Décès du colonel Bencherif : le boumediéniste qui s’opposa à Bouteflika

Bencherif, Ben cherif benfl
Ahmed Bencherif (à droite) avec Ali Benflis en 2014. D. R.

Par R. Mahmoudi – L’ex-chef de la Gendarmerie nationale, et ex-membre du Conseil de la révolution, le colonel Ahmed Bencherif, s’est éteint hier samedi, dans un hôpital parisien où il avait subi une intervention chirurgicale.

Commandant de la Gendarmerie nationale de 1962 à 1977, le colonel Bencherif a été aussi ministre de l’hydraulique dans le quatrième gouvernement de Houari Boumediene.

Connu pour son franc-parler et son caractère entier, il s’est violemment attaqué, à la veille de la présidentielle de 2014, au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et son entourage. «Ceux qui appellent à voter pour un 4e mandat sont, ou des malades, ou des béni oui-oui, ou des traîtres», avait-il lancé lors d’une conférence de presse qu’il a animée au siège de campagne d’Ali Benflis à qui il avait déclaré son soutien. Il s’en est également pris au président du Conseil constitutionnel, Mourad Medelci, lui reprochant d’avoir accepté le dossier du candidat Bouteflika. «Honte sur vous, Monsieur Medelci ! Ayez au moins la dignité de reconnaître vos fautes, vous qui avez déclaré sur une chaîne de télé française que le 4e mandat était une blague !», s’est-il insurgé.

Le colonel Bencherif est également connu pour ses interventions souvent intempestives sur l’histoire de la guerre de Libération nationale. Moudjahid de la wilaya IV, ayant activé sous la férule du colonel Si El-Houès, Bencherif a ensuite intégré le MALG en Tunisie. Arrêté lors d’une mission en wilaya IV, il ne sera libéré qu’après le cessez-le-feu signé le 19 mars 1962.

Auteur d’un témoignage saisissant : Fadjr el-machâti, (L’Aube des mechtas), Bencherif a aussi apporté son témoignage, avec un certain panache qu’on lui reconnait, dans l’affaire du déterrement des ossements des colonels Amirouche et Si El-Houes, en avouant avoir reçu l’ordre de Boumediene, alors ministre de la Défense nationale, de les déterrer et de les conserver dans des cercueils, dans les caves d’une caserne de la gendarmerie. Les dépouilles des deux héros de la Révolution seront ré-inhumées, au carré des martyrs, au début des années 1980, sur un ordre du président Chadli Bendjedid.

Le défunt a également soulevé une vive polémique, il y a quelques années, en brocardant durement le colonel Mohamed Chaâbani, ancien chef de la wilaya VI, condamné et exécuté en 1964. Bencherif estimait que Chaâbani avait «sauté sur l’occasion» après la mort de Si El-Haouès et la décapitation de l’état-major de la wilaya VI au cours de la fameuse bataille de Djebel Thameur du 29 mars 1959. Bencherif l’avait même accusé d’avoir commis «un massacre» contre la population civile à Djelfa, sa ville natale.

R. M.

 

Comment (52)

    Monsieur X
    23 juillet 2018 - 5 h 11 min

    La mort de BENCHERIF m’est totalement indifférente eu égard au parcours sanglant de ce déserteur des années 1957 où il égorgea ses propres coreligionnaires sans aucun état d’âme. Je retiens cependant que malgré sa trahison la France ne l’a pas châtié en 1960, alors qu’il était son prisonnier et condamné à mort.
    De ce parcours sinistre il faut retenir son intérêt à se faire soigner en finalité…en France. Curieux , non ?

    Anonyme
    23 juillet 2018 - 2 h 10 min

    Que de trahisons que de trahisons nos martyrs sont mors pour rien Allah irahemhoum boumediene ou pas le résultat d’aujourd’hui et chaotique aucune fierté du tout ni au boumedienisme ni au boumedienisme ni personne honte à tout dirigeant qui n’a pas oeuvré pour respecté l’honneur de nos valeureux martyrs qui voulez une Algérie libre prospère et solidaire honte à vous traîtres

    Anonyme
    23 juillet 2018 - 0 h 19 min

    VIVE BOUMEDIENE !

