Décantation
Par Rabah Toubal – Ceux et celles qui pensaient utiliser le Hirak pour se venger de la déroute des années 1990 et leurs commanditaires sont en train de perdre leurs dernières illusions.
Par Rabah Toubal – Ceux et celles qui pensaient utiliser le Hirak pour se venger de la déroute des années 1990 et leurs commanditaires sont en train de perdre leurs dernières illusions.
Par Rabah Toubal – Le Hirak qui est apparu dans des conditions porteuses de risques a poussé l’ANP à le protéger contre toute dérive qui plongerait notre pays durablement dans l’instabilité.
Par Nouredine Benferhat – Il est regrettable de voir encore des procès que nous avions cru relever d’une autre époque infligés à des penseurs au-dessus de tout soupçon, victimes d’un artifice théologique.
Par Nouredine Benferhat – Le pouvoir est force et ruse. C’est le désir fantasmatique qui va, par la violence, réduire le réel au fantasme et lui faire payer le prix de son altérité. Le pouvoir se veut centre unique.
Par Kamel M. – L’expérience de l’«islamisme modéré» mise en œuvre en Turquie comme alternative au projet des démocrates achevève les dernières illusions sur ce modèle trompeur.
Par Nouredine B. – La France a usurpé la réputation de patrie des droits de l’Homme et celle d’être à la source des lumières, alors que les premières idées émancipatrices sont, en réalité, anglaises.
Par Nabil D. – La dénomination de «printemps arabe» sert à cacher l’engrenage dans lequel ont été entraînées les forces politiques nationales des pays qui étaient programmés pour être broyés.
Par Karim B. – La scène politique française est engorgée par une racaille de droite et d’extrême droite tombant dans les bras l’une de l’autre. Une racaille au bras sauf mais à l’honneur amputé.
Par Karim B. – Vingt longues années après «erfaâ rassek ya’ba !», le pays est revenu à la case de départ, chacun, l’égoïsme aidant, voulant sauver sa peau. «Sellek rassek ya’ba !»
Par Karim B. – De division en annexion, plusieurs peuples arabes en sont aujourd’hui à se demander s’ils n’auraient pas dû renoncer à ce que la machine médiatique a appelé le «printemps arabe».