Pas si vite !
Par M. Aït Amara – Les ennemis de l’Algérie croyaient qu’ils allaient planter un clou dans le cercueil d’Algeriepatriotique, mais la bière était vide. Ils n’auront enterré que leurs illusions et leurs chimères.
Non au chaos !
Par M. Aït Amara – La multiplication des fake news, le lynchage de Soltani et Zoukh, le retour des extrémistes et l’incitation à la haine via certaines télés sont symptomatiques d’un chaos programmé.
Le syndrome Khelil
Par R. Mahmoudi – En convoquant Ouyahia et Loukal, la justice risque de commettre la même erreur qu’en 2013 après le mandat d’arrêt international lancé contre Khelil, craignent des juristes.
Résidus tolérés
Par R. Mahmoudi – Les extrémistes du FIS dissous ont trouvé dans les manifestations l’occasion pour réinvestir la rue. Mais les Algériens ne sont pas dupes. Ils les tolèrent mais ne les suivent pas.
De Dassault à Haddad
Par Kamel M. – L’argent sale est partout. Aussi le combattre semble-t-il impossible. A moins d’un sursaut de tous les peuples du monde réunis contre le système vicié mondial dans sa globalité.
Discours ambigu
Par R. Mahmoudi – Dans son dernier discours, le chef d’état-major de l’ANP, Gaïd-Salah, est resté plutôt évasif et indécis sur l’option définitive à adopter pour réussir la période de transition.
L’ANP et le peuple
Par Bachir Medjahed – Nous n’avons pas encore vu se rencontrer le chef d’état-major et des représentants du peuple. Qu’au moins il se dise disposé à rencontrer ces représentants qui seront alors désignés.
Le copain du frère
Par M. Aït-Amara – Il fallait attribuer au frère toutes les œuvres accomplies avant et pendant le mandat mais pas après, car le frère du successeur efface les traces du frère devenu la cause de tous les maux.
L’Algérie vire El-Bechir
Par R. Mahmoudi – Lorsque la mobilisation des Soudanais a commencé à s’essouffler, le hirak algérien les a poussés à rester devant le QG de l’armée jusqu’à la chute d’Omar El-Bechir.
Le pouvoir debout
Par Bachir Medjahed – Bouteflika a démissionné en tant que président de la République mais pas en tant que ministre de la Défense. Or, le pouvoir, c’est le ministre de la Défense et non le Président.