Le ministère de la Jeunesse et le Conseil supérieur de la Jeunesse (CSJ) ont salué, mercredi, la décision du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, de lancer un Fonds de financement des start-up et des jeunes innovants en Afrique, la qualifiant de «décision historique» qui contribuera au renforcement de la coopération intra-africaine.
Dans un communiqué conjoint, «le ministère de la Jeunesse et le Conseil supérieur de la jeunesse ont salué la décision historique du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, de lancer un Fonds de financement des start-up et des jeunes innovants en Afrique, annoncée par le ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Noureddine Ouadah, en marge de la clôture de la 4e édition de la Foire commerciale intra-africaine (ITAF 2025)».
Cette décision «vient incarner la vision du président de la République quant au renforcement de la coopération intra-africaine et du développement durable, à travers la promotion de l’économie de la connaissance et de l’esprit d’initiative chez les jeunes», selon la même source, qui salue «le financement immédiat, dans ce cadre, de 30 start-up participant à la foire, représentant un quota qualitatif pour l’activation de ce Fonds ambitieux».
Dans ce contexte, les deux institutions ont réaffirmé «leur soutien à toutes les initiatives visant l’autonomisation des jeunes africains, notamment dans les domaines de la formation et de l’innovation».
Le ministère de la Jeunesse et le CSJ ont également réaffirmé «leur engagement à contribuer efficacement à l’accompagnement des jeunes africains et au renforcement du rôle de l’Algérie en tant que pôle régional de soutien à l’innovation et à l’entreprenariat en Afrique».
R. E.
Charité bien ordonnée commence par soi-même.
Cessez de jeter l’argent des Algériens par la fenêtre, on a vu où le panafricanisme a conduit le Guide le colonel Gueddafi Allah yrahmou sans omettre l’effacement de la dette de 14 pays africains par Bouteflika Allah yrahmou et les aides en tout genre et pour quel résultat !
Mais QU’ATTEND L’ÉTAT ALGÉRIEN POUR EXPULSER MANU MILITARI EN 17 SECONDES TOUS LES MAKHNAZIS ET DÉCHÉANCE DE NATIONALITÉ ET TOUS LES SUBSAHARIENS ET SAHÉLIENS C’EST UN PRÉ-REQUIS OUTRE LA CLOCHARDISATION DE L’ALGÉRIE CRIMINALITÉ TERRORISME ACCRUS UNE COLONISATION QUI NE DIT PAS SON NOM PROCÉDÉ SIONISTE DE DÉSTABILISATION DU PAYS QUI EST EN PREMIÈRE LIGNE !
N’est pas l’Afrique du Sud qui veut.
ce fonds est destiné aux jeunes algeriens ou africains ?si c’est pour l’afrique,on ne retient aucune leçon du passé car,dans toute l’histoire du pays,c’est la premiere fois que l’algerie est trainée devant une juridiction internationale par un pays en mal de reconnaissance, qui a ete aidé, soutenu durant des années !
@Anonyme
Excellent commentaire synthétique perspicace et percutant.
La meilleure bachelière djezaïria va partir faire des études supérieures en Angleterre.
Il faut donner aux universités djezaïrihins, le plus rapidement, les moyens d’offrir aux bacheliers la possibilité de faire des études de très haut niveau, dans leur pays.
Nous devons être inlassablement des chercheurs de vérité, même si cela doit être tenu en échec par des ultracrépidariens qui s’arc-boutent à leurs propres illusions. La vérité, celle qui ne ment jamais à la vérité, c’est-à-dire la réalité, s’invite à nous dans toute sa puissance. La nation de quarante sept millions de citoyens algériens s’est laissée assigner à résidence, sans mot dire, sur le seul combat nécessaire que la situation du pays exige : résoudre tous les maux inhérents au sous développement.
Si nous utilisons cette nouvelle arme qu’est la solidarité, si nous définissons nos objectifs, si nous identifions notre ennemi et si nous savons quel chemin nous allons suivre, tout ce qui nous restera à faire c’est de savoir le chemin que nous aurons à parcourir jour après jour. Et çà nul ne peut nous le dire. C’est à chacun de le découvrir.
Maintenant que nous avons tous les élément qui nous permettront d’avancer vers l’avenir, rappelons nous que la meilleure façon de dire est d’agir pour que les enfants de nos enfants vivent dans un pays en paix, pour que le pays soit plus que jamais un monde d’opportunité – une même et entière opportunité pour tous les algériens, que toutes celles et tous ceux qui peuvent travailler aient un emploi et aider généreusement celles et ceux qui ne peuvent pas travailler, créer un climat de bienséance et de civilité où chacun respecte les sentiments et la dignité de son voisin ainsi les droits que dieu lui a donnés.
Le combat pour faire de notre pays un monde où chacun puisse rêver et réaliser ses rêves – pas dans la peur mais dans l’espoir – en étant fier de sa communauté, fier de son pays, fier de ce que l’Algérie représente pour lui et pour le monde.
Ces objectifs sont ambitieux. Je crois que nous pouvons, nous devons travailler pour l’atteindre. Mais pour y parvenir, nous devons récuser l’esbroufe politique des illusionnistes qui veulent nous faire croire qu’on peut faire une omelette avec des oeufs durs.
Aujourd’hui, l’ambition de l’Algérien que je suis, est de faire adhérer le peuple algérien à la cause qu’il défend : faire de l’Algérie une grande puissance politique et économique, sociale et culturelle, indestructible et immortelle.
Nous n’avons, par conséquent, pas le droit de dépenser notre énergie à mauvais escient car nous en aurons besoins. Nous devons la garder précieusement et l’utiliser pour le bien de notre pays.