    Alfa
    23 juillet 2018 - 0 h 18 min

    Un jour le peuple de Moise (Moussa 3alaihi Essallam) lui demandirent ; OH Moise pourquoi TON BON DIEU, et regardait la Bassesse intellectuelle avec laquelle ils(Peuple maudit) s’adresserent à leur prophéte, ne répond pas à nos Doléances? Moise en tant que sage connaissait déjà la réponse, mais ne voulant pas de leurs arrogances, leur fit savoir que c’est uniquement à DIEU de répondre à votre Doléance et lasse de ne pas recevoir de réponse ils le narguaient et harcelaient avec la même arrogante attitude et récurante question, mais la réponse tardait à venir.
    Un jour MOUSSA receva la réponse à leur question:
    Oh Moise comment voulez-vous que le Bon Dieu réponde à leurs doléances alors que tout ce qu’ils ont, ils le puisent dans le HARRAM.
    La version arabe et je m’excuse pour les fautes d’hortographes
    يا موسى كيف دعونا ربّك فلم يستجب لنا؟
    أنّ يُستجب لهم يا موسى و أكلهم من حرام و ملبسهم من حرام و مسكنهم من حرام
    إنّ الله طيب لا يقبل إلا الطيب
    Moralité; quand la malédiction tombe sur un peuple c’est à cause de leurs mépris et mauvaise conduite.
    Les gens se demandent pourquoi la punition du BON DIEU s’est éternisait sur nous.
    La réponse est simple revenir sur le bon chemin.
    Les Harkis et nostalgiques de l’Algérie Française des 2 bords de la méditerranés se réjouissent de la situation présente de l’Algérie et voudraient que ça s’éternissent pour mieux s’accrocher au pouvoir et dicter leurs volonté à un peuple qui s’est ramolis au fil du temps.
    Notre passivité et inaction en a fait de nous un peuple inerte.

    manman1954
    22 juillet 2018 - 22 h 00 min

    Ce Colonel Ahmed Bencherif est un HAGGAR ! Son mépris et sa Hogra envers les gens lui vient de son éducation de fils de caïd.
    Dans les années 70, pour ses propres besoins, il s’est accaparé un tunnel ou grotte sous le poste de gendarmerie de la colonne Voirol (Hydra) pour la transformer en champignonnière. Un jour, un travailleur lui a annoncé qu’il doit arrêter ce travail et retourner chez lui (village à l’intérieur du pays). Le travailleur a ajouté qu’il aimerait bien recevoir ses salaires. M. Bencherif s’est mis en colère et a giflé ce travailleur et l’a menacé de prison s’il ne disparaissait pas de sa vue. Voilà bencherif le Haggar, le voleur.
    En désertant de l’armée française, il a exigé du conseil de la wilaya IV de l’élever au grade de Colonel. Les membres de ce conseil ont unanimement refuser sa demande. Et Boumédienne, chef d’état-major et patron de l’armée des frontières, a outre-passé la décision de la wilaya VI, c’est-à-dire l’armée intérieure. Ainsi Bencherif accède au grade de Colonel de l’ALN et devient le larbin de Boumédienne.
    On connaît son implication dans l’assassinat d’un colonel de l’ALN : Mohamed Chaabani.
    Peu de personnes savent son rôle dans le coup d’état de 1965. Il a envoyé ses gendarmes pour occuper le Commissariat central en brutalisant de manière inhumaine les simples policiers de faction qui n’avaient rien à voir avec Benbella mais qui étaient de vrais anciens moudjahidines.
    Son comportement durant la guerre d’indépendance (il a réquisitionné pour son propre besoin des biens d’un colon : Une peugeot 404 noire neuve, une cuisinière à bois neuve et un chien, Berger Allemand).
    Maintenant qu’il est mort, je dirai « BINOU WA BIN MOULLAH »

    Chibl
    22 juillet 2018 - 21 h 54 min

    Il n y avait pas que Bencherif mêlé a la répression et la brutalité il y avait ses frères (d’armes) tels que Philippe le dingue,Salah vespa,Draia et la liste est longue, tous des criminels recrutés par Boumedien.

    Moh
    22 juillet 2018 - 21 h 06 min

    Les détracteurs de Boumedienne sont chargés de minimiser ses réalisations pour mettre Bouteflika et son équipe de voleurs protégés au devant.

    ouchene farid
    22 juillet 2018 - 21 h 03 min

    personne n et dans la nuance ? tout n est pas noir ou blanc ….

    Peur Bleue
    22 juillet 2018 - 19 h 15 min

    @ Zombretto, je n’ai pas connu cette période, mais j’en ai toujours entendu parler de cette période où il fallait attendre les immigrés pour se procurer même un fil de guitare. Les chaînes et les pénuries meublaient le quotidien des Algériens. L’on m’a parlé d’une caricature du célèbre Slim qui présentait un dessin avec un personnage au sourire angélique marchant fier dans la rue et tenant une plaquette d’œufs dans les bras, avec pour légende : un Algérien heureux. Tu vois, moi je n’arrive pas à comprendre ces gens là qui veulent interdire aux autres de dire ce qu’il pense de ce triste personnage qui avait peur même des morts. Oui, on traite les gens qui ne pensent pas comme eux de harki et de voleur. À étaler autant de haine, du coup on aimerait bien connaître l’histoire de leur famille. En tous les cas, je ne crois pas que ces gens là puisse t’accuser d’avoir inventer l’histoire de la séquestration des ossements de si Haouas et Amirouche dans une cave puisque Bencherif lui même a témoigné de qui lui a donné l’ordre de commettre cette monstruosité. Tu sais, je ne suis pas psychiatre, ni psychanalyste, ni même médecin mais il n’est pas difficile de deviner qu’une telle horreur peux avoir des répercussions dans les méandres de la mémoire collective de toute une nation. Vivement la démocratie, qu’on puisse parler librement, sans peur et sans haine de ce que notre peuple a enduré et de ceux qui nous ont fait du mal. A commencer par ce Boumedienne. Quelque soit la crise politique que vivait l’Algérie au lendemain de l’indépendance, il n’avait aucun droit de commettre un coup d’état, lui qui a répondu à un journaliste étranger qui lui posait la question de savoir pourquoi est ce que des opposants au coup d’état étaient torturés, Boumedienne a répondu sur un ton tout à fait détendu : Donnez moi une autre solution. Vive la liberté.

