Victimes des discours
Par Bachir Medjahed – Que faire pour épargner le prix de la répression à des populations qui estiment qu’elles sont victimes de programmes qui mènent vers le chaos et qu’elles n’ont pas choisis ?
Par Bachir Medjahed – Que faire pour épargner le prix de la répression à des populations qui estiment qu’elles sont victimes de programmes qui mènent vers le chaos et qu’elles n’ont pas choisis ?
Par Bachir Medjahed – Djaballah a-t-il eu ce qu’il «exigeait» il y a 24 ans : un Conseil des oulémas et la soumission à celui-ci de tout texte pouvant avoir des conséquences sur l’identité nationale ?
Par Sadek Sahraoui – L’invitation au dialogue lancée par Mohammed VI laisse perplexe. Le choix de la date anniversaire de la colonisation du Sahara Occidental laisse penser que c’est une manœuvre.
Par Bachir Medjahed – L’intégrité territoriale est à lier à l’unité nationale. Accepter une atteinte à l’intégrité territoriale ressemblerait à une fission nucléaire dont on ne peut plus contrôler le processus.
Par Bachir Medjahed – Qu’est-ce qui peut bien séparer autant les Algériens assez pour que le versement du sang puisse devenir le moyen par lequel s’exprime la haine envers l’autre ?
Par Akram Chorfi – Tout mouvement fascisant qui désire monter au pouvoir nourrit son discours électoral de déclarations sionistes pro-israéliennes. Ainsi va le monde avec l’arrivée de Trump.
Par Sadek Sahraoui – La destitution de Dilma Vana Rousseff et l’emprisonnement de Lula da Silva n’ont rien à voir avec une prétendue volonté de moraliser la vie publique brésilienne.
Par Bachir Medjahed – Plus l’avancée dans le processus de la démocratie est dite palpable et plus il se confirme que c’est plutôt l’islamisation qui l’est. C’est la réalité des pays arabes.
Par Bachir Medjahed – Le terrorisme nous adresse un «message» à partir de la Tunisie. Il nous dit qu’il n’a pas abandonné le projet de paralyser l’économie et, à terme, interdire à l’Etat de gouverner.
Par Lina S. – Bachir a eu un AVC dans la nuit alors qu’il dormait dans un réduit asphyxiant sous l’escalier d’une bâtisse Place du 1er-Mai, à Alger. Mais ce n’est pas le manque d’oxygène qui a failli l’emporter.