Le mensonge de l’historien Ali Guenoun

Par Saadeddine Kouidri – Dans son article «Le débat communautarisé empêche l’émergence d’une mémoire nationale plurielle», Ali Guenoun, docteur en histoire à Paris I Panthéon Sorbonne et chercheur associé à l’Institut des mondes africains, affirme que «Ben Bella contestait surtout le fait que les rapports avec l’Egypte soient énoncés comme des rapports d’alliance et non de subordination. Il réagissait à un point précis du texte de la Soummam dans lequel est précisé que la Révolution algérienne « n’est inféodée ni au Caire, ni à Londres, ni à Moscou, ni à Washington »».

Après une telle sentence, on se demande qu’elle est au juste la réaction de Ben Bella qui fait dire à l’historien que cet ancien responsable de l’Organisation spéciale (OS), membre des neuf historiques, premier président de l’Etat algérien était rien moins qu’un subordonné à l’étranger. Dans ce cas, pourquoi s’était-il révolté contre le colonialisme ? Il semble être un poltron aux yeux de cet historien ? C’est incroyable.

Nous connaissons les idées de Ben Bella, mais au point d’en faire un valet reste un pas qu’aucun citoyen sensé n’oserait franchir. Pourquoi cet historien ne donne-t-il pas ne serait-ce qu’une phrase de l’«accusé» pour étayer son propos ? Le diplôme de Paris serait-il un moyen pour nous faire avaler la capsule empoisonnée ? Il faut être diplômé de la Sorbonne pour s’aventurer sur ce terrain un jour de 20 Août ?

L’historien semble en contradiction avec le titre de son l’article, de son intention première ; le docteur, en fait, s’emmêle les pédales. C’est à se demander s’il n’utilise pas l’histoire pour un objectif politique ou de subordination.

S. K.

Comment (59)

    Rez
    10 novembre 2016 - 18 h 26 min

    Vous etiez juger tous a votre
    Vous etiez juger tous a votre just valeure . Ca veut dire rien car vous etes des vos rien.
    Elle a jouer dans une drama moyene avec athmane aliouat qui lui fait de lombre daileur et vous entandre parler on dirait qu’on parle de chafia bodraa ou autre grande figures de cenima.
    Honnetement on a plus fe bon acteurs et on plus de cenima donc avp laissant le chauvenisme de cote redevenant corectes avec les autres… les tunisiens on rien fait du mal.

    Kaddour
    24 août 2016 - 7 h 26 min

    Ben Bella, Ahmed Ben Bella
    Ben Bella, Ahmed Ben Bella était engagé dans l’armée française il participa à la bataille de Monte Cassino en Corse contre l’Allemagne nazi. Révolutionnaire algérien, membre de l’ALN …Grande figure de la libération de l’Algérie. Non ce n’était pas un vallet.

    Wina
    24 août 2016 - 7 h 22 min

    Votre article « grassement
    Votre article « grassement titré »,cache mal votre malaise a admettre la vérité..Quels arguments avez vous pour contredire l’historien , si ce n’est de lui faire un procès d’intention?

    salim
    23 août 2016 - 21 h 17 min

    Voici un texte concernant l
    Voici un texte concernant l’organisation et la constitution du B’Nai B’Rith France. Lisez attentivement ce texte, vous aurez idée sur la personne à ‘l’origine de la lettre sur Ben Bella. Le texte est trop long n’a été publié que le strict nécessaire.

    Bureau .1974 :
    président : Sam Hoffenberg.
    vice-président : Robert Mizrahi .
    trésorier : Georges Kahn.
    secrétaire générale :Jeannette Rozenblum.
    secrétaire général adjoint :Robert Behar.
    membres du comité directeur (en outre) : Ernest Apfeldorfer, Léon Bergman,
    L. Bleitrach, M• Etienne Bloch, Jean Blum, Prosper Couka, Béno Farhi, Marc Guenoun , Me
    jacqueline Jacob, Georges Kahn , Jules Muller , jacqueline Schnecbalg, André Sperling, Jacques Vatine.
    S’y ajoutent en outre :Daniel Haim, président de la commission Israël du B’naï B’rith de France (1990), les membres de la commission culturelle européenne (membres français, 1990) : Jean–Pierre Allali (Paris), Philippe Abecassis (Besançon), Flora Abihssira (Paris), Léon Alhadeff (Nice), Vitalis Altun (Nice), Armand Amselem (Toulouse), Evelyne Amselem (Toulouse), Max Ayache (Nice), Henriette Baitel (Nancy), Simone Becache (Lyon), Denise Benattar (Nancy), Michel Benichou (Paris), Jo Cicurel (Nice), Paulette Fried (Bordeaux ), Alain Grinchowski (Nice), Charles Hoffman (Paris), Evelyne Krief (Paris), Danièle Leval (Lyon) , Fred Michel (Nice), Laure Munz (Lyon), Claude Netter (Besançon), Annette Nouchi (Bordeaux), Dominique Sananes (Nice), Gérald Sananes (Nice), Suzy Vadiat (Na ncy), Marie-Louise Weil (Bordeaux), Marlène Zaoui (Nice).

