Emancipation
Par Saïd N. – S’émanciper des tutelles maléfiques constitue pour les peuples en révolte au Maghreb et au Moyen-Orient le début d’un processus qui doit les amener à recouvrer enfin leur souveraineté.
Par Saïd N. – S’émanciper des tutelles maléfiques constitue pour les peuples en révolte au Maghreb et au Moyen-Orient le début d’un processus qui doit les amener à recouvrer enfin leur souveraineté.
Par Mohamed K. – Le ton menaçant dans le dernier discours de Gaïd-Salah trahit la peur panique qui s’est emparée du pouvoir et conforte la thèse selon laquelle on s’achemine vers le report de l’élection.
Par Kamel M. – La loi sur les hydrocarbures est la faute de trop qui poussera les résidus du système vers la porte de sortie. Multipliant les erreurs, les décideurs creusent leur propre tombe.
Par Abdelkader S. – Le piège invisible réside dans l’absence d’un leader charismatique qui doit émerger au sein du Mouvement populaire et le conduire jusqu’au triomphe de la Révolution.
Par Mohamed K. – En continuant à s’enfoncer dans la répression, le pouvoir actuel ne sait pas qu’il creuse sa propre tombe, parce qu’il ne veut pas comprendre qu’il ne fait que radicaliser le Hirak.
Par Mohamed K. – Artisan des contre-révolutions, le régime émirati qui, par ailleurs, finance Le Pen, ne désespère pas de peser dans les événements qui secouent l’Algérie pour sauver le système.
Par Mohamed K. – La mobilisation populaire doit se concentrer sur le rejet de cette énième mascarade électorale promise aux Algériens, en imaginant les moyens pacifiques à mettre en œuvre.
Par Abdelkader S. – En affirmant que l’armée «n’a pas de candidat», Gaïd-Salah insulte l’intelligence des Algériens. Un mensonge de plus dans une imposture tissée avant la déchéance de Bouteflika.
Par Mohamed K. – Gaïd-Salah insinue que l’armée sera déployée le jour de l’élection présidentielle qu’il veut imposer au peuple. Une autre bravade de celui dont les Algériens réclament le départ immédiat.
Par Abdelkader S. – Faisant lui-même patrie de l’arrière-garde, septuagénaire, complice pendant de longues années du régime Bouteflika, Ali Benflis s’offre aujourd’hui encore aux tenants du pouvoir.