      Zombretto
      22 juillet 2018 - 20 h 01 min

      @Peur bleue: Algériepatriotique, s’il vous plait, laissez passer cette blague. Ce n’est qu’une blague racontée par les algériens du temps de Boumediène.
      Devant un magasin d’Alger du temps de Boumediène, il y a une longue chaîne de clients qui attendent. Ils ont entendu dire qu’on va vendre quelque chose, ils ne savent même pas quoi, peut-être du sucre, ou de l’huile ou du savon, n’importe quoi est bon. A cette époque ça se faisait, on attendait sans savoir ce qu’on pouvait acheter, et j’en suis témoin. Donc au milieu de la chaîne il y a un jeune qui a envie de péter hachakoum. Il essaye de se retenir comme il peut mais c’est trop difficile. Il ne veut pas perdre sa place et essaye coûte que coûte de ne pas se « lâcher » mais finalement il décide que c’est trop, il ne peut pas se retenir, alors il se met à courir pour péter loin des gens. En le voyant courir, ils se disent, « tiens, ce gars doit sûrement savoir où il y a quelque chose d’intéressant à acheter ya l’khawa ! Suivons-le ! » et ils se mettent tous à courir après lui. Le pauvre jeune homme redouble de vitesse, mais la foule dérrière lui fait de même et le rattrappe. Finalement, il se dit que la seule chose qu’il puisse faire est de s’arrêter et de péter, tant pis pour la h’chouma si tout le monde l’entend. Alors il s’arrête et lâche un tonnerre vrombissant, à faire trembler les vitres à un kilomètre à la ronde, presque à lui déchirer son pantalon.
      La foule s’arrête tout sec, et plusieurs personnes lui demandent à l’unisson : « Ouine chrit elloubia ya khou ?!! » (Où as-tu acheté les haricots ?!!)

        ZORO
        22 juillet 2018 - 22 h 08 min

        @Zombretto :c est dans mes habitudes de raconter sur les sujets, ce que j ai personnellement vecu.Dans les jours qui suivirent la mort du president HouariBoumedienne (Allah yerhmeh )je passais en compagnie d un ami pres de la mairie de notre ville ,à la vue d une chaine interminable de citoyens qui devaient patienter des heures pour signer le registre de condoleances, mon ami me suggera de rejoindre la file parce que disait il, on ne sait jamais il vaudrait mieux qu on trouve nos noms sur le registre qui sera surement vérifié. Ceci dit je ne voudrais pas etre mechant et medire ceux qui ont pris la responsabilite de nous diriger sans nous avoir appris a choisir nos dirigeants .De Benbella (Allah yerhmeh ) a Bouteflika en passant par Bouiaf le systeme qui les placait etait machiavélique et plus fort qu eux.
        SigneZORO. …Z…

          Zombretto
          23 juillet 2018 - 8 h 49 min

          Salut, Zoro !… Merci pour ta réponse et ton attestation personnelle de cette époque. Malgré nos divergences d’ordre philosophique ou religieux, les algériens de notre génération se respectent. Le grand problème aujourd’hui est que si quelqu’un n’est pas d’accord avec toi tu deviens son ennemi, et un ennemi à détruire. Des gens qui n’ont même pas vécu sous Boumediène te considèrent comme un traître à abattre si tu le critiques.
          Les registres de condoléances dont tu parles sont un parfait exemple de la dictature implacable sous laquelle nous vivions à son époque, comme cette absurdité appelée « Le Parti. » Comme s’il pouvait exister UN parti. Un parti est censé être formé pour s’opposer à un autre parti, sinon il n’a pas de raison d’exister. C’est comme si tu essayais de jouer au poker ou à la ronda avec toi-même, tout seul, ça n’a aucun sens.
          Les décisions étaient prises sans que le peuple ait jamais eu son mot à dire. Les décisions les plus importantes ou les plus farfelues, peu importe, tu ne pouvais pas ouvrir ta gueule. Par exemple, en 1976 ou 1977 je crois, du jour au lendemain on a annoncé aux algériens que l’heure allait changer. Changez vos montres ! Aya, Yallah !… Le pouvoir en place a décidé, sans aucune étude ni pour aucune raison valable, qu’il allait instaurer l’heure d’été comme ça se fait en Occident alors que l’Algérie n’en avait absolument aucun besoin. Et non seulement l’heure d’été, mais pour montrer aux occidentaux à qui ils avaient à faire, eh bien l’Algérie va avancer de DEUX HEURES en été et d’une heure de façon PERMANENTE en hiver ya m’haynek ! Du jour au lendemain le pauvre algérien a dû se lever deux heures plus tôt le matin en été et au milieu de la nuit le matin en hiver sans rien pouvoir faire ou dire. Et quand ceux qui ont pris cette décision absolument absurde se sont rendu compte qu’elle était bien absurde, eh bien sans aucune consultation ni avertissement, tout d’un coup ils ont rétabli le vieux temps, plus d’heure d’été ou d’hiver, on revient à l’ancien temps !!
          Juste un petit exemple qui m’est revenu à l’esprit en ce moment.