      Anonymous
      24 août 2016 - 6 h 10 min

      M.Salim.Il n’y a pas le texte
      M.Salim.Il n’y a pas le texte. Pouvez vous nous donner le lien pour pouvoir le lire ou me l’envoyer à mon adresse electronique :[email protected]

      Kouidri Saadeddine
      24 août 2016 - 10 h 24 min

      M.Salim.Il n’y a pas le texte
      M.Salim.Il n’y a pas le texte. Pouvez vous nous donner le lien pour pouvoir le lire ou me l’envoyer à mon adresse electronique :[email protected]

    amal
    23 août 2016 - 20 h 48 min

    Ce docteur dont je vient d
    Ce docteur dont je vient d’entendre parler se fait l’écho des défenseurs de boumedène, puisque ce sont eux qui reprochent à benbella cette attitude. C’est même la raison pour laquelle il y a eu le coup d’état, disent-ils. C’est boumediène et son entouraage qui auraent entendu benbella s’exprimer ainsi. Il est clair que benbella a été soutenu par l’égypte, étant donné que des militants et moudjahidines plus méritants que lui, plus instruits que lui, ont été écarté et lui a été mis au chateau. Celui qu fait « quelque chose sous la neige » est trahi à sa fonte.

    nation
    23 août 2016 - 14 h 57 min

    LA MORT DE SI MOSTEFA BEN
    LA MORT DE SI MOSTEFA BEN BOULAID ( ou le grand ratage de la Révolution algérienne ) : je dois avertir que je n’ai guère connu la guerre étant de la génération d’Indépendance mais avec le recul propre à notre génération nés culturellement dans les livres et le écolés et ayant une perception plurielle nous pouvons appréhendera les portraits des Hommes de la Révolution sans en espérer des gains du Témoignage comme ceux qui y ont participé .. je dois dire aussi que n’etant ni montagnard kabyle ou Chaouiya , mais algérien des villes , je compte en apporter une vision froide sur ces chefs , bien que outillée par une conviction nationaliste engagée et mêmes intégrale .. nous pensons qu ‘un jour , l’Histoire jugera la mort prématurée de Ben Boulaid plus que celle des autres héros comme le vraie catastrophe qui a perverti le cours de la révolution algérienne et dont les effets nous les vivons jusqu’à ce jour .. pourquoi Si Mostefa précisément et pourquoi sa mort prématurée ??? … D’abord cela tient à l’Homme lui-même sa stature , son caractère , sa situation , son âge , sa psychologie et le Rôle Politique qu’il aurait pu jouer , pour éviter des drames comme l’assassinat tragique de Si Abane Ramdane , les règlements de compte dans les Aurés , les carnages de la Bleuite en Kabylie , la mort de Benmhidi de Si Larbi Benmhidi , le conflit inutile et bête entre le Congres de la Soumam et Si Ahmed Ben Bella et Si Ali Mahsas , le conflit du GPRA avec l’Etat Major , la Discorde de l’Indépendance etc… ayant vécu anthropologiquement très longtemps sous le charisme du chef algérien de « l’ancien régime » Si El Hadj Messali tout en aspirant à une modernité collégiale dans la crise du PPA /.MTLD , la jeune garde nationaliste algérienne n’a pas eu le temps de construire la gouvernance révolutionnaire collégiales et de bien la roder dans les institutions pour entamer l’action de la guerre d’indépendance .. le CRUA ayant lancé son action juste après la rupture avec le mode de direction Messaliste , le FLN né dans le feu de l’Action révolutionnaires avait besoin d’un homme comme Si Mostefa Ben Boulaid pour faire la transition psychologique et conduire la collégialités révolutionnaire dans grandes pertes , sans grands confis sanglants et sans drames … De par sa personnalité , son âge et cette sagesse de l’aristocrates montagnarde berbère , Si Mostefa entait le parfait leader collégial qui aurait pu rassembler les énergies révolutionnaires des ses jeunes pairs et réussir en même temps l’idée du pacte de la direction insurrectionnelles prônée par les 6 et les 9 et l’idée de l’ouverture révolutionnaire prônée par Si Abane Ramdane aux autres formations du nationalisme algérien ( oulamas, UDMA , Centralistes etc et leur engament individuel) … dommage cette mort prématurée de ce grand Homme algérien ..

    nation
    23 août 2016 - 10 h 19 min

    Pour comprendre Ben Bella : c
    Pour comprendre Ben Bella : c’est une des typologie des nationalistes maghrébins des Nées 50 .. un c’est un beau gosse ( tous les nationalistes algériens et algériennes des années 50 sont des beaux mecs et de belles femmes , la régression physiologique de la jeunesse algérienne a commencé près la mort de Boumediene et a été entamée par la laideur du wahabisme ) … Mais autant que sa beauté lui donne une prestance et une assurance apparente , du jeune premier , Ben Bella était complexé intellectuellement ce qui explique sa haine vorace envers Abane et Ben Mhidi (et son complot contre le Congres de la Soumam) , qui sont non seulement des beaux garçons , mais qui avaient des mœurs politiques d’Hommes d’élite et des comportement de « Ouled famila  » ; Hmida lui avait un côté pègre .. Donc il avait besoin d’un mentor intellectuel mais qui soit un étranger ce qui le compense de son complexe et il a trouvé ca chez Nasser ( qui lui aussi avait le charisme du beau gosse et du militant nationaliste ) … Ben Bella ne supportait pas les militants algériens beaux garçons et intellectuels qui risquent de lui faire de l’ombre , la même haine ouverte qu’il avait envers Abane, Ben Mhidi , Boudiaf , Ait Ahmed l’a reportée en cachette sur Boumediene …. et toutes ses élucubrations arabistes et son attachement à Nasser c’et pour compenser ce complexe … c’est ce qui l’a perdu , il est parti loin avec son Ego démesuré et ne comprenait pas les nécessites psychologiques et nationales du nationalisme algérien , très sourcilleux en matière de souverainisme … il voulait entre un Guevara « arabe » absolu ( beauté et culture ) sous les auspices de Nasser , mais l’Algérie était plus grande et plus urgente que Nasser et Boumediene ( beau gosse aussi mais plus homme d’état que lui ) le supprima … hélas on a pas tout , tout le temps .. Ben Bella n’est pas un traitre ( ni tous les autres d’ailleurs malgré leurs divergences et leurs actions ) il faut pas dire des bêtises , c’est un homme tragique d’une époque tragique, dans un pays tragique ….

