L’intriguant traitement médiatique réservé à la visite de Tebboune à Paris

Abdelmadjid Tebboune, France, Edouard Philippe
La visite informelle de Tebboune en France soulève une mini-tempête. New Press

Le Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune, a été reçu aujourd’hui par son homologue français, Edouard Philippe, dans une rencontre informelle. L’information diffusée par Ennahar TV, réputée proche des cercles de décision, a été confirmée à travers une dépêche de l’agence officielle APS, reprenant un communiqué des services du Premier ministre.

«Durant son escale à Paris, le Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune, a été convié par son homologue français, Edouard Philippe, à une rencontre informelle à l’hôtel Matignon», précisent les services du Premier ministre. La dépêche laconique ne fournit aucun autre détail, ni précision. Elle met en avant le caractère informel de cette rencontre. Il n’est pas dit dans quel cadre Abdelmadjid Tebboune se trouve actuellement à Paris. Mais ses services assurent qu’il n’a fait que répondre à une invitation de son homologue français. Une sorte de démenti aux informations ayant circulé depuis la matinée selon lesquelles Abdelmadjid Tebboune, en vacances au sud de la France, a été reçu par Edouard Philippe à sa demande. Certains se sont même interrogés sur le sens à donner à cette rencontre informelle en mettant en avant le fait qu’elle soit la première du genre pour un haut dirigeant algérien du rang de Premier ministre. Ces commentateurs sont allés jusqu’à se demander ce que fait Tebboune à Paris.

Assiste-t-on à une campagne contre Abdelmadjid Tebboune ? Le Premier ministre bénéficie-t-il toujours de l’entière confiance de celui qui l’a nommé ? Abdelmadjid Tebboune a pris congé après une vive polémique sur le sens de son action gouvernementale qui vise à redresser l’économie et à séparer la politique de l’argent. La rencontre tripartite entre Tebboune, l’UGTA et les organisations patronales a été diversement interprétée. Pour certains, il s’agissait d’un acte d’apaisement du Premier ministre à l’adresse des organisations patronales. Pour d’autres, il s’agissait d’un désaveu pour Tebboune, qui aurait été contraint de recevoir le président du FCE, Ali Haddad, dont il ne voulait pas entendre parler.

Le traitement réservé à sa rencontre informelle avec son homologue français reste intriguant. Il faut souligner que la séparation de l’argent de la politique qui est inscrite dans le programme présidentiel que Tebboune est chargé d’exécuter a étonné plus d’un. Car, par son action, le gouvernement donne l’impression de découvrir seulement aujourd’hui la présence encombrante d’hommes d’affaires dans les cercles de décision politique. Cela alors que tout le monde sait aujourd’hui que ce sont les autorités politiques qui bloquent l’investissement et qui aident certains opérateurs à s’imposer dans la sphère très fermée des intermédiaires du pouvoir politique.

Hani Abdi

Comment (33)

    TARZAN
    8 août 2017 - 16 h 16 min

    mon petit doigt me dit que tebboun vit ses derniers jours en tant que premier ministre

    Marre du Khorti
    8 août 2017 - 15 h 06 min

    @ Batriote et @ Rachid Bensalem : Excellents, on devrait plus s’intéresser à l’Histoire pour comprendre notre présent.

    Anonyme
    8 août 2017 - 13 h 56 min

    Bouteflika protecteur des escrocs !

      TARZAN
      8 août 2017 - 16 h 55 min

      eh oui bouteflika vous empêche de dormir, il a rendu l’algérie plus forte et notre armée l’une des plus fortes au monde. bouteflika a compris pour construire l’economie d’un pays il faut d’abord assurer la sécurité et susciter le respect total des pays. si on suit les gens comme vous, le maroc ça fait longtemps qu’il a écrasé l’algérie avec ses soutiens franco israeliens et leur plan machiavélique investissement au maroc (avec tous les avantages sociaux , économiques et culturels qui vont avec les investissements) et vente en algérie (avec endettement, envahissement de la drogue marocaine pour empoisonner notre jeunesse et faire fuir nos ingénieurs et artistes vers le maroc pays ou le plein emploi est assuré par ses multinationales qui ont boycotté politiquement l’algérie pour investir qu’au maroc) avec l’UMA puis quand ils ont vu que l’UMA n’aura pas lieu ils ont essayé union pour la méditerranée. bouteflika est plus malin que n’importe qui et n’est pas tombé dans leur piège

    Rachid Bensalem
    8 août 2017 - 13 h 53 min

    @Batriote . Cher Monsieur marci de nous avoir proposé à la lecteur cette séance du vendredi 21 Novembre 1930 sous la Présidence du Gouvernement général de l’Algérie de cette époque.

