Alors que le sionisme se renforce, les musulmans poursuivent leur léthargie

Devant la vague de Parlements des pays occidentaux qui reconnaissent l’Etat palestinien, l’entité sioniste a sorti ses «armes lourdes» pour attaquer les musulmans et l’islam. Le Mossad s’est précipité ses derniers mois pour trouver des collaborateurs dans le monde arabe, tout en réveillant les cellules dormantes. L’islam et les musulmans font face à une attaque de grande envergure, signée par la juiverie du monde qui a investi des millions de dollars depuis 2010 en armant des groupes terroristes parmi les repris de justice et les trafiquants de drogue, une nouvelle méthode de guerre sioniste contre l’islam. Les musulmans de l’ancienne génération n’avaient pas permis aux sionistes la liberté d’agir à leur encontre, alors que la nouvelle génération, malheureusement, facilite largement la sale besogne sioniste, qui a trouvé dans les milieux politique et intellectuel (journalistes) des serviteurs dans la collaboration. Certains régimes arabes versent même dans cette collaboration involontaire, imposée indirectement par la Maison-Blanche, dans la mesure où un certain John Kerry menace avec son veto toute mesure de paix afin de mettre fin à l’occupation barbare de la Palestine. Depuis la fin du mandat présidentiel de Bill Clinton, la politique des Etats-Unis a changé et versé dans l’agression. Malheureusement presque cautionnée par les régimes arabes, la plupart des régimes fantoches et dictateurs. Devant ces attaques commanditées par l’entité sioniste, en particulier dans les pays européens, telles la France et l’Allemagne où le lobby sioniste dirige la politique et s’impose sur toutes les décisions gouvernementales, les musulmans, leurs guides, continuent à sombrer dans leur somnolence, ignorant le danger sioniste qui les menace. L’entité sioniste n’est pas étrangère aux événements dramatiques qui secouent le monde arabe, création de groupes terroristes sous la couverture de l’islam, Daech, front de la Nosra, les groupes éparpillés au Sahel en Afrique, Boko Haram… Remarquons que les pays arabes dont le sous-sol est riche en pétrole, gaz, etc. sont investis par la horde sauvage terroriste. L’Algérie, la Libye, la Syrie, le Soudan, l’Irak, l’Egypte à l’exception des pays qui sont sous la protection de l’oncle Sam et du lobby sioniste tels l’Arabie Saoudite, le Koweït, le Bahreïn et le Qatar, sous domination américano-sioniste. Daech, une création occidentale ? Cette formation terroriste est une création sioniste avec ses satellites, dont le front de la Nosra qui a son commandement composé de Druzes arabes israéliens (collabos). Daech crée pour l’objectif d’expurger des pays occidentaux toutes les personnes animées d’un esprit combattant contre la domination américano-sioniste depuis plus de deux années, c'est-à-dire depuis l’évacuation des troupes américaines d’occupation ; la CIA, le Mossad, la DGSE, et le MI6 avaient permis, en fermant les yeux, aux recruteurs d’expédier caravane après caravane de soi-disant «djihadistes» en Irak et en Syrie, mais jamais en Palestine où le vrai djihad appelle les combattants à libérer Al-Qods. Là, les guides des musulmans et les patrons de la conférence internationale des musulmans n’avaient jamais soufflé un mot. Cheikh Al-Qardaoui trompé sans doute par sa vieillesse, frappé d’une amnésie subite, avait plusieurs fois soutenu ces groupes fantoches recrutés par l’entité sioniste. Le but était clair : se débarrasser de tous ceux qui pouvaient un jour devenir une légion islamique contre l’occupation israélienne.