      maamar
      23 août 2016 - 11 h 31 min

      @nation Vous devez avoir au
      @nation Vous devez avoir au moins 65 ans comme moi. On a la meme pérception de nos leaders de la révolution.Seulement je vais completer votre texte par un trait de carectère tres significatif et tres instructif sur l’homme.Benbella c’est un « ROJLA ». avec un grand coeur.Quand il a un individu qui le gène il va lui meme le corriger verbalement avec peut etre un langage cru et avec la » BOUGNA WEDMAGH » d’antan. sans aller jusqu’à l’os. Par contre Boumediene, il chargaient des tortionnaires pour punir et récuperer en suite,et carrément des tueurs pour supprimer.Toutes les révolutions meme les plus reculées dans le temps ont connu ce genre de types avides de pouvoir à n’importe quel prix. Et c’est pour cela que l’on doit respecter les mémoires de tous ces hommes qui ont choisi de marcher meme par mauvais temps.

        Kouidri Saadeddine
        23 août 2016 - 12 h 21 min

        Oui. Vous avez l’âge de mon
        Oui. Vous avez l’âge de mon petit frère. Je suis toujours très content de donner mon âge :73 ans

          Abou Stroff
          23 août 2016 - 14 h 56 min

          même âge que les fossiles
          même âge que les fossiles vivants qui nous gouvernent. moralité de l’histoire: il y a un fossé en termes de génération et mieux vaut que vous preniez congé de la vie pour nous permettre de naître et de nous épanouir en tant qu’être humains.

          maamar
          24 août 2016 - 11 h 27 min

          Mr Kouidri c’est tout à votre
          Mr Kouidri c’est tout à votre honneur d’avoir précisé votre age,en plaisantant sur le mien.Je me sent encore plus jeune après cela. Dommage,j’ai rajouté un petit commentaire pas méchant du tout que l’Administrateur n’a pas daigné faire publier. J’ai juste dit que les « concepteurs » et les « architectes » prenaient des photos munis de mitraillettes qui ne tirent jamais ,pendant que d’autres et au meme moment abattaient des hélicos et des bombardiers avec des mousquetons datant de 14/18. Ais je commis un impair Mr Kouidri ? sI c’est non dites le SVP à vos copains d’A.P. Et si c’est oui dites le moi et c’est tout.

        nation
        23 août 2016 - 14 h 12 min

        Oui cher Maamar , je suis d
        Oui cher Maamar , je suis d’accord avec toi , Ben Bella avait ce trait de caractère et pas le seul .. je n’ai pas voulu évoqué son altercation avec le colonel Boubnider et leurs échanges épicés ( entre deux Rojla) qu’on ne peut pas citer ici .. il faut considérer que dans la psychologie du nationalisme algérien il y avait un peu cet élément de Rodjla et qui est resté ensuite dans l’ANP … mais c’est un vieux code d’Honneur Algérien très ancien , aristocratique et qui était distinctif chez ce qu’on appelle les Djouads ( les Gentilshommes algériens, les hommes d’élites militaires de la noblesse d’Epée ) … Toutes ces valeurs , les islamistes et les corrompus actuels ne peuvent pas les comprendre … ils ont installé partout la laideur et une esthétique de servilité et de prêtrise .. d’où la TRAITRISE ….Je pense personnellement que les Novembristes et les Officiers nationalistes de l’ANP de l’ancienne génération sont les derniers Djouads algériens .. ensuite il n ‘ y aura plus d’Hommes d’Elite en Algérie , le wahabisme et la Corruption auront effacé dans ce pays toute trace d’Honneur et d’hommes d’Honneur et de Noblesse de leur trempe , il n y aura plus à vrai dire d’hommes Algériens , mais un ramassis de serfs , de clowns et de charlatans qui vendront le pays aux juifs et aux arabes du Golfe .. je prie dieu de mourir pour ne pas voir cette déchéance …

    Kouidri Saadeddine
    23 août 2016 - 9 h 33 min

     » la question de l
     » la question de l’inféodation des dirigeants de la Révolution est de même nature que la main étrangère dont on taxe aujourd’hui les mouvements et idées qui s’opposent au main stream et politiquement correct ou aux accusations dont sont friands les politiques contre leurs adversaires d’être manipulés par les « services ». On cherche toujours le motifs externes pour éviter de faire une critique interne des raisons de la faillite politique. »M.Lahlou

    LAHLOU
    23 août 2016 - 0 h 14 min

    Ne pas confondre histoires et
    Ne pas confondre histoires et Histoire!
    Nul ne peut contester l’engagement de Ben Bella dans le mouvement indépendantiste. Ce qui ne le disculpe pas pour autant des erreurs politiques graves qu’il a commis avec d’autres cadres de la Révolution durant le combat notamment en ce qui concerne les résolutions du Congrès de la Soummam mais pas seulement. Ni non plus après l’indépendance où sa boulimie du pouvoir l’a poussé à privilégier l’usage de la force préparant ainsi sa propre chute. Ne pas oublier que tous les dirigeants du 1er Novembre 1954 sont de fortes personnalités et qu’ils ne renoncent pas facilement à leur point de vue même s’ils sont dans l’erreur.Mais il faut admettre que tous manquaient cruellement de culture démocratique et de respect du citoyen car ils se croyaient, en raison de leurs parcours révolutionnaire, des survivants quelque part bénis par Dieu. Tous les congrès et conclaves tenus après juillet 1962 ont été manipulés par ceux qui avaient la force des armes et/ou la capacité de nuisance politique même si paradoxalement et pour de multiples raisons beaucoup de décisions avaient pour objectif d’apporter du progrès social, économique et culturel au « peuple », cette multitude trop longtemps humilié et marginalisé par le colonat et ses alliés directs et indirects y compris parmi les « indigènes ».
    Dans un tel contexte, la politique était une affaire d »élite(s) qui parlaient tous au nom du peuple…qui faisaient parfois irruption sur la scène pour donner une impulsion ( les manifestations populaires de Décembre 1960 et 1961, !7 Octobre à Paris, les manifestations aux cris de « Seba3 s’nine baraket » pour arrêter la guerre intestine entre les chefs des wilaya de l’été 1962, etc..) et maintenir la trajectoire nationaliste de la Révolution. Tant que la deuxième république n’adviendra pas, aucune chance d’écrire l’Histoire de l’Algérie. On en restera au stades des histoires qui ne sont en fait qu’une façon de faire de la politique lorsque l’espace naturel d’exercice de cette dernière se rétrécie comme une peau de chagrin.
    Une dernière chose: la question de l’inféodation des dirigeants de la Révolution est de même nature que la main étrangère dont on taxe aujourd’hui les mouvements et idées qui s’opposent au main stream et politiquement correct ou aux accusations dont sont friands les politiques contre leurs adversaires d’être manipulés par les « services ». On cherche toujours le motifs externes pour éviter de faire une critique interne des raisons de la faillite politique.