    Mais moi je vais vous étonnez en vous proposant de lire le Traité de la Tafna signé entre Bugeaud et l’Emir Abdelkader, l’ami de la France, en 1837 en livrant presque toute l’Algérie (sauf une petite région de l’ouest gardée pour lui) à la France à un moment où il n’était pas complétement bâtu militairment parlant.
    Quelques articles en exemple :
    Article 1 : L’Émir Abd el Kader reconnaît la souveraineté de la France en …. Afrique. (donc, il va même au dela de l’Algérie, je me demande pourquoi ??)
    Article 4 : L’Émir n’aura aucune autorité sur les Musulmans qui désirent résider sur le territoire réservé à la France.
    Article 13 : L’Émir s’engage à ne remettre aucun point de la côte (algérienne) à aucune puissance étrangère, quelle qu’elle soit, sans l’autorisation de la France.

    Voilà « LE » … »THE » héros national et tant pis pour Abane et Ben M’hidi !

    Batriote
    8 août 2017 - 13 h 08 min

    Ben Badis, Latrèche, honorés par la France
    7 mai 2017 administator 237 Views 1 Comment Algérie française, Ben Abdallah, Ben Badis, colonisation, commémoration du Centenaire, Ghorab, Latrèche, Reguieg, Sisbane
    Ce compte-rendu de séance vous éclairera sur des individus comme Ben Badis, Latrèche, Reguieg, Ben Abdallah, Ghorab qui sont honorés par l’Algérie indépendante. Personnages qui pourtant travaillaient main dans la main avec la France coloniale au point d’être décorés et félicités pour services rendus à l’occasion de la commémoration du Centenaire de la colonisation de l’Algérie.

    Gouvernement général de l’Algérie – Délégations financières algériennes

    Séance du vendredi 21 Novembre 1930.

    La séance est ouverte à 15 heures, sous la présidence de M. SISBANE, Président, assisté de MM. BEN ABDALLAH, assesseur, et GHERSI, secrétaire.

    MIRANTE, Directeur des Affaires Indigènes, assiste à la séance en qualité de Commissaire du Gouvernement. ‘

    Tous les membres de la Section sont présents, à l’exception de M. Reguieg, excusé.

    LE PRÉSIDENT. – J’ai l’agréable devoir de réparer une omission qui s’est produite hier, et qui provient de ce que je n’avais pas sous les yeux la liste de nos collègues bénéficiaires, à l’occasion de la commémoration du Centenaire, de distinctions différentes.

    Ce sont : MM. Ben Badis, qui a été élevé à la haute dignité de grand officier, Latrèche et Reguieg, nommés commandeurs, Ben Abdallah, officier, et Ghorab, chevalier dans l’ordre de la Légion d’Honneur.

    Que ces collègues me permettent de leur dire, en votre nom à tous, Messieurs, toute la joie que nous avons ressentie en apprenant qu’ils avaient été l’objet de ces hautes distinctions, et de leur présenter l’expression de nos félicitations les plus affectueuses.

    MM. Ben Badis, Latrèche, Reguieg, Ben Abdallah et Ghorab. Chacun d’eux a fait preuve, depuis qu’il siège au sein de cette assemblée, d’un dévouement à la cause publique, qui n’a d’égal que son attachement à notre patrie commune, la France. (Applaudissements.)

    En honorant ceux de nos collègues qui en sont les bénéficiaires, ces décorations honorent toute la section arabe.

    Vous me permettrez, Messieurs, de remercier M. le Gouverneur général et son collaborateur immédiat en la matière, notre sympathique Directeur des Affaires Indigènes, M. Mirante, d’avoir su récompenser ceux de nos collègues qui ont véritablement bien mérité de la Patrie.

    En leur nom, Monsieur le Directeur et bien cher ami, permettez-moi de vous assurer une fois de plus de notre affectueux dévouement et de vous dire combien nous apprécions hautement votre précieuse collaboration.

