Sa dernière volonté
Par Abdelkader S. – L’histoire retiendra que Gaïd-Salah a laissé une dernière volonté avant de mourir : continuer de réprimer le peuple et de «mater les résidus de groupuscules criminels».
Par Abdelkader S. – L’histoire retiendra que Gaïd-Salah a laissé une dernière volonté avant de mourir : continuer de réprimer le peuple et de «mater les résidus de groupuscules criminels».
Par Abdelkader S. – A-t-on déjà oublié les détenus d’opinion grévistes de la faim qui ont bravé les menaces du dictateur Gaïd-Salah et de sa justice du téléphone jusqu’à risquer leur vie ?
Par Abdelkader S. – Tebboune sait que notre dépendance vis-à-vis de l’étranger est telle qu’il ne pourra pas se permettre de fâcher le principal partenaire. Macron, lui, n’a d’autre choix que de composer.
Par Mounir Serraï – Au-delà de son éloquence, le candidat malheureux Ali Benflis a fait preuve d’une naïveté politique affligeante pour quelqu’un qui a roulé sa bosse dans les arcanes du pouvoir.
Par Abdelkader S. – Les briques que les Algériens ont portées en Kabylie sont le symbole contraire des murs que les régimes ont érigés pour empêcher les peuples de jouir de leur liberté.
Par Abdelkader S. – Le peuple a juré de ne plus se laisser faire. Il le prouve par les actes depuis dix mois et encore plus aujourd’hui en ne se contentant plus de boycotter l’urne mais en l’abrogeant.
Par Karim B. – Les prévenus entendus au tribunal de Sidi M’hamed dans des affaires de déprédation et de rapine sont-ils des moutons de Panurge ou des acteurs dans un film d’épouvante hitchcockien ?
Par Karim B. – Mais qu’a donc le candidat Ali Benflis à cacher que les officines occidentales ne sachent ? Et qu’a-t-il donc de si important à dissimuler qui ne doive pas être révélé aux capitales étrangères ?
Par M. Aït Amara. – La pédérastie, vous concernant, sieur Dahmoune, est politique. Dans votre for intérieur, vous ressentez la douleur du rigide pilier de la République sur lequel vous vous êtes assis.
Par Mounir Serraï – En voulant donner du sens à son option électorale déjà disqualifiée, le pouvoir se met à nu, laissant ses rares soutiens se donner en spectacle de manière hilarante.