    LotfiALN
    22 août 2016 - 14 h 21 min

    Il est clair que si on avait
    Il est clair que si on avait exigé la perfection de tous les combattants de la libération avant pendant et après la guerre d’indépendance; on n’aurait peut-être jamais eu ni l ALN ni le FLN et encore moins de GPRA .
    Des voyous notoires se sont repentis en rejoignant l ALN au maquis ou les cellules FLN dans les zones urbaines.
    Qu’allons nous retenir?
    Le passé de voyou de Ali ou son engagement avec honneur et fidélité jusqu’au sacrifice pour l’indépendance du pays.
    Commençons par écrire notre Histoire avec un esprit critique certes mais sans tomber dans le piège des révisionnistes de tout poils.
    C une autre partie de l’histoire qui a commencé à l’indépendance dont un des derniers chapitres se joue actuellement.
    Gloire à nos anciens.

    mouatène
    22 août 2016 - 13 h 39 min

    Monsieur Kouidri, dans votre
    Monsieur Kouidri, dans votre contribution il aparait très clairement que l’émotion a pris le dessus. vous qui étiez militant du parti MDS qui a été créé par BenBella, vous savez très bien que c’était un dictateur et plus. aussi vous n’ignorez pas que ses idéaux étaient de ralier la RAU de Nacer. autre chose, le défunt Khémisti, milistre des affaires étrangères à l’époque s’y est opposé fermement à cette union et, subitement il est assassiné, et le plus étonnant c’est que Nacer a effectué un visite chez nous et n’est reparti qu’après avoir enterré notre HERO MINISTRE KHEMISTI. cherchez l’énigme !!! il y a beaucoup à dire mais c’est aux historiens de l’écrire !!!!

      Kouidri Saadeddine
      22 août 2016 - 14 h 22 min

      Non le MDS auquel j
      Non le MDS auquel j’appartenais n’a pas été créé par Ben Bella mais par Hachmi Cherif pour s’opposer au pouvoir et à l’islamisme auquel appartenait Ben Bella

        maamar
        22 août 2016 - 16 h 07 min

        La formule  » s’opposer au
        La formule  » s’opposer au pouvoir » me fait rire ». MDS à la place de PCA on peut le comprendre mais de là à galvauder le mot s’opposer au pouvoir c’est comme me dire qu’un communiste est un nationaliste.

          Abou Stroff
          22 août 2016 - 16 h 29 min

          essayez vous de soutenir que
          essayez vous de soutenir que les communistes algériens n’ont pas participé à la guerre de libération? si la réponse est oui, où classeriez vous Amar Ouzzegane (le concepteur de la plateforme de la soumam), Saddek Hadjrès, Bachir Hadj Ali, El Hachemi Cheri, Mohamed Teguia,maillot, Iveton, les époux Chaulet, etc…………………………….. quant à votre rire, on peut facilement le qualifier de rire d’un rigolo

        Mhend
        23 août 2016 - 9 h 55 min

        Monsieur bonjour, je m’étonne
        Monsieur bonjour, je m’étonne de votre « indignation » et ne pensai pas 50 après l’indépendance, au vu de se qui s’y est produit , qu’il puisse exister encore des gens normalement constitués pour défendre Ben Bella. C’est assez incroyable. Vous voulez brouiller les cartes. Je trouve du reste, l’article de M. Guennoun bien deça de la réalité ( carrière oblige), car non seulement l’ex- footballeur et adjudant de l’armée française n’avait pas du tout l’étoffe de la fonction, très loin de là, mais il était doublement inféodé à l’égyptien Nasser dont il se fit le valet et à son maître De Gaulle qui l’a intronisé au pouvoir dans le cadre de la politique de la Françafrique qui a touché tout le continent , car Ben Bella était tenu par l’ex-puissance coloniale, ayant balancé et fait des aveux précieux aux services francais au moment de son arrestation lors de l’arraisonnement de l’avion du FLN, en 1956 (fait avéré repris par Boudiaf entre autres). A l’appui de mes propos,, je vous invite à prendre connaissance de la lettre d’accréditation du premier ambassadeur d’Algérie en France de M. Ben Bella à son maître De Gaulle qui débute ainsi : Mon cher grand ami….( cf. archives quai d’Orsay, 2015, préface de L. Fabius) c’était en 1963 et le corps des chahids encore tiède, les larmes des veuves et orphelins encore humides…
        Quant à sa piteuses fin de vie, il aura ramassé des millions de dollars du dictateur Saddam Hussein pour une fondation bidon et il s’est rappelé tardivement sa nationalité marocaine…..
        Cette mise au point méritait d’être faite, il y a du devoir de mémoire et de vérité à l’égard de notre pays et des générations montantes
        .