    Nous avons admiré la haute compétence et la conscience avec lesquelles vous remplissez les fonctions délicates de Directeur des Affaires indigènes, fonctions qui – il faut bien le dire – constituent le pivot de la politique algérienne.

    Au nom de mes collègues, permettez-moi, Monsieur le Directeur, de vous adresser à cette occasion tous nos remerciements et de vous assurer encore de notre affectueuse amitié. (Applaudissements)

    MIRANTE, commissaire du gouvernement. – J’associe de tout cœur l’Administration aux compliments qui viennent d’être adressés, en termes particulièrement heureux par votre Président, à ceux d’entre vous qui ont obtenu de hautes distinctions honorifiques, à l’occasion de la commémoration, du Centenaire.

    J’ai été personnellement très heureux – croyez le bien – de pouvoir appuyer auprès de M. le Gouverneur général les titres des membres distingues de cette assemblée qui viennent d’être récompensés par le Gouvernement de la République, titres importants qu’ils s’étaient créés à sa reconnaissance.

    Nous connaissons depuis longtemps mon vieil ami, M. Ben Badis, mes amis MM. Latrèche et Reguieg. Nous savons tous avec quel dévouement et aussi avec quelle compétence ils siègent dans cette Assemblée.

    L’Administration se félicite pleinement de trouver en vous des collaborateurs qui, tout en ayant le sentiment très vif de leur devoir de délégués de la population indigène, savent les faire concilier avec leur attachement profond à l’Administration et à la France.

    Lorsque des personnalités du monde politique ou journalistes viennent en Algérie étudier sur place les progrès que nous avons accomplis dans ce pays, leur attention se porte tout naturellement vers les élus.de la population indigène, et en particulier vers ceux d’entre eux qui siègent aux Délégations financières et qui sont l’expression la plus élevée de cette représentation.

    Véritablement, l’Administration peut être fière de trouver dans votre assemblée des personnalités aussi éminentes, qui représentent avec une distinction réelle la population musulmane de ce pays.

    Messieurs, après avoir joint les félicitations de l’Administration et mes compliments personnels à ceux que vous adressait tout à l’heure M. le Président, vous me permettrez de vous dire aussi combien je me félicite de retrouver mon ami Sisbane au fauteuil présidentiel qu’il occupe, je ne crains pas de le dire, avec un rare bonheur.

    Les membres du Gouvernement venus en Algérie à l’occasion des fêtes du Centenaire, les personnalités éminentes qui, sans faire partie du Gouvernement, appartiennent cependant à l’élite de la mère patrie, ont particulièrement remarqué les discours prononcés par votre Président.

    Ces discours ont été pour eux une véritable révélation ; ils ne soupçonnaient pas que parmi les indigènes d’Algérie il s’en fût trouvé d’aussi cultivés, d’aussi distingués. Et si nous avions dû, nous, administration, citer des exemples de l’œuvre morale accomplie par la France dans ce pays, eh bien, vous ne serez pas surpris de m’entendre dire que nos regards se seraient tournés vers M. Sisbane, qui est l’exemple vivant de cette œuvre magnifique dont la France s’enorgueillit.

    C’est pourquoi, mon cher Président et Ami, il m’est particulièrement agréable de vous saluer à la place que vous occupez si bien.

    Je voudrais aussi, Messieurs, vous exprimer toute ma gratitude pour les paroles que votre Président, parlant tant en votre nom qu’en son nom personnel, m’adressait tout à l’heure.

    L’Administration des indigènes est une Administration difficile, difficile pour tous mes collaborateurs et difficile pour moi-même. En accomplissant notre devoir, nous ne récoltons pas toujours seulement des satisfactions; les roses qui nous entourent ont souvent .des épines ; mais tout cela est négligeable. La satisfaction du devoir accompli plane sur tout le reste : la seule gratitude que nous désirons, c’est celle, que vous venez de m’exprimer en termes qui m’ont profondément touché.

    Je vous remercie de l’affection dont vous m’honorez. : un des meilleurs souvenirs que j’emporterai de ma longue carrière, c’est celui de vous avoir toujours aimés et de vous avoir toujours loyalement et fidèlement défendus quand vous le méritiez.

    Voilà ce que je retiendrai d’une carrière de près d’un demi-siècle passée tout entière au milieu de vous.

