Un vautour au-dessus de nous
En s’intéressant de très près à une race de rapaces charognards, le vautour, Algeriepatriotique est tombé sur une information de premier ordre. En effet, il s’avère qu’un membre de cette espèce, qui répond au nom de Bernard-Henri Lévy, bénéficie d'une protection totale sur le territoire français par la loi du 10 juillet 1976 et son arrêté d’application du 29 octobre 2009. Il est donc «interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l'enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire, altérer ou dégrader son milieu». Ce nécrophage qui se nourrit principalement des carcasses d’Arabes est inscrit sur la liste rouge des espèces menacées en France. Il est aussi inscrit à la Convention de Berne qui répertorie les espèces de faune «strictement protégées». Ce vautour chasse en volant haut dans le ciel pour repérer des Arabes à dépecer. Très actif en Libye, il a participé activement à l'élimination naturelle et rapide des cadavres de Libyens pour cacher les crimes contre l’humanité dans ce pays où son rôle d'éboueur a été très important, puisqu’il a évité la transmission de la maladie épidémique qu’est l’insoumission au sionisme. Aujourd’hui, cet animal associé à la mort est dans l'attente gourmande et morbide que sa proie algérienne soit affaiblie davantage par son Etat déliquescent pour pouvoir la piller. Il plane au-dessus de nos têtes, près du sol, en utilisant son odorat pour s’orienter préférentiellement vers ses proies fragiles, comme le Mjic, Rachad et les résidus du FIS pour l’aider à conquérir de nouveaux territoires, installer ses colonies et accroître ses populations. Surveillons le ciel, donc, car Bernard-Henri Lévy a été vu déployant ses ailes, ouvrant son long bec et fixant notre pays de son regard de tueur. Attention, le danger n’est pas loin !
M. Aït Amara
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