Comme en Algérie : l’Italie interrompt les élections pour sauver la démocratie

Sergio Italie
Le président italien Sergio Mattarella fait barrage à l'extrême-droite. D. R.

Par Mrizek Sahraoui – Ce qui se passe en Italie, à s’y méprendre, ressemble et rappelle un épisode de l’histoire de l’Algérie d’autant plus douloureux qu’il a été vécu il y a un peu plus d’un quart de siècle. Qui l’aurait dit ?

Succinctement, le 4 mars dernier, les Italiens étaient appelés à élire les membres du Parlement et, dans la foulée, désigner le chef du gouvernement. Les résultats ont été sans appel : les Italiens, soumis à la pression financière européenne et migratoire, en avaient ras le bol et avaient voté largement en faveur des partis populiste et nationaliste. Après d’âpres tractations, de soubresauts et de revirements, une coalition composée du Mouvement 5 étoiles (M5S) – populiste – et de la Ligue du Nord – nationaliste et raciste – ont réussi à proposer un chef du gouvernement, Giuseppe Conte. Le président Sergio Mattarella, sans doute sous pression lui aussi de l’Europe et, surtout des marchés financiers, a opté, ce lundi, pour la nomination d’un gouvernement technique en attendant de nouvelles élections législatives anticipées prévues à l’automne.

Rien à ajouter. Sauf que l’Italie est sur la même longueur d’onde que l’Algérie, mais presque avec trente ans de retard. Le président Mattarella vient d’arrêter le processus électoral italien, avec la bénédiction et au grand soulagement de l’Europe qui vient d’enregistrer et de cautionner un déni de démocratie si l’on adopte une position analogue à celle qu’un certain nombre de pays européens avaient affirmée et tenue en janvier 2012, lorsque il était question de l’instauration d’une République islamique en Algérie. Autres temps, autres mœurs, serions-nous tentés de dire.

Même s’il faut applaudir des deux mains la décision du président italien, Sergio Mattarella, d’avoir refusé qu’un ministre, Paolo Savona, ouvertement anti-européen qui prône la sortie de l’euro, et plus largement, de n’avoir pas permis à la coalition composée de populistes et de nationalistes xénophobes de constituer le gouvernement, avec pour Premier ministre, Giuseppe Conte, il n’en reste pas moins vrai aussi que, si l’on se réfère aux déclarations d’il y a presque trente ans qui soutenaient sans la moindre réserve la poursuite du second tour des élections législatives algériennes de 1992, alors, les Abassi Madani ( Luigi di Maio) et les Ali Belhadj (Matteo Salvini) italiens devraient être en mesure de pouvoir prendre les manettes en Italie. Sans sourciller.

Non ! Ça ne devrait arriver qu’aux autres, s’imaginait-on peut-être. Quand il y a danger en la demeure, l’Europe s’en prémunit. Chez les autres, justement, on parle de déni de démocratie.

Merci, on a compris !

Comment (43)

    Lghoul
    30 mai 2018 - 4 h 18 min

    Finalement les europeens diront tout haut ce que tout le monde pense tout bas: Les anglais ont raison de quitter cette europe de bureaucrates qui ne font absolument rien sauf se faire engraisser et se faire payer des salaires et des benefices faramineux. Cette europe dont les denominateurs communs sont la france qui se remplit les poches tout en faisant ce qui lui plait et de l’allemagne qui domine tout economiquement a defaut de le faire militairement.
    Donc apres les anglais les italiens sont en train de dire basta a cette fraternite dictee par la finance et les forces occultes internationales appellees « globalisation ».

    Salah
    30 mai 2018 - 3 h 59 min

    Aucun rapport entre une democratie qui veut etre guidee par la dictature bureacratique de l’europe et une Algerie qui voudrait se faire guider tout droit au gouffre islamiste. Deux sujets differents et aucun rapport entre eux.

    Le Patriote
    30 mai 2018 - 2 h 55 min

    C’est très judicieux de faire le parallèle entre le veto du président italien au gouvernement proposé par Giuseppe Conte et l’interruption des élections de 1991 en Algérie. Mais qu’on ne s’y trompe pas. En Algérie le FIS avait mené le pays au bord de l’abîme mais de vrais patriotes prirent une décision historique et arrêtèrent le processus soi-disant électoral. On ne les remerciera jamais assez et l’Histoire leur rendra reconnaissance. En Italie la raison qui a poussé le taciturne président Matarella est purement d’ordre financier et son veto n’a concerné que la candidature au poste de ministre des finances d’un extrémiste de droite parmi la liste du gouvernement lui même d’extrême droite. Et c’est l’Europe qui s’est levée comme un seul homme pour faire barrage à celui qui représenterait un danger pour la finance mafieuse en Europe. Comme elle (l’Europe) le fit en poussant le gauchiste Tsipras en Grèce à limoger son ministre des finances qui prenait son rôle au sérieux en menant une politique d’indépendance vis-à-vis du FMI et la Banque Centrale Européenne, qui purent en toute quiétude mener une politique d’étranglement de la Grèce. Ce qui n’a pas empêché par ailleurs d’accepter l’arrivée de racistes au pouvoir en Hongrie et en Pologne pourvu que les intérêts financiers de la mafia internationale de la finance ne fussent pas touchés.
    == Mais revenons au parallèle avec nous et acceptons-le par hypothèse. Alors en prolongeant les parallèles et en utilisant une propriété géométrique de la symétrie, on peut en déduire que l’Algérie devrait proposer sa médiation aux parties en conflit en Italie en leur organisant une rencontre à Alger au siège nouvellement inauguré de la zaouia Belkaïdia qu’on rebaptisera pour la circonstance « san’Belkaïd. La rencontre sera animée par Ali-Yahia Abdenour, le secrétariat sera assuré par le représentant du FFS, Louisa Hanoune dirigera l’orchestre des orfraies, assistée de Khalida Massaoudi qui pendant les pauses dirigera la prière mais debout conformément à son célèbre livre.. Comme observateurs, il y aura Anour Hadam, Djaballah sera habillé en soutane. Il y aura également Ould Abbas remplaçant de Mehri décédé. Djamel leur lira un message du Très-Haut. Et, the last but not the least, l’invité d’honneur sera Saïd Saadi qui tiendra une conférence sur les effets du déreglement climatique qui empêcha (ou fit avorter) l’avènement du printemps en Algérie à la suite des printemps dans le monde arabe. Il expliquera son dégo^t de ces météorologues qui l’empechèrent de se produire alors que pourtant tous les ingrédients étaient réunis: Bernard-Henry en « rain maker » n’y put rien. Saïd concédera que l’unique faute qu’il commit fut que ses meetings de « Salat el Istiska » étaient organisés un Samedi. Il concluera doctement (normal, pour un docteur) que si le printemps ne prit pas en Algérie c’est tout simplement parce que l’Algérie n’est pas arabe……………

