Au marché noir
Par A. Boumezrag – Il est crucial de rappeler aux puissants que les peuples ne sont pas à vendre et que leurs droits ne sont pas négociables au gré des intérêts d’un «marché noir» diplomatique.
Par A. Boumezrag – Il est crucial de rappeler aux puissants que les peuples ne sont pas à vendre et que leurs droits ne sont pas négociables au gré des intérêts d’un «marché noir» diplomatique.
Par Kaddour Naïmi – Ne devons-nous pas remercier toute personne qui, par égotisme médiatique, nous aide à découvrir nos faiblesses, à détecter le vrai ami et le réel ennemi du peuple ?
Par A. Boumezrag – La réélection de Trump pourrait réorienter les dynamiques géopolitiques en Méditerranée, renforçant les tensions tout en fragilisant les ponts diplomatiques déjà précaires.
Par A. Boumezrag – La diplomatie étant l’art de faire des compromis sans capituler, l’Algérie doit réinventer la sienne pour naviguer efficacement dans un monde de plus en plus complexe.
Par A. Djerrad – La Vingt-Sixième Tribu, dernier ouvrage de Jacob Cohen, critique les accommodements du Makhzen avec le sionisme et les impacts de la normalisation avec Israël.
Nous publions la Déclaration de Novembre, qui a donné le départ à la Révolution. L’appel des Anciens est plus que jamais d’actualité, en ces moments où la menace guette l’Algérie libérée grâce à leur sacrifice.
Par A. Boumezrag – La valse des nations nous rappelle que la reconnaissance d’un Etat n’est pas seulement une question de géographie ou de ressources, mais aussi de justice, de droits humains.
Par A. Boumezrag – Le Conseil de sécurité, censé être le gardien de la paix mondiale, apparaît de plus en plus comme un instrument de blocage. Le constat est accablant : cinq vetos, zéro paix.
Par A. Boumezrag – Le paradoxe algérien : un pays jeune, riche de ressources humaines et naturelles, voit ses étudiants tourner leurs regards vers l’étranger avant même d’avoir fini leurs études.
Par Mohsen Abdelmoumen – Le lapin blanc Aboud est sorti d’un chapeau de prestidigitateur, ses sponsors makhzeniens lui ayant intimé l’ordre de réapparaître. C’est comme dans un film hindou.