Pouvoir désarmé
Par Houari A. – Le pouvoir sait que la situation va s’envenimer à la rentrée sociale et risque de lui être fatale, avec le cumul des problèmes économiques face auxquels il semble totalement désarmé.
Par Houari A. – Le pouvoir sait que la situation va s’envenimer à la rentrée sociale et risque de lui être fatale, avec le cumul des problèmes économiques face auxquels il semble totalement désarmé.
Par Saïd N. – Les Tunisiens ont surpris tout le monde, en gardant le cap sur l’alternance démocratique et en présentant à la prochaine présidentielle des candidats dont le profil nous laisse jaloux.
Par Karim B. – Le dessein du pouvoir n’est pas de sauver le pays mais plutôt le système sans lequel il sera voué aux gémonies. Ses détenteurs savent que la fin du régime Bouteflika signifie la leur.
Par Houari A. – Dans sa première sortie publique dans un journal baâthiste, l’ancien «fidèle» lieutenant d’Ouyahia a fait allégeance au pouvoir de fait qu’incarne le chef d’état-major de l’ANP.
Par Kamel M. – La cabale contre SLC ne date pas d’aujourd’hui. Sa fermeture arbitraire est le résultat de plusieurs années de sabotage qui a visé une société animée par des cerveaux algériens.
Par Bachir Medjahed – Aucun des pouvoirs politiques en succession depuis 1962 n’a accepté de s’appliquer à lui le principe de l’euthanasie politique, et ce même vieillis et usés jusqu’à l’os.
Par Rabah Toubal – En vertu de l’approche du crabe, Bouteflika et ceux qui l’ont servi éludent les solutions logiques et radicales des problèmes du pays et s’empêtrent dans des considérations stériles.
Par Kamel M. – Nicolas Beau représente tout ce qu’il y a de plus moche dans le métier d’informer. Il est l’incarnation même de l’anti-journalisme. Il fait honte à ses confrères français et à toute la corporation.
Par Kamel M. – Aujourd’hui, les millions d’Algériens ont compris que le temps joue en faveur du pouvoir et que toutes les initiatives prises par celui-ci ne sont qu’une tentative de «piéger» le hirak.
Par Kamel M. – Bensalah promet de libérer les prisonniers alors que le peuple ne le supplie pas de le faire ; il le lui ordonne en tant qu’unique détenteur de la légitimité constitutionnelle et politique.