    C’est vous dire, mes chers amis, toute l’affection que je vous garde, une affection véritable, une affection profonde qui durera autant que moi.

    Encore une fois, merci ! (Vifs applaudissements)

    Anonyme
    8 août 2017 - 11 h 19 min

    Monsieur le premier ministre Teboune se trouve actuellement en vacances surla côte d azur en compagnie d’une famille dont il a promu la fille comme cadre supérieur à l OPGI de Blida avec affectation d’un chauffeur et deux véhicules haut de gamme.

    Anonyme
    8 août 2017 - 10 h 23 min

    AUPARAVaNT C EST ARRIVE A BELKHADEM LORS DE SA VISITE AU MAROC ET LA TV N A PAS MARCHE; QUELQUES JOURS PLUS TARD IL FUT VIRE. C EST AU TOUR DE TEBOUNNE DE SE PREPARER (…)

    Ammar
    8 août 2017 - 9 h 38 min

    L’informel s’est imposé comme pratique économique et maintenant comme pratique politique gouvernementale.
    C’est un aboutissement logique d’un processus politique qui ne reposait pas sur un projet de société, mais sur l’intérêt d’un groupe au-dessus de l’intérêt de nation

    Aidouni
    8 août 2017 - 9 h 30 min

    Ce qui est intrigant ce n’est pas le fait que les médias francais n’ont pas couvert cet évenement, mais que la télé algérienne publique l’ait ignorée. D’ailleurs il faut se poser la question pourquoi ?
    S’il y avait un commandant de bord dans l’avion Algérie, nous n’aurions pas tous ces chaos, incertitudes, rumeurs et spéculations.
    BOUTEFLIKA est tellement malade qu’il ne peut plus gouverner et encore moins recevoir des chefs d’état.
    La situation engendrée par cet empêchement chronique est tellement dramatique que même MACRON s’est vu dans l’obligation de dire entre les lignes – dans le passage «le projet de grande visite officielle que je serais très heureux et honoré d’effectuer en Algérie, au moment qui vous conviendra” – de son dernier message à BOUTEFLIKA et aux Algériens, « si vous voulez que je vienne en Algérie, présentez moi un président avec qui je pourrais discuter ».
    L’application de l’article 102 qui devrait régler les conséquences de l’empêchement du président étant actuellement verrouillée par ceux qui, consciemment ou inconsciemment, œuvrent pour le démembrement de l’Algérie, qu’il ne reste aux forces patriotiques du pays aucun choix, que d’unifier leurs efforts dans le cadre de la constitution pour déloquer cette situation.
    Le peuple algérien accueillera toute initiative de salut national avec grand enthousiasme et sera à ses acteurs très reconnaissant.

    malikboubakir
    8 août 2017 - 8 h 39 min

    كفاكم عبثية بهذا الشعب الذي صار اليوم يعرف كل صغيرة وكبيرة ، نحن نتجه من السيء الى الأسوأ …بمثل هذه الأخبار والصور والمصاريف بالاف الدولات كيف نخلق التضامن الحقيقي في عز التقشف وكيف يفهم المواطن المهموم الذي يصارع حرائق الغابات في مناطق لم يذكرها الاعلام مع انقطاعات متكررة للكهرباء وجفاف المياه ……

    bougamous
    8 août 2017 - 8 h 24 min

    C’est une rencontre officieuse, comme il y en a partout et de tous les politiciens.Arrêtez de voir des
    anguilles partout!!

    zaatar
    8 août 2017 - 8 h 06 min

    Ce qui est intriguant c’est le fait que le système qui nous gouverne soit encore en place et ce depuis plus de cinquante ans….

