Le syndrome Khelil
Par R. Mahmoudi – En convoquant Ouyahia et Loukal, la justice risque de commettre la même erreur qu’en 2013 après le mandat d’arrêt international lancé contre Khelil, craignent des juristes.
Par R. Mahmoudi – En convoquant Ouyahia et Loukal, la justice risque de commettre la même erreur qu’en 2013 après le mandat d’arrêt international lancé contre Khelil, craignent des juristes.
Par R. Mahmoudi – Les extrémistes du FIS dissous ont trouvé dans les manifestations l’occasion pour réinvestir la rue. Mais les Algériens ne sont pas dupes. Ils les tolèrent mais ne les suivent pas.
Par Kamel M. – L’argent sale est partout. Aussi le combattre semble-t-il impossible. A moins d’un sursaut de tous les peuples du monde réunis contre le système vicié mondial dans sa globalité.
Par R. Mahmoudi – Dans son dernier discours, le chef d’état-major de l’ANP, Gaïd-Salah, est resté plutôt évasif et indécis sur l’option définitive à adopter pour réussir la période de transition.
Par Bachir Medjahed – Nous n’avons pas encore vu se rencontrer le chef d’état-major et des représentants du peuple. Qu’au moins il se dise disposé à rencontrer ces représentants qui seront alors désignés.
Par M. Aït-Amara – Il fallait attribuer au frère toutes les œuvres accomplies avant et pendant le mandat mais pas après, car le frère du successeur efface les traces du frère devenu la cause de tous les maux.
Par R. Mahmoudi – Lorsque la mobilisation des Soudanais a commencé à s’essouffler, le hirak algérien les a poussés à rester devant le QG de l’armée jusqu’à la chute d’Omar El-Bechir.
Par Bachir Medjahed – Bouteflika a démissionné en tant que président de la République mais pas en tant que ministre de la Défense. Or, le pouvoir, c’est le ministre de la Défense et non le Président.
Par Bachir Medjahed – Le peuple en tant que source de souveraineté a organisé son référendum. Le peuple, seul à accorder son mandat à l’armée, lui a ordonné de faire exécuter ses instructions.
Par Rabah Toubal – L’urgence est à un réveil des forces saines du pays pour freiner la chute libre du pays et remettre l’Algérie sur les rails de la gouvernance politique et économique rationnelle.