La soif guette
Par Abderrahmane Mebtoul – L’Algérie, pays méditerranéen, glisse vers la semi-aridité et les risques de désertification restent élevés. Cela présage des conditions naturelles plus difficiles qu’aujourd’hui.
Par Abderrahmane Mebtoul – L’Algérie, pays méditerranéen, glisse vers la semi-aridité et les risques de désertification restent élevés. Cela présage des conditions naturelles plus difficiles qu’aujourd’hui.
Par Nouredine Benferhat – La dégradation de l’environnement résulte de plusieurs facteurs : absence de stratégie prospective, saccage des ressources de la nature, accumulation des nuisances.
Par Nouredine Benferhat – Une nation moderne est perçue à la lumière des efforts qu’elle déploie pour s’ouvrir au monde en actualisant les outils comme les institutions éducatives et autres foyers culturels.
Par Nouredine Benferhat – En ce 60e anniversaire de l’indépendance, c’est rendre justice à Mohamed Boudia que de baptiser de son nom un lieu de culture pour son rôle pendant la Guerre de libération et après.
Par Nouredine Benferhat – La mémoire collective est un élément essentiel de l’identité nationale. Elle est le pivot central de l’existence sociale et la seule manière de faire triompher l’esprit sur le néant.
Par Karim B. – Le Traité algéro-espagnol prévoit le renforcement du dialogue et souligne l’importance du respect du droit international. Or, sur ces deux points, le gouvernement Sanchez a failli.
Par Abderrahmane Mebtoul – Le ministre de l’Industrie annonce l’arrivée de grands constructeurs dans le secteur automobile. Cependant, il faut être réaliste et éviter des discours sans lendemain.
L’aérophone du Makhzen Hassan Alaoui est obsédé par Amar Belani auquel il a consacré cinq geignements transcrits, signe d’une douleur ressentie au plus profond de son corps tortu par le baisemain.
Par Abderrahmane Mebtoul – Face à un monde en perpétuel mouvement s’impose l’urgence d’une coordination qui devrait être internationale et régionale pour faire de notre monde un havre de paix.
Par Abderrahmane Mebtoul – La règle des 49/51%, instaurée en 2009 et que le gouvernement actuel a décidé d’assouplir, n’a pas permis de freiner les importations, ni de réaliser le transfert technologique.