          Anonymous
          23 août 2016 - 23 h 04 min

          merci, mon ami, wallah, que j
          merci, mon ami, wallah, que j’ai pensé repondre la meme chose, a quelque chose pres, a propos de Benbella .

        mouatène
        2 septembre 2016 - 14 h 19 min

        meme si c’est très en retard,
        meme si c’est très en retard, je vous ferais la remarque gentillement: Monsieur Kouidri, c’est le seul point que vous avez à défendre ? et pourtant il y en a beaucoups dans votre écrit. j’aurais beaucoup à vous raconter mais restons en là.

      foufi
      22 août 2016 - 16 h 56 min

      BenBella etait bel et bien un
      BenBella etait bel et bien un subordonné de Nacer et de l’arab0-baathisme.Et Khemisti fut assassiné par BenBella sur ordre de son mentor Nacer.Nous en payons le prix maintenant .
      Sans le coup d’état de Boumédienne,L’algerie sous BenBella serait devenue un territoire d’outre-mer d’Egypte

    kamal
    22 août 2016 - 13 h 23 min

    M guenoun parle de l
    M guenoun parle de l ethnicisation du debat autour de la guerre de liberation. c une realite qui prevaut surtout chez les arabophones. j attends qu on devoile un jour les secrets sur l apport de chaque wilaya historique a la revolution. ls algeriens sauront alors la pure verite longtemps occultee par l histoire officielle.

      amal
      24 août 2016 - 11 h 15 min

      Les algériens ont tous
      Les algériens ont tous combattu le colonialisme; il n’y a aucune wilaya qui est restée les bras croisés.
      Depuis le début de l’occupation les algériens ont également combattu l’occupant selon leurs forces et ce qui leur reste de souffle. Dés qu’ils ont repris des forces, ils ont combattu. En kabylie ils ont pu se mobiliser plus qu’ailleurs juste parce que les kabyles n’ont pratiquement pas laissé le colon s’implanter avec le succès qu’on lui connais dans la mitidja ou alger. En kabylie les biens des colons ont été brulés et détruits dés qu’ils ont essayé de s’y installer, mais les kabyles ont payé cher cette révolte continue, puisque la kabylie était la région la plus pauvre et la plus réprimée. Mais il ne faut pas oublier que des survivants de la mitidja par eexemple, de bou saada et d’autres régions encore se sont réfugiés en kabylie et l’ont défendue et que de nos jours il y a encore leurs descendants en kabylie.

    libération
    22 août 2016 - 13 h 10 min

    oui cet historien dit vrai,
    oui cet historien dit vrai, ne vous en déplaise. Ben Bell a était inféodé à Nasser. C’est tout le drame de ce qui va suivre en Algérie. Ben Bella n’a jamais été net , ni avec le GPRA et ni au moment de l’indépendance. Tous ses compagnons ont tu leurs divergences en mettent l’ALGERIE au dessus de TOUt. Pour rappel , quelque temps avant sa mort Ben Bella rappelait à un journaliste qu’il était MAROCAIN. Cela illustre le personnage !!!

    libération
    22 août 2016 - 12 h 44 min

    oui cet historien dit vrai,
    oui cet historien dit vrai, ne vous en déplaise. Ben Bell a était inféodé à Nasser. C’est tout le drame de ce qui va suivre en Algérie. Ben Bella n’a jamais été net , ni avec le GPRA et ni au moment de l’indépendance. Tous ses compagnons ont tu leurs divergences en mettent l’ALGERIE au dessus de TOUt. Pour rappel , quelque temps avant sa mort Ben Bella rappelait à un journaliste qu’il était MAROCAIN. Cela illustre le personnage !!!

    Bachir DAHAK
    22 août 2016 - 9 h 18 min

    A l’Indépendance de l’Algérie
    A l’Indépendance de l’Algérie , le frère Ben Bella avait contre lui la Fédération de France du FLN, les maquis, le GPRA ,ses camarades de captivité.C’est quand même beaucoup pour s »assurer une légitimité et aucune force politique ne voulait de lui comme chef suprême .Ce sont des faits historiques incontestables.
    Arrivé à Tripoli pour la CNRA , il a tout fait pour que cette instance, pourtant légitime, ne fasse pas son travail et assure la succession institutionnelle. Il a insulté vulgairement Ben Khedda , Président du GPRA , tout ça est écrit noir sur blanc par M.Harbi et A.Haroun.
    La seule façon de s’en sortir était d’aller à Tlemcen rencontrer l’armée des frontières dont il sera l’otage.
    Il n’est pas question de le juger ou de renier son passé de nationaliste, mais sous son règne ( pourtant court) de prestigieuses personnalités ont connu la prison et l’humiliation des menottes : Abderrahmane FARES, Mohamed BOUDIAF, Ferhat ABBAS, Bachir El Ibrahimi . Dans un bilan, toutes les pages doivent apparaître , qu’elles soient blanches ou noires.

      Kouidri Saadeddine
      22 août 2016 - 14 h 39 min

      Oui et le premier à faire les
      Oui et le premier à faire les frais de ses injustices est le P.C.A qu’il avait interdit dès Septembre 1963 tout en donnant l’agrément à une association religieuse qui donnera le MIA le FIS et ses GIA Oui je peux en ajouter encore mais cela ne permet à personne d’en rajouter et c’est ce que je reproche à Ali Guenoun. Pourquoi sortir des faits quand les faits négatives eux mêmes sont encore nombreuses. Quand un historien s’y met c’est à mon avis qu’il y a anguille sous roche. User de vérité-mensonge va à l’encontre de la vérité vraie, c’est à dire de l’histoire.