        mouatène
        23 juillet 2018 - 16 h 26 min

        laisser passer des trucs pareils c’est confirmer du faux. messieurs, ou on vous a mal renseigné, ou bien vous avez mal compris, et situez mal la période. du temps du Président Boumédienne (élu par le peuple) le sachet de lait coutait 1 (un) dinars, la semoule 100 da (cent) le quintal, l’huile 14 da (quatorze) le bidon de 5 litre, la viande de mouton 70 da et j’en passes. la période que vous évoquez est celle de chadli et son premier ministre abdelhamid brahimi à partir de 1982, date d’ou est parti la vraie pénurie et la flambée des prix. documentez .

          Zombretto
          23 juillet 2018 - 17 h 55 min

          J’ai quitté l’Algérie plusieurs mois avant l’arrivée de Chadli au pouvoir, et je n’ai jamais vécu sous son régime. C’est toi qui te trompes d’époque.

    Omar
    22 juillet 2018 - 17 h 28 min

    Mon Dieu,c’est ça la « Glorieuse Révolution Algérienne »?!

      mouatène
      23 juillet 2018 - 19 h 25 min

      vous savez très bien que ce que vous avancez est faux. j’espères qu’il y aura des réactions qui vous contrediront. ça sent le maroc, vos écrits. dites nous comment avez vous quitté et par ou. cherchez , vous avez le temps.

        Zombretto
        23 juillet 2018 - 21 h 26 min

        Ya Mouatene, franchement tu me déçois. En lisant ton post où tu dis que tu es retraité, ça m’a donné un petit serrement au cœur. Pour deux raisons : parce que si tu as vécu sous Boumediène tu sais bien que ce que je dis à propos des pénuries et des chaînes devant les magasins est vrai. C’était vrai sous Chadli aussi, mais ça ne change pas que c’était vrai sous Boumediène. L’autre raison qui me déçoit c’est qu’un algérien assez vieux pour être retraité réagisse comme toi en disant que je dois sûrement être marocain, c’est à dire (dans ton esprit) un ennemi pour dire ce que je dis. Je pensais que ce genre d’attitude était limité aux plus jeunes et que les gens de ma génération sont beaucoup plus calmes et pesés dans leurs propos. D’ailleurs, si tu veux savoir, je pense que les marocains sont parmi les meilleurs gens du monde, rien à voir avec leur roi. Je méprise leur roi et son gouvernement mais je n’ai rien contre le peuple marocain. Enfin, pour ta gouverne, je n’ai jamais mis ni eu envie de mettre les pieds au Maroc en tout cas.

          mouatène
          24 juillet 2018 - 14 h 36 min

          se racheter de cette manière ne marche plus. et vous n’avez pas répondu à la question. ou et quand. pour lever le voile aux jeunes, je vous rappelles que les sorties étaient un peu compliquées meme sous chadli jusqu’en 1979. vous déclarez avoir quitter le pays avant l’ere chadli. c’est normale que vous soyez déçu puisque tout le monde n’est pas mort et vous ne pouvez pas faire passer des calomnies à votre guise. je ne vous répondrais plus sur ce sujet. sans rancune et bonne journée.

    Chibl
    22 juillet 2018 - 16 h 55 min

    J’ ete gamin a l’époque mais d’après ce que j’ai compris Boumedien ne’s’est entouré que de criminels.

    Anonyme
    22 juillet 2018 - 15 h 57 min

    à l’époque ou le colonel benchérif a été mis à la retraite, il s’est vu refusé tous les accès dans les rouages de l’état. il lui a été meme refusé une visite à son frère à la prison militaire de blida. le comble c’est que toutes les autorités au niveau wilaya ont refusé de le recevoir. tenez vous bien, un militaire qui était proche de lui a meme déclaré qu’il ne le connaissait pas benchérif et s’est meme demandé « qui c’est ce colonel benchérif ? ». comme quoi, le roi est mort, vive le roi. c’est juste un témoignage que j’ai gardé pendant 36 ans. toutes mes condoléances à la famille du défunt.

