Notre position
Par M. Aït Amara – Le pays a besoin de retrouver sa stabilité pour faire face à ce qui l’attend. Et ce qui l’attend n’est pas une mince affaire. Il est grand temps de mettre nos rivalités de côté.
Par M. Aït Amara – Le pays a besoin de retrouver sa stabilité pour faire face à ce qui l’attend. Et ce qui l’attend n’est pas une mince affaire. Il est grand temps de mettre nos rivalités de côté.
Par Mohamed K. – Les nostalgiques du FIS installés en France ont débattu du Hirak sous la bienveillante houlette de François Gèze, encore affligé, le pauvre, par l’arrêt du processus électoral en 1992.
Par Abdelkader S. – Comment expliquer la répression de ce vendredi alors que tout le monde croyait que la violence avait été enterrée en même temps que le pugnace ancien chef d’état-major ?
Par Abdelkader S. – Flashs, titres pompeux, commentaires déclamatoires. Les médias à la solde du pouvoir ont découvert par enchantement, ce jeudi, qu’il y avait des détenus politiques à El-Harrach.
Par Mounir Serraï – 2020 est une année charnière pour l’avenir du pays et capitale pour les nouveaux dirigeants qui seront face à leurs promesses qu’ils doivent tenir et aux défis qu’ils doivent relever.
En juin 2018, nous publiions cet éditorial sur la gestion calamiteuse de Houda-Imane Feraoun. Dix-huit mois plus tard, cette incompétente a réussi à classer l’Algérie à l’avant-dernière place mondiale.
Par Kamel M. – Le nouveau chef de l’Etat, arrivé à la fonction suprême suite au coup de force opéré par Gaïd-Salah, se voit porter l’écrasante responsabilité de gérer un dossier international très lourd.
Par Abdelkader S. – L’histoire retiendra que Gaïd-Salah a laissé une dernière volonté avant de mourir : continuer de réprimer le peuple et de «mater les résidus de groupuscules criminels».
Par Abdelkader S. – A-t-on déjà oublié les détenus d’opinion grévistes de la faim qui ont bravé les menaces du dictateur Gaïd-Salah et de sa justice du téléphone jusqu’à risquer leur vie ?
Par Abdelkader S. – Tebboune sait que notre dépendance vis-à-vis de l’étranger est telle qu’il ne pourra pas se permettre de fâcher le principal partenaire. Macron, lui, n’a d’autre choix que de composer.