Le FFS à vau-l’eau
Par R. Mahmoudi – La crise qui secoue la FFS avec l’annonce de la démission d’un de ses apparatchiks confirme que ce parti traverse une crise existentielle plutôt qu’un simple conflit.
Par R. Mahmoudi – La crise qui secoue la FFS avec l’annonce de la démission d’un de ses apparatchiks confirme que ce parti traverse une crise existentielle plutôt qu’un simple conflit.
Par Meriem Sassi – Hier, Raouya a annoncé que le gouvernement a l’intention de mettre fin à certaines subventions. Auparavant, le même responsable n’avait jamais fait de déclarations aussi tranchées.
Par R. Mahmoudi – Après les largesses accordées à des djihadistes patentés, la France continue à les couvrir et à les choyer, même après tout ce qui s’est passé ces dernières années.
Par R. Mahmoudi – L’application de sanctions à l’encontre des enseignants récalcitrants par le ministère de l’Education est un aveu d’échec des négociations qu’il a entamées avec le Cnapeste.
Par R. Mahmoudi – L’élimination en Tunisie d’un chef terroriste d’origine algérienne, Bilal El-Koubi, a remis sur le tapis l’impératif d’une coopération entre les deux pays pour endiguer ce phénomène.
Par R. Mahmoudi – Le discours raciste diffusé sur une vidéo par la députée islamiste extravagante Naima Salhi risque d’alimenter la haine communautariste dans le pays.
Par Sadek Sahraoui – Est-il dans l’intérêt de l’Algérie de continuer à siéger au sein de la Ligue arabe, qui sert de cheval de Troie à l’entité sioniste pour dévitaliser ce qui reste des forces vives du monde arabe ?
Par R. Mahmoudi – Dans sa déclaration contre les manipulateurs des retraités de l’armée, Gaid Salah fait allusion au nervi du FIS dissous et actuellement député à l’APN, Hacène Aribi.
Par Meriem Sassi – L’issue plutôt favorable au conflit opposant les résidents au le ministère de la Santé donne tout son sens à l’exercice du droit de grève, fruit de la lutte des travailleurs depuis des décennies.
Par Sadek Sahraoui – La France n’est pas présente au Sahel pour seulement aider. Elle veille aussi à ses intérêts et surtout à ce qu’aucune autre puissance ne s’installe en Afrique de l’Ouest.