      Chibl
      22 juillet 2018 - 22 h 23 min

      ce n’est un secret pour personne ce que vous dites, mais car il y a toujours un mais, c’est que ce défunt a bénéficie du titre de CHAKHSSIYA WATANIYA j usqu’a la fin de ses jours.ce monsieur ne payait même pas la vignette auto avec ce titre. peut etre que vous etes dans le meme cas que lui. allons,allons!!!

        mouatène
        23 juillet 2018 - 19 h 37 min

        monsieur Chibl bonjour. d’abord je m’excuses pour l’identification car c’est suite à une coupure d’energie et après restauration je l’ai omis involontairement. pour vous répondre, je vous dirais : non mon ami mais j’ai dis ce que j’ai vu et entendu . les concernés sont toujours de ce monde. et soyez tranquille je ne suis pas dans le meme cas comme vous le dites. certe je suis retraité mais un retraité heureux au bord de la mer (palangrote toute la journée) »avec une petite retraite » MAIS HEUREUX. je la souhaite à tous les algériens.

    Anonyme
    22 juillet 2018 - 15 h 13 min

    Paix à son âme. Né français, mort français! Tout finit par passer.

    Poursuite Judiciaire Divine
    22 juillet 2018 - 14 h 47 min

    1) ALLAH YERHMOU… 2) J’ai lu les commentaires, et je l’avoue j’ignore la biographie du défunt, son bilan il l’a emporté avec lui, d’abord pour, parait-il, l’interrogatoire de La Tombe puis pour Le Jour des Comptes. 3) La France : Elle nous a vaincus, dominés, et fait de certains des monstres, nous n’aurions pas dû être vaincus par ces … Qui ont fini en mariage pour tous, mais ils nous ont eus, vive l’ANP, évoluée, cultivée, sportive, alerte, impitoyable avec uniquement notre ennemi. Notre Indépendance est venue de notre vulnérabilité en 1830, et des monstres d’ignorance fabriqués par l’église, l’armée françaises, les miséreux d’Europe, ses prostituées, les étapes de cette Indépendance ont été ce qu’elles ont été, il y a un défi, ce sont les hommes et femmes du vrai Jazaïr, restés l’esprit debout, qui le relèveront, éviteront les… Pièges ! Peu importe qu’il soit mort dans un hôpital parisien, ça c’est le secret de Dieu, qui a dit « Et nulle âme ne sait en quelle terre elle mourra » ! Il suffit de rester soi où que l’on soit, il n’est pas mort POUR FRANCE ! -Il y a Une Justice divine en cours, La France en est poursuivie, et le restera jusqu’à ce que La Justice soit accomplie !

    Amazighkan
    22 juillet 2018 - 13 h 30 min

    C’est bizarre que la France coloniale emprisonnait certains des leaders de la révolution jusqu’au cessez le feu et assassinait d’autres, je pense notamment à feu Ben m’hidi. Il serait intéressant que des historiens intègres et indépendants nous éclairent sur cette question. Il serait intéressant aussi de savoir si feu Bencherif naturalisé en 1948, d’après Mehdi Charef, a conservé la nationalité française une fois qu’il s’est engagé avec l’ALN ou après le cessez le feu de 1962.

    Yacine
    22 juillet 2018 - 12 h 15 min

    Il est mort dans un hôpital parisien . Tout un symbole !!! Lui a vécu 91 ans aux frais de la princesse . Chabani a payé le prix de son honnêteté , sa sincérité et son patriotisme . Bencherif lui a brisé la vie à juste 30 ans , sur ordre du duo Ben Bella Boumediene à l’âge où il doit nourrir beaucoup d’espoirs à l’ombre de l’indépendance ! Quel destin cruel !!

      nectar
      22 juillet 2018 - 12 h 47 min

      A part l’histoire, qui va juger ces criminels?

    sourire kabyle
    22 juillet 2018 - 11 h 52 min

    La moitié de nos moudjahidines (retraités) rescapés de la guerre d’indépendance finissent leur derniers jours dans des hôpitaux de l’ex puissance coloniale qui l’ont combattu….

      Anonyme
      22 juillet 2018 - 15 h 58 min

      Ou bien se la coule douce en Suisse juqu’à ce que mort
      survienne

    Sourire... tristr
    22 juillet 2018 - 10 h 15 min

    D’abord, un merci à Mr Mahdi Cherif pour nous avoir dévoilé quelque pan de ce personnage. C’est triste.
    Je constate que ce grand combattant de la France s’est éteint dans un … hôpital parisien.Sinon Dieu reconnaitre les siens … et le diable aussi comme dirait l’autre.

