Forteresse
Par Sadek Sahraoui – Il n’y a pas de doute possible, Bruxelles a clairement décidé de faire de l’Europe une forteresse infranchissable pour les étrangers. La démarche est réfléchie. Elle est préméditée.
Par Sadek Sahraoui – Il n’y a pas de doute possible, Bruxelles a clairement décidé de faire de l’Europe une forteresse infranchissable pour les étrangers. La démarche est réfléchie. Elle est préméditée.
Par Nouredine Benferhat – Le pouvoir est force et ruse. C’est le désir fantasmatique qui va, par la violence, réduire le réel au fantasme et lui faire payer le prix de son altérité.
Par Sadek Sahraoui – L’Arabie Saoudite, les Emirats arabes unis et le Koweït se sont empressés de voler au secours de leur voisin pour éviter que la crise sociale jordanienne ne fasse boule de neige.
Par Sadek Sahraoui – Les Verts se sont inclinés face à des équipes très moyennes sans même se battre. Pour les Algériens, c’est la pire des offenses, car l’image du pays s’en est trouvée écornée.
Par Nouredine Benferhat – La société close est une société imaginée, voire mise en place par des hommes qui rêvent de reproduire le mythe de la cité idéale, même si c’est au prix de la violence.
Par Nouredine Benferhat – L’immaturité produite par le double langage politique, conservateur dans sa forme et castrateur dans ses pratiques, empêche l’affirmation d’une singularité adulte.
Par Sadek Sahraoui – Si les pouvoirs publics algériens engageaient des poursuites contre Ferhat Mehenni, les Européens s’empresseraient de mobiliser leurs officines pour le défendre.
Par Nouredine Benferhat – Le comportement civique ne peut se résoudre à une abstention. Il décrit une attitude par rapport à la règle collective. Le civisme valorise des aspects de l’intérêt général.
Par Sadek Sahraoui – Après avoir échoué d’installer son mouvement en Kabylie, Mehenni appelle ses ouailles à la création de milices armées en Kabylie et à affronter les institutions de l’Etat algérien.
Par Nouredine Benferhat – La dégradation d’une passion fondatrice de son utilisation et l’instrumentalisation oligarchique de cette passion sont la source de la tragédie actuelle.