    Anonyme
    30 mai 2018 - 2 h 11 min

    Très bien argumenté,sauf que je suis pas d’accord avec le qualif de  » nationalistes » que vous donnez à ce parti raciste. Nos journalistes aussi commettent la même erreur en traitant les FLN neo nationaliste et l’opposition comme démocrates.. Le nationalisme n’est pas l’exclusivité du FLN,je vois pas en quoi le rcd ffs pt jil djadid….ne seraient pas nationalistes?? Et autre erreur de dire  » famille révolutionnaire » pour désigner FLN onm ugta? Le pags de hachemi cherif ne serait pas révolutionnaire?? Le ffs ne serait pas famille révolutionnaire??
    Cordialement.

    wanna
    30 mai 2018 - 1 h 43 min

    MDR MDR rien avoir_quelle_mensonge.les election en algerie_ont etes interompues et_2me tour n’as êtes.par clntre en italie les elections ont etes_faites et le gouvernement_a respecté le choix des italiens_en algerie le_choix n’a pas etrs respecté.et les election ont étés interempu

    Hind Ben
    29 mai 2018 - 21 h 05 min

    Quand je vois ce qui se passe en Europe j’ai envie de dire merci mon général de nous avoir épargner l’irreparable, une république algérienne afghanisnisée sous le contrôle de la gandoura et de la veste en cuir.

    Salim31
    29 mai 2018 - 20 h 59 min

    Saha ftorkom
    la question est de savoir si le concept democratie – droit dl homme tel que reglemente n’ est un piege pour la democratie elle meme __
    En l etat actuels ds choses avec la dominance du capitale sauvage double la dictature des droit de l hommistes qui ne reconait pas les limites des etats ni les particularites des peuples _
    les futures democraties occidentales seront probablement d extreme droite _on les voient deja comme les heros sauveur de l identite europeen ;
    c est une question de temps _alors que pour les pays muslman la menace de theocratie islamiste est tjrs presrnte __les pays africans quant a eux , leur programme c est la transhumance planetaire comme les a qualifie l elu Trump __
    le monde est completement deboussole les democratie actuellent ne proposent que pauvretee immigration et transhumance _ replis identitaire _ou religieux ..
    En attendant de trouve une solution planetaires a cela _les democratie occidentales pourront s inspire de la DEMI-CRATIE et du model electorale algerien et du 1/3 presidentiel pour barre la routes au neo nazis ,,
    L italie s inspire de l algerie 30 ans apres , comme l aurait du le faire le kaizer 60 ans avant , ce qui aurait empeche Hitler de devenir furer ;
    trop ffoort les algriens ..

    Anonyme
    29 mai 2018 - 20 h 41 min

    C est un coup de maitre dont les italiens ont l art et la manière ; cest du bluf vis a vis des autres pays membres qui leur demande de rembourser les sommes colossales qui doivent à UE ; y a pas lgtps Bruno Lemaire tiré sur l Italie juste avt ses élections ; bizarre c’était prévu et calculer pr faire peur aux autres européens en metant ses individus d extrême droite au pouvoir tt ensachant qu il pouvait les empêcher de le prendre et ainsi revoir la copie avec les memebres de L UE et ne pas rembourser et le fait que le président interviens les autres européens verront a la baisse ou d autres solutions financières plus flexibles pr l Italie. ses derniers temps ils se sont pas fais de cadeaux entre membres et le protectionnisme de chaque nations membres déjà l Italie avait acheté une S A de flotte maritime de paquebot en France et la vente a été annulé par le gouvernement français alors que la concureence est ouverte chacun la ralenti si ca gène l intérêt propre de la nation et prenne des sanctions amendes qui sont loin du bénéfice dégagé ; la vérité chacun sauve son pays et comme il a dit De Gaulle y a pas d amis entre les pays mais des intérêts ; l Europe ils l ont pas faite pour combattre l Afrique car un seul pays la France l a colonisé presque entièrement mais plutôt ctre les USA qui leur laisse que les miettes et ne les laisse grandir sans leur aval et demeure encore sous l emprise d une armée européenne commandé par les USA  » OTAN » ; pkoi l Otan est en Europe qui la dirige les européens ou les USA? ben si il dirige ceci il dirige le reste , Allez chiche les européens faites une armée européenne autonome et viré l Otan des USA en Europe ben c est impossible vs reviendrez a l âge de pierre faut pas se leurré Oncle Sam reste le Grd Boss des pays occidentaux depuis 1945 à ce jour ; ils ont pas le choix à moins de pouvoir le dépasser en ttes choses donc c est plus facile a dire qu a faire ; la Chine vs dépasse largement la Russie vs dépasse aussi et eux reconnaissent qu ils sont loin économiquement et industriellement de rivaliser avec la première puissance mondiale bref vs avez du boulot ds ce cas pti européens. Quand ses 3 grd cités ci dessus se font face hé ben vaut mieux que les autres souris s écarte ‘ France Angleterre Allemagne et l Europe meme ; donc nous les africains et arabes on n existe meme pas et c est la vérité.