    Zombretto
    22 juillet 2018 - 10 h 13 min

    C’est quoi un « boumediéniste » ? Boumediène avait-il une doctrine bien à lui, un plan clair et réfléchi pour atteindre un objectif bien défini ? On nous dit que du temps de Boumediène, l’algérien était fier et respecté. C’était vrai à 100%, mais ce n’était en rien dû à Boumediène ou ses hommes. A l’époque de Boumediène, nous roulions encore sur la vitesse acquise par la guerre d’indèpendance. Nous étions ivres de la fierté d’avoir chassé le colonialisme. Ceux qui donnent du crédit à Boumediène se trompent lourdement, car c’est lui qui s’est chargé de miner tout ça de l’intérieur. C’est lui qui a déchu l’algérien de son honneur et de sa fierté. De son temps nous n’avions rien à bouffer, rien à porter et nous ne pouvions pas nous exprimer sans avoir peur d’être embarqués et fourrés en prison. Boumediène a ruiné le système d’éducation laissé par la France avec sa fierté mal placée pour s’aligner avec les ignares du moyen-orient. Boum a remis l’Algérie sur un plateau d’argent à l’Arabie Saoudite et à l’Egypte.
    Le jour de sa mort, Moi et quelques amis espérions que le pays changerait peut-être de direction. D’ailleurs, ce n’était pas de la tristesse que ressentaient les algériens à sa mort. C’était un phénomène psychologique qui ressemble au syndrome de Stockholm.
    Les algériens qui le regrettent ont la mémoire trop courte.

      ELGAT
      22 juillet 2018 - 12 h 23 min

      QUE DE MENSONGES?QUE DE MENSONGES? QUE DE MENSONGES.

        Zombretto
        22 juillet 2018 - 12 h 47 min

        Mensonges ? Quels mensonges ? Quel âge as-tu ? As-tu vécu du temps où il fallait faire la queue pour acheter n’importe quoi ? Du temps où si tu entendais ces deux petites lettres “SM” tu p… dans ta c… ? Le temps où n’importe qui avec un uniforme pouvait te crâcher à la geule et te donner un coup de pied au dérrière et si tu osais te défendre on te foutait dans un dongeon ? Le temps où les intellectuels ont été chassés et remplacés par des cordonniers égyptiens ? C’est ça que tu regrettes ? Si tu est trop jeune pour avoir connu ces temps-là, demande à tes aînés de te raconter les choses.

          PREDATOR
          22 juillet 2018 - 15 h 37 min

          Zombretto
          22 juillet 2018 – 12 h 47 min

          ce pseudo te colle si bien, arretes tes conneries ya harki
          Tu n’arriveras pas à la semelle de cet illustre personnage, oui il faisait peur à ceux de ton espece qui ne pensent qu’à leur tube digestif
          Voilà où vous avez mené le pays: corruption, rapines, drogues
          tais toi

      Geronimo
      22 juillet 2018 - 14 h 02 min

      Mais ces remarques sont normales de ce Maroqui prénommé Zombretto. Son roitelet Hassan 2 tremblait de peur à la seule évocation de Boumédienne (Allah yarhmou). En son temps le Maroc n’avait pas le courage de nous inonder avec sa drogue. La réponse de Boumédiène aurait été fulgurante.

        PREDATOR
        22 juillet 2018 - 15 h 40 min

        Geronimo
        22 juillet 2018 – 14 h 02 min

        il est à court de zombreto

      PREDATOR
      22 juillet 2018 - 15 h 31 min

      Ceux qui donnent du crédit à Boumediène se trompent lourdement, car c’est lui qui s’est chargé de miner tout ça de l’intérieur. C’est lui qui a déchu l’algérien de son honneur et de sa fierté. De son temps nous n’avions rien à bouffer, rien à porter et nous ne pouvions pas nous exprimer sans avoir peur d’être embarqués et fourrés en prison. Boumediène a ruiné le système d’éducation laissé par la France avec sa fierté mal placée pour s’aligner avec les ignares du moyen-orient. Boum a remis l’Algérie sur un plateau d’argent à l’Arabie Saoudite et à l’Egypte.

      Ya si zombreto laisse la mémoire du défunt tranquille
      c’est grace à Boumediene qui tu as été à l’école et que tu viens ici deverser ton venin

      N’avait pas tort celui qui vous prenait pour des tubes digestifs, Boumediene a pris les rênes du pays au sortir d’une colonisation des plus inhumaines, le pays était à plat , la population à 9O ou plus illettrée et en 13 ans il a fait des miracles, l’illettrisme a disparu, les maladies de l’époque vaincue, lae barrage vert , la transaharienne, il n’y avait ni chinois ni sidi zekri ni des haddad ni ni , Il avait fait appel à l’Egypte à l’époque car il n’y avait pas de profs algeriens sinon tres rares et à cette l’époque l’Égypte n’était pas « sionisée », cette Egypte de feu abdenasser qui avait aidé la révolution algérienne (ingrats que vous êtes) même l’arabie Saoudite sous fayçal qui n’avait pas hésité de fermer les vannes du pétrole suite à l’agression sioniste , il y avait même des coopérants français qui aimaient le pays, des russes, sans Boumediene le pays serait entré dans une guerre civile, Boumediene est parti sans laisser le moindre sou et n’avait laissé ni villas ni voitures
      Quand à dire que Boumediene avait détérré des os et les avait mis en prison c’est de la pure propagande pour salir la mémoire de ce grand homme, mourant feu Boumediene n’avait pas voulu être traiter chez fafa
      Alors ne dites pas n’importe quoi Allah yehdikoum
      VOTRE PROBLEME c’est que vous vouez une haine à tout ce qui est arabe, pourtant c’est vous qui détenez les rênes du pouvoir actuellement et vous avez fait du pays un souk

        Zombretto
        22 juillet 2018 - 15 h 42 min

        @Predator : Quand Boumediène est arrivé au pouvoir, j’avais déjà presque eu mon bac. Je ne lui dois rien. J’allais à l’école du temps de la colonisation. Au contraire, j’ai fui le pays à cause de lui. Boumediène a pris quelques années pour transformer ce système d’éducation en ruines.

