où sa version du paradis perdu faisant ainsi diversion sur leurs actes.

    Par contre, pour la rente mémorielle de l’Holocauste on y aura droit pendant 20 000 ans donnant du JACK LANG à 15 000 € par mois à 83 ans à l’Institut du Monde Arabe depuis plus de 12 ans (place au soleil) alors qu’il y a plein de chômeurs intelligents de 40 ans qui pourraient prendre ce poste.

    Le système sioniste ça signifie (se sucrer) sans arrêt via des postes de travail facile et bien payé en jouant sur la rente mémorielle. Vous verrez que Jack Lang va rester jusqu’à 90 ans à l’Institut du Monde Arabe.

    Vise
    22 février 2025 - 3 h 09 min

    Il est encore debout celui-là…

    Chelieth
    22 février 2025 - 0 h 33 min

    Sioniste certainement, condamnable pour ses sorties réprobables sur les palestiniens oui, impardonable pour ses actions contre les populations musulmanes de Constantine malgré son très jeune age (moins de 18 ans), c’est à en croire des témoignages non enregistrés il faut le dire, mais pieds noir, certainement pas. Contrairement à ce qui est défini comme pieds noir, les juifs d’Algerie ont fait partie du tissu algerien depuis bien longtemps au point ou rien ne les distinguait plus des Algeriens sauf leur confession hébraïque. En fait jusqu’au décret cremieux, ils etaient considérés par l’occupant comme des indigènes algeriens comme leurs compatriotes musulmans. On peut donc reprocher à ce natif de Constantine beaucoup de choses sauf d’être pied noir. D’ailleurs même les vrais pieds noirs, déchets de l’europe, n’en voudraient pas des juifs comme faisant partie d’eux. Quant au reste, on dit bien en islam que même allah sobhanou is ghafour rahim. Cet individu aussi reprimandable qu’il pourrait être ne demande pas d’aller chanter dans sa ville natale. Il ne demande qu’à la voir une dernière fois avant de faire sa reverence au monde des vivants. Si dieu lui même est ghafour rahim pour qui nous prenons nous pour être encore plus sévères. Un tout petit tour puis il s’en va dans l’anonymat le plus complet. Personellement je ne vois pas le mal. Moi le « problème » je le vois ailleurs. Ce mr de 85 ans court le risque de rendre le dernier souffle sous le coup d’une immense émotion à la vue de sa ville. Then what? Cimetière juif de Constantine où retour à Paris?

    Assia
    22 février 2025 - 0 h 27 min

    L’Algérie ne veut pas de lui plus concrètement ne veut pas de personnes violentes, ingrates et socialement incomparable . Tu es français et crève la bas come un chien galeux

    Tu rentreras plus jamais chez toi
    22 février 2025 - 0 h 17 min

    C’en est fini pour lui et les pleureuses « roumaines » qui l’accompagnent sur les plateaux afin d’accentuer la mise en scène se fatiguent pour rien .
    Nous ne négocions jamais avec les terroristes .

    Des squelettes trouvées dans la cave de Raymond Leyris
    21 février 2025 - 22 h 29 min

    Des squelettes de militants du FLN trouvées dans la cave de Raymond Leyris après l’indépendance, ce type était un criminel, une crapule finie et Ghenaissa .
    Cette FACE DE RAT ne doit JAMAIS mettre les pieds chez nous en ALGERIE au risque de marcher sur le sang de nos martyrs.
    .

    Badass
    21 février 2025 - 21 h 16 min

    Gaston la gaffe n’a pas encore compris ( a force d’abuser des jeunettes!) que les loukoums sionistes de son espèce sont persona non grata en Algérie, va pleurer chez le boucher polonais en israel.

    Le Chat Botté
    21 février 2025 - 20 h 52 min

    Je pense contrairement aux autres, que l’Algérie post indépendence avait tourné et fermé la passe sur ce douleureux épisode colonial, qu’il soient Francais d’origine ou autres, mais la goutte qui avait débordé le vase pour son cas était son insolence alors qu’il se produisait a l’Olympia de Paris dans les années 70 ou il déclarait fiérement a qui veut l’entendre que toute sa recette irait a Israel pour acheter des armes et tuer les Palestiniens. C’était a ce moment la que El Marhoum Houari Boumédiene lui a retiré du marché tous ses disques musicaux et lui interdisait/bani l’entrée sur le territoire du sol Algérien.
    Les autres éxactions commiseent par des gens de son espéce lui et autres n’étaient qu’un douleureux épisode du passé nostalgique de la vermine coloniale.

    Lahouaria
    21 février 2025 - 20 h 25 min

    Dieu merci, nous sommes algériens et algériennes Grâce à Dieu pour l’Algérie
    Il est unique notre peuple, oui, il n’y a personne comme notre peuple algérien, sa gentillesse et sa compassion, un peuple généreux et serviable envers les autres.
    Il n’y a personne comme notre État algérien et nos dirigeants, notre armée nationale fidèle et loyale qui a pris le flambeaux de nos Martyrs Glorieux inoubliables. Paix à leurs âmes.
    Le Président Tebboune et son gouvernement que Dieu les protège et prolonge leur vie dans notre pays qui concrétisent les objectifs et les rêves des citoyens algériens pour vivre dignement dans son pays
    Fierté et honneur🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿pour mon pays bien-aimé qui est le seul qui aime ses enfants. Tahia El Djazaïr, je t’aime l’Algérie❤️ Rabi Yahafdhek Bledi❤️🙏

    Enrico M. ( Please, aujourd’hui cela 62 ans, 7 mois et 16 jours.) Depuis que tu es rentré en France, les algériens ne te connaissent pas, ceux de ton âge, ils sont tous morts par le poids des ans, la maladie ou Dieu a préféré les rappeler à Lui.
    Alors de préférence reste chez toi.

    Anonyme
    21 février 2025 - 20 h 21 min

    enrico macias est un criminel, il a assassiné de nombreux algériens.notre jeunesse doit le savoir et notre devoir à nous les ainés est de veiller à ce que cet assassin ne mette pas les pieds sur notre terre bénie

    Luca
    21 février 2025 - 20 h 11 min

    Si les services tel que le 116 ème et 104 ème de rmo au service de l’Algérie et de la recherche d’actualité et d’activités dit qu’il n’a pas sa place en Algérie, alors c’est qu’il n’a pas sa place

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.