      Kouidri Saadeddine
      22 août 2016 - 15 h 41 min

      J’ajoute une rectification :
      J’ajoute une rectification : Je ne suis pas d’accord avec « aucune force politique ne voulait de lui comme chef suprême » Je dirais plutôt qu’en dehors du FLN et de l’ALN personne ne pouvait avoir une quelconque prétention et que de tous les Novembristes son nom était le plus connu et timidement clamé lors des manifestations de décembre 1960 et celle du 5 Juillet 1961. Je retiens qu’il était beaucoup aimé pendant au moins la première année et c’était logique. Le peuple aimait son premier président. Dire la vérité sur lui c’est normal, le dénigré n’est pas permis.

        Bachir DAHAK
        22 août 2016 - 16 h 34 min

        Moi je ne trouve pas normal
        Moi je ne trouve pas normal qu’une révolution anti-coloniale aussi importante que la nôtre , un mouvement national aussi riche que l’était le nôtre n’aient pu accoucher , pour diriger le pays, que d’un ancien adjudant de l’armée française. Parmi les négociateurs d’Evian, l’Algérie avait des hommes remarquables qui ont profondément marqué leurs collègues français ( voir leurs mémoires) . Il n’est pas question de dénigrement , il est question de bilan et on peut valablement lui reprocher d’avoir terrorisé d’authentiques révolutionnaires , d’avoir nommé des ministres insignifiants , d’avoir joué au zaîm avant l’heure, d’avoir saboté l’autogestion avec ses décrets de Mars 1963 de peur que les ouvriers ne prennent une place politique, mais surtout d’avoir pactisé avec l’armée des frontières en tournant le dos au GPRA dont il était pourtant le Vice-Président.. Mohamed Harbi , qui a été son conseiller , ne dit pas plus et pas moins de lui sans aucune animosité pour la personne.

          Kouidri Saadeddine
          22 août 2016 - 22 h 06 min

          Oui ce n’est pas normal mais
          Oui ce n’est pas normal mais vous n’insinuez pas que Ben Bella en soit la cause. La cause première nous la connaissons. C’est la colonisation. Le prix payé pour l’indépendance en est la cause principale et les divergences politiques ont fait le reste. Le sujet est vaste. Pour revenir à notre sujet par une question : Ben Bella était-il subordonné à ce flic étranger? Harbi a t-il parlé de la subordination de Ben Bella ? Je réponds : jamais. Alors pourquoi tout ce rappel sur la gestion de Ben Belle que le commun des mortels ? Il reste que personne de sensé n’oserait dire que Ben Bella était aux ordres d’un flic étrangers ou d’une puissance étrangère. Si vous, vous soutenez l’historien sur ce sujet faites le nous savoir explicitement.

          Bachir DAHAK
          24 août 2016 - 10 h 15 min

          Cher ami, je ne suis
          Cher ami, je ne suis responsable que de ce que j’écris , je ne suis pas un sous-traitant de l’historien que je ne connais pas.
          Je tirais un constat : pourquoi Ben Bella et pas Dr Debaghine , Mohamed Boudiaf, et tellement d’autres ? Ce que je maintiens :
          1/Ben Bella a embastillé , mis en résidence surveillée, arrêté et humilié de grands hommes du mouvement national ( il y a une liste connue).
          2/Ben Bella a tué dans l’œuf l’expérience de l’autogestion mise en place par les ouvriers.
          3/Ben Bella a facilité la militarisation de la gouvernance politique de l(Algérie en allant offrir sa notoriété à des militaires qui n’avaient pas tiré une seule cartouche en huit ans de guerre
          4/Ben Bella était immature politiquement et seule une vraie collégialité aurait pu sauver l’Algérie naissante.
          Ceci dit , encore une fois, je ne renie pas le passé honorable et nationaliste de Ben Bella .

          maamar
          24 août 2016 - 14 h 52 min

          BRAVO Mr DAHAK. Pas une seule
          BRAVO Mr DAHAK. Pas une seule cartouche. Mon Dieu que c’est honnete. Ils sont des millions d’algériens qui n’aiment pas entendre cette térrible vérité qui tue les plus grands usurpateurs que l’histoire de l’humanité ait connu.

    VIVE L’ALGÉRIE LIBRE!
    21 août 2016 - 22 h 14 min

    pour bekadour et alimaz l
    pour bekadour et alimaz l’inféodation du premier magistrat d’un pays nouvellement indépendant est un faux problème c’est même une bénédiction , que serions nous devenus sans cette inféodation ? l’algérie indépendante ne serait pas tout simplement. dire une grossièreté pareille alors que des hommes et des femmes super courageux sont morts pour que nous soyons LIBRES! c’est à dire INFÉODES A PERSONNE c’est insulter leur mémoire! qu’on vienne pas me raconter que l’egypte a libéré l’algérie c’est le pire mensonge qui soit! un pays qui nous insulte grassement y compris nos martyrs… misère! ce que vous dites est très grave vous n’avez pas pris conscience de la dangerosité de votre mode de penser…