          PREDATOR
          22 juillet 2018 - 19 h 53 min

          Zombretto
          22 juillet 2018 – 15 h 42 mi

          moi j’étais à cette époque j’étais djoundi et j’en suis fier et tout le peuple était à la même enseigne, et ce maudit petrole que vous sucez valait à peine 5 dollars « Boumediene avait transformé l’éducation en ruines »
          Wallah tu divagues
          Allah yehdik

        Krimo
        23 juillet 2018 - 7 h 18 min

        Predator,
        Juste une precision, c’est Ben Bella qui a ramene les Egyptiens et non pas Boumediene. 62-65, 3 annees dont les consequences de gouverne sont suvent tues. BB leur avait meme donne des chantiers tels que les construction de l’hotel Aurassi et de du stade du 5 Juillet et c’est Boumediene qui les a vire pour incompetence averee. Faut dire que le site de l’Aurassi etait sur un terrain glissant, pour l’exemple la chaussee etait toujours deformee en contrebas sur le boul Telemly au niveau d’une station d’essence qui a disparu depuis (situee juste apres l’Aerohabitat dans le sens allant vers les Beaux Arts)

        Bien a vous

      mouatène
      22 juillet 2018 - 15 h 41 min

      vous le dites bien. et heureusement, le jour de sa mort, vous étiez vous, et quelques amis, bien sur comme vous à avoir une pensée de non algériens. et les algériens en sont témoins, le jour de son enterrement tout le peuple a pleuré cet homme qui n’a pas hésiter à tout donner pour la nation algérienne. vous ne l’aimez pas et c’est votre droit mais souiller sa mémoire, je vous le redis ce n’est pas algérien. vous ne devez pas avoir le sommeil paisible.

      Geronimo
      23 juillet 2018 - 8 h 15 min

      Non Monsieur! C’est toi qui a la mémoire très courte. Pendant la Révolution, aucun algérien ne mangeait à sa faim. Tu étais certainement enfant à cet époque et c’est tes parents qui souffraient du matin au soir pour pouvoir te nourrir toi et tes frères et soeurs. Demande leur ce qu’il ont enduré en plus des brimades de leurs employeurs. Du temps de Boumédiène, on mangeait à notre faim et il n’y avait pas de chômage. Les pénuries, c’étaient du temps de Chadli qui a gaché toutes les économies du pays effectuées du temps de Boumédiène par l’achat de bananes et autres Coca Cola ainsi que les voyages répétitives , sans restriction, des Algériens à l’étranger. Ta haine de Boumédiène est injustifiée et mal placée. C’est vrai que » » lorsque le taureau est à terre, chacun accourt avec son couteau ». L’Histoire jugera de ce qu’il a fait de bien et de ce qu’il a fait de mauvais pour ce pays. Une chose sur laquelle tout le monde s’accorde est qu’il était sincère et qu’il ne s’était pas enrichi et n’a pas permis à sa famille de s’enrichir. Ne serait ce que pour cela, je rends hommage à sa mémoire. Quant à toi et ceux qui pensent comme toi, continue à applaudir les voleurs et les nuls

    Anti khafafich
    22 juillet 2018 - 9 h 52 min

    Allah yerhmah w ywessa3 3lih. Néanmoins pourquoi ils partent tous en France pour se soigner. Pourquoi dans ce cas là, le fait de partir la bas dans leurs hôpitaux n est pas blâmable ? C est juste parce qu il était opposant à Bouteflika ?

    Fellag
    22 juillet 2018 - 8 h 23 min

    Mes sincères condoléances a la famille du grand moudjahid Monsieur Ahmed Bencherif;et en particulier la nation Algérienne;elle vient de perdre un des ses meilleurs enfants;bientot on aura plus de ces Moudjahid de la première heure;et le pays sera aux mains des nouveaux Moudjahid arrivant de partout

    Anonyme
    22 juillet 2018 - 8 h 15 min

    Tout près de toi, BON DIEU!

