L’UGTA commémore le 21e anniversaire de l’assassinat de Benhamouda

janvier 28, 2018 - 12:15 La rédaction 5 Commentaires

Abdelhak Benhamouda. D. R.

Par Meriem Sassi – Une cérémonie de recueillement commémorant le 21e anniversaire de l’assassinat de l’ancien secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), est organisée ce matin au siège de la centrale syndicale, à Alger.

Syndicalistes, militants et membres du gouvernement prennent part à la cérémonie, lors de laquelle il sera mis en relief le riche parcours de ce syndicaliste et militant nationaliste hors pair, assassiné à sa sortie du siège de la centrale syndicale le 28 janvier 1997.

Secrétaire général de l’UGTA de 1990 à 1997, Abdelhak Benhamouda, originaire de Constantine, était membre de la fédération de l’éducation avant d’être élu à la tête de l’UGTA. Un parcours qui ne sera pas de tout repos pour le syndicaliste chevronné et amoureux de l’Algérie. Benhamouda a en effet défendu, comme le rappelle l’UGTA, «sans transiger et avec acharnement les fondements de la République et affirmé la nécessité de la poursuite du processus démocratique du pays». Il a, également participé activement à la création du Comité national pour la sauvegarde de l’Algérie (CNSA) en 1992. «Son talent s’exprima, aussi, au moment des grandes restructurations économiques en mettant en place une stratégie revendicative de la centrale syndicale pour faire face aux retombées sociales extrêmement pénibles du moment».

M. S.

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Comment (5)

elbior

28 juin 2019 - 22 h 45 min

LES GRANDS HOMMES NE MEURENT JAMAIS ET ABDELHAK BENHAMOUDA EN FAIT PARTIE.GRAND HOMMAGE A CET HOMME INFATIGABLE QUI AVAIT FAIT BEAUCOUP DE SACRIFICES POUR LA CLASSE PROLÉTAIRE ET TRAVAILLEUSE.les acquis en parlent d’eux même pour ceux qui n’ont pas oublié les sombres années 90.SON NOM RESTERA GRAVE DANS LES MÉMOIRES ET DANS LA LISTE DES GRANDS SYNDICALISTES.PAIX A VOTRE ÂME REPOSE EN PAIX.

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Zoubir

12 février 2018 - 6 h 02 min

De grands hommes sont morts pour l’Algérie,notre respect est incommensurable.Mais,finalement… pour s’apercevoir que des sociétés algériennes viennent à humilier des travailleurs,comme le fait la sonelgaz,en établissant ses factures (je ne parle pas des montants relatifs aux consommations),à la date du 1er du mois ( comme est mon cas) et comme je suis retraité ( mensualité fixe au 20 du mois),je me retrouve dans une situation ubuesque,puisque la durée relative aux paiements est fixée à 15 jours.Ce qui fait que le 15 du mois,je me retrouve en défaut.Elle m’établie la facture entre le 30 et le 1er,alors comme je me réfère toujours à ma mensualité ( le 20),je suis « considéré » comme mauvais payeur,alors que je suis en règle.Non seulement elle ne veut pas changer la date d’établissement de la facture (min le 10 du mois),elle refuse (aujourd’hui) d’attendre le 20 ! Voila,elle devrait prendre en considération les retraités qui ont une mensualité fixe de date et,établir les factures à des dates qui ne soient pas en contradiction avec les 15 jours de la durée de délai de paiement.Et ne pas créer des problèmes (clients-agents) qui viennent « couper » dès la fin de la durée du délai.Mais je m’aperçois que ses refus portent atteinte à notre dignité,nous avons ,aussi,donné le meilleur de nous même au pays.de plus nous n’avons pas le choix (autres prestataires) sinon…Ces ignobles façons honorent-elles la mémoire de feu A.Benhamouda ?(Allah yarham echouhaddas !

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Hamid1

30 janvier 2018 - 12 h 40 min

Combien de morts pour que les assassins vivent encore en toute liberté.
Ne veut-on pas avorter notre liberté chèrement acquise.

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elhadj

28 janvier 2018 - 18 h 33 min

le syndicalisme algérien qui défendait effectivement les droits des travailleurs est mort avec la disparition de Si Abdelhak qui avait des convictions, un engagement sincère , c était un patriote désintéressé .

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Dead Zone

28 janvier 2018 - 15 h 22 min

Hommage à A.Benhamouda. Un grand Monsieur, un martyr épris de liberté,et lâchement assassiné. Hélas, on a enterré et l’homme et ses idéaux, hAllah erahmou.
Cette commémoration, n’est que pure hypocrisie.

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