      Bekaddour Mohammed
      22 août 2016 - 7 h 17 min

      Ya VIVE L’ALGERIE, TAHYA EL
      Ya VIVE L’ALGERIE, TAHYA EL JAZAÏR ! Revenons au sens des mots, « Inféoder » veut dire vivre en subordination. Nous sommes d’abord, l’humanité entière, inféodés au Créateur, que je sache et dans le principe tous les acteurs principaux de la lutte armée contre la France ennemie ont été, ou restent, pour les survivants, des musulmans. Mohammed Boudiaf nous a tous bouleversés lorsqu’il tombait à terre, assassiné par ses pseudo frères, (Caïn et Abel), et levait le doigt pour dire la chahada ! Les insultes de l’Egypte sous Moubarak traduisaient l’inféodation de l’Egypte au Diable drapé de l’étoile de David, et du drapeau saoudien, encouragés par les psychopathes européens, et les USA inféodés au diable drapé de l’étoile du grand David, Ben Bella est mort inféodé à Dieu l’Unique. Il faut faire la part entre le principe de n’être inféodé à nul autre que Dieu Un, qui est la sève du Jazaïri vrai, et les réels, les contextes, qui font naviguer dans une mer pleine d’obstacles. Ce n’est pas l’Egypte qui a libéré l’Algérie, mais dis moi : Sais tu que même la reine de la minuscule Jordanie y a contribué lorsqu’elle a mis à la disposition de Houari Boumédiène son Yatch pour qu’il serve au transport des armes, qui seront débarquées à Nador au Maroc, ce Maroc avec lequel il y a toute cette histoire ETC;
      Ce docteur de la Sorbonne aurait plutôt dû se pencher sur l’inféodation, réelle, non d’un mort, mais des vivants, dont il a peur évidemment, qui volent leur peuple pour se payer des châteaux à l’étranger, l’inféodation au Dieu Argent !

        anonyme
        22 août 2016 - 22 h 13 min

        nador ce n’est pas le maroc c
        nador ce n’est pas le maroc c’est la moulouya , un territoire algérien !
        être inféodé à Dieu est une condition normale pour les croyants et ne peut être mis en concurrence avec aucune force impérialiste terrestre! nous ne sommes pas l’égypte nous ne le serons jamais! nous ne le voulons pas nous ne l’avons jamais voulu! l’Algérie est et sera elle même jusqu’à la fin des temps malgré toutes vos conjectures mesquines qui dénotent un manque flagrant de connaissances et de volonté!
        Vive l’Algérie vive son histoire toujours glorieuse depuis la plus haute antiquité! vive sa civilisation qui résiste malgré les assauts des traîtres destructeurs, le jour viendra où elle connaîtra son plein épanouissement grâce à ceux de ses enfants qui ont gardé foi en elle!

    Alimaz
    21 août 2016 - 17 h 01 min

    Respectez les morts et
    Respectez les morts et arrêtez vos médisances. Qui n’est pas inféodé à X ou Y???

      Bekaddour Mohammed
      21 août 2016 - 19 h 20 min

      Bien dit ! Plus grave, ce
      Bien dit ! Plus grave, ce type d’historiens cherchent les poux dans les cimetières. Voilà pourquoi j’ai écrit, il nous la sort bonne, le génie de la Sorbonne ! Sans êtres inféodés, sens vil, il y a interdépendance. Qu’aurait été le sort de la lutte armée sans l’Égypte, et tant d’autres !

    SNP
    21 août 2016 - 13 h 14 min

    Désolé.il n’a qu’a lire les
    Désolé.il n’a qu’a lire les mémoire de Fethi Dib , pour apprecier les dires de Mr Guenoun. D’ailleurs 1963 sous la presidence de Benbella une rumeur persistante circulait à Alger quand a une adhésion à la RAU., programmée par le caire et alger , avec adoption de l’embleme de la RAU par lAlgerie, si se nest pas de lz subordination au Zaim c quoi alors.

      Kouidri Saadeddine
      21 août 2016 - 16 h 41 min

      A SNP Pourquoi voulez-vous
      A SNP Pourquoi voulez-vous rendre crédible la parole de Feth Dib et pourquoi voulez vous encore une fois crédibilisez une rumeur? Comme vous devez le constater vous êtes à côté des faits et dans ce cas ce n’est plus de l’histoire

        Abou Stroff
        21 août 2016 - 17 h 08 min

        pourtant, les faits sont
        pourtant, les faits sont têtus: ben bella fut une marionnette aux mains des services français et égyptiens. ensuite, il fut une marionnette au mains de boukharouba qui l’envoya au cachot pendant de longues années et il ne fut réellement réhabilité que grâce à son COMPATRIOTE (ne sont ils pas tous les deux des sujets de sa majesté, le roi du maroc?), le nommé kouider el mali. quant à l’histoire: totu le monde attend la publication de certaines archives qui ébranleraient pas mal de vos certitudes

          Kouidri Saadeddine
          22 août 2016 - 5 h 33 min

          Quel fait ? Le qualifier de
          Quel fait ? Le qualifier de marionnette n’est pas un fait mais un jugement. Prétendre qu’il était aux mains des services est un dénigrement que vous portez à l’OS, aux novembristes…et pas seulement à ce premier président.

          Abou Stroff
          22 août 2016 - 12 h 28 min

          un infime partie des « faits »
          un infime partie des « faits » est relatée par: Bachir DAHAK (non vérifié)

          22 Aug 2016 – 10:18
          quant à votre acharnement à défendre le sieur ben bella, il ne peut indiquer qu’un aveuglement maladif devant une réalité qui ne cadre pas avec vos voeux pieux.

    TheBraiN
    21 août 2016 - 8 h 56 min

    Chacun essaye de vendre sa
    Chacun essaye de vendre sa marchandise en usant de tous les moyens !
    Lamentable !
    A quand une loi interdisant ce genre de récupération sordide de l’histoire et de ses symboles ???

    Abou Stroff
    21 août 2016 - 8 h 39 min

    ben bella, en tant que leader
    ben bella, en tant que leader de la guerre d’indépendance, est une création des dirigeants français et égyptiens de l’époque. en effet, les dirigeants de deux pays ont rapidement compris que ben bella (contrairement à Boudiaf, et Aït Ahmed, entre autres) n’avait aucune personnalité et pouvait donc être facilement manipulé. la preuve: la france parlait toujours de « ben bella et ses compagnons » comme si le sieur était le leader du groupe et c’est le seul historique à avoir accepté l’offre de boukharouba de participer à un coup d’Etat contre le pouvoir légitime (le GPRA) de l’époque. mortalité de l’histoire: ben bella ne fut pas plus révolutionnaire que l’actuel fakhamatouhou de l’Algérie. les deux ont émergé sur la scène politique sous le burnous de boukharouba et ni l’un ni l’autre ne peuvent se targuer d’un quelconque passé révolutionnaire, bien au contraire.
    PS: n’oublions pas que ben bella a reconnu, à la fin de sa vie, qu’il était un sujet marocain.

