La danse du serpent
Par A. Boumezrag – La «danse du serpent» est une métaphore pour décrire la manipulation des couvertures médiatiques, où les faits peuvent être tordus pour servir des narrations spécifiques.
Par A. Boumezrag – La «danse du serpent» est une métaphore pour décrire la manipulation des couvertures médiatiques, où les faits peuvent être tordus pour servir des narrations spécifiques.
Par Khider Mesloub – Avec la dictature stalinienne, on avait droit au centralisme démocratique ; avec la démocratie bourgeoise française, nous avons affaire au centrisme dictatorial.
Par A. Boumezrag – En France, l’extrême-droite a captivé l’électorat avec des promesses de sécurité, tandis que l’extrême-gauche a prôné une vision axée sur la lutte contre les discriminations.
Par Mrizek Sahraoui – Les aboyeurs excellent dans l’art de la critique abjecte et infondée ; l’art de raconter des bobards, histoire d’amuser une galerie, la fachosphère qui réclame toujours plus.
Par A. Boumezrag – Dans un Proche-Orient déchiré par les conflits, la guerre se transforme en un festin où certains banquiers, entreprises et intérêts financiers récoltent les fruits amers de la violence.
Par Mrizek Sahraoui – La dette française explose, la démocratie est en berne, les comptes publics sont au rouge vif… Pendant ce temps, la racaille politique pérore à longueur d’ondes sur l’Algérie.
Par Mrizek Sahraoui – «Si je m’étais appelé Moussa Darmanin, je n’aurais pas été élu maire et député et, sans doute, n’aurais-je pas été ministre de l’Intérieur.» Un cinglant aveu.
Par A. Boumezrag – Les «maîtres numériques» que nous avons créés ne sont pas seulement des outils. Ils influencent et parfois dictent nos décisions, et déforment notre rapport à notre propre existence.
Par Mrizek Sahraoui – Macron n’est pas l’otage du RN uniquement. D’autres encore ont leur main et leur mot à dire sur la politique à mener, les choix économiques, la nomination des Premiers ministres…
Par Mrizek Sahraoui – Un pays trop endetté s’expose et devient la proie des ogres de la finance internationale. C’est Macron, le fossoyeur de la République, qui a, seul, mis la France dans cet état.