Cette procédure secrète n’est pas nouvelle, déjà la CIA et le Mossad avaient désorienté les premiers objectifs d’Al-Qaïda. Celle-ci a été créée par Cheikh Azzam, un Palestinien qui –devant la léthargie du Fatah et son retrait du combat armé contre l’occupant israélien – pour mener une guerre contre l’ennemi sioniste et ses intérêts. Mais trop vite, un jeune Saoudien nommé Oussama Ben Laden infiltra l’organisation avec des mallettes de dollars. Peu de temps après, Cheikh Azzam trouva la mort subitement, une mort suspecte, et fût remplacé manu militari par Ben Laden qui désorienta les objectifs, et Israël n’était plus ciblé. Durant toute le période de la présence de Ben Laden à la tête d’Al-Qaïda, jamais Israël et ses intérêts dans le monde n’étaient ciblés. Une autre preuve survenue en Afghanistan. Lors de la débâcle des taliban, Ben Laden, accompagné d’une soixantaine de ses acolytes, en se dirigeant vers les monts de Tora Bora, fut encerclé par des tribus afghanes armées, mais très vite un général américain arriva en hélicoptère et ordonna aux tribus de lever l’encerclement. Cet événement a été enregistré par les caméras d’Al-Jazeera. Autres faits, tous les proches de Ben Laden, des guerriers, sont tombés l’un après l’autre dans les prisons américaines, y compris la troupe arrêtée à Qandahar, sauf bien sûr Oussama et Aymen Zawahiri ! Reste encore à élucider un jour l’événement du scénario d’élimination de Ben Laden. A-t-il été vraiment abattu ? Les spécialistes répondent par la négative et vont plus loin aux racines de Ben Laden au Yémen. Ils prétendent que la famille Ben Laden était une famille de juifs du Yémen, mais non pratiquante d’une religion, ce qui leur a collé le surnom de Béni La Dine. Ce n’est qu’après la création par l’espion anglais Lawrence d’Arabie sur ordre du sinistre Belfort du royaume d’Arabie Saoudite que les Ben Laden ont rejoint le Hidjaz et sont devenus saoudiens.
D’autres familles juives dans le monde arabe avaient manipulé les registres de l’état civil en usurpant des noms de familles musulmanes exterminées par le colonialisme qu’il soit anglais, français ou italien. C’est pourquoi nous trouvons des traces du sionisme au Maghreb, en Egypte, au Soudan ; aujourd’hui, la Mauritanie est infestée à son tour par le sionisme à travers le nid du Mossad à Nouakchott appelé ambassade d’Israël, où nous trouvons par hasard dans ce pays le meilleur débit internet, les sites des terroristes, un repli pour les terroristes au Sahel, selon les spécialistes. En Algérie, comme par hasard, dans une région spécifique on a entendu pour la première fois, ces derniers mois, un groupe qui se fait appeler «Jund Eddawla el islamia», c'est-à-dire Daech et qui avait sans aucune pitié assassiné un pauvre citoyen français amateur d’escalades. Comment le sionisme a trouvé des collabos dans cette région ? A suivre certains écrits dans des sites électroniques à partir du Canada et de la France, très hostiles aux Arabes, aux musulmans et en particulier à l’Etat algérien, ces groupuscules sont animés d’un esprit sioniste, car ils n’hésitaient pas à voyager en Israël, à contacter des sionistes, etc. Sauf que l’Etat algérien ne semblait pas prendre le taureau par les cornes. Enfin, ce qui se passe actuellement en France et depuis l’événement du jeune Français Merah, collaborateur du Mossad à son insu probablement, survenu durant la campagne présidentielle, où Nicolas Sarkozy était le candidat qui a mobilisé tous les juifs. En effet, un jeune Français originaire du Burundi pénètre dans un commissariat aux cris d’Allah Akbar, et blesse au couteau des policiers dont l’un n’hésita pas à le flinguer. Cela est digne d’un film western, car les médias français tentent tout pour faire admettre que ce jeune est un terroriste islamiste. S’il l’était vraiment, il n’aurait pas agi avec un couteau, mais avec une Kalachnikov ou une arme de poing. La victime, un repris de justice, a été convoquée par les policiers, une fois au commissariat, probablement mal accueilli ou brutalisé, il a riposté. C’est de la manipulation sioniste flagrante. Le lendemain, c’est un chauffeur qui conduit un véhicule en écrasant des piétons et toujours il y a les mêmes témoins qui racontent que l’auteur a crié Allah Akbar. Encore à Nantes, un conducteur de fourgon écrase aussi des piétons en criant Allah Akbar. Nous sommes devant la grande manipulation du lobby sioniste de France. Après le raciste juif Eric Zemmour, le sioniste François Gèze tente de s’ingérer dans les affaires des Algériens, il prend soi-disant la défense de Kamel Daoud en accusant Cheikh Hamadache d’être un agent du DRS. Gèze est connu durant la décennie noire d’être derrière la campagne du «qui tue qui». Gèze est un proche des services de renseignement français et surtout du Mossad. Nous allons nous réveiller sûrement le 29 décembre ou le 1er janvier sur une invention sioniste.
Cheikh Hamdane
 

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