      Anonymous
      21 août 2016 - 12 h 14 min

      Ben Bella est un sujet
      Ben Bella est un sujet marocain. C’est un usurpateur. Boumediene avait raison le concernant.

        anonyme
        21 août 2016 - 16 h 35 min

        ils sont nombreux à faire
        ils sont nombreux à faire leur « coming out » ces temps ci ! comme si une espèce de fierté de nous avoir berné pendant de si longues années les animait! à propos royal air hachich a fermé rue didouche pour s’installer parmi ses fidèles clients les bouchkara de sidiyaya!

    Devoir de Vérité
    21 août 2016 - 6 h 31 min

    Benbella a été porté à bout
    Benbella a été porté à bout de bras par les services egytiens et français. Le 1er témoignage probant, côté français, c’est à l’arrestation des 6 Six, sur Air Maroc, quand un agent français a arraché des mains de Boudiaf les documents de la délégation et les a donné à Benbella, avant de prendre la photo, pour faire croire qu’il était le chef de la délégation.
    L’Egypte dont l’aide à notre révolution était sélective et servait à nous faire du chantage a toujours fait la publicité de ce dernier au détriment des autres et notamment de Boudiaf et Ait Ahmed qui n’étaient pas manipulables. L’Egypte a même comploté contre notre révolution, avec l’opération lamouchi, en tentant d’assassiner les 3 leaders charismatiques de la révolution (Krim, Boussouf, Bentobal). Enfin, Nasser, a bien dit que « al-gazaîr taqfina ou taqfikoum » sans que benbella ne bronche, etc.
    Arrêter donc de vouloir toujours travestir l’histoire.
    Idem avec Messali qui était un leader respecté et respectable, mais qui a fini par trahir, comme pétain en france ou pire, puisque Messali a pris les armes contre l’ALN, alors que pétain n’est pas allé aussi loin.

    Anonymous
    21 août 2016 - 2 h 44 min

    On en sait rien tant l
    On en sait rien tant l’histoire moderne de l’Algérie est entièrement falsifiée.

    Tout ce que je sais est qu’Ahmed Ben Bella est né français, a joué au sein de l’Olympique de Marseille, s’est distingué dans la très fameuse bataille de Monte-Cassino en Italie, est devenu policier, a rejoint le courant nationaliste et a milité pour des idées anti-impérialistes avant de se retrouver un peu par hasard premier Président de l’Algérie post-1962.

    Il est renversé par un coup d’Etat militaire en 1965.

    Dans son dernier entretien, très amer, Ben Bella a déclaré qu’il est marocain depuis au moins cinq générations. Aveu de vieillesse ou amertume. Nul ne le saura.

    Anonymous
    21 août 2016 - 2 h 43 min

    Le journaliste ne semble pas
    Le journaliste ne semble pas savoir que Ben Bella, marocain de son état, travaillait pour Nasser. Sans compter le fameux Tewfik Chaoui, égyptien qui a pris un nom algérien et qui est le constructeur de l’arabisation idéologique du système éducatif algérien. Tewfik Chaoui était frère musulman…

    seddar
    20 août 2016 - 21 h 33 min

    Lire Fathi Dib tout
    Lire Fathi Dib tout simplement .Il a tout dévoilé.

    anonyme
    20 août 2016 - 21 h 24 min

    je me souviens être tombé par
    je me souviens être tombé par hasard sur internet sur le cv d’un mokoko qui se prévalait d’être de le secrétaire de benbella pendant un temps assez long ! j’en ai été profondément choquée! alors qu’il ait été inféodé au caire ou aux mokokos pour moi c’est une tromperie sur la marchandise pour le peuple algérien ! heureusement qu’il y a eu boumediene et son règne malheureusement trop court! ouallah aalam! monsieur kouidri si vous avez des éléments pour prouver le contraire alors montrez les sinon enquêtez et revenez nous avec des preuves en béton

    Bekaddour Mohammed
    20 août 2016 - 20 h 44 min

    Parfois à trop vouloir être
    Parfois à trop vouloir être original, on trahit son indigence par des énoncés indigestes? Voilà l’impression que m’a inspiré cette histoire, Je préfère un docteur en physique nucléaire, s’il nous affirme que 1 +1 = 3, nous le croirons parce que c’est la synergie, concept économique. Donc, il nous la sort bonne, n’est-ce pas, le docteur en histoire. Ne serait-ce pas qu »il aime « les histoires » ???

    aznay
    20 août 2016 - 20 h 43 min

    Si ,cher monsieur vous avez
    Si ,cher monsieur vous avez des doutes sur un travail scientifique d’un historien dont le nom peut etre vous donne la nausée. Ayez le courage de lire les memoires de fethi dib qui n’est rien d’autre que le bras et baton de l’egypte en algerie out est dit sur ce que vous contestez quand c’est dit par un algerien non infeodé au machrek

    samsung
    20 août 2016 - 20 h 17 min

    Mr saadedine kouidri vous
    Mr saadedine kouidri vous auriez pu donner un titre a votre ecrit « Ma verité absolue face au mensonge du dr. Ali guenoun »

    Bougie
    20 août 2016 - 20 h 12 min

    L Algérie algerienne ce sont
    L Algérie algerienne ce sont les abane boudiaf ben mhidi ait Ahmed et bien d autres qui la voulait
    Benbella se considere comme arabe et il s est ligue avec les services égyptiens de nasser et c est connu de tous
    Alors si tu te sens arabe vas y au golf et fais un hadj sans retour

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.