Fraternellement lhadi
([email protected])
En tant qu’Algérien, je ne peux cacher une certaine inquiétude face à la décision de lancer un Fonds de financement des start-up africaines. L’initiative est qualifiée d’« historique » et s’inscrit dans une logique de coopération panafricaine, mais dans un pays dont les recettes reposent encore largement sur les hydrocarbures, engager des ressources hors de nos frontières soulève des questions légitimes. Nos propres jeunes innovateurs et start-up manquent déjà de financements et d’accompagnement, et il semblerait naturel de répondre d’abord à ces besoins internes avant d’élargir nos ambitions à l’échelle du continent. Les expériences passées nous invite aussi à la prudence : l’Algérie a beaucoup aidé ses voisins, allant jusqu’à effacer leurs dettes, sans toujours recevoir en retour la loyauté espérée. Cela ne veut pas dire qu’il faille renoncer à toute coopération africaine, mais plutôt qu’il est nécessaire de bâtir ces initiatives sur des bases solides de réciprocité et d’intérêt mutuel. Enfin, la manière dont cette décision a été annoncée donne le sentiment d’une orientation prise sans véritable concertation nationale, ce qui peut rappeler des pratiques de gouvernance unilatérale que nous espérions dépassées. Si ce fonds doit exister, il devrait être conçu non comme une dépense extérieure pure, mais comme un outil stratégique qui serve d’abord les start-up algériennes tout en créant des synergies équilibrées avec nos partenaires africains.
puisque mon commentaire d’hier n’a pas été publié, je vais le reformuler.
je pense que la décision de tebboune de lancer un fonds d’investissement des start-up en Afrique pourrait être prometteuse à condition qu’il y ait eu, auparavant, des études d’impact en termes de coût et de bénéfices (cost-benefit analysis comme disent les yankees), or, question à un doro:
tebboune s’est il appuyé sur une analyse d’experts pour ……………. décider ou a t décidé sur un …………. « coup de tête »?
moralité de l’histoire: il n’y en a aucune à part que je continue à penser que des communications du genre ‘tebboune décide », « tebboune a donné des instructions pour », « tebboune ordonne que », etc. infantilisent les algériens lambda et les poussent à croire que leur destin n’est pas entre leurs mains mais est entre les mains d’autrui (tebboune ou le Bon Dieu himself).
en termes clairs, cette communication d’un autre âge ne fait que déresponsabiliser la majorité des algériens et les incite à se contenter de subir au lieu de participer activement à la dynamique de leur vécu.
en termes crus, cette communication accentue le statut de tubes digestifs ambulants doublés de zombies décérébré de la majorité des algériens.
wa el fahem yefhem
[…] Avec cette initiative, l’Algérie désire promouvoir l’autonomie des jeunes africains et impulser des technologies novatrices sur le continent. Un exemple concret de collaboration est l’accord signé entre le groupe algérien Condor et une startup camerounaise, illustrant le type de partenariats recherchés. De plus, une conférence africaine des startups se tiendra en décembre, dédiée aux étudiants africains des universités algériennes, afin de renforcer l’écosystème entrepreneurial panafricain grâce aux actifs universitaires et diplomatiques de l’Algérie. […]
La Tunisie fait sa foire aussi son Tech 30 en ce moment avec trente pays africains je crois ? On a rien contre même qd bcp veulent nous faire de l ombre par jalousie ou autres tout en ‘ous sollicitant pour bcps de choses. .
Juste pour rappel cher voisin, l Afrique terna 🇩🇿❤️dont vous en faites partie ainsi que le royaume vicieux à côté, vous nous appartenez ! Ben oui quand on regarde bien et de près surtout. C est comme ça et pas autrement. 🤪🇩🇿
Tawerna ben oui, on va bientôt passer au volet 3 de la feuille de route, on a déjà commencé légèrement mais ça falloir accentuer ou plutôt accélérer les choses mais chaques choses en son temps, il ne faut surtt pas bousculer la feuille de route bien établie sinon ça risquerait de tt faire tomber d un seul coup. Bon on a fait de la route et les résultats attendus sont bien là pour le moment, il faut consolider ces premières étapes avant de se concentrer sur le 3 ème volets. Non je n ai pas oublié qu il nous reste 3 mois et quelques jours au sein du conseil de sécurité en tant que membre permanent et je n ai pas oublié l objectif principal que nous nous étions donnés . Le volet 3 et ce poste de membre non permanent à sa fin arrive à point nommé,ben oui il fallait pas le faire avt ni au milieu mais bien à la fin pour éviter nombres d obstacles et une réaction bien réfléchies de nos détracteurs et ennemis pour certains, on leur laisse peu de temps on les surprend au dernier moment mais bien avec leurs consentements ou pas, ce n est plus notre affaire. .J ai ma p’tite idée mais difficile à concrétiser mais l Algérie son état son pouvoir sa diplomatie en a les moyens si bien sûr elle veut s en donner les moyens et a bien cette volonté de jouer dans la cours des grands définitivement et en être. Rappelez vous AP mon but final pour l Algérie. 🇩🇿❤️ . Ben oui il faut battre le fer pendant qu’il est chaud. J y reviendra dans la façon d y arriver inch Allah mais plus facile à dire qu à faire mais bon celui qui ne s y risque pas, ne peut prétendre à quoique ce soit. On va y arriver inch’Allah mais faut être unis et judicieux et perspicace et surtt persévérer. , c’est trois mots sont la clé, faites moi confiance , juste la jouer fine avec eux pour terminer notre mandat comme nous l avions commencé avec succès inch Allah. 🤲