L’arme fatale
Par Akram Chorfi – La numérisation porte une promesse de meilleure gouvernance pour notre pays car il n’y a plus de gouvernance possible, dans le cadre de la mondialisation, sans la numérisation.
Par Akram Chorfi – La numérisation porte une promesse de meilleure gouvernance pour notre pays car il n’y a plus de gouvernance possible, dans le cadre de la mondialisation, sans la numérisation.
Bachir Medjahed – Vu la hausse de la criminalité, il serait peut-être possible que les habitants paient pour que leur sécurité leur soit assurée comme cela se pratique dans nombre de pays. Une sécurité privée.
Par Bachir Medjahed – Voter pour qui, pour quoi mais, surtout, contre qui et contre quoi ? C’est le grand embarras à la veille de chaque élection. Pour autant, on ne vote ni contre l’islam ni contre Novembre.
Par Bachir Medjahed – Notre système politique est-il compatible avec la démocratie ? Non ! Si le droit religieux affronte le droit civil. Donc pas d’alternance douce entre démocrates et islamistes.
Par Sadek Sahraoui − Paris a fini par se rendre compte que rien ne pouvait se faire sans l’implication des autres acteurs concernés par la question, à savoir les pays voisins de la Libye.
Par Akram Chorfi – Il n’y a rien qui compte plus que la recherche pour l’Algérie d’une voie de concrétisation des grands objectifs économiques à même de sortir le pays de la dépendance des seuls hydrocarbures.
Par Sadek Sahraoui – Encore une fois, c’est la crise entre l’Algérie et la France. Il n’était d’ailleurs pas nécessaire d’attendre la parution de l’entretien hostile de Bernard Bajolet pour le comprendre.
Par Sadek Sahraoui – Khalifa Haftar, le commandant en chef de l’Armée nationale libyenne a reconnu que l’Algérie, à l’instar de l’Egypte, des Emirats et de la Jordanie, l’a aidé à libérer Benghazi.
Par Akram Chorfi – Au lieu de se poser la question de savoir quelle doit être l’alternance au pouvoir en Algérie, il faut plutôt s’interroger sur la possible alternative dans notre pays.
Par Akram Chorfi – L’Algérie se noie dans un verre d’eau. Deux raisons à cela : les averses saisonnières qui prennent les responsables communaux en défaut et leur manière de communiquer.