    Anonyme
    22 juillet 2018 - 8 h 07 min

    Mahdi Cherif, officier retraité, ancien secrétaire général de l’EMG ANP 1963 – 1967:
    « Ahmed Bencherif, fils de grande tente, ancien sergent de l’armée française, naturalisé français en 1948, engagé volontaire pour l’Indochine où il combat de 1949 à 1952, déserte l’armée française au début de la guerre d’Algérie, après avoir mis à sac le camp militaire où il est affecté. Promu officier-instructeur en Wilaya IV, il est envoyé en Tunisie à cause de ses brutalités envers les civils et après que, de son propre chef, il tue, à larme blanche, à l’insu du colonel si Mhamed, des dizaines de prisonniers kobussistes confiés à sa garde. Désormais commandant et collaborateur de Krim, il est chargé d’exécuter les colonels Lamouri, Nouaoura et Aouchria, ainsi que le commandant Mostepha Lakhal, condamnés à mort par Houari Boumediène, président du tribunal devant lequel ils comparent en 1959. Ces moudjahidine sont étranglés de sa propre main. Il utilise pour les mettre à mort un fil de fer qu’il passe autour de leur cou et qu’il serre jusqu’à la mort, alors qu’il dispose d’une arme à feu munie d’un silencieux. Le colonel Mohamed Aouchria réussit à échapper à ses gardiens. Il court vers le mur d’enceinte. Bencherif le rattrape. Il lui administre une terrible correction. Il le traîne vers l’endroit où gisent les cadavres de Lamouri et de Ahmed Nouaoura et il lui fait subir le même sort. Les corps des moudjahidine suppliciés d’aussi atroce manière, par pure sadisme, sont jetés par lui dans une fosse à peine ouverte. «Les chiens s’en chargeront !» est l’oraison funèbre de leur bourreau.
    …Chaabani arrêté par les hommes de Saïd Abid est remis, sur ordre de Houari Bouediène, à Ahmed Bencherif. Il est transféré immédiatement à Djelfa, ligoté, les yeux bandés et couché de force sur le plancher d’une Land Rover, les pieds de son gardien, un ancien adjudant de l’armée française appelé Gigi, alias Mohand Akli, posés sur son corps tout le long du voyage. Ahmed Bencherif suit, derrière, dans une DS palace. Arrivé à Djelfa, Chaabani est d’abord interrogé sommairement par le même adjudant, sous le regard goguenard de Bencherif. Chaabani demande un café. Bencherif envoie un homme le ramener. Au moment où le prisonnier tend la main pour saisir la tasse, Bencherif lui en balance le contenu à la figure. «Ceci de la part d’un ancien de l’armée française !» Chaabani, aveuglé par le liquide, le cingle d’un terrible : «Abna Bariss youhinouna abna Badis», puis il se mure dans le silence. Bencherif donne ensuite la véritable raison de l’étape de Djelfa quand il ajoute : «Tu as fait tuer combien des miens par ici ?» Il faut savoir que les bellounistes, au moment où ils avaient le vent en poupe dans la région, étaient les bienvenus chez le bachagha Lahrèche, beau-père de Bencherif, lequel, peut-être n’en pouvait mais. Les «officiers » de Bellounis, ainsi que la majorité des chefs harkis qui combattaient l’ALN et qui sévissaient dans la région de Djelfa avaient table ouverte chez le bachagha Lahrèche. Après ce règlement de comptes personnel de Bencherif (les hommes de la Wilaya VI n’avaient pas fait dans le détail en combattant les traîtres de Bellounis), Chaabani est tranféré sur Oran et incarcéré dans la prison militaire de Sidi El Houari, dans la cellule n°62. »

      Question
      22 juillet 2018 - 9 h 32 min

      Les sources de ces terribles révélations, SVP. Merci.

        kamel
        22 juillet 2018 - 13 h 33 min

        @Question
        22 juillet 2018 – 9 h 32 min
        Pas besoin de source cher ami, on en paie encore les conséquences aujourd’hui des toutes les atrocités de cette guerre à deux têtes,
        l’une pour chasser le monstrueux colons!!! l’autre, prendre la place de ces derniers par la terreur envers leur propre peuple, ils se sont servit du peuple comme chair à canons pendant qu’eux étaient dans des palaces sur le racket qu’ils faisaient sur le peuple, les islamistes ont prit les mêmes méthodes de criminels.

        صالح/ الجزائر
        22 juillet 2018 - 15 h 34 min

        Témoignage :
        Pourquoi et comment le colonel Chaabani a été exécuté ?
        par Mahdi Chérif *
        Le Soir d’Algerie , 21 Février 2012
        ————
        *- Mahdi Cherif officier retraité , ancien secrétaire général de l’EMG ANP 1963 – 1967

        صالح/ الجزائر
        23 juillet 2018 - 8 h 30 min

        @Question
        Cherchez les sources de ces terribles révélations dans :
        Témoignage :
        Pourquoi et comment le colonel Chaabani a été exécuté ?
        par Mahdi Chérif *
        Le Soir d’Algérie , 21 Février 2012
        ————
        *- Mahdi Cherif officier retraité , ancien secrétaire général de l’EMG ANP 1963 – 1967

      Le-Bon-la Brute-et-le-Truand
      22 juillet 2018 - 10 h 37 min

      Eh ben dis donc ! quelle nécrologie !

      Anonymeplus
      22 juillet 2018 - 11 h 32 min

      Terminez votre récit et dites aux commentateurs quelles sont les 2 personnes qui ont étranglé le coup el Chaabani dans sa cellule. Je suis sûr que leurs noms ne sont pas du tout étranger à la tchektchouka du système.

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