    Anonyme
    29 mai 2018 - 19 h 50 min

    Comme en Algérie : l’Italie interrompt les élections pour sauver la démocratie ?

    Cet article n’est pas du tout cohérent , pourquoi ? …..

    L’Italie fait face actuellement à une crise financière sans précédant avec une dette de plus de 132 % du PIB
    une austérité au niveau de la Gréce , une industrie en déclin , une invasion massive de migrant , bref le peuple Italien en à assez de cette europe qui ruine toute l’eurozone et il l’à fait savoir avec les derniére élection qui ont permis aux anti/europeen du mouvement 5 étoiles d’être élu !…
    @ savoir que cette UE a été construite sur des bases malsaines tel que la finance spéculative au bénéfice des pourritures wall street , rotschild , goldman sachs !

    Anonyme
    29 mai 2018 - 19 h 16 min

    Contrairement aux islamistes qui prêchent pour un régime califal inique et irrationnel, les partis italiens dits d’extrême droite oeuvrent contre l’Union Européenne dont les instances supranationales commencent à agir avec les mêmes méthodes des Soviets. Ces partis sont contre l’immigration qui pose de graves problèmes en Europe. Ils défendent la souveraineté de leur pays face aux institutions européennes qui leur imposent des programmes d’austérité et d’ouverture des frontières dans un but mondialistes. Ce sont ces mêmes instances qui exercent leur pression sur l’Algérie pour ouvrir ses frontières aux migrants africains subsahariens, pour privatiser les biens publics, bref pour que le tissus national soit régulé sur le mode d’un libéralisme sauvage. Le Maroc qui applique à la lettre ces directives est en passe de ne plus exister comme pays. Des régions comme le Rif sont en train de se séparer, comme la Catalogne en Espagne.

    Nadjma
    29 mai 2018 - 18 h 46 min

    Cet article a fait sortir les rats de leur terrier, les adeptes de l’ex FIS qui font des commentaires sur AP depuis quant sont ils patriotes et sont ils même algériens eux qui n’ont pas hésité à assassiner des algériens sur ordres et salaires de l’occident. Ils croient quoi ces harkis 2e saison qu’ils auraient pu encore parler, faire des commentaires ou même respirer s’ils étaient dans un autre pays que l’Algérie?
    Un très bon article merci Monsieur Sahraoui. Maintenant peu importe ce que fait l’Italie de toutes façons l’Europe est aux abois, le GIA ne lui a pas rapporté l’Algérie et Daesch ne lui a pas gagné la Syrie, l’Occident et ses milices islamistes ont perdu. Quant à l’interruption du processus électoral de 92, nous ne remercierons jamais assez ceux qui sont à l’origine de ce sauvetage de l’Algérie. Sinon on peut aisément imaginer le scénario: les ordures mercenaires de l’occident auraient pris le pouvoir et auraient commis leurs crimes légalement. Ils trahissent leur pays et leur peuple de la plus violente et de la plus horrible des manières et ils parlent mais il est vrai que la vermine n’a ni conscience ni honneur.

    الهوارية
    29 mai 2018 - 17 h 53 min

    L’Algérie reste un exemple pour le monde entier dans sa lutte antiterroriste et sa lutte et pour sa préservation de son unité nationale de son peuple multiethnique et multiculturel et sa démocratie bien que les pays d’Europe nous ont toujours imposé des barbares sous le masque d’islamistes tyranniques et sanguinaires.
    L’Algérie reste un exemple aussi pour toutes les luttes contre l’ennemi envahisseur qui s’est incrusté sur son territoire sans jamais vouloir s’en aller.. Et contre ceux qui voulaient diviser son peuple et le piétiner. L’Algérie a toujours été un pays combattif et redoutable, personne n’a le droit de mettre en péril sa démocratie, parce que son peuple n’est pas seulement des hommes libres, mais aussi des hommes et des femmes braves garants de leur Algérie.
    Les Européens ont toujours engendré des dictateurs: des Mussolini, des Franco, des Hitler des Staline, des Tito, des Ceausescu et d’autres criminels qui ont décimés la moitié des habitants de la Planète…
    Je ne crois pas à la sauvegarde de leur démocratie car ils continuent de copuler bel hram pour nous pondre d’autres crapules tyranniques qui prendront la relèves de leurs ancêtres, c’est des menteurs usurpateurs de démocratie. En Europe, on doit se la fermer et paraitre tout petit pour vivre tranquille, sinon tu sera taxé d’anti quelque chose, c’est gavant à la fin, y’en a marre!!!!

