1er Novembre !
Nous publions la Déclaration de Novembre, qui a donné le départ à la Révolution. L’appel des Anciens est plus que jamais d’actualité, en ces moments où la menace guette l’Algérie libérée grâce à leur sacrifice.
Nous publions la Déclaration de Novembre, qui a donné le départ à la Révolution. L’appel des Anciens est plus que jamais d’actualité, en ces moments où la menace guette l’Algérie libérée grâce à leur sacrifice.
Par A. Boumezrag – La valse des nations nous rappelle que la reconnaissance d’un Etat n’est pas seulement une question de géographie ou de ressources, mais aussi de justice, de droits humains.
Par A. Boumezrag – Le Conseil de sécurité, censé être le gardien de la paix mondiale, apparaît de plus en plus comme un instrument de blocage. Le constat est accablant : cinq vetos, zéro paix.
Par A. Boumezrag – Le paradoxe algérien : un pays jeune, riche de ressources humaines et naturelles, voit ses étudiants tourner leurs regards vers l’étranger avant même d’avoir fini leurs études.
Par Mohsen Abdelmoumen – Le lapin blanc Aboud est sorti d’un chapeau de prestidigitateur, ses sponsors makhzeniens lui ayant intimé l’ordre de réapparaître. C’est comme dans un film hindou.
Par M. Boumaza – Le droit, la justice vont-ils enfin prévaloir, même pour le faible ? Mais pour l’avènement d’un tel triomphe de la raison, encore faut-il revoir un certain lexique pour le moins incongru.
Par Khider Mesloub – Les jours des squatteurs sionistes occupant la Palestine sont comptés. Leur «bail», donné par les puissances impérialistes en 1948 étant illégitime, leur expulsion est imminente.
Par A. Boumezrag – Pour l’instant, Abdelmadjid Tebboune reste ferme. Le sable continue de brûler à Paris, alors que le président de la République, inflexible, reste bien loin de la neige de Canossa.
Par Khider Mesloub – Les journaleux des plateaux télé sont, au sens originel du terme, des concierges. Ces serviteurs, au service des puissants, sont rétribués pour défendre les intérêts de leurs maîtres.
Par A. Boumezrag – La «danse du serpent» est une métaphore pour décrire la manipulation des couvertures médiatiques, où les faits peuvent être tordus pour servir des narrations spécifiques.