Révélation – Alexandre Benalla était chargé d’infiltrer les milieux algériens
Par Karim B. – Algeriepatriotique a pu obtenir de nouvelles informations sur le parcours d’Alexandre Benalla, l’intriguant «chargé de mission» auprès du président français, Emmanuel Macron, et qui est en passe de provoquer la plus grave crise politique que la France ait jamais connue sous la Ve République.
Des sources sûres attestent qu’Alexandre Benalla a été repéré et recruté d’abord comme «correspondant», puis comme agent par les services secrets israéliens qui ont délégué la «sous-traitance» à la DGED marocaine.
Son profil «audacieux et rusé» avait tapé dans l’œil de la mouvance sioniste socialiste, expliquent nos sources. Mais son caractère «impétueux» et «insolent», ainsi que ses origines marocaines «ont fait qu’il soit placé sous le contrôle du Makhzen pour éviter toute mauvaise surprise», précisent nos sources, qui indiquent qu’Alexandre Benalla «s’est acquitté de plusieurs missions, notamment au Maroc» où une société de sécurité avait été créée et dont la direction lui avait été confiée avant d’être dissoute.
Depuis l’élection d’Emanuel Macron à l’Elysée, Alexandre Benalla a été chargé de monter plusieurs groupes de barbouzes dans la région parisienne – gros bras, indics, etc., avec les relais des services des renseignements marocains, dont une des missions était «d’essayer d’infiltrer les milieux algériens».
Installé au cœur du pouvoir, le garde du corps incontrôlable de Macron «commençait à vouloir s’émanciper», notent nos sources qui estiment que, «fatalement, il est devenu ingérable et dangereux pour ses patrons».
Nos sources révèlent, par ailleurs, que certains services de sécurité «l’avaient à l’œil» en France même, notamment la gendarmerie et la police aux frontières.
La «neutralisation» d’Alexandre Benalla à travers la diffusion de vidéos le montrant en train de tabasser des citoyens français «en mission de rétablissement de l’ordre», sans qu’il soit habilité par les autorités en charge de cette question, «est un avertissement sérieux adressé à Macron par ceux qui, au sein des structures sécuritaires françaises – dont des officiers de la DGSI, le service du contre-espionnage français – ne supportent plus ce genre de dérives».
Nos sources expliquent l’acharnement des médias français à réduire ce grave dysfonctionnement au sein des plus hautes instances dirigeantes en France en une simple affaire de «racaille». «La propagande sioniste détourne l’attention de l’opinion française du véritable problème qui est celui de l’infiltration des rouages de l’Etat français par les services secrets marocains et leurs relais», confient nos sources.
K. B.
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