      TARZAN
      8 août 2017 - 11 h 33 min

      zaatar le système qui est en place????? de quel système tu parles? en plus est ce que tu es algérien? car le système qui est en place, nous les vrais algériens on le veut! ce système dérange le maroc, dérange la france et ses criminodémocrates de bhl, zemmour, kouchner, lang et cie, ce système dérange israel, ce système a remis l’algérie debout et a fait échouer toutes les tentatives de tes maitres, pour mettre l’algérie et les algériens à genoux, ce système si tu ne vis pas en algérie, permet d’une manière très intelligente de passer à une vraie démocratie en respectant toutes les étapes indispensables pour y arriver. prenant le cas de ton pays le maroc, est ce qu’un journaliste ou un simple marocain peut critiquer ton roi-dieu? non! en algérie tout le monde est libre de critiquer tout le monde, à la télé, à la radio, les journaux, à travers les chansons, théatre, etc. l’algérie est le pays le plus démocratique dans le monde arabe et africain (après l’afrique du sud)! le système dérange tellement de gens comme toi et les pays ennemis de l’algérie que je souhaite que said bouteflika soit notre président si son frère disparait, car avec bouteflika nous sommes sur la bonne voie et il a fait un travail de nettoyage politique extraordinaire. tout est sain dans notre système si on le compare à la france , au maroc, etc. vive l’algérie et vive boutflika un vrai génie de la politique et qui rendu la fierté aux algérie et la grandeur à l’algérie. je te rappelle aussi que c’est bouteflika qui fait rentrer la palestine et arafat à l’onu, et si ce système te dérange c’est que tu es uun ennemi à l’algérie et à son peuple! et vive l’institution militaire algérienne (qui est l’équivalent du congrès américain) qui veille sur notre pays!

        Marre du Khorti
        8 août 2017 - 14 h 59 min

        J’espère que tu mets de l’argent de côté, car bientôt il n’y aura plus assez d’argent pour payer les baltaguias dans ton genre.

          TARZAN
          8 août 2017 - 15 h 30 min

          les baltaguias sont dans ton pays le maroc pas en algérie. j’espère que la frontière sera fermée à jamais. vous les marocains, français et israeliens bouteflika vous dérange car il a fermé les frontières avec le maroc par lesquelles tous les malheurs de l’algérie arrivent. vos discours sur la démocratie à la bhl mettez là, là ou tout le peuple algérien le pense….tu dis de mettre de l’argent de côté, vous les marocains vous avez deux types de discours celui là et les généraux qui nous pillent tout notre argent, mais ne t’inquiète pas bouteflika a mis de l’argent de coté car il est visionnaire. occupez vous de nourrir les gens du rif qui crèvent de faim

    Jean_Boucane
    8 août 2017 - 6 h 51 min

    Il m’a decu… si on est en sous develloppement c’est en partie du a nos dirigeants placé par la France et qui nous saigne! Ils sont soumis, des vrais colonisés!

    Rayés Al Bahriya
    8 août 2017 - 0 h 47 min

    Les mauvais diseur sont les bons faiseurs.

    Il roule pour ses maîtres francos…

    (Quel) temps

    Mustapha
    8 août 2017 - 0 h 21 min

    Le 20 heures d’el yatima a zappé l’info …

    Cheikh kebab
    7 août 2017 - 23 h 55 min

    Et Tebboune veut lutter contre l’informel??!!

    Ouelechaab
    7 août 2017 - 23 h 42 min

    Des luttes de pouvoir passent ainsi avant les urgences de la Nation, comme la gestion centrale faillie de la protection civile, l’austerite informelle rampante, la predation qui se poursuit, la gestion faillie des ressources et equippements hydriques, etc. etc.
    Face a cette situation, s’interesser a des joutes electorales dans tous les cas faites mensongerement pour l’opinion externe surtout, est a la limite de la traitrise.

    Oueldechaab

    lumière
    7 août 2017 - 23 h 32 min

    Peut-être a-t-il demandé l’asile politique à la France au cas où…….

    Abbane
    7 août 2017 - 22 h 13 min

    Il est temps que des hommes se lèvent pour sauver ce pays de ces guignols. … le moment venu ce peuple se réveillera. .l’algerie n’est pas un royaume ..javais nous accepterons ce fait accomplie ..une résistance se lèvera

    Aidouni
    7 août 2017 - 20 h 03 min

    Dans l’agenda d’un premier ministre, il n’y a pas de place à l’informel, même lorsqu’il est en vacances. Surtout dans la période actuelle, pleine de rumeurs et d’incertitudes liées à l’absence devenue insoutenable de BOUTEFLIKA.

    Cette rencontre va certainement faire croitre les tensions à Alger entre les protagonistes pro- et contre le prolongement de l’ère Bouteflikienne. Et la France va se ranger logiquement derrière ceux qui d’après elle, veilleront le mieux sur ses intérêts en Algérie. L’intrusion de l’ancienne puissance coloniale dans la politique interne de l’Algérie s’affiche au grand jour.