    CITOYEN
    29 mai 2018 - 15 h 59 min

    le cas des élections italiennes actuelles mémé s’il présente une certaine similitude avec ce qui s’est passé en 1992 en Algérie puisque par des élections il y a eu en Italie émergence d(une coalition populiste et en Algérie un parti aussi populiste qui remettent en cause les fondements politiques de chacun des deux pays mais la différence entre l’Algérie et l’Italie c »est que le président italien a usé des prérogative que lui procure la constitution italienne donc en parfaite accord de droit par contre en Algérie cela s’est déroulé d’une manière brutale comme à l’habitude même si pour plusieurs raison on peut luiu conférer un caractère légitime . Donc en toute humilité et même si nous partageons le sentiment de fierté nationale je pense qu’il n’y a pas à comparer mais plutôt à méditer ..

      BEKADDOUR MOHAMMED
      29 mai 2018 - 19 h 02 min

      @ »CITOYEN
      29 mai 2018 – 15 h 59 min
      « je pense qu’il n’y a pas à comparer mais plutôt à méditer .
      ———————————————————————–
      Exact ! La scène mondiale a terriblement changé au cours de ces trente dernières années, et la logique qui a plongé l’Algérie en enfer n’est pas la logique qui perturbe les Italiens… Un point de similitude : L’invasion des « migrants » et ses animateurs.

      Anonyme
      29 mai 2018 - 21 h 21 min

      ben si les algériens était des italiens ou européens ca se verrai . ..c est plus complexe que ca pr l Algerie pays africain avec peuple africain déjà . la vs nous parlez d un pays qui fabrique Ferrari Lamborghini Alpha Roméo Fiat ect ect on parle bien de ce pays; juste leurs clubs de foot sont des multinationales ; la Mode le Luxe et ca reste un pays avancé et industrialisé ; trvé moi un seul pays arabes avec son peuple créatif travailleur intelligent solidaire citoyens et leurs gouvernements qui s accroche as au pouvoir car c est le peuple qui décide ds ses pays occidentaux ensuite oui il y a des gardes fou ds la constitution ou des alinéa permettant la dissolution ou acceptation du nveau gouvernement par le presdt en place ; la noter a été bafoué et Chadli sest barré et a laisser tomber son peuple qui a choisi le Fis de l époque démocratiquement ensuite l ANP garante du pays a fait un choix et un mauvais choix pr les uns et les autres me concernant c est un bon choix car je préfère de loin une dictature qu une dictature plus la religion aujourd hui l Algerie se porte mieux qu avec Chadli ou ses islamiste qui vlait instauré la Charia comme unique loi aux algerien(nes) . Oui en effet aujour dgui en Algerie on peut remercié l ANP et Bouteflika d avoir rendu qd meme aujour dhui ou memes des pays européens puissant ne sont plus sure due au terrorisme de daesh ; L Algerie est devenu un havre de paix avec ses problèmes mais nous allons inch allah ds la direction de l etat de droit mais il ft du temps car nous sommes pas un peuple européen endurci mur qui eux depuis tres lgtps l etat de droit et la démocratie existe et l industrie à grde échelle aussi ; c est pas notre cas ni au peuple algerien ni a nos gouvernements successifs ca serai se mentir a sois meme ; on commence et on va assez vite mais ca va venir je suis optimiste sur ce sujet parce que l Algerie a tt les atouts .

      Argentroi
      29 mai 2018 - 21 h 38 min

      Oui, à méditer quand un président de la république, en dépit de l’interdiction faite par la constitution, légalise des partis à caractère religieux. Oui, à méditer quand des députés FLN ou plutôt barbefélène débattaient sur la longueur du bâton et le nombre de coups que devaient donner un homme à sa femme récalcitrante. Oui, à méditer quand les islamistes aidés par les services de l’époque ont pu déloger des mosquées les vieux imams pour les remplacer par les prochains égorgeurs. Oui, à méditer quand durant toute une décennie au vu et au su de l’état défaillant et complice, des formations paramilitaires et un endoctrinement étaient dispensés aux futurs égorgeurs dans tous les villages et villes d’Algérie, au revers d’une colline, en forêt, au creux des dunes et derrière les plages. Oui, à méditer sur ceux qui se gargarisent du résultat des élections et de la démocratie quand tout un pays était livré au diktat de ces islamistes où même un président s’était vu contraint de cloitrer sa femme qu’on voyait parfois à la télé. Moi, je croyais qu’avec tout ce qui ce qu’on a vécu et avec ce qui se passe actuellement dans le monde, il n’est plus question de méditer puisque les choses sont devenues claires comme l’eau de roche. L’Histoire n’est faite que de brutalités, alors parler de brutalité envers les égorgeurs du peuple dans les faux barrages, à la tombée de la nuit ― la nuit, on se terrait et on éteignait les lumières― et au détour d’un virage est tout simplement sidérant !

    Felfel Har
    29 mai 2018 - 15 h 44 min

    N’est-elle pas hideuse et hypocrite cette Europe, pleine de morve et d’arrogance,qui s’érige en donneuse de leçons qu’elle n’applique pas pour elle-même? Où sont donc ses sermons sur la liberté, la défense de la volonté populaire, sur le respect du choix du peuple? Les « démoncrates, » devenus « monnaiecrates » , ne cachant plus leur tyrannie, n’hésitent pas à tordre le cou à leur propre doctrine, celle qu’ils opposent aux autres pour chanter les vertus de la démocratie. L’Europe montre des signes d’affolement car les peuples ne se reconnaissent plus dans son projet, depuis longtemps piraté par des élites soumises au Capital, au nom de la rigueur, de l’optimisation et de la mondialisation, véritables rouleaux- compresseurs qui laminent les plus faibles et fait la partie belle aux nantis. Préparons l’épitaphe « Ci-git le rêve européen »!

