Lexique incongru
Par M. Boumaza – Le droit, la justice vont-ils enfin prévaloir, même pour le faible ? Mais pour l’avènement d’un tel triomphe de la raison, encore faut-il revoir un certain lexique pour le moins incongru.
Par M. Boumaza – Le droit, la justice vont-ils enfin prévaloir, même pour le faible ? Mais pour l’avènement d’un tel triomphe de la raison, encore faut-il revoir un certain lexique pour le moins incongru.
Par Khider Mesloub – Les jours des squatteurs sionistes occupant la Palestine sont comptés. Leur «bail», donné par les puissances impérialistes en 1948 étant illégitime, leur expulsion est imminente.
Par A. Boumezrag – Pour l’instant, Abdelmadjid Tebboune reste ferme. Le sable continue de brûler à Paris, alors que le président de la République, inflexible, reste bien loin de la neige de Canossa.
Par Khider Mesloub – Les journaleux des plateaux télé sont, au sens originel du terme, des concierges. Ces serviteurs, au service des puissants, sont rétribués pour défendre les intérêts de leurs maîtres.
Par A. Boumezrag – La «danse du serpent» est une métaphore pour décrire la manipulation des couvertures médiatiques, où les faits peuvent être tordus pour servir des narrations spécifiques.
Par Khider Mesloub – Avec la dictature stalinienne, on avait droit au centralisme démocratique ; avec la démocratie bourgeoise française, nous avons affaire au centrisme dictatorial.
Par A. Boumezrag – En France, l’extrême-droite a captivé l’électorat avec des promesses de sécurité, tandis que l’extrême-gauche a prôné une vision axée sur la lutte contre les discriminations.
Par Mrizek Sahraoui – Les aboyeurs excellent dans l’art de la critique abjecte et infondée ; l’art de raconter des bobards, histoire d’amuser une galerie, la fachosphère qui réclame toujours plus.
Par A. Boumezrag – Dans un Proche-Orient déchiré par les conflits, la guerre se transforme en un festin où certains banquiers, entreprises et intérêts financiers récoltent les fruits amers de la violence.
Par Mrizek Sahraoui – La dette française explose, la démocratie est en berne, les comptes publics sont au rouge vif… Pendant ce temps, la racaille politique pérore à longueur d’ondes sur l’Algérie.