      Marre du Khorti
      8 août 2017 - 14 h 54 min

      « …Et la France va se ranger logiquement derrière ceux qui d’après elle, veilleront le mieux sur ses intérêts en Algérie…. ». Peux tu me citer un seul pays au monde, qui ne va pas se ranger derrière ceux qui veilleront le mieux à ses propres intérêts en Algérie ?

    TARZAN
    7 août 2017 - 20 h 01 min

    effectivement quand j’ai lu l’information, je trouvais cela très très intriguant et ça suscite beaucoup d’interrogations. qui veut rencontrer l’autre? macron et bouteflika sont ils au courant et organisateurs de cette rencontre? tout le monde sait que bouteflika ne veut pas recevoir macron (et c’est à très bon escient d’ailleurs), macron cherche t -il à forcer la main à notre président? macron a été élu grace au vote des algériens et de l’aide de l’algérie puisque les marocains avaient voté en masse pour mélenchon, bouteflika n’a pas apprécié le bras d’honneur de macron à l’algérie en allant nous humilier au maroc puis d’écarter les français d’origine algérienne au profit des français marocains dans toute la sphère politique.

      HOUMTY
      7 août 2017 - 21 h 34 min

      SALAM ALAIKOUM LKHAWA , TRES BONNE DEDUCTION « TARZAN » SI NOTRE PRESIDENT NE VEUX PAS LE RECEVOIR ,(MACRON) IL A RAISON A 110/100 POUR LA RAISON SUIVENTE : IL ETAIT QUE CANDIDAT , POURTANT NOTRE STAFF DU M.A.E , L’A RECU COMME UN CHEF D’ETAT , S.U.V AVEC GIROPHARE CLIGNOTANT A L’AMERICAINE ,CONVOI EXEPTIONNEL ETC… ETC, BREF ON L’A RECU BLAK’DER . COMME REMERCIEMENT, SON 1er VOYAGE IL LE FAIT AU MAROC… IL A QU’A ALLEZ FUME UN CALUMET AVEC LE ROITELET ET ACHETE UN APPART A CASA . VIVE L’ANP ET L’ALGERIE FORTE ET INDIVISIBLE

    Aidouni
    7 août 2017 - 19 h 41 min

    Je me posais la question pourquoi TEBBOUN a-t-il choisi de passer des vacances en France. Maintenant, je comprends pourquoi. Ce n’était qu’un prétexte pour faire passer cette rencontre avec le premier ministre français. Il doit avoir un message important à communiquer aux Français, mais de la part de qui.

    Il y a bien des nuages très sombres sur l’Algérie. Et un orage dangereux ne tardera pas de faire des dégâts majeurs.

    anti-khafafich
    7 août 2017 - 18 h 39 min

    le developpement de tourisme en Algerie, son show quant au projet de la grande mosquée, son « interdiction » d’importer les pommes de france…n’etaient que du bloeuf !!! qui devons nous croire dorenavant ???

    226
    7 août 2017 - 18 h 28 min

    Peut etre qu’il est a la recherche d’un appartement.qui est tout a fait normal de nos jours.

    difou.guery
    7 août 2017 - 18 h 23 min

    Q ES Q IL EST EN TRAIN DE NOUS PONDRE?

    MELLO
    7 août 2017 - 18 h 19 min

    Rencontre informelle dites vous ? En politique, en gestion gouvernementale de pays, il ne peut y avoir des rencontres informelles , sauf… si Emmanuel Macron est un vrai ami de l’Algérie, il devra expliquer aux dirigeants algériens comment les pays démocratiques donnent la chance à tous ses enfants. En revanche, s’il trouve normal qu’un pays, dont 75% de la population ne dépasse pas les 30 ans, soit gouverné par les octogénaires, c’est qu’il n’est qu’un ami du régime. Donc une rencontre entre amis.
    En recherchant, dans ce paysage médiatique Algérien désertique, il est question d’un voyage personnel pour congé de Mr TEBBOUN en France. Edouard Philippe en ami , a saisi cette occasion pour inviter , en amical, Mr TEBBOUN à l’Hotel Matignon 57 rue de Varenne, dans le 7e arrondissement de Paris. Pour une chambre ? pourquoi pas.

    L'inspecteur
    7 août 2017 - 18 h 08 min

    Pendant ce temps Sellal se la coule douce chez son gendre Libanais à Londres..

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