    Anonyme
    29 mai 2018 - 15 h 11 min

    y a pas photo. l’Italie interrompt les élections pour sauver la démocratie L Algérie interrompt les élections pour sauver le régime.

      Anonyme
      29 mai 2018 - 21 h 25 min

      Non pour sauver l Algerie et son peuple de ses monstres de terroristes islamistes qui ont bouzillé notre nation avec son peuple pdt 10 ans , tu devrais les remercier aujoud hui ;tu as tt faux!

    Anonyme
    29 mai 2018 - 14 h 58 min

    Franchement tout ses pays européens meme la France qui se la joue grande ne sont plus souverain depuis cette UE ; ttes ses nation ont les mêmes directives qu ils doivent appliqué entant que pays membre sinon il sont remis en place et leurs gouvernement respectifs sont impuissant et ne peuvent changer les règles qui les régies . Je vois deux pays européennes capable de sortir de cette UE la première qu il a fait la GB avec son Brexit mais n a jamais changé de monnaie qd il en était membre malin c est rosbif et plutôt proches des USA qd il s agit de crise internationales (allié) et l Allemagne qui a tjrs été un monstre économique meme la France je pense n a pas qu elle a les reins assez solide pr le faire mais fais parti des locomotives de cette UE .Voila pr moi un pays souverain c est un pays qui a sa propre monnaie déjà et ses propres frontieres ; c est ca une nation souveraine et l Algerie en est une meme avec ttes les problématiques rencontrées et connues mais souveraine …Est ce le cas de la France et de tt ses pays membres de l Europe ; ,non leur monnaie nationale n existe plus et leurs frontieres non plus (shengen). j ai aussi le droit de voir les choses de cette façon et bcps me rejoindrons meme les Français et les autres déçues de cette arnaque qu on appel L Europe mais qui et dirigé par les USA et leurs banques. La suprématie du Dollars ils peuvent le rivaliser de temps en temps mais reste le patron le dollars US en attendant et il laissera jamais l euro lui monter dessus parce que c est comme ca et pas autrement avec les USA ; pauvres européens va… .vs avez oublié que ceux sont les USA qui ont sauvé et construit l Europe avec le plan Marshall ; vs êtes dépendant de ceci a jamais et ils vs le rappellerons a chaque fois si vs voulez faire sans eux hier aujour d hui et demain alors ds ce cas Vive l Algerie qui ne doit rien a personne et ni a leurs banques et leur FMI banque Mondiale que les USA ont fabriqué aussi ..fort ses yankees qd meme !

    Vangelis
    29 mai 2018 - 14 h 10 min

     » Comme en Algérie … pour sauver la démocratie …  » !

    Comme vous y allez !

    Les cas sont sensiblement différents :

    * l’Algérie, si elle a arrêté purement et simplement le processus électoral, ce n’est pas tant pour sauver la démocratie, qui n’existait pas au demeurant mais pour, d’une part barrer la route à des islamistes et, d’autre part pour conserver le pouvoir que les tenants de celui-ci n’ont plus quittés.

    * au contraire, le président italien a refusé la nomination d’un ministre eurosceptique (il faut rappeler que le concerné, Paolo Savona est âgé de 81 ans) comme ministre de l’économie et des finances. Qui plus est, ce n’est que partie remise, puisque de nouvelles élections sont prévues pour le début de l’année prochaine.

    MELLO
    29 mai 2018 - 13 h 07 min

    Trente ans de retard pour l’Italie ? Aucune comparaison entre les deux pays. Italie,pays Européen par excellence, faisant partie des trois plus importants décideurs avec la France et l’Allemagne, s’est retrouvé à maintes reprises sans gouvernement durant de longues périodes sans pour autant se voir  »déséquilibré  » . Le peuple Italien avait voté et avait sa préférence pour une majorité qui ne sied pas trop à ses voisins Européens. Mais ,face à cette levée de bouclier, le chef de la majorité n’arrivait pas à former son gouvernement.
    Le peuple Italien n’en pouvait plus de cette hypocrisie Européenne, beaucoup plus directive que participative . C’est ainsi que les Anglais ,pourtant grand pays Européen, avaient décidé de se retirer de cet grand espace, qui ne donne aucune chance au développement interne.
    Le risque d’aboutir aux mêmes résultats,lors des prochaines élections, reste fort probable et même plus,c’est à dire on risquerait d’assister à un  »italexit » tout comme le brexit.
    Les deux situations ,entre l’Italie et l’Algérie, ne sont pas similaires.

    KIKI
    29 mai 2018 - 12 h 52 min

    La démocratie oui, mais que si votez comme on vous le demande !

    lol
    29 mai 2018 - 12 h 21 min

    Ha cette europe d’Amérique !

    صالح/ الجزائر
    29 mai 2018 - 12 h 21 min

    le Président Mattarella n’est pas sorti du cadre légal , il a recouru à ses prérogatives constitutionnelles , mais le Président algérien était , dès le départ , complice , avec les Abassi et les Belhadj .

    Karamazov
    29 mai 2018 - 11 h 26 min

    Oui, une démocratie comme la nôtre,ne peut faire que des émules. Voilà que les italiens prennent de la graine et nous emboitent le pas. Gageons qu’il fasse comme nous: revenir à un régime présidentiel et à la politique des cotas de députés godillots.

