C’est un ordre !
Par Kamel M. – Bensalah promet de libérer les prisonniers alors que le peuple ne le supplie pas de le faire ; il le lui ordonne en tant qu’unique détenteur de la légitimité constitutionnelle et politique.
Par Kamel M. – Bensalah promet de libérer les prisonniers alors que le peuple ne le supplie pas de le faire ; il le lui ordonne en tant qu’unique détenteur de la légitimité constitutionnelle et politique.
Par Houari A. – Haftar a promis de planter la «bannière de la victoire» sur Tripoli. Dans ce jeu de massacre, le rôle de la France – dont le double-jeu est à l’origine de cette catastrophele – est malsain.
Par Houari A. – Au nom de qui Abdelkader Bensalah signe-t-il des décrets ? Constitutionnellement, il est illégitime depuis le 9 juillet. Politiquement, il est disqualifié par le peuple.
Par Bachir Medjahed – Les regards n’ont jamais cessé de s’orienter vers l’armée à chaque crise insurmontable. Jamais les espoirs n’ont reposé sur le Parlement, ni sur une quelconque autre institution.
Par Karim B. – Humilité et efficacité. Voici les maîtres mots du sélectionneur des Verts, Djamel Belmadi. Ce sont ces deux qualités qui ont manqué à ses prédécesseurs Madjer et Saâdane.
Par Saïd N. – L’impressionnant dispositif sécuritaire prévu pour la finale entre l’Algérie et le Sénégal trahit un sentiment d’animosité désormais assumé par l’Etat français vis-à-vis des Algériens.
Par Houari A. – Si le pouvoir pense que cette joie que procure le football aux Algériens peut aider à dévier le mouvement de protestation de sa trajectoire, il risque d’en pendre pour son grade.
Par Bachir Medjahed – Nous sommes une société qui présente des vulnérabilités et la plus grande d’entre elles est la tentative répétée d’une ethnicisation des relations intercommunautaires.
Par Kamel M. – Loin d’avoir gagné la bataille de l’affranchissement d’un régime archaïque, le peuple voit ses espaces de liberté chèrement acquise se réduire chaque jour un peu plus.
Par Saïd N. – N’est-ce pas malheureux que le destin de l’Algérie tienne au choix qu’il faudrait faire entre deux vacuités ? N’y a-t-il plus vraiment aucune autre solution pour épargner à l’Algérie cette double fatalité ?