Parer la menace
Par Mrizek Sahraoui – Avec un flanc en charpie à l’est, une frontière ouest de plus en plus menaçante, l’Algérie ne peut se permettre un front sud embrasé ni accepter une menace d’où qu’elle viendrait.
Par Mrizek Sahraoui – Avec un flanc en charpie à l’est, une frontière ouest de plus en plus menaçante, l’Algérie ne peut se permettre un front sud embrasé ni accepter une menace d’où qu’elle viendrait.
Par Abderrahmane Mebtoul– La stabilité de l’Algérie et la reconquête de la cohésion nationale passent par la construction d’un front intérieur solide et durable en faveur des réformes.
Par Mrizek Sahraoui – Il est probable que la France et ses alliés occidentaux se saisissent de la question nigérienne comme prétexte, alibi inespéré, pour déstabiliser l’ensemble de la région du Sahel.
Par Lhadi – Nous devons, avec calme et responsabilité, puiser la volonté d’œuvrer à des réformes qui vont dans le sens des intérêts de la nation, des aspirations du peuple algérien à bâtir son avenir.
Par Mourad Rouighi – Le Sahel est devenu pour l’Italie l’un des enjeux primordiaux de l’action diplomatique en Afrique, engageant une présence opérationnelle de plus en plus importante.
Par Abderrahmane Mebtoul – Sans de profondes réformes institutionnelles, une décentralisation autour de grands pôles régionaux, il est utopique d’aller vers un développement hors hydrocarbures.
Par Abderrahmane Mebtoul – L’Algérie doit tirer les leçons des violences urbaines en France, surtout dans les banlieues, où de larges franges de la population sont abandonnées à leur propre sort.
Par Karim B. – La polémique stérile soulevée par Xavier Driencourt, après la publication du décret relatif à l’hymne algérien, a le mérite de poser le problème des contenus des hymnes de tous les pays .
Par Karim B. – La mer vient encore d’avaler des jeunes qui rêvaient de l’Eldorado. Ils ont été ravis aux leurs après que l’embarcation qui devait les emmener sur le rivage nord de la Méditerranée a chaviré. Quel gâchis !
Par Abderrahmane Mebtoul – Sous réserve de lever la bureaucratie, la rentabilité d’un projet mis en exploitation en 2023 nécessitera 2 à 3 ans, sachant qu’en économie le temps ne se rattrape jamais.