    Les représentants de la droite xénophobe et eurosceptique élus crient au scandale et dénoncent la désignations des dirigeants par Bruxelles et la finance ainsi que le déni de la démocratie.

    Mais quelle démocratie ? La démocratie c’est justement de voter pour les candidats indiqués . Comme chez nous!

    LE NUMIDE
    29 mai 2018 - 11 h 19 min

    Quand c’est l’Italie qui annule les élections pourtant propres et contre des partis nationalistes et patriotes civils purement italiens , là on applaudit et on ne dit rien .. Mais quand l’état algérien et son armée nationale mettent un terme et annule une farce électorale de 92 et une guerre civile annoncée et sauvent une nation contre une milice criminelle wahabiste dirigée de l’étranger sous couvert de parti islamiste . Là tout le monde crie au scandale et au crime démocratique et on se met à insulter les généraux patriotes de l’ANP de Hizb Franssa , on accuse l’Etat national algérien de Taghout et le peuple algérien berbère de Zouaves et de Kouffars … En 2018 !!!! Qui est le Taghout , votre Calife Trump et ses roitelets criminels arabes ou les officiers nationalistes algériens ? Qui est le traitre de votre Oumma ? , Qui est le Kouffar ? Qui vend Jerusalem ? Qui relève le kamis par l’arrière devant le bâton de Netanyahou ? qui complote au grand jour contre les palestiniens affamés ? Qui tue le Yemen ? Qui danse avec les Loups ? …. Ya ouled lekhab !!! .. Les rois arabes WAHABISTES ou le Noble peuple BERBERE et ses Officiers ???

    metek
    29 mai 2018 - 11 h 11 min

    Oui c’est vrai!!! les Italiens comprendront le mal que l’on a subi seuls avec leurs passivitè ou complicitè car bientot chez eux aussi il y’aura 200000 morts, 30000 disparus , des millions d’exilès parmi les cadres italiens, l’economie a terre, des centaines de milliards de dollars partis en fumèè ou dans les paradis fiscaux, un etat d’urgence et dans 25 ans y’aura pas encore d’alternance au pouvoir… et comme ca ils nous comprendront enfin

    awrassi
    29 mai 2018 - 10 h 44 min

    Le scénario n’est pas du tout le même, cher M. Sharaoui. Ici, il s’agit de deux oppositions politiques laïques, alors que nous avions à faire face à un potentiel régime wahhabite. Que l’Europe ne parle plus de démocratie; ce sont les financiers apatrides qui dirigent tout et refusent aux peuples d’être patriotiques et nationalistes …

    Rayes Al Bahriya
    29 mai 2018 - 10 h 20 min

    Eh bien c’est simple.
    Il y a 2 formes de justices.
    Il y a l’avocat qui connait bien la loi.
    Et il y a l’avocat qui connaît bien le juge. .

    UE moribonde
    29 mai 2018 - 9 h 43 min

    Je trouve que justement ce qui est anti démocratique c’est d’interdire le 1er Ministre choisi car les italiens ont voté parce qu’ils en ont marre de cette immgration massive imposée par l’UE (politique sioniste) ils ne veulent pas etre pauvres et étrangers chez eux pour reprendre Dominique De Villepin.
    Donc la démission du 1er Ministre Giueseppe Conte est forcée donc anti démontrique.
    D’ailleurs qui dit qu’une sortie de l’Euro c’est mauvais??! Pour l’Europe certes pas forcément pour le pays qui souhaite s’en extirper.

    lhadi
    29 mai 2018 - 9 h 34 min

    L’analyse des systèmes politiques s’est bornée à opposer démocratie (conçue comme un régime évident dans ses principes et simple à mettre en oeuvre) et la tyrannie. Les révolutions, depuis celle de 1689, en Angleterre, celle de 1776 aux Etats-unis et celle de 1789 en France, jusqu’à leurs héritières du XIXe siècle devaient mettre un terme à l’existence de nombre de tyrannie, remplacées par des démocraties. S’y ajoutant une assimilation presque générale entre république et démocratie, dictature et monarchie.

    A l’évidence, la distinction entre république et monarchie n’est plus que formelle. Leur opposition est dépassée : la Suède, le royaume Uni comptent parmi les régimes les plus démocratiques…

    D’un autre coté, les exigences, toujours plus élevées des hommes en matière de droits et libertés amènent à réaliser qu’entre l’idéal démocratique et sa pratique existent nombre de variations : l’accent mis sur telle ou telle liberté conduit à la constitution de régimes fort différents. Le droit au travail, à l’instruction, à l’assistance médicale et sociale était plus généralement reconnu dans l’ex-U.R.S.S qu’aux Etats-Unis, où en revanche, les libertés individuelles et politiques jouissent, aujourd’hui encore, d’une meilleure garantie.

    Les généraux-présidents, les monarques absolus et les présidents à vie se font rare. Désormais, l’absence de démocratie consiste plus souvent en une pratique politique inavouable, mais camouflée derrière des institutions garantissant en apparence le jeu régulier des pouvoirs, qu’en une dictature franche se présentant comme telle.

    Même si le crépuscule des dictateurs n’est pas celui de l’autoritarisme, c’est-à-dire de l’abus de l’autorité, l’évolution semble se faire au profit des démocraties pluralistes. Celles-ci notons-le se présentent sous des aspects variés : régimes présidentiels, semi-présidentiels, parlementaire.

    Il ne s’agit pas pour autant du triomphe définitif de l’idéal : les droits et les libertés économiques et sociales, y compris dans les pays où les libertés publiques sont les mieux garanties, restent largement à conquérir. La démocratie est un combat quotidien, elle n’est jamais réalisée.

    L’option politique de l’Algérie oscille entre la république socialiste (Cuba), la république populaire (Corée du Nord), la république islamique (Iran), la république semi-présidentielle (France) et la république présidentielle (Etats-Unis), alors que la république Italienne (crée en 1946) est une démocratie parlementaire. Le président de la république, élu par les assemblées et les présidents de juntes (conseils) régionales, n’a qu’un pouvoir de représentation. Le premier ministre détermine la politique du pays ; il est désigné par le président après consultation des partis et doit obtenir l’investiture du Parlement devant lequel il est responsable, pour gouverner. Instabilité gouvernementale, corruption et influence d’organisations secrètes sont des éléments de la crise actuelle de l’Etat italien qui font souhaiter à beaucoup une réforme des institutions dans l’optique de rendre l’exécutif plus stable.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    Les Égarés..
    29 mai 2018 - 9 h 11 min

    Chez les autres c’est interdit mais dans L’UE c’est permis !!..de stopper les élections..refuser le vote ..trop dangereux l’extrême droite pour l’Europe mais les Islamistes Frères Musulman du Djihad sont bien et démocrate pour Algérie..Syrie..Libye..Irak..Tunisie.. C’est comme Régime Bannanier USA ..Otan Gb..qui arment les Terroristes pour déstabiliser les autres mais jamais pour soi… Un jour ou l’autre les Hypocrites sont rattrapé par leurs hypocrisie. . On le voit en Italie..On l’a vu en France avec FN ..Moi je dis à l’occident gardez vos Extrémistes pour détruire L’UE comme vous l’avez fait avec le soutient islamiste pour la Libye et Syrie et Yémen.

    lhadi
    29 mai 2018 - 8 h 58 min

    L’analyse des systèmes politiques s’est bornée à opposer démocratie (conçue comme un régime évident dans ses principes et simple à mettre en oeuvre) et la tyrannie. Les révolutions, depuis celle de 1689, en Angleterre, celle de 1776 aux Etats-unis et celle de 1789 en France, jusqu’à leurs héritières du XIVe siècle devaient mettre un terme à l’existence de nombre de tyrannie, remplacées par des démocraties. S’y ajoutant une assimilation presque générale entre république et démocratie, dictature et monarchie.

    A l’évidence, la distinction entre république et monarchie n’est plus que formelle. Leur opposition est dépassée : la Suède, le royaume Uni comptent parmi les régimes les plus démocratiques…

    D’un autre coté, les exigences, toujours plus élevées des hommes en matière de droits et libertés amènent à réaliser qu’entre l’idéal démocratique et sa pratique existent nombre de variations : l’accent mis sur telle ou telle liberté conduit à la constitution de régimes fort différents. Le droit au travail, à l’instruction, à l’assistance médicale et sociale était plus généralement reconnuu dans l’ex-URSS qu’aux Etats-Unis, où en revanche, les libertés individuelles et politiques jouissent, aujourd’hui encore, d’une meilleure garantie.

    Les généraux-présidents, les monarques absolus et les présidents à vie se font rare. Désormais, l’absence de démocratie consiste plus souvent en une pratique politique inavouable, mais camouflée derrière des institutions garantissant en apparence le jeu régulier des pouvoirs, qu’en une dictature franche se présentant comme telle.

    Même si le crépuscule des dictateurs n’est pas celui de l’autoritarisme, c’est-à-dire de l’abus de l’autorité, l’évolution semble se faire au profit des démocraties pluralistes. Celle-ci notons-le se présentent sous des aspects variés : régimes présidentiels, semi-présidentiels, parlementaire.

    Ol ne s’agit pas pour autant du triomphe définitif de l’idéal : les droits et les libertés économiques et sociales, y compris dans les pays où les libertés publiques sont les mieux garanties, restent largement à conquérir. La démocratie est un combat quotidien, elle n’est jamais réalisée.

    Tel un caméléon, l’option politique de l’Algérie oscille entre la république socialiste (Cuba), la république populaire (Corée du Nord), la république islamique (Iran), la république semi-présidentielle (France) et la république présidentielle (Etats-Unis), alors que la république Italienne (crée en 1946) est une démocratie parlementaire. Le président de la république, élu par les assemblées et les présidents de juntes (conseils) régionales, n’a qu’un pouvoir de représentation. Le premier ministre détermine la politique du pays ; il est désigné par le président après consultation des partis et doit obtenir l’investiture du Parlement devant lequel il est responsable, pour gouverner : instabilité gouvernementale, corruption et influence d’organisations secrètes sont des éléments de la crise actuelle de l’Etat italien qui font souhaiter à beaucoup une réforme des institutions dans l’optique de rendre l’exécutif plus stable.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    socrate
    29 mai 2018 - 8 h 41 min

    La comparaison est un peu forcée car la Ligue n’est pas le FIS mais un système démocratique doit poser des bornes à la volonté populaire car celle-ci peut connaitre de dangereuses embardées : Mussolini ou Hitler sont venus au pouvoir démocratiquement. Le président Mattarella a permis à l’Europe de gagner un peu de temps et aux italiens de reprendre leurs esprits avant de sauter, pieds joints, dans l’inconnu.

    anonymaoui
    29 mai 2018 - 8 h 32 min

    À mon avis la similitude entre l’Algérie et l’Italie réside dans l’empêchement de la vermine noire et verte, chez nous, d’arriver au pouvoir alors que l’erreur originelle est d’avoir autorisé des partis à la base anti démocratiques dans les deux cas.
    Il faut toutefois souligner que l’Italie au contraire de fafa l’ingrate nous a soutenus économiquement par des lignes de crédit très importantes alors que l’Algérie était sous embargo non déclaré juste pour avoir barré la route aux hordes sanguinaires islamistes d’instaurer daesh chez nous avant tout le monde avec la bénédiction de la france du maroc de l’allemagne de l’Angleterre des usa d’israel et d’autres monamerdes du golf.

    Moskosdz
    29 mai 2018 - 7 h 38 min

    En Algérie,jamais les barbares du FIS n’ont évoqué le mot démocratie,s’ils l’évoquaient ne serait-ce que pour la considérer comme Kofr,pour mieux berner les idiots et justifier leur barbarie,ceux-ci ont considéré que l’état les a privé de l’islam,alors que pratiquement c’est impossible,l’état ne peut enlever la religion à qui que ce soit et ni l’interdire de prier 1000 fois par jour s’il le désire.

    Kenza
    29 mai 2018 - 7 h 37 min

    Non, ce n’est pas tout à fait le cas de l’Algérie, au contraire! En Algérie, c’était pour, effectivement, sauver la démocratie contre la venue au pouvoir d’un parti totalitaire pour qui la démocratie est « kofr » mais qui était le seul moyen d’arriver au pouvoir et instaurer une dictature qui leur permettra de bâtir leur califat à partir de notre pays et qui s’étalera de l’Atlantique jusqu’au golfe persique en passant par tous les pays du Sahel…..
    Pour l’Italie, c’est tout le contraire. Cette intervention de l’UE dans les élections italiennes, c’est un déni de démocratie…et cela prouve, au contraire, que l’UE est une dictature et plus précisément une dictature de la finance mondiale qui impose sa loi à des pays qui ont perdu leur souveraineté et où le suffrage universel ne veut plus rien dire. On a vu ça avec les dernières élections en France, où un Macron  » candidat des Rothschild » a été imposé aux français et qui, aujourd’hui, applique les directives de Bruxelles, les fameuses Grandes Orientations de Politique Economique ( GOPE). On le voit aujourd’hui en Italie où un ancien du FMI vient d’être imposé par l’UE à la tête du gouvernement et au mépris du choix de ceux qui ont été élus démocratiquement par le peuple italien!

      awrassi
      29 mai 2018 - 10 h 49 min

      Merci Kenza; tu as 100 % raison. Il semble que beaucoup de nos compatriotes ici ne voient pas l’emprise des apatrides ou des impérialistes sur le nationalisme, la seule arme qui puisse sauver les peuples d’un joug déjà bien serré.

    nectar
    29 mai 2018 - 7 h 26 min

    Aucune comparaison possible, c’est aller trop vite en besogne pour trouver des similitudes avec les hordes sauvages qui ont semé mort et désolation en Algérie..L’Italie n’est pas dans ce cas de figure, ni dans une logique morbide, comme ce qu’a vécu et continue encore à vivre l’Algérie malheureusement..Le terrorisme a été en partie vaincu, mais ses relais dans le système politique algérien activent toujours..Les occidentaux ne mélangent pas politique avec religion, ils savent placer l’intérêt du pays, dans les moments les plus sombres…

      Anonyme
      29 mai 2018 - 12 h 03 min

      Nectar, l’Algérie n’est pas et n’était pas dans une logique morbide mais en état de guerre. L’occident menait une guerre à l’Algérie par islamistes-terroristes interposés, en un mot l’occident voulait conquérir mais n’était pas capable de mener ses propres conquêtes. Nous avons vaincu les occidentaux et leurs gueux de mercenaires, ils ont été défait par le peuple algérien et son armée. Les occidentaux ne mélangent politique et religion dites-vous ? vous les connaissez mal, vous leur accordez des vertus qu’ils n’ont pas, ils sont capables de tous les mélanges et de toutes les perversions. Enfin si l’Algérie connait encore des difficultés sur le plan politique et social il n’y a qu’à regarder autour de nous, l’Algérie est menacée de toute part et par une multitude d’ennemis. Il faut autant garder une objectivité sur soi même et ne pas se regarder avec complaisance car c’est dangereux pour un pays mais certains algériens font semblant de ne pas voir les menaces qui nous pèsent dessus et persistent à accabler leur pays. Quant à l’Italie, ce n’est qu’un début.

    Tin-Hinane
    29 mai 2018 - 7 h 24 min

    La presse italienne était déchainée contre l’Algérie, enfin et pas que la presse italienne, les médias et les individus européens étaient absolument hors d’eux, comment l’Algérie osait elle bafouer la démocratie de cette façon ? ha, ha, ha ils nous ont tendu un petit pièce (le Fis) et il fallait, on devait tomber dedans les pieds joints. Voilà que l’Italie fait la même chose et comme le dit l’article avec 30 ans de retard. Y a pas à dire nous avons donné un mauvais exemple, crée un précédent antidémocratique. En tout cas achaahh!

    Anonyme
    29 mai 2018 - 6 h 45 min

    Elle n’interrompt pas les elections mais la nomination d’un Ministre, ce qui est du ressort